Ce que j’ai ressenti:…Un souffle de tempête, un raz-de-marée poétique fulgurant…
Puisque les dieux nous ressemblent,
Puisque les mots nous rassemblent,
Il te reste à écouter les larmes des poètes…
(Infinitésimale sensibilité)
Puisque de tout temps, les histoires sont là,
Puisque les légendes pèsent leurs poids,
Il te reste à entendre la ballade Tempest…
(Ecoute la ville tomber)
Puisque Les nouveau anciens inspirent,
Puisque les anciens nouveaux expirent,
Il te reste à respirer le « flow » de Kate…
(Dieux Ordinaires d’Éternité)
Et comme la beauté se saisit dans les instants,
(Indifférence)
Et comme l’amour se cache dans les présents,
(Violence)
Et comme les illusions se nourrissent de moments,
(Déchéance)
Kate Tempest illumine de passion, et de talent
(Transe)
La scène Slam, embrasse les dieux, en tournoyant…
(Puissance)
Stelphique
Dans cette chronique, je réponds à ce poème par un poème, parce que le coup de coeur était là.
Palpitant. Rougeoyant. Dynamisant.
Je n’ai fait que lire et relire ce texte contemporain, aux encablures lyriques, jeté aux vents tempétueux, libre de voguer sur nos scènes de vies dramatiques, et divinement inspiré pour une bouleversante épopée…
J’ai aimé, j’ai adoré, j’ai sombré au cœur de la tempête, au cœur de Tempest, aux larmes de Kate…
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