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Critiques de Karine Giebel (7179)
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Toutes blessent la dernière tue

Le livre le plus puissant, inquiétant, triste, malsain, malaisant et addictif sue j’ai jamais lu,. De la souffrance de la première a la dernière page… J’aurais vraiment aimé qu’il finisse autrement… A lire absolument et se préparer au coup psychologique….
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13 à table ! 2023

Le thème de cette année 2023 m'a plu: la planète.



Celle sans qui nous ne serions pas là, celle que nous faisons souffrir...



La nouvelle qui m'a le plus touché est sans hésitation celle de Karine Giebel qui met en avant les massacres des peuples vivant dans la forêt amazonienne.
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Les Morsures de l'ombre

Mon deuxième Giebel après le saisissant "Toutes blessent, la dernière tue".



Karine, j'aimerais bien comprendre. Comprendre pourquoi tu en veux autant à tes personnages. Pourquoi tu les malmènes à ce point.



Bon certes, Benoît, le personnage central de ces "Morsures de l'ombre", n'est pas vraiment un mec exemplaire. Disons qu'il aime beaucoup les femmes, et qu'elles le lui rendent bien. Ce qui ne poserait aucun problème s'il n'était pas marié (et père de famille). À part ça, il est flic, et a l'air plutôt "normal" si on met de côté les énormes cornes que sa femme a sur la tête.



Et c'est une femme (une magnifique rousse), qui va lui faire vivre un calvaire innommable pendant les presque 300 pages de ce roman. Et, croyez-moi, "calvaire" est un mot bien faible pour qualifier ce que va endurer notre super flic Don Juan.



Un roman assez court, que j'ai dévoré en un jour. Giebel sait comment tenir ses lecteurs en haleine. On se demande pourquoi Benoît est séquestré par cette femme, et les réponses arrivent au compte-gouttes. C'est percutant, efficace et d'une noirceur qui ravira les amateurs du genre. Si vous préférez les feel-good, il faudra regarder ailleurs.



Petits bémols : j'ai trouvé certains personnages assez caricaturaux. J'ai été légèrement déçu par la fin, trop rapidement expédiée à mon goût.
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Et chaque fois, mourir un peu, tome 1 : Blast

Dans son dernier roman, Karine Giebel est allée encore plus loin que ce que je pouvais imaginer. Elle a su allier fiction à réalité, en nous parlant de conflits, de guerres...



C'est aux côtés de Grégory que nous sommes transportés au plus proche de la folie des Hommes, que nous allons rencontrer de nombreuses situations plus révoltantes les unes que les autres, des personnages plus touchants les uns que les autres....

Grégory apporte beaucoup à ce roman par ses convictions, par son altruisme, son combat contre l'injustice!

C'est un roman d'une qualité incroyable, qui m'a fait vivre mille émotions. Il m'a touché bien plus que tous les autres romans de l'auteure tant il est criant de réalisme, tant il nous parle d'événements dont on a tous entendu parler...



On voit toutes les recherches que Karine Giebel a effectué pour ce roman, on y voit sa plume merveilleuse qui allie chacun de ces événements à une émotion palpable.



Je ne peux que vous recommander ce roman, tous comme tous les romans de l'auteure! ❤️

Elle sait nous transporter aux coins les plus sombres des êtres humains, au cœur des tourments les plus intenses...
Lien : https://www.instagram.com/p/..
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Glen Affric

On ne présente plus Karine Giebel, elle s'est clairement imposée comme une référence en matière de thriller !

Elle a réussi la prouesse d'écrire un roman de plus de 750 pages que l'on ne voit pas défiler. Son écrire est fluide, les personnages sont intéressants, travaillés, attachants, les sujets abordés génèrent des émotions fortes.

J'ai été émue par l'amour entre les personnages, qu'il soit entre frères ou filial, j'ai été écœurée par la violence, l'injustice, j'ai souri parfois, j'ai eu les larmes aux yeux à d'autres moments.



J'avais déjà envie depuis quelques années d'aller visiter l'écosse, mais je crois que cette lecture va rendre l'envie plus pressante.

Ce qui est sûr c'est que je n'ai pas vu ces deux jours fériés passer, moi aussi j'étais à Glen affric.



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13 à table ! 2024

Nouvelle mouture de 13 à table. C'est le onzième ouvrage de la série. J'ai commencé par la lecture de Le nouvelle de Philippe Besson. Et puis je me suis arrêté. J'ai mis du temps à m'y remettre. La nouvelle est pourtant un style que j'affectionne.

Cette saison encore, j'ai retrouvé des écrivaines et écrivains récurrents de la série. C'est toujours un plaisir de découvrir la manière dont ils auront traité le sujet, en l'occurrence cette année, J'ai 10 ans.

Finalement de l'ouvrage de cette saison, la nouvelle de Michel Bussi, j'ai 10 ans... demain, sort haut la main du lot. Elle m'a bouleversé. C'est ma préférée et elle me marquera longtemps. Même si elles n'arrivent à la hauteur de l'émotion que m'a procurée celle de Michel Bussi, je citerai néanmoins celles de François d'Epenoux, Karine Giebel, Agnès Martin Lugand et Romain Puertolas.
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Et chaque fois, mourir un peu, tome 1 : Blast

Mon deuxième Karine Giebel en un mois, je carbure! Toujours séduite par le style fluide et les persos extrêmement travaillés, je suis restée dubitative devant l’intrigue ou plutôt devant son absence. J’ai eu l’impression de lire un témoignage fictif sous forme de roman noir plutôt qu’un thriller… Pas une catastrophe en soi mais ce n’est pas vraiment ce à quoi je m’attendais!



On suit Gregory, un infirmier du CICR confronté aux pires horreurs de la guerre mais aussi à des tragédies personnelles. De la Tchétchénie à Gaza, en passant par le Kivu, c’est un florilège d’atrocités auxquelles assiste le lecteur - et le héros - quasi impuissant. Ça laisse sa marque évidemment.



Je n’en resterai pas là avec cette autrice, j’aime beaucoup sa plume et j’ai adoré « Glen Affric » . Je lirai même certainement le tome 2 à sa sortie parce que, bon, un suspense comme ça en fin de roman c’est pas possible. Dommage que j’ai eu tout du long l’impression d’attendre des rebondissements qui n’arrivaient pas…



Notons par ailleurs l’excellente interprétation de Thierry Blanc pour l’audio . Rien à redire, tout colle parfaitement!
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Glen Affric

Des innocents et des monstres, des existences cloisonnées, étouffées et méprisées et pour horizon un seul espoir, Glen Affric. Peut-être y vivre un jour pour l’éternité…



Me voici , noyée d’émotions, en deuil d’un récit dont j’ai ressenti chaque coup et où les mots ont été à la fois des blessures profondes et des baumes les apaisant. Jorge, Léonard et Angélique sont de ces héros tragiques broyés par la cruauté humaine que l’on oublie jamais tant leurs douleurs physiques et psychologiques percutent nos sens. Le goût de l’injustice est amer et pourtant c’est l’amour sincère qui transcende ce roman. Il y a de la virtuosité dans cette écriture « sur le fil » qui malgré une tension constante parvient à distiller l’humanité et la bienveillance au travers de personnages hors normes qui nous plongent dans des souvenirs littéraires et cinématographiques percutants.



Plus qu’un thriller, Glen Affric est une œuvre admirable et profonde où l’innocence est à la fois lumineuse et désarmante.
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Et chaque fois, mourir un peu, tome 1 : Blast

🌺Et chaque fois, mourir un peu🌺 de Karine Giebel

- 474 pages - 22,00€



Grégory est infirmier et passe la majeure partie de sa vie dans les pays en guerre au détriment de sa propre famille qu’il aime plus que tout au monde.



Mais c’est un devoir pour lui d’aider les gens dans la misère, délaissés, qui ont tout perdu.



Du Rwanda au Sénégal, du Congo à Gaza, il soigne les blessés, les femmes violées et violentées, les enfants mutilés, il déplace des cadavres pour qu’ils soient enterrés dignement.



Il voit des horreurs tous les jours, il rassure, donne un sourire, un bonbon, un jouet. Il entend des cris, des pleurs et des hurlements. Il berce et console.



Quelques retours en France, puis il faut qu’il reparte pour se sentir utile, vivant.



Ses nuits sont peuplés de cauchemar, vient la peur de s’endormir pour se réveiller en pleurs, trempé de sueur.



Choisir

Toujours choisir

Qui va mourir et qui on va soigner

Rester debout pour sauver des vies

Rester debout pour sa famille

Rester debout pour ne pas s’endormir au risque d’être hanté par des images

Ne pas devenir fou

Accepter de lâcher prise, de pleurer



Comment accepter toutes ces horreurs ?

Comment l’être humain peut être aussi INHUMAIN ?

Comment peut-il se regarder dans une glace après ?



Un livre glaçant, déstabilisant et touchant.



Karine Giebel s’est bien documentée pour faire ce bijou d’horreur dans la conscience de l’homme.



Des personnages tellement attachants qu’on n’a pas envie de les laisser seuls sur le chemin.



Hâte d’avoir la suite entre mes mains.
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13 à table ! 2024



Déjà 10 ans que des auteurs se réunissent pour produire un recueil de nouvelles au profit des Restau du cœur.

Naturellement, le thème retenu est « j’ai 10 ans ».

C’est donc autour du thème de l’enfance que se déroulent ces textes de qualité plutôt homogène.

Allier la bonne cause à la bonne lecture : que demander de plus ?

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Satan était un ange

SATAN ETAIT UN ANGE de Karine Giebel

Lorsque le neurologue annonce à François Davin, avocat d'affaires lillois renommé, qu'il a une tumeur au cerveau non opérable celui-ci part de chez lui, quittant travail et domicile dans la journée sans explication à qui que ce soit.

Son road movie va le mettre sur le chemin de Paul, un autostoppeur embarqué à Lyon. Ce jeune homme quitte d'urgence la ville pour des raisons que François ne peut imaginer. La rencontre fortuite de deux êtres diamétralement opposés va changer le cours de leur vie. Ce drôle de duo va sillonner la France et vivre des événements d'une violence inouïe mais ils restent proches se soutenant mutuellement, partageant leurs peurs et leurs blessures pour tenter de s'en sortir.

Un roman noir aux personnages attachants dont les sentiments prennent le lecteur aux tripes tant l'histoire est prenante et le style fluide fait tourner les pages à toute vitesse.

Le suspens est maintenu jusqu'au bout bien que l'histoire au final soit plutôt banale.

Une écriture superbe qui donne envie de lire d'autres titres de l'auteure.
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Et chaque fois, mourir un peu, tome 1 : Blast

Depuis le temps que je voulais lire le nouveau livre de l'auteure, encore un énorme coup de cœur, plus j'avançais dans l'histoire plus j'étais à fond dans l'histoire si prenante, émouvante, addictive mais à la fin quel cliffhanger!!!! Vivement la suite.



On y retrouve Grégory qui travaille pour la Croix-Rouge internationale, il se bat pour sauver les gens, sauf qu'il va prendre pas mal de risques même trop jusqu'au jour où tout va basculer.



Vous aimez les combats de la Croix-Rouge pour sauver l'humanité, les thrillers, le policier, la plume de l'auteure si addictive, je ne peux que vous recommander ce livre.
Lien : https://myreadbooks.over-blo..
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Glen Affric

Les personnages ne peuvent que laisser des traces dans notre mémoire : Jorge, Léonard et Angélique. Tous les unis la force du coeur, la force du sang... et pourtant chacun baigne dans ces malheurs.

Entre le grand coeur et la souffrance ....

Entre l'empathie et la fatalité...

L'histoire est très bien menée, et même si le nombre de pages peut paraître grandiose, cela se lit très bien et on a pas l'impression de lire des pages pour rien, c'est très fluide. Plus un roman noir qu'un thriller.

Je m'attendais pas du tout à cette fin.
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Glen Affric

Excellent roman noir, Karine Giebel a le talent de nous faire ressentir beaucoup d'empathie pour les personnages principaux. Les thèmes abordés sont très intéressants et actuels. Le fait que le personnage principal ait un handicap mental est une première dans mes lectures. Petit avertissement, personnes sensibles s'abstenir
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Et chaque fois, mourir un peu, tome 1 : Blast

Le nouveau roman de Karine Giebel est enfin arrivé, et s’il surprend et divise, il ne laisse pas indifférent.



Ce récit est une immersion dans l'horreur et le réalisme brut des zones de conflit à travers les yeux de Grégory, infirmier pour le Comité international de la Croix-Rouge. Il voyage à travers les régions en guerre, soignant les blessés, vaccinant les enfants, et apportant un peu de réconfort. Lors d'une mission en Tchétchénie, il croise le chemin de Zina et de son fils Anton. Après un drame personnel qui le marquera à jamais, il tombe amoureux de Zina et la ramène en France avec son fils.



L'auteure réussit à capturer avec une précision troublante la barbarie de la guerre et les conséquences psychologiques dévastatrices sur les victimes, qu’elles soient collatérales ou non.

Au fil de l'histoire, Grégory évolue dans un monde où la mort et la souffrance sont omniprésentes, où chaque geste de compassion est un acte de résistance face à l'inhumanité. Son parcours est un témoignage bouleversant du courage et de la détermination des travailleurs humanitaires qui consacrent leur vie à soulager les souffrances des autres, souvent au péril de la leur.



Ce roman sombre explore des émotions puissantes qui ébranlent tout le monde, y compris le lecteur. L'auteure brosse un tableau complet de la brutalité humaine, des Balkans à l'Afghanistan en passant par l'Afrique.



J'ai apprécié l’hommage au Dr Mukwege, héros qui lutte contre les mutilations génitales en RDC.

Grégory porte en lui une souffrance palpable, cherchant dans chaque mission un sens à sa propre tragédie. Chaque mission laisse sa marque, s’ajoutant aux cicatrices précédentes. Chaque page est captivante par sa brutalité authentique.



Le 1er tome de cette série distille une tension qui monte crescendo, laissant planer le mystère, et appelant la lecture de la suite prévue pour l'automne 2024.



Blast, tels les dommages créés par l’onde de choc d’une explosion dévastant tout sur son passage. Invisibles mais bien réels, les stigmates des horreurs vécues entrainent Grégory vers la folie, le faisant à chaque conflit « mourir un peu ».


Lien : https://livrite.fr/et-chaque..
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Les Morsures de l'ombre

Lorsque Ben se retrouve prisonnier dans la cave d'une maison isolée après avoir porté secours à une belle jeune femme sur le bord de la route, il va tenter de comprendre ce que lui reproche sa geôliere. Est-il responsable de la colère de cette jeune femme perturbée ou n'est-ce qu'un malheureux malentendu?

Je découvre l'autrice Karine Giebel avec ce roman noir que j'ai dévoré en 2 jours. On se prend vite dans l'intrigue et on souhaite, autant que la victime, savoir pourquoi son bourreau le condamne aussi rapidement.
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Toutes blessent la dernière tue

Mon premier Giebel. On m’avait prévenue du style de l’auteure. Je n’ai pas été déçue. Moi qui voulait sortir un peu du thriller classique … Bonne expérience pour ce livre même si certaines descriptions de scènes de tortures sont tellement détaillées et longues qu’elles sont difficiles à terminer …. Je n’ai pas souvent souffert en lisant, la oui. Malgré tout une intrigue intelligente qui nous fait tenir et un dénouement qu’on imagine pas… Thriller d’une intensité folle, il faut avoir le cœur bien accroché.

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Et chaque fois, mourir un peu, tome 1 : Blast

Tout d'abord merci aux éditions Récamier pour ce #servicepresse .

Nous faisons la connaissance de Grégory jeune infirmier dévoué à la cause humaine et qui a tellement ça dans le sang qu'il doit souvent laisser sa femme Séverine et sa fille Charlène.

L'horreur de la guerre nous ai raconter de 1992 à 2010.

Où la cruauté humaine bat son plein. Les militaires ne sont pas les seuls à être traumatismés sachez le .

Grégory va rencontrer beaucoup de personnes et connaître leur histoire. Sa rencontre avec Zona et son fils Anton qu'il adoptera.

Ici il est question de viols , mutilations , traumatismes etc ...

On voyage en Bosnie-Herzégovine , en Afghanistan , au Rwanda , au Congo etc ...

Je ne vous en direz pas plus pour ne pas spoiler l' histoire.

C'est un roman trash , palpitant et immersif.

Encore un très bon Karine Giebel qui m'a fait couler des larmes.

La seule chose qui m'a gênée c'est la description du personnel soignant en France qui soit disant malmene les patients, sachez que pour être dans ce milieu que cela reste une minorité car ce métier on le fait par plaisir , mais surtout pas vocation, passion et dévouement !
Lien : https://www.instagram.com/le..
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Purgatoire des innocents

Du vrai Karine Giebel, mais la c’était trop pour moi. Je n’ai pas pu aller au bout tellement la cruauté et le vice des personnages sont abjectes. Outre les scènes gores et autres meurtres, il y a dans ce livre un aspect qui dérange car il touche à l’innocence de l’enfance, l’impuissance du lecteur est insupportable.
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Glen Affric

Ma dernière expérience avec Karine Giebel fut la lecture de "Juste une ombre" dont les cinquante dernières pages m’avaient glacé le sang.



Aussi l’occasion de me plonger dans cette nouveauté poche était-elle trop tentante !



L’expérience fut tout autre. Non pas qu’elle fut de moins grande qualité mais le côté thriller y fut nettement moins présent car on est ici plus proche du roman noir traditionnel.



Une petite originalité tout de même : l’influence du roman de Steinbeck, "Des Souris et des hommes". En effet, le couple au centre du roman, Jorge et Léonard, sont les dignes héritiers de George et Lennie. A la différence près tout de même qu’aucun de nos deux héros n’échappe à une sorte de fatalité quasi racinienne. En effet, Karine Giebel ne déroge pas à sa règle habituelle : tout héros qui se respecte se doit, malgré tous ses efforts, de connaître une fin dramatique. Et ici, on doit avouer que le dénouement s’avère tout aussi triste que poétique. Je l’ai d’ailleurs pour ma part vécu avec un petit pincement au cœur.



Eh oui ! Car l’auteur nous fait un temps espérer que les choses pourront s’arranger, au point qu’on finit par y croire en tournant avec frénésie les pages dans le but d’y découvrir la lumière.



Mais voilà, Karine Giebel est et restera Karine Giebel. Certains le regretteront, d’autres comme moi continueront à espérer la fin de l’expiation de l’un de ses héros.

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