Karine Giebel

Karine Giébel, qui avait déjà aiguisé ses instruments de torture dans Juste une ombre, prend un plaisir tellement sadique à faire souffrir ses personnages que Purgatoire des innocents ressemble plutôt à un long séjour en enfer. Accrochez-vous à vos estomacs !
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Un thriller puissant à découvrir d'urgence!!
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Superbe du début à la fin.

Très bonne écriture, très bien rythmée avec des phrases très courtes pour accélérer le rythme

Très bon livre haletant

J'ai vraiment adoré ! Je l'ai dévoré en 3 jours !

Pas mal mais je préfère les romans de K. GIEBEL.

Le premier mot qui me vient à l'esprit est CAPTIVANT !!! le polar n'est pas vraiment mon genre préféré mais là j'ai été vraiment surprise. Impossible de me détacher du livre j'en ai même négligé mon ménage !!! Quel suspense ! tout le monde est suspect On se prend à émettre des hypothèses comme Gomez ! on espère un rebondissement jusqu'au bout ! à conseiller vivement

Je ne suis pas douée pour les critiques mais je me dois d'en laisser une.

Je n'ai jamais lu un livre si horrible, cruel et prenant.

Il faudra un temps pour s'en remettre, apprécier de nouvelles lectures...

Du haut niveau dans la souffrance, la folie et la manipulation...

Suffoquant.

Karine Giebel nous offre deux petites nouvelles plutôt bien ficelées bien que les dénouements restent assez prévisibles.

Très agréables à lire.

Depuis le Voyage au Bout de la Nuit, de Céline, je n"avais jamais plus eu un tel choc. Incomparable talent que cette Karine. Il faudra la "déclasser" d'auteur de policiers en écrivain classique.

Terrfiante, la première nouvelle. La seconde va encore me plaire....K. GIEBEL se pose en maître (maitresse ?) du genre policier (déjà, son premier livre était "very Delicius") à l'égal d'un Michaël Connelly pour le suspense mais avec des personnages bien plus profonds et un style d'écriture dont on sait qu'il lui appartient (Connelly est traduit)..

Dur, exceptionnel, effrayant, gênant, captivant, paralysant ...

Impossible de le lâcher, malgré la violence parfois tue, parfois crue de certaines scènes.

Roman rare !

Pour public averti, cœurs bien accrochés et habitués aux lectures du genre ...

Bien, quelques passages redondants qui rallongent l'histoire et la descente aux enfers de Marianne

Je n'étais pas certain de vouloir embarquer dans ce roman, à cause de l'intrigue. J'avais peur de me retrouver dans un genre de Misery ou une réplique des sept jours du talion (de Patrick Sénécal). Dès les premières pages, j'ai bien compris que non! Karine Giebel a vraiment son style! J'adore! Il s'agit ici d'un roman tout de même court: moins de 200 pages. Mais quelles 200 pages!! J'en suis sorti essouflé.

Karine Giebel excelle dans l'art de plonger encore plus profond dans l'horreur au fil du récit. On part de braqueurs de bijouterie en fuite avec un blessé qui trouvent refuge ... chez un pédophile psychopathe et meurtrier. Le lien entre les deux affaires est la vétérinaire, victime du pedophile, sa prétendue femme, et qui soignera le blessé. L'histoire tourne autour du couple Raphael (le "chef" du gang des braqueurs) et de cette vétérinaire qui se réveille de son rôle de victime en retrouvant des sentiments à son contact.

Le style est rapide, presque télégraphique parfois, ce qui augmente le récit percutant de cette histoire que l'on a du mal à lacher avant la fin. Des flash-bach sur l'enfance des 2 frères (Raphael et William) émaillent le récit et rendent compréhensible le geste final de Raphael à la toute fin du livre.

oulà, c'est le 2e que j'ai lu de cette auteure, j'étais pas tout à fait convaincue par le précédent, mais celui-là est vraiment bien, il fait peur même, à lire !

Les 2 histoires sont interessantes,j'ai eu une petite préférence pour la première où une actrice de cinéma hérite d'une maison d'un grand fan.Dans la seconde,la fin m'a un peu déçue.2 petites nouvelles qui se lisent très bien.

Le premier roman de Karine Giebel lu (ou plutôt gobé). Un récit rythmé, qui entraine le lecteur dans un univers violent et cruel. J'ai à la fin de ma lecture été à la limite du dégout, le fait de lire le roman très rapidement a dû accentué ce phénomène.

Une très bonne découverte quand même, et une lecture que je ne regrette pas!

Un thriller en tous points magistral !

Pas mal

Une de mes meilleures lectures

A l’instar de Mo Hay­der, dont cer­taines des­crip­tions dans Bird­man m’avaient fait fris­son­ner, Karine Gie­bel, à tra­vers cer­taines scènes de tor­tures phy­siques ou morales, pousse encore plus loin l’horreur. On en vient presque à sou­hai­ter que le cal­vaire des pro­ta­go­nistes, aussi atta­chants que dan­ge­reux, s’achève d’une balle dans la tête, d’une injec­tion létale ou de tout autre moyen qui appor­te­rait une fin rapide et plus que méritée.

Cette petite pro­me­nade au pays de la tor­ture m’a amené à décou­vrir un nou­vel auteur fran­çais, Karine Gie­bel, dont un autre de ses romans « Meurtres pour rédemp­tion » va encore me faire repous­ser ma reprise du trône de fer. Tant pis, il faut ce qu’il faut.
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