Kanoko Sakurakouji

Et nous voilà au moment crucial de la rencontre avec la belle famille.

C'est déjà stressant en temps normal mais quand notre fiancée est un démon, nous avons le sentiment que cela complique encore plus les choses.

Surtout quand le grand père veut faire accélérer les choses concernant "LA chose" et que le beaux-frère souhaite reprendre sa place de chef.

Ooooh! les histoires de famille ! On a beau être un Tengu, on y échappe pas.



Un tome qui se lit tout seul, comme d'habitude.

Maintenant, je rejoins un peu l'avis d'Archessia dans ses critiques des tomes précédents sur la fâcheuse manie de Misao de pleurer. Et je rajouterai que ce n'est pas uniquement sur la couverture !

Cela devient lassant.

En espérant qu'elle s'endurcisse un peu.

Une série vraiment bien, riche en rebondissements, c'est simple, une fois que je l'ai commencé, je n'ai pas pu décrocher.

Même si l'héroïne est parfois un peu trop naïve, on s'attache à elle et à cette univers peuplé de Yokai. C'est une jolie histoire d'amour entre deux peuples qui m'a beaucoup plu et qui fait maintenant partie de mes séries shojo fantastiquo - romantique préféré.

Du drame en veut tu en voilà ! Si le troisième tome gagnait déjà en gravité, ici, l'auteur cherche à en rajouter une couche faisant du meilleur ami de Kyo aussi son meilleur ennemi. Quelle originalité ! Non seulement cette combinaison est très classique, mais elle n'est pas très bien exploité. Et je commence à me lasser, l'histoire n'avance toujours pas.

Dans ce troisième volume, le récit devient de plus dramatique avec une fin très dure. Cependant le dessin tout en douceur avec ces grands yeux contraste avec les scènes sanglante et en adouci l’impacte. Si le récit est plus dramatique, je n’ai pas été émue pour autant. L’héroïne pleure, oui… mais comme elle pleure tout le temps… Bref l’histoire prend un tournant grave mais l’émotion n’est pas au rendez-vous. Ce troisième tome se laisse lire agréablement, mais il n’est pas particulièrement prenant. Heureusement la fin semble s’ouvrir sur un nouvel indice qui aidera peut-être nos deux tourtereaux à savoir se qui les attend une fois leur union consommé. Une fin qui invite à la lecture du tome suivant, bien que dans celui-ci l’intrigue stagne et que le classicisme des personnages commence à laisser.

Un shojo fantastique plutôt agréable. Le scénario n’est pas vraiment original, tous les ingrédients utilisé on les connais déjà, mais il sont bien assemblé et utilisé de façon efficace. Il y a un bon rythme et on a envie de suivre l’histoire. Un détail reste à déplorer (comme malheureusement dans la plupart de shojo du genre) : une héroïne pleurnicharde qui manque cruellement d’intérêt.


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Le premier tome était amusant parce qu’on découvre l’histoire. Histoire classique, mais plaisante. Le tome 2 est un peu décevant par sa banalité. Les personnages sont on ne peut plus classique : elle, hésitante et pleurnicharde, qui doit être sauvé encore et encore et à qui on doit forcer un peu la main pour qu’elle comprenne ses propres sentiments. Lui, beau et ténébreux, mystérieux, fort et toujours là pour la sauver, légèrement obsédé sur les bords et tenace. Et là, viennent s’ajouter une ribambelle de beaux gosses tous aussi stéréotypé. Heureusement on échappe à l’effet manga harem, puisque l’héroïne a déjà choisit son prince charmant et que, si elle regarde les autres beaux gosses avec plaisir, aucune ambiguïté quant à leur relation ne vient gâcher le récit. L’intrigue se complique un peu avec l’apparition du frère de Kyô, mais au final, il ne se passe pas grand chose. Ceci dit, l’ensemble est agréable et se lit avec plaisir.

Bon, passons aux choses sérieuses et parlons de ce tome.

Et bien, je dois avouer que ça sera vite fait cette fois-ci, car il n'y a pas énormément de choses à en dire.

Je vous parlais que, dans le volume précédant, on sentait que les choses allaient grandement changer. Pourquoi donc ? Et bien parce que notre petit couple a sauté le pas et s'est bien amusé sous la couette !

Et oui ma p'tite dame, "c'est fait".

Nous retrouvons donc, en ce début de tome 9, nos amoureux encore sous le charme de leur première nuit d'amour charnel.

Apparemment, rien de dangereux s'est passé, et à part que Kyô a retrouvé toute sa force, et bien plus encore, il n'y a pas l'air d'avoir de répercussions sur Misao.

Le problème, c'est que Kyô ne semble pas être très chaud pour recommencer, alors que la jeune fille, elle, aimerait retrouver cette incroyable connexion qu'ils ont partagés.

Profondément déprimée par le rejet de son amoureux, elle va en plus devoir faire face à des attaques dévastatrices de différents yôkai, prêt à tout pour obtenir du sang de la senka, même à tuer des innocents.

Serait-elle arrivée au bout de ce qu'elle est capable d'endurer ?



Je ne sais pas trop à quoi je m'attendais, vu la fin du tome 8, mais pas vraiment à ça, en tout cas.

Je n'arrive pas vraiment à l'expliquer, mais tout ce volume me semble un peu mou, un peu brouillon également.

On sent bien qu'une transition importante est en train de se faire, et que c'est le destin même de Misao et des yôkai qui est mis dans la balance, mais quand même ...

J'ai eu du mal à vraiment accrocher à ce volume, alors que tous les précédents m'ont plu.

En fait, la majorité de deux choses : Misao qui déprime et qui ne comprend pas pourquoi Kyô la repousse (...), et les attaques de yôkai dans la ville.

Un peu pauvre je trouve.

Cela dit, la fin de ce tome est assez surprenante, et l'arrivée d'un nouveau personnage très intéressant risque de changer la donne et de chambouler le quotidien de nos héros.

Maintenant, reste à savoir si cela sera en bien ou en mal ...



Donc, un volume assez décevant dans son ensemble, je m'attendais à mieux après la fin du 8. Mais qu'à cela ne tienne ! Je suis toujours curieuse de savoir ce qu'il va arriver à ces tourtereaux, et j'ai hâte d'avoir le 10 sous la main !
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Un grand évènement se prépare pour Kyô et Misao.

Le père du Tengu lui-même les invite passer deux nuits dans le clan familial, pour ainsi présenter la princesse à toute la communauté, et sceller leur union par la même occasion.

Un problème malheureusement persiste, la terrible prédiction comme quoi, si ils veulent passer leur vie ensemble, ils ne pourront jamais faire l'amour, pas même une fois.

Mais pour reprendre la succession du clan, Kyô est obligé de prendre charnellement la senka.

Une épreuve de plus dans leur relation, et dans la survie du clan tout entier, surtout que la présence du frère de Kyô se fait encore beaucoup trop sentir dans toutes ces histoires de succession ...



Hey, hey, vous avez vu ?

Regardez plus attentivement.

...

...

Oui ! Elle pleure ! \o/

En fait, je crois que ça va vraiment me choqué si, un jour, il y a une couverture où elle ne chiale pas

Bref, passons au manga en lui-même (vous allez tous finir par en avoir marre de mon délire sur les larmes de Misao en cover ^^" )



Comme d'habitude, l'ambiance est tendue, et le danger, bien que physiquement moins présent, prend quand même une place énorme dans la vie de nos deux amoureux.

Pour commencer, le refus de Kyô de mêler Misao à certains détails du monde des tengus va vite blesser la jeune fille, qui saura se montrer forte et entreprenante.

Il y a d'ailleurs une évolution de ce personnage dans ce tome.

On sent qu'elle gagne en maturité, en courage, en sagesse. Elle accepte de plus en plus la situation, et assume entièrement les sentiments très forts qu'elle éprouve pour son promis.

C'est décidé, elle fera tout, tout ce qui est en son pouvoir, pour passer sa vie avec lui et lui apporter bonheur et paix.

Mais c'est un mission bien difficile dans le monde des yôkai.



On découvre de nouvelles facettes des personnages, comme par exemple le fait qu'un des huit grands tengus est ... marié, et oui !

Nous ferons d'ailleurs connaissance de sa femme, qui est un petit coup de coeur pour moi. Elle est trop adorable ! >.
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L'attirance entre Kyô et Misao devient vraiment intense, et la tentation tout aussi forte.

Malheureusement, la peur est grande également, car que se passerait-il si ils osaient passer le pas et faire l'amour ? L'union charnelle entre un démon et la senka ne doit sûrement pas être sans conséquences !

Bien que Dôjôji soit prêt à révéler les secrets du senkaroku, il n'en connait que la première moitié, et elle ne contient pas assez de réponses.

Le couple essaie tant bien que mal d'avoir une vie normale, mais des chamboulements vont vite faire leur entrée.

Le meilleur ami de Kyô fait surface, mais au lieu d'être source de joies, l'arrivée de celui-ci est plutôt porteuse de grands malheurs.

De son côté, Misao fait la connaissance d'une fille étrange mais avec qui le courant passe directement, il faut dire qu'elles ont tellement de choses en commun !

Dommage que leur amitié soit impossible et source de grandes tensions ...



Premier réflexe en voyant la couverture ? "Ho tiens, elle ne pleure pas !"

*regarde de plus près*

"Ha ... ha ben si ...*

Je sens que je vais devenir obsédée par la présence (ou pas) des larmes de Misao sur les couvertures



Bon, mais à part que c'est toujours une chialeuse ? me demanderez-vous.

Et bien j'ai particulièrement aimé ce tome.

On fait une vraie plongée dans les sentiments des personnages, et en particulier ceux de Kyô.

On aperçoit des faiblesses chez le démon et on commence à prendre pleinement conscience de la force de ce qu'il éprouve pour Misao.

L'arrivée du meilleur ami de Kyô est un moment tendre et fort à la fois, et le destin tragique qui unit les deux démons est très retranscrit, ça m'a vraiment beaucoup touchée, certains dessins dégageant des émotions fortes.



De son côté, Misao est maintenant sûre de son amour pour le tengu, et elle se pose des questions sur leur futur en tant que couple.

Après le mariage, comment cela se passera ? Pourra t-elle encore voir sa famille ? Pourront-ils avoir des relations sexuelles normalement ? Et leurs enfants, ils seront métisse ?

Beaucoup de questions, mais la jeune fille devient de plus en plus résolue à faire sa vie avec Kyô, et à faire de grands sacrifices pour lui.

Elle fait preuve d'une force d'esprit dont on ne la croyait pas capable et s'affirme plus au fil des pages.

Voilà qui fait du bien à voir !



Le scénario en lui-même n'a peut-être pas beaucoup bougé dans ce tome, mais l'arrivée de nouveaux personnages et l'évolution de Misao et Kyô en font un tome puissant et émouvant que j'ai lu avec énormément de plaisir.

Suite des aventures de ce couple entouré de dangers le premier juin !
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Je ne sais pas trop pourquoi j'ai été attirée par ce manga à la base.



La couverture n'est pas sublimissime, le sujet de la cover est assez cliché et le résumé a un petit goût de déjà-vu.



Pourtant, après feuilletage, je ressort de la boutique avec ce tome dans le sac, curieuse de savoir ce que ça va donner.



Et bien je ne suis pas déçue !







Misao est une jeune fille qui peut voir les esprits depuis toujours. Elle n'en a jamais parlé à personne, voulant surtout être normale, tout simplement.



Seulement, depuis quelques temps, les apparitions de yôkaï (esprits du folklore japonais) se multiplient, et ils deviennent agressifs, alors qu'avant ils n'étaient que farceurs.



Ca l'a fait d'autant plus penser à son ami d'enfance, perdu de vue depuis 10 ans.



Lui seul connaissait son secret. Et, en plus, il arrivait à éloigner ces esprits moqueurs.



Le jour de son anniversaire se révèlera être le pire de sa vie. Ou, peut-être le meilleur, grâce à l'arrivée de ce sauveur dont le visage lui dit vaguement quelque chose ...







Donc, comme dit plus haut, on dirait quand même un peu du réchauffé.



Et pourtant, ça fonctionne !



Grâce à un subtil mélange d'histoire d'amour fleurant bon l'eau de rose sans tomber dans le trop mièvre, de l'humour qui fait mouche, et une touche de sensualité sans pour autant en faire trop.



Les dessins ne sont pas les plus formidables que j'ai vus, mais ils restent très beaux et très agréables, donnant, par exemple, de très jolies expressions faciales.







Pour l'instant, au bout d'un tome seulement, je ne peux pas vous dire grand chose sur la psychologie des personnages. Misao est un peu fade, ça fait donc du bien de la voir s'énerver de temps !



Kyô, c'est l'archétype du mec ténébreux-mystérieux-trop classe-sexy. Ce qui est bon, ici, c'est qu'il peut être un vrai gros boulet ! Les rateaux qu'il se prend sont assez jubilatoires et très drôles.







C'est donc pour moi une surprise bien sympathique, dont j'ai hâte de suivre l'évolution.







A noter que cette série a reçu le Prix Shojo Shogakukan en 2009 et qu'elle est régulièrement classée dans les meilleures ventes shojo au Japon.


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Ce manga est une lecture parfois agréable, mais qui manque de finesse sur certains thèmes. J'aurais préféré plus d'approfondissement dans les relations et la constructions des personnages. Akane ne peut pas évoluer en vue de la possessivité des deux hommes qui l'accompagnent et qui l'étouffent. Pourtant, j'aime beaucoup ce personnage qui pourrait vraiment être approfondi et complexifié. Au contraire, on met beaucoup trop en lumière les personnages masculins. Du point de vue de l'intrigue, La courtisane d'Edo est un manga assez immersif. On a vraiment envie de connaître la suite et les révélations concernant le meurtre des parents d'Akane.



Hélas, un passage dans ma lecture m'a vraiment posé problème. Le baiser forcé est littéralement une agression. Je comprends qu'on parle du quartier des plaisirs et des violences faites aux femmes. Mais le sujet ne revient même pas dans la suite du tome. Cela n'a rien de romantique de forcer une jeune fille de seize ans à être embrassé de force.

C'était une parution que j'attendais beaucoup de découvrir mais finalement je suis un peu déçue de cette lecture. J'ai vraiment pas autant accroché que ce que j'aurais aimé. Je me suis même retrouvé à avoir envie de dormir ou poser ma lecture tellement j'étais pas dedans.



Le mystère n'est pas assez présent à mon goût. Par exemple la scène où elle fait boire Mitsuhashi pour avoir des informations aurait été intéressante à voir du point de vu de Akane et non pas voir seulement sa réaction après ce moment. De façon générale je trouve la protagoniste trop passive et elle est franchement pas aidé par Riitchi et Sosuke qui se battent pour la sur-protéger.



La romance va BIEN trop rapidement. On est au tome deux Sosuke est déjà à fond sur elle et est super possessif avec elle. Je trouve d'ailleurs Akane pas très intéressante, je comprends pas pourquoi Sosuke est intéressé par elle hormis sa beauté.



Pour le moment je suis mitigée j'attends de voir la suite.

Me voici de retour avec une chronique de ce troisième tome de La Courtisane d’Edo. C’est un réel plaisir que de retrouver ces personnages auxquels je commence à m’attacher.



Ce tome se passe peu de temps après les événements du précédent. Akane se rend compte qu’elle éprouve des sentiments de plus en plus intenses envers Sôsuke, mais se refuse à penser que ce soit un sentiment amoureux. Les deux personnages jouent au chat et à la souris, ne sachant pas vraiment ce que souhaite l’autre, provoquant quelques petits quiproquos.



Sôsuke découvre aussi qu’Akane n’est pas venue à l’Akebonorô pour que sa liberté soit rachetée, bien qu’il n’en sache pas (encore) la raison. Le jeune homme insiste tout de même, jusqu’à ce que Riitchi lui dévoile ses véritables intentions. Il lui annonce dans la foulée que s’il l’aide à arriver à ses fins, il ne pourra jamais se marier avec Akane car le fossé entre leurs deux castes est trop grand. Akane est de la noblesse militaire et Sôsuke est fils de marchand, une relation qui semble vouée à l’échec.



Mais la vie à l’Akebonorô est aussi l’occasion pour Akane de se faire une nouvelle amie et alliée : Aoï-san, une autre courtisane de la maison close, dont les parents semblent avoir été victime de la même supercherie que ceux d’Akane. La jeune fille fait aussi la rencontre de Sakitchi, l’amant d’Aoï, qui lui sera d’une aide précieuse par la suite.



Ce tome permet de voir de voir de quelle manière évolue la relation entre Akane et Sôsuke. Il permet aussi de rencontre des personnages qui vont avoir une certaine importance par la suite. L’intrigue continue à évoluer et à placer des éléments qui auront, je pense, de l’importance au fil des tomes. Affaire à suivre !
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Comme dit dans la chronique précédente, je fait des chroniques tome par tome pour cette série car il se passe énormément de choses à chaque nouveau tome et qu’il est donc plus simple pour moi de procéder ainsi. Il y aura donc des risques de spoiler à partir de cette chronique. Ce second tome est dans la lignée du précédent, tout aussi immersif et intriguant.



L’intrigue se passe juste après la fin du premier tome, il semble qu’Akane soit victime du harcèlement de certaines courtisanes qui ne voient pas d’un bon oeil qu’elle soit mise sous la protection d’Asakeno, l’une des courtisanes les plus prestigieuses, alors qu’elle vient à peine d’arriver à l’Akenoborô.



Riitchirô lui fait aussi part d’un marché qu’il a conclut avec avec Sôsuke pour la protéger, malgré le fait qu’il semble la détester. Mais les choses semblent être bien plus complexes car Sôsuke se montre d’une extrême gentillesse envers elle quand ils se retrouvent tous les deux. Ils passent leurs temps à se taquiner mais on peut déjà entrevoir leur relation évoluer un petit peu : Sôsuke vient toujours en aide à Akane dans les moments difficiles.



Akane semble aussi avoir quelques problèmes à venir avec Yukari, l’autre jeune courtisane qui a participé à la parade d’Asakeno avec elle, qui à l’air d’enfin la prendre au sérieux en tant que rivale. A voir comment les choses vont évoluer de ce côté-là.



Dans ce tome, on en apprend un peu plus sur le fonctionnement des maisons closes et la manière dont les courtisanes divertissent leurs clients. D’un autre côté, on apprend à mieux connaître Sôsuke et les raisons qui le mènent à aller de maison close en maison close : le jeune homme est bien moins volage qu’il n’y paraît en réalité.



Ce second tome de La Courtisane d’Edo est dans la lignée du premier : on prend plaisir à suivre les intrigues au sein de la maison close de l’Akenoborô et voir évoluer les relations entre les personnages. C’est une série shôjo historique qui fait partie des valeurs sures à mon sens.
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C’est mon amie Julie du webzine Songe d’une nuit d’été qui m’a fait découvrir cette série en me prêtant les 5 premiers tomes, et elle a tapé dans le mille car j’ai beaucoup aimé ce début de série ! Je prend le parti de faire une chronique par tome car il se passe beaucoup de choses et il me semble donc plus pertinent de procéder ainsi.



L’intrigue se passe au Japon d’Edo, dans le quartier des plaisirs. Akane est une jeune orpheline issue de la noblesse militaire, qui a vu ses parents se faire assassiner. Elle décide de rejoindre la maison close l’Akebonorô pour retrouver le meurtrier, ainsi laissé pour seul indice à Akane la vision d’un tatouage en forme de demi-lune. La jeune fille va alors devoir apprendre les codes d’un nouvel univers qui s’ouvre à elle.



Lors de sa recherche d’un nouveau client suite à une directive d’Asakeno, sa future soeur instructrice, elle fait la rencontre de Sôsuke Ômiya, le fils d’un riche marchand qui va très vite lui en faire voir de toutes les couleurs et semble la détester d’office. L’ancien serviteur d’Akane, Riitchirô, sera aussi de la partie, prêt à tout pour la protéger et l’aider au mieux dans sa quête.



Je pense qu’il est intéressant de suivre l’histoire depuis une maison close, lui intime et public à la fois dans lequel beaucoup de secrets peuvent être révélés. Sans compter sur les relations entre courtisanes qui peuvent parfois être difficiles car c’est un milieu très compétitif.



Ce premier tome de La Courtisane d’Edo sert avant tout à poser les bases de l’intrigue. On apprend à connaître Akane et jusqu’où va sa motivation. Mais aussi quels seront les personnages importants par la suite et les divers liens qui les unissent. Si ce premier tome m’a beaucoup plu, la suite est tout aussi plaisante à lire !
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Ainsi s'achève après 12 tomes La courtisane d'Edo avec un happy end après tant de déboires et de tristesse à son origine. L'amour triomphe et nous fait entrevoir un beau futur. De beaux graphismes avec un grand plus pour les costumes. Des personnages attachants qu ils soient principaux ou secondaires avec souvent de l'humour. Un clap de fin qui ne déçoit pas pour une série qui a su dans l ensemble rester captivante jusqu'à son dénouement.

Nakamura niant toute implication dans la mort des parents d'Akane, la réhabilitation de son nom et de sa famille n'est toujours pas possible. Cela laisse encore une chance à son amour avec Sôsuke ... Mais qui est donc le véritable coupable ? Le moment des révélations et des trahisons est proche avant la fin de la série

Dans ce tome, qui est toujours une relecture, on en apprend davantage sur le clan de kyo et son passé avec misao. C'est toujours beau graphiquement. Je vais relire la suite parce que j'ai hâte de redécouvrir le développement du scénario et de la romance ^^

C'est une relecture. La couverture est très jolie, elle attire l’œil. J'ai beaucoup aimé ce premier tome qui pose les bases de l'histoire. Il y a de l'action, du suspense, c'est prenant. J'ai hâte de lire la suite pour voir la romance entre Misao et Kyo se développait ainsi que le reste de l'histoire.

Une série originale servie par un trait très soignée, qui saura passionner ses lecteurs.


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