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Critiques de Karine Giebel (7133)
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13 à table ! 2024

Pour connaître de nouveaux auteur c'est bien aussi

J'ai découvert François d' epenoux ainsi et je viens de lire quasi tou ses livres mon préféré c'est le vieux.....

Par contre des auteurs que vous aimez bien peuvent vous décevoir mais 5€ un livre avec une bonne action qd vs prenez le train c'est mieux qu'un magazines et ensuite vous le donnez,je ne garde plus aucun livre ,je fais tourner prêt, don boîte à livre.
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Purgatoire des innocents

Wow quel roman! C'est mon 2e roman que je lis de cette auteur. Quand on commence on est plus capable d'arrêter de lire. C'est très bon mais en même temps très difficile à lire. Il y a beaucoup de violence et c'est quand même trash comme livre. J'ai adoré et je vais en lire d'autres assurément.
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Et chaque fois, mourir un peu, tome 1 : Blast

Karine Giebel est une écrivaine qui aime pousser les curseurs au maximum. Elle fait tout son possible pour que chacun de ses romans laisse des traces dans notre esprit. Même si ses propositions sont variées, jusqu’à présent, je peux dire que qu’elle a toujours atteint ses objectifs avec moi !



Pour ce premier des deux volumes de « Et chaque fois, mourir un peu », elle nous fait partager le quotidien chaotique d’un infirmier engagé dans l’aide internationale. Il nous fait voyager vers des contrées variées où les conflits font rage : Rwanda, Tchétchénie, Congo, Colombie… Sur place, l’immersion est totale. On perçoit à travers ses yeux, la misère, la détresse des victimes collatérales et la cruauté des belligérants. Il apporte avec ses collègues une forme d’humanité dans ces endroits où elle semble avoir complètement disparue.



Dans ces différents romans, l’autrice essaye de nous pousser dans nos retranchements, d’ébranler nos certitudes, de mettre à mal nos émotions, de nous mettre face à l’indicible, de nous révolter contre les injustices. Elle réussit une nouvelle fois à combiner tous ces composants dans ce texte. Grâce à son style accessible et efficace, les pages se tournent facilement alors que la lecture s’avère terrible. Chaque scène nous met face à des monstruosités plus inhumaines les unes que les autres.



Sur toute la durée de roman, j’ai trouvé que les allers retours de Grégory étaient un peu répétitifs, mais c’était surement un mal nécessaire pour insister sur l’ampleur des drames qui secouent notre planète. Karine Giebel a frappé fort, comme d’habitude ! Elle m’a privé d’air, saisi aux tripes et écœuré tout au long de cette aventure. Je ne ressors donc pas indemne de cette lecture désespérante et oppressante dont la seule lueur d’espoir repose sur ces hommes et femmes qui vivent dans le seul but d’aider les autres.
Lien : https://leslivresdek79.wordp..
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Toutes blessent la dernière tue

Il y a des livres qui se lisent vite parce qu'on a hâte d'en finir.

Il y a des livres qu'on oublie aussi vite qu'on les a lu, parce qu'il n'y a pas grand chose à en retenir.

Il y a des livres qui se lisent facilement parce que l'histoire est légère.

Il y a des livres qui se lisent sans émotions parce qu'ils ne renferment aucune surprise.



Et puis il y a des livres dont vous vous souvenez très longtemps.



Toutes blessent, la dernière tue appartient à cette catégorie d'ouvrages qui vous prend aux tripes, vous emporte avec lui et ne vous lâche que lorsque vous tournez la dernière page.

Œuvre coup de poing malheureusement si proche de la réalité, le roman de Karine Giebel est à lire absolument : 700 pages d'une histoire sordide où des ordures côtoient des salauds...
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Et chaque fois, mourir un peu, tome 1 : Blast

Quelle écriture remarquable... Chaque page surprend, émeu , scandalisé, touche. Cette histoire raconte ce qu'il y a de pire et de meilleur dans l'humain. Livre indispensable.

Les situations décrites sont folles et pourtant réelles, ce livre nous permet de nous interroger sur des milliers de choses, quelles seraient nos réactions à la place de l'un ou de l'autre, fuir ou résister, se reconstruire ou couler..

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Et chaque fois, mourir un peu, tome 1 : Blast

Inutile de répéter l'amour que j'ai pour cette autrice ... Je crois que j'en ai assez dit sur elle, sur le pourquoi ses livres m'ont autant percuté. Depuis qu'elle a annoncé sur les reseaux sociaux la sortie de ce roman, j'étais à l'affut et quand le grand jour est arrivé, je me suis précipitée à ma librairie pour l'acheter ! Je me suis ruée sur ces pages et malheureusement elles ne m'ont pas transportées ... Quand mon ami m'a posé la question "c'est un thriller ? , il y a un gros méchant ? " je lui ai répondu oui le méchant dans cette histoire c'est la GUERRE ... Ce livre, c'est ça ... Les horreurs de la guerre à travers un personnage qui travaille pour la croix rouge.

On va d'horreur en horreur en se demandant combien de temps encore ça va durer ... Je vous avoue qu'après la 102 eme amputation, j'étais saoulée ... ! Ce livre est sans doute nécessaire pour qu'on ne banalise pas ces horreurs mais franchement ça m'a fait l'effet inverse ! Il y en a tellement que ça en devient "banal" ... Je lirai sans doute la suite car j'espère y trouver une chute plus "consistante" ... A suivre donc !
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Juste une ombre

Mon préféré de Giebel pour le moment ! Je l'ai trouvé réellement effrayant au début, quand on ne devine qu'à peine la réalité derrière l'ombre, qu'on doute comme les personnages de son existence ou non. Et puis, les deux personnages se rejoignent enfin, et la vraie enquête commence, c'est très prenant. Les deux persos principaux m'ont vraiment touchée, j'ai même versé ma petite larme au sujet d'Alexandre à plusieurs reprises. Tout le roman est merveilleusement bien dosé, je vais très probablement le conseiller à tout le monde.
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Et chaque fois, mourir un peu, tome 1 : Blast

L'imagination humaine est fertile, et quand il s'agit de conflits armés, elle permet toutes les horreurs.



Gregory est infirmier pour le CICR. Une vocation, un besoin de se rendre utile qui l'envoie dans tous les coins du monde où les exactions et les catastrophes l'appellent. Et ce n'est pas le travail qui manque. Un besoin de servir, mais aussi une malédiction qui le ronge petit à petit.



Un roman sans véritable intrigue, mais une approche psychologique des personnages réaliste et qui semble bien documentée. Un plongée dans le pire de l'âme humaine dont on ne sort pas indemne.
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Juste une ombre

Deuxième roman pour moi de Karine Giebel, et confirmation de son talent pour le suspense ainsi que pour la description de la souffrance et de la violence. J’ai beaucoup aimé, même s'il est vrai que parfois il y a des longueurs et des redondances. Toutefois, il m’est impossible de sanctionner cela dans ma note, tant l’œuvre est savamment écrite.
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Glen Affric

GLEN AFFRIC de Karine Giebel

Emprisonné depuis 16 ans, Jorge clame son innocence depuis le début de l'enquête l'accusant d'avoir tué son ancienne copine et son compagnon, son frère adolescent quant à lui subit à l'école les sarcasmes de ses camarades, qui l'appellent le "triso" car il est différent. Ces deux frères ne se connaissent quasi pas, pas plus qu'ils ne connaissent Angélique, maltraitée par son oncle devenu son tuteur à la mort de ses parents, pourtant leurs histoires sont intimement liées.

Pour échapper à l'enfer, chacun d'eux s'évade grâce au rêve afin de supporter sa situation. Pour Léonard, ce sera partir à Glen Affric...

Un roman choral avec trois personnages cabossés par la vie et dont le point commun est d'être victime sans aucune reconnaissance ni de la justice ni de leur environnement.

Un roman noir au suspens glaçant, thriller psychologique présentant une histoire magistrale et émouvante.

Un style fluide, des expressions et émotions intenses...

Bref belle découverte de cette auteure avec ce livre qui donne envie d'en lire d'autres.
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Et chaque fois, mourir un peu, tome 1 : Blast

Voilà un livre difficilement classable. Karine Giebel écrit des polars, des thrillers mais là, dans ce premier tome on est plus sur une fiction mêlée à des événements historiques (un peu comme Giacometti et Ravenne).



Côté fiction, Grégory est un infirmier qui travaille dans l’humanitaire pour le CICR. (Croix Rouge Internationale). Mari et père comblé, il ne peut s’empêcher de partir régulièrement en mission sur des sites de conflits ou de catastrophes naturelles.



Son credo : aider les autres.



Son dévouement a un prix. Il cumule des images cruelles et bouleversantes qui génèrent de plus en plus de cauchemars.



Côté historique, l’auteure s’est plongée dans les archives du CICR pour nous décrire avec beaucoup de précisions les conditions dans lesquelles les personnels soignants interviennent dans les différents conflits internationaux ainsi que les dégâts collatéraux sur les civils.



Tous les chapitres concernant les missions humanitaires dénoncent les exactions commises par l’armée ou les groupuscules militaires. L’horreur suit l’horreur et toujours un cran plus haut.

Avec les camps de la mort de la seconde guerre mondiale, je croyais que la cruauté des hommes avait atteint le sommet. Eh bien, non !!! Faut croire que l’Homme est fou.



« Ça ne finira jamais. La pourriture est à l’intérieur de l’humain, comme le ver dans le fruit. » (Citation page 465).



Les chapitres concernant les retours de notre infirmier en France ne permettent pas de relâcher la pression du lecteur. Les tensions psychiques qu’il subit montrent comment le personnage essaie de tenir face à ses démons.



Les personnages de la fiction sont tous très attachants essayant de surpasser leurs traumatismes par l’humour, le travail ou encore le déni, l’alcool ou les médocs.



Un livre difficile mais qui met bien en valeur le travail de tous ces soignants qui donnent leur vie à tous ces gens totalement démunis.

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Meurtres pour rédemption

L’histoire se met en place progressivement, voire tire un peu en longueur au milieu du livre. Mais impossible de lâcher le livre. Même si certaines scènes sont insoutenables. Et la fin s’avère très bien ficelée. Bref, encore une pépite de cette auteure.

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Les Morsures de l'ombre

Un huis clos qui tourne en rond, apporte peu de suspense.

On se lasse vite de lire toutes les pensées ou souffrance endurées. Pas facile de tenir en haleine un livre qui se déroule à 90% dans une piece.

Au final, vu qu il n'est pas trop long, ca se laisse lire et on part sur une fin interessante. Mais on est ravi darriver au bout.
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Et chaque fois, mourir un peu, tome 1 : Blast



Je n'avais pas encore lu de roman de @karinegiebel mais c'est désormais chose faite grâce à @netgalleyfrance et @lizzie_livresaudio que je remercie énormément pour cette découverte.

Je m'attendais à un thriller psychologique mais c'est plutôt un roman noir, qui marque les esprits.



Nous suivons l'histoire de Grégory, infirmier pour le CICR, Comité International de la Croix Rouge. Il parcourt les zones de guerre, de la Bosnie-Herzégovine à la Bande de Gaza, de la République Démocratique du Congo à l'Afghanistan en passant par le Rwanda. Il vient en aide aux blessés de guerre, aux victimes de mutilations, aux civils à qui le conflit armé a tout pris. Il soigne, réconforte, vaccine, souvent au péril de sa vie. Ce roman est difficile à lire car il n'épargne pas le lecteur: corps mutilés, membres amputés par les bombes, enfants orphelins, il faut être prêt à tout cet étalage d'horreurs qui n'ont pourtant rien de fictif.



Mais plus important encore, il met en lumière le travail de tous ces soignants sur les zones de conflit, leur engagement, leur besoin d'être sur le terrain, auprès des populations meurtries, au détriment de leur vie personnelle et des conséquences psychologiques que cela entraîne. Car le stress post-traumatique est un des sujets principaux du roman, tant côté victime que côté soignants, cicatrices invisibles qui poursuivent à jamais les acteurs de ces conflits armés.

Mention spéciale à la partie dédiée à Denis Mukwege, Prix Nobel de la Paix en 2018, qui œuvre avec son équipe auprès des femmes victimes de violences sexuelles, utilisées comme armes de guerre. Un très bel hommage à "l'homme qui répare les femmes".



Vous l'aurez compris, j'ai beaucoup aimé cette lecture . Il va m'être difficile d'attendre la suite, avec cette fin insoutenable de tension et de suspense.



Ce roman coup de poing ne peut que m'encourager à découvrir les autres livres de Karine Giebel.

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Toutes blessent la dernière tue

Le livre le plus puissant, inquiétant, triste, malsain, malaisant et addictif sue j’ai jamais lu,. De la souffrance de la première a la dernière page… J’aurais vraiment aimé qu’il finisse autrement… A lire absolument et se préparer au coup psychologique….
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13 à table ! 2023

Le thème de cette année 2023 m'a plu: la planète.



Celle sans qui nous ne serions pas là, celle que nous faisons souffrir...



La nouvelle qui m'a le plus touché est sans hésitation celle de Karine Giebel qui met en avant les massacres des peuples vivant dans la forêt amazonienne.
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Les Morsures de l'ombre

Mon deuxième Giebel après le saisissant "Toutes blessent, la dernière tue".



Karine, j'aimerais bien comprendre. Comprendre pourquoi tu en veux autant à tes personnages. Pourquoi tu les malmènes à ce point.



Bon certes, Benoît, le personnage central de ces "Morsures de l'ombre", n'est pas vraiment un mec exemplaire. Disons qu'il aime beaucoup les femmes, et qu'elles le lui rendent bien. Ce qui ne poserait aucun problème s'il n'était pas marié (et père de famille). À part ça, il est flic, et a l'air plutôt "normal" si on met de côté les énormes cornes que sa femme a sur la tête.



Et c'est une femme (une magnifique rousse), qui va lui faire vivre un calvaire innommable pendant les presque 300 pages de ce roman. Et, croyez-moi, "calvaire" est un mot bien faible pour qualifier ce que va endurer notre super flic Don Juan.



Un roman assez court, que j'ai dévoré en un jour. Giebel sait comment tenir ses lecteurs en haleine. On se demande pourquoi Benoît est séquestré par cette femme, et les réponses arrivent au compte-gouttes. C'est percutant, efficace et d'une noirceur qui ravira les amateurs du genre. Si vous préférez les feel-good, il faudra regarder ailleurs.



Petits bémols : j'ai trouvé certains personnages assez caricaturaux. J'ai été légèrement déçu par la fin, trop rapidement expédiée à mon goût.
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Et chaque fois, mourir un peu, tome 1 : Blast

Dans son dernier roman, Karine Giebel est allée encore plus loin que ce que je pouvais imaginer. Elle a su allier fiction à réalité, en nous parlant de conflits, de guerres...



C'est aux côtés de Grégory que nous sommes transportés au plus proche de la folie des Hommes, que nous allons rencontrer de nombreuses situations plus révoltantes les unes que les autres, des personnages plus touchants les uns que les autres....

Grégory apporte beaucoup à ce roman par ses convictions, par son altruisme, son combat contre l'injustice!

C'est un roman d'une qualité incroyable, qui m'a fait vivre mille émotions. Il m'a touché bien plus que tous les autres romans de l'auteure tant il est criant de réalisme, tant il nous parle d'événements dont on a tous entendu parler...



On voit toutes les recherches que Karine Giebel a effectué pour ce roman, on y voit sa plume merveilleuse qui allie chacun de ces événements à une émotion palpable.



Je ne peux que vous recommander ce roman, tous comme tous les romans de l'auteure! ❤️

Elle sait nous transporter aux coins les plus sombres des êtres humains, au cœur des tourments les plus intenses...
Lien : https://www.instagram.com/p/..
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Glen Affric

On ne présente plus Karine Giebel, elle s'est clairement imposée comme une référence en matière de thriller !

Elle a réussi la prouesse d'écrire un roman de plus de 750 pages que l'on ne voit pas défiler. Son écrire est fluide, les personnages sont intéressants, travaillés, attachants, les sujets abordés génèrent des émotions fortes.

J'ai été émue par l'amour entre les personnages, qu'il soit entre frères ou filial, j'ai été écœurée par la violence, l'injustice, j'ai souri parfois, j'ai eu les larmes aux yeux à d'autres moments.



J'avais déjà envie depuis quelques années d'aller visiter l'écosse, mais je crois que cette lecture va rendre l'envie plus pressante.

Ce qui est sûr c'est que je n'ai pas vu ces deux jours fériés passer, moi aussi j'étais à Glen affric.



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13 à table ! 2024

Nouvelle mouture de 13 à table. C'est le onzième ouvrage de la série. J'ai commencé par la lecture de Le nouvelle de Philippe Besson. Et puis je me suis arrêté. J'ai mis du temps à m'y remettre. La nouvelle est pourtant un style que j'affectionne.

Cette saison encore, j'ai retrouvé des écrivaines et écrivains récurrents de la série. C'est toujours un plaisir de découvrir la manière dont ils auront traité le sujet, en l'occurrence cette année, J'ai 10 ans.

Finalement de l'ouvrage de cette saison, la nouvelle de Michel Bussi, j'ai 10 ans... demain, sort haut la main du lot. Elle m'a bouleversé. C'est ma préférée et elle me marquera longtemps. Même si elles n'arrivent à la hauteur de l'émotion que m'a procurée celle de Michel Bussi, je citerai néanmoins celles de François d'Epenoux, Karine Giebel, Agnès Martin Lugand et Romain Puertolas.
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