Karine Giebel

j'ai lu Glen Afflic (coup de cœur🧡), ce que tu as fait de moi, le purgatoire des innocents, toutes blessent la dernière tue et ... je ne pouvais pas passer à coté de ce livre vu toutes les émotions qu'elle me fait passer à chaque fois...

Je suis d'accord avec les avis que j'ai à moitié lu, c'est différent de ce qu'elle nous offre d'habitude !

J'aimerais rappeler que ce qui diffère de d'habitude, c'est qu'il va y avoir une suite et forcément l'histoire demande peut-être plus de longueur que juste quand c'est un one shot. On le saura quand on aura lu la suite, je pense.

J'ai bien aimé le thème, suivre Grégory, infirmier à la croix rouge.

Il aime son métier, il aime sa famille, mais c'est plus fort que lui, il est obligé de retourner soigner des gens à l'autre bout du monde, toujours en prenant plus de risques... Sans oublier que les malades, les attaques, la pauvreté... Ça marque, il faut faire attention.... en plus il les soucis de vie de famille qui s'y mêle..

Oui, c'est un peu long, il y a 2 moments, celui ou il est avec sa famille et à l'inverse celui ou il est sur le terrain, ou il fait ce qu'il aime. J'attends la suite pour voir si c'était long sans raison ou pour bien poser les bases, les persos, qu'on comprenne que s'il se passe ça plus tard, c'est peut-être à cause de ce qu'il y a eu avant, j'ai des petites pistes pour la suite, mais c'est encore un peu flou.

C'était intéressant, c'était dur sans faire peur ni être hard, c'est assez accessible, je trouve et c'est un beau sujet bien abordé.
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Très déçu par ce livre, en particulier si on se réfère aux autres livres livres de Karine Giebel que j'ai déjà lus.

Tout d'abord, et c'est vraiment exceptionnel en ce qui me concerne, j'ai "anticipé" la découverte de beaucoup des éléments de l'intrigue. Même le titre donne une information importante concernant un des personnages principaux.

Ensuite, c'est long...Certes la description des paysages est une excellente publicité pour cette région, mais quand même...

L'intrigue elle même est finalement basique, et j'ai trouvé les personnages assez caricaturaux.

Pour résumer, je me suis dit en lisant ce livre que l'intrigue pourrait parfaitement servir de base au scénario d'un téléfilm de la série des "Meurtres à..." avant de découvrir qu'effectivement un téléfilm tiré du livre était sorti en 2018.

Ce téléfilm semble difficile à trouver, j'aurais bien aimé le voir par curiosité.

Pour conclure, ce bouquin a plu et plaira à de nombreux lecteurs. Il faut surtout savoir qu'il n'est absolument pas représentatif de l'oeuvre de Karine Giebel, généralement beaucoup plus sombre (voire glauque).

Je remercie chaleureusement NetGalleyFrance et les éditions Lizzie de m’avoir permis la découverte de ce nouveau roman percutant de Karine Giebel en version audio. C’est une expérience de lecture que je n’avais jamais vécue, préférant habituellement me plonger au cœur des mots, mais qui m’a beaucoup plu.

Avec Blast, premier volet d’une duologie intitulée Et Chaque fois mourir un peu, l’auteure annonce la couleur : c’est la violence de notre monde qui sera au cœur du roman, à laquelle est exposé quotidiennement Grégory, infirmier humanitaire au service du Comité International de la Croix Rouge. L’homme sillonne la planète pour soigner, souvent au péril de sa vie, les victimes de guerre, mutilées, terrassées par la douleur. Il a quitté le confort de sa vie occidentale afin de sauver des civils dans des pays en guerre : de 1992 à 2010, on suit Grégory et Paul, son ami chirurgien, en mission au Kenya, en Bosnie, au Rwanda, en Tchétchénie, au Libéria, au Pakistan ou encore en Afghanistan. Leur route est souvent semée d’embûches pour aller porter secours aux victimes de mines antipersonnel, de séismes, de la barbarie sans limites des groupes armés. Pour Grégory, c’est une véritable vocation que de panser les blessures du monde, lui qui vit avec ses fantômes et ses propres plaies. Il a transformé sa souffrance en force pour se rendre utile et continuer à se sentir vivant, donner un sens à sa vie brisée par un drame personnel.

La voix ténébreuse de Thierry Blanc plonge le lecteur au cœur des conflits géopolitiques de notre monde depuis la fin du XXème siècle. J’ai apprécié sa mise en voix de ce texte difficile, modulée pour donner corps aux différents personnages, auquel on s’attache très vite. Certains passages sont particulièrement éprouvants, tant ils disent avec réalisme la barbarie humaine. C’est un roman remarquablement documenté : Karine Giebel s’est notamment appuyée sur les archives du CICR pour évoquer le plus fidèlement possible la réalité glaçante des pays dont elle relate les conflits armés. Elle rend ainsi hommage à toutes ces victimes civiles innocentes, mais aussi à celles et ceux qui les soignent, risquant leur propre vie pour leur venir en aide.

Nul doute que je lirai avec intérêt le second tome de ce roman !

Bonsoir,

Je viens de découvrir Karine Giebel dans « Glen Affric » chez HarperCollins France grâce à BePolar. J’ai adoré ce thriller psychologique que je n’ai pas pu lâcher. Trois personnages émouvants, attachants Léonard, jeune homme un peu simple qui se fait harceler, racketter, Jorge son « frère » ayant été inculpé injustement à la suite d’une erreur judiciaire durant 16 ans, et Angélique une jeune femme maltraitée.

Les trois histoires s’imbriquent, nous emportent, nous font réagir. La vie est d’une telle injustice dans ce roman, on s’insurge, on voudrait leur dire de faire attention, de ne pas … Mais l’auteure suit son chemin et trace leurs destins de manière à nous empêcher de poser le livre une fois que l’on a mis le nez dedans. La fin m’a semblé un peu courte mais c’est pour moi une très belle découverte.

Relecture de « Terminus Elicius » de Karine Giebel aux Éditions Pocket que j'ai redécouvert en lecture commune avec des copines d'Instagram.



Jeanne est une jeune femme à la vie bien rangée, entre son boulot au commissariat, sa mère et le trajet en train qu'elle fait tous les jours, il n'y a pas de place pour l'inattendu. Jusqu'au jour où elle trouve, dans le train, une lettre lui étant adressée par un mystérieux Elicius dont les mots la touchent en plein cœur. Jeanne ne tarde pas à découvrir qu'il est le tueur en série que tous ses collègues recherchent et se retrouve face à un dilemme...



C'est un court roman de 250 pages, qui réussit à maintenir son suspense jusqu'au bout puisque, même si j'ai essayé de chercher le fin mot de l'histoire, je n'avais rien deviné. Le dénouement sans être particulièrement incroyable, reste tout de même plutôt sympa.



Côté personnages, j'ai souvent eu envie de secouer Jeanne puisque son indécision ainsi que ses réactions m'ont souvent agacée. Il faut aussi souligner qu'elle donne l'impression d'être pas mal perturbée psychologiquement.



C'est le premier roman de l'autrice et ça se sent puisque même si l'on retrouve bien sa patte, c'est loin d'être le plus abouti. D'ailleurs, j'avais presque tout oublié de cette histoire, ce qui prouve qu'il ne m'avait pas laissé un souvenir impérissable comme l'ont pu faire d'autres de ses romans.



En résumé, même si ce roman ne fait pas partie de mes préférés de Karine Giebel, j'ai tout de même passer un très bon moment.
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Un énorme coup de cœur c est parti



J ai adore ce livre.

Angoissant, prenant et addictif. Un véritable tourne page et je n ai pas pu m’arrêter.

J’en ai presque pleurer à la fin et le suspens était extrêmement bien mené.

La fin très surprenante et à la hauteur de mes attentes.

J en lirais d autres avec plaisir.

A bientôt !

En commençant cette lecture, sachez que vous plongerez dans l'horreur de la guerre, des conflits armés au travers du prisme d'un infirmier travaillant pour une ONG humanitaire. Serez-vous capable de faire face à ces dures réalités sans avoir la sensation de mourir un peu en les côtoyant, car ne vous y trompez pas, en sauvant certains blessés cela signifie que vous en laisserez mourir d'autres...



Premier roman que je lis de l'auteure, j'ai été heureuse de pouvoir le découvrir accompagnée de la voix de Thierry Blanc, lecteur que j'affectionne beaucoup depuis mon écoute de la série "Paul Green" d'Olivier Bal. La présence de cet orateur m'a finalement permis de reprendre plus facilement mon souffle face à l'horreur auquel est confronté Grégory. Néanmoins, je me suis surprise à m'habituer à ce que je lisais ce que j'ai trouvé extrêmement dérangeant. J'ai eu la sensation de faire face à une impression de surenchère de l'horreur face à laquelle on se blinde rapidement pour ne pas en souffrir.



J'ai apprécié la plume de Karine Giebel qui a su nous offrir un roman très visuel. J'ai trouvé cette écoute assez addictive même si je me suis de nombreuses fois questionnée sur le chemin que prenait cette histoire et si j'allais rencontrer un élément déclencheur qui ferait basculer le roman. 



Finalement, en refermant cette première partie, je ressens comme un sentiment de frustration, car je m'attendais à autre chose à cause des nombreux retours très élogieux que j'ai pu lire. Le travail de recherche fait par Karine Giebel est incontestable, ce roman est très bien écrit, mais j'ai trop été à la recherche du "whaou" ressenti par de nombreux lecteurs. Si je reprends l'idée d'une copine, on est dans un très bon roman reportage.



Je tiens à remercier Lizzie et Netgalley France pour cette découverte. Malgré mon impression, j'ai hâte de retourner Thierry Blanc pour poursuivre cette histoire et en connaître le mot de la fin et peut-être, moi aussi dire "whaou".



En attendant, ça m'a donné envie de découvrir les autres romans de l'auteure. Quels sont ceux que vous me conseillez ?

J'ai lu tous les romans de Karine Giebel et d'habitude, je rentre directement dans l'histoire.

Ici, il m'a fallu un peu plus de temps ! J'ai eu du mal à retrouver le style de l'auteure au départ.

Et puis c'est arrivé et je n'avais qu'une envie, avancer pour connaître la suite...



Gregory est infirmier pour la Croix-Rouge et son quotidien est rythmé par la violence et l'horreur qu'il voit et vit dans tous ces pays en guerre où il se rend. Il fait de son mieux et on ressent son investissement et son envie d'aider au maximum mais tout le monde ne peut malheureusement pas être sauvé.



J'ai adoré le personnage de Paul que l'on voit assez peu dans le roman mais qui est important pour Grégory. Ce médecin est attachant et une amitié forte naît entre ces deux hommes.



C'est un livre dur à lire qui nous montre toute cette violence et ces horreurs que vivent les personnes dont le pays subit une guerre.

Que ce soit des adultes ou des enfants, quand ils s'en sortent, ils gardent des séquelles qui peuvent être physiques mais aussi psychologiques.

Le stress post-traumatique peut être conséquent chez toutes ces personnes mais aussi chez les soignants qui interviennent.



Un roman plein de noirceur qui est très bien écrit.

Le deuxième tome sortira à l'automne et j'ai déjà hâte de découvrir la suite de l'histoire...

Une fois de plus, on ne peut pas être déçu avec cette auteure!

De force, c’est l’histoire de Maud, une jeune fille bien aimée de tout le monde. Son père est

un grand chirurgien renommé. Maud et sa famille vivent dans une très belle maison, avec

piscine et employés. La vie de rêve! Jusqu’au jour où Maud se fait agresser par un homme

durant son jogging. Elle va être miraculeusement sauvée par un autre coureur. Son père ne

veut pas prévenir la police et souhaite régler cette histoire tout seul. Pour cela, il va

notamment embaucher un garde du corps pour sa fille. On va alors tomber dans une

pyramide dangereuse entre l’agresseur, le sauveur et le garde du corps. Maud au milieu de

ces trois hommes ainsi que son père. Entre secret, agression, peur, pacte, Karine Giebel

m’a tenu en haleine tout le long du livre avec une fin digne de ce nom!

Bref, je recommande ce livre a

Je referme ce livre avec un profond sentiment de tristesse.

Parce que la littérature c'est aussi raconter les combats de ces héros du quotidien qui mettent leut vie en danger pour sauver celle des autres.



Merci à l'autrice de nous avoir partagé l'histoire de Grégory, de Paul et de tous ces humanitaires qui veillent sur le monde.



Cette histoire m'a profondément marquée et bouleversée, j'ai hâte de découvrir la suite dans le tome 2 : Trauma (s) qui sortira en autome 2024.

Pourtant adepte des livres de cette actrice , je les aies tous dévorés mais Pour une fois je n ai pas aimé ce livre, si bien que j ai du le terminer en audio pour pouvoir le finir. J ai pas accroché sur l univers de la guerre ni accroché aux personnages. Peut être une mauvaise période pour le lire.

Je découvre Karine Giebel avec ce roman. Faites attention c'est un piège, une fois entamé vous ne pourrez plus le poser.



Je n'en parlerai pas trop pour ne pas prendre le risque de spoiler quoi que ce soit, mais je me suis prise coup après coup pendant tout le livre.



C'est violent, dur, implacable. On pense comprendre ce qu'il se passe, on prend le temps de digérer les horreurs que vit Tama et directement Karine Giebel nous remet un coup.

Tout s'enchaîne très vite, les 700 pages se tournent d'elles même, on n'a même pas le temps de se poser des questions que les réponses arrivent déjà.



Évidemment que le sujet touche, suivre une enfant esclave retourne déjà le coeur, mais toute la galerie de personnages autour également, pour d'autres raisons mais c'est impossible de rester indifférent.



Une grande autrice qui ne relâche pas la pression, ce roman m'a pris au coeur.

Très déçu. Ce livre peut être classé dans les livres de propagande..... macroniste. De tous les conflits passés en revue, l'auteur ne s'attarde que sur Poutine pour le considérer comme le diable en personne. (impressions des premiers 3/4du livre). Dans la dernière partie, on dérive dans l'absurde avec les idées de la Hyène de l'Europe. On sait pour qui Karine vôte.

Depuis la fin de son adolescence, Grégory voulait partir à l’étranger, il voulait faire de l’humanitaire. Pour la première fois de sa vie, il sait à quoi il sert, mais il vient de mettre les pieds en enfer.



De 1992 à 2010, du Rwanda, à l’Afghanistan en passant par la Tchétchénie, Sarajevo et la bande de Gaza, Karine Giebel nous entraîne sur tous les conflits. Le lecteur va être confronté à l’atrocité de ce qu’un être humain est capable d’infliger à ses semblables, il n’y a pas de limite à la barbarie humaine. Viols, mutilations, des familles entières décimées. L’odeur du sang, les relents de la haine, et les yeux des enfants orphelins et estropiés.



Ce roman coup de poing, qui vous assomme, qui vous donne souvent envie de vomir est porté par deux personnages poursuivis par des traumatismes insurmontables. Grégory, chacune de ses nuits est une lutte, les tourments s’invitent parfois en plein jour. Rongé de l’intérieur par un mal que personne ne peut soigner. Quelque chose s’est brisé en lui. Il est au bord du ravin. Toutes ces violences se sont insinuées en lui. Il a l’impression d’être une bombe à retardement , qu’il suffirait que quelqu’un appuie sur le détonateur pour qu’il explose. Et Anton, son fils adoptif, il a ramené de Russie, le bruit des bombes, le crépitement des flammes, les cris des victimes, le désespoir des mères. Il ne cesse de les traîner comme des boulets à ses chevilles. La pourriture est en lui comme le ver dans le fruit.



Même si parfois on a l’impression de tourner en rond, de retrouver les mêmes scènes, les mêmes horreurs ce roman est un bel hommage à des femmes et des hommes d’exception, des étoiles qui éclairent le monde.

C'est le premier livre de Karine Giebel que je lis. Les critiques m'avaient vraiment données envie et j'ai bien fait. Je n'ai pas vu passer les 750 pages tellement j'ai été captivée et prise dans cette histoire. Une fois terminé, je retiens davantage l'histoire de deux frères, à qui la vie ne fait pas de cadeau, plutôt qu'un polar ou un thriller. Les scènes de violence sont gommées par l'humanité et l'amour qui unit ces deux jeunes hommes. J'ai serré les dents avec eux pour garder le sang froid face à tant d'injustices, aux commérages destructeurs et aux réactions malsaines. J'ai eu peur en prison avec Léonard. J'ai admiré la tendresse de Jorge envers ce frère différent. J'ai rêvé avec eux de fuir à Glen Affric.

Encore un énorme coup de cœur pour cet avant dernier livre de l'auteure à la plume si addictive, une fois plongé dans le livre on ne le lâche plus. Je me suis attaché aux frères Mathieu et aux personnages secondaires. Tout au long du livre on va suivre Léonard en apprendre plus sur lui et son frère et à la fin je ne suis pas attendu à cela. Hâte de lire son tout dernier livre.



Vous aimez les romans noir, l'univers carcéral, les thrillers, les thrillers psychologiques, ce livre est à lire absolument.
Lien : https://myreadbooks.over-blo..

Karine Giebel n'a pas son pareil pour créer ses personnages. Encore une fois, pari réussi avec Grégory, infirmier, qui nous emmène sur les zones de guerres les plus violentes. Son humanité et son courage sont indéniables mais cela le détruit à petit feu. On l'admire et en même temps on aurait envie qu'il se préserve, qu'il pense à lui d'abord. Encore une fois, un personnage magnifique et admirable. J'ai très hâte de lire la suite cet automne.

Je commence mon nouveau livre de Karine Giebel, je sens directement que ce livre va être un peu différent que les autres sans savoir pourquoi ... A la fin j'ai compris, il était différent, sans trop de violence, une intrigue magnifiquement mené, on ce dit mais enfin la vie ne peux pas s'acharner sur ces personnes, mais si la vie peux être horrible, et à travers les yeux de Leo elle était malgré tout parfois belle ...



Directement je m'accroche au personnage de Leo, j'ai envie de l'aider, de le prendre dans mes bras, de le sauver de tout ces démons. Sont frère Jorge va bien le faire d'ailleurs, l'amour fraternelle quoi de plus fort ? De plus beau ?



Toutes les fin des livres de Karine Giebel mon toujours surprise par leurs plot twist et c'est la que Glen Affric est différent des autres, j'ai été émue et tellement triste que Jorge ne sache pas la vérité, et que Leo ne sois pas au courant de qui à été retrouver. Ils auraient pu marcher la tête haute finalement ... c'est ce qu'ils ont essayer fe faire.

Je vais avoir du mal à me séparer de Leo, Jorge, Mo, Sacha et les autres ... Un beau moment de lecture, et un manque certains de ces personnages, de cette histoire où j'ai rigoler, eu peur, été énervé, triste, un panel d'émotions comme toujours.

Voilà un roman que j'ai lu d'une traite. C'est un roman noir et cruel qui prend au tripes, qui choque et marque comme tout roman qui raconte l'esclavage et la maltraitance et encore plus quand il s'agit d'enfants. On se demande comment l'humain peut être aussi mauvais !!!

Comme ça va être difficile de passer à un autre livre, de quitter Raphaël et William, Sandra et Jessica... on a l'impression de vivre leurs histoires à travers les mots de Karine Giebel, même si on aimerait mieux éviter !! Et c'est la tout le talent de cette auteur, bravo. Hâte d'en découvrir d'autres ! Mais il va me falloir quelques jours 😁