Citations de Kyosuke Motomi (159)
Merci du fond du cœur d'être devenu mon gentil Daisy... Est-ce que tu veux bien rester à mes côtés pour toujours ? Si oui, serre-moi dans tes bras.
(Sôichirô à Kurosaki)
- Mais il existe encore un moyen... de prouver que c'était quelqu'un d'exceptionnel... Un moyen efficace de te venger de la société qui vous a humiliés, toi et ton père. Tu m'écoutes, Tasuku ? Ce moyen... c'est que tu trouves le bonheur. Que beaucoup de gens t'aiment, qu'ils aient besoin de toi.... et que deviennes indispensable à la société. Tu dois trouver une chose à laquelle tu tiens... et devenir capable de la protéger. Je ferais de toi ce genre d'homme.Je te le promets.
(Kiyoshi à Teru)
- Parce que tourner le dos et abandonner sous prétexte que c'est trop dur, c'est vraiment nul ! On ne fait pas ça à ceux qu'on aime ! Tu comprends ce que je te dis ? Parce que c'est ce que tu fais à Daisy... en ce moment même et sans aucune honte. Comme s'il n'avait jamais compté pour toi.
- Pourquoi tu me dis ça à moi ? C'est Daisy qui est parti...
- Tu oses dire que c'est sa faute ? Alors qu'il a toujours été là pour t'aider ! [...] Tous les autres se démènent pour Kurosaki ! Mais toi, tu ne comprends pas ce qu'il ressent ?! Bien que son souhait le plus cher soit de passer sa vie à tes côtés, il n'a pas hésité à s'éloigner de toi ! TU NE VOIS PAS QUE POUR LA PREMIÈRE FOIS, C'EST LUI QUI VOUDRAIT QUE TU L'AIDES ?!!!
- C'est triste d'en être arrivés là... Finalement, nous n'avons rien pu faire pour Kurosaki. J'aurais voulu faire comprendre à cet imbécile... que lui aussi a le droit d'être heureux. Maintenant, il n'y a plus qu'elle... qui en soit capable.
(Kurosaki)
Pardon Teru. C'est vrai que j'ai tué... ton précieux frère.
Je pense que c'est une chose impardonnable.
Je suis lâche de partir alors que tu es blessée.
S'il te plaît, déteste-moi.
Merci d'avoir fait semblant d'ignorer mon identité.
Merci d'avoir été là, à sourire à mes côtés.
Merci d'avoir supporté gentiment mon mauvais caractère.
Ces fleurs appelées Daisy que tu aimes tant... Moi aussi, je les trouvais jolies, mais... C'est toi... à mes côtés... que je trouvais la plus jolie.
(Mme Mori à Daisy)
- Que feriez-vous... si vous appreniez que le virus crypté "Jack O'Frost"... a survécu ? Oui... je te parle de la source du crime de Daisy... qui a coûté la vie à Sôichirô, le frère de Teru.
(Akira s'adressant à Teru)
- T'as vraiment cru à cette histoire de mot de passe ? Regarde donc le mail que tu viens d'envoyer !
"Daisy,
Je ne peux pas pardonner à celui qui a tué mon frère.
Disparais."
- C'est Chiharu qui l'a écrit. Elle a volé ton portable pour l'écrire. Dégueulasse, hein ? mais, ça le fait, non ? C'est sûrement ce que t'aurais dit à Daisy... quand t'aurais appris son secret. Et maintenant, nous sommes sûrs de son identité. C'est le pauvre garçon qui a l'air désespéré en regardant son téléphone.
(échange de mails)
- Daisy, c'est Teru. Une personne que je connais à peine m'a ambrasse. je suis tellement déçue. J'aurais tant voulu que mon premier baiser soit avec la personne que j'aime.
- C'est Daisy. cet incident ne baisse en rien ta valeur. Rassure-toi. Pour moi, c'est sans importance.
En fait, c'est faux. Ça me révolte ua plus haut point. Je ne peux pas tolérer une telle chose. Je voudrais te rejoindre maintenant et t'embrasser... pour te faire oublier une seconde, le baiser dégoûtant de ce sale gamin.
(Teru dans ses pensées)
Un baiser ? Avec Kurosaki ? Est-ce qu'un jour, ça m'arrivera ? Est-ce que moi aussi, un jour... on m'embrassera ?
BAM !
P... Pourquoi je nous ai imaginé nus ? Heureusement, je ne peux pas imaginer la suite. Je manque d'informations. Ça suffit, les rêves éveillés !
- T'es vraiment soûl, Kurosaki ?
- Nan, ça va. J'étais bourré jusqu'à tout à l'heure... mais ça va mieux.
- Pourquoi tu marches au bord du trottoir ? C'est dangereux. Descends !
- Pas question ! SI je tombe, je meurs ! Le trottoir, c'est le paradis. En bas, c'est l'enfer, alors si je tombe, je meurs !
- Finalement... T'es bel et bien soûl...
- T'inquiète pas. Quand elle est épuisée, elle dort toujours profondément comme ça. C'est déjà arrivé plusieurs fois. Et quoi que je fasse, rien ne la réveillait.
- Hum... quoi que tu fasses, rien ne la réveillait ? Et qu'est-ce que tu as fait, au juste ? Jusqu'à maintenant...
- Hein ? Hum, tu voudrais bien arrêter de prendre ce ton menaçant ? J'ai rien à me reprocher (enfin presque)...
- Elle a peut-être encore agi sous la menace ?
- Je me demande... C'est mon intuition de mauvais garçon qui parle, mais... A mon avis, cette femme est bien plus vicieuse qu'Arai.
- Ooh... ton intuition ? Du genre : "Moi, je connais le mal, je peux le reconnaître à l'odeur ?"
- Exactement !
Teru Kurebayashi (jeune fille de 16 ans)...
Kurosaki (vieux schnoque)...
Au lit...
Le matin...
Au réveil...
(Teru croyant qu'elle a passé la nuit avec Kurosaki) Grand frère, pardon. Je suis devenue adulte... alors que je rêvais de toi.
(Kurosaki) - Tu fais erreur. D'abord, pour commencer, je ne suis ni un pervers, ni un vieux qui fait un lolita complex comme tout le monde le dit. Tu les dais, hein ?
(Teru) - NON, je n'en sais rien.
- Ce soir j'ai un dîner où je rencontre mon fiancé. Alors je dois me changer et me préparer.
- Vraiment... ton fiancé ?
- J'ai toujours cru que c'était un animal imaginaire... Alors, ça existe vraiment ?
- Toi, là, de quoi tu rêves près de la fenêtre des toilettes ?
- Eh ben, je pensais avec tristesse à celui que j'aime... Et toi, qu'est-ce que t'as à faire cette tête de commandant qui a perdu la guerre ?
- Ça, pour perdre la guerre... L'ennemi n'a pas reculé d'un pas. On aurait dit de la pierre !
- Si t'es constipée, bois du lait !
- Ah... A ce moment-là, je pleurais alors peut-être qu'il a voulu sécher mes larmes avec son souffle ?
- On peut aussi penser qu'il voulait te donner un coup de boule ou que tu puais de la bouche, mais... je crois pouvoir affirmer à 70% qu'il s'agissait bien d'un élan amoureux. Ça laisse donc de l'espoir ! Je pense qu'il serait bon pour toi de te préparer mentalement. C'est le genre de mec à sauter les étapes et passer directement au corps à corps.
- Je... Je dors justement chez lui ce soir...
- Quoi ?! C'est rapide ! Alors t'as pas le choix... Si t'es d’accord, mets une culotte blanche. Si c'est non, mets-en une beige !!
- Tu as raison. Si tu en finissais ?
- Aïe...
- Tu n'as qu'à la prendre comme ça... et lui dire... que tu l'aimes ! Tu n'es qu'un idiot. Tu es à bout. Il te suffit de tendre les bras pour qu'elle soit à toi. Cette fille n'attend que ça. Personne ne se fâchera. Tu ne fais rien de mal. Ce n'est ni une trahison, ni un crime. Tu es le seul à penser ça.
- Cherchez autant que vous le pouvez. Je suis sûr que celui qui se fait passer pour "Daisy"... vous observe en ce moment.
- Bon, je rentre Kurosaki... Mais tu la séquestres jusqu'à 22h !
- Hein ?
- Tu es doué pour ça, non ? Et tu aimes ça, hein ? Hein ? Moi, je préfère être celui qu'on séquestre.
- La ferme ! Dépêchez-vous de partir ! Et si possible, allez au diable !
(Riko) - C'est son premier gôkon, alors j'aimerais que ce soit une bonne expérience pour elle. Et je veux pas avoir l'air de me jeter des fleurs, mais j'ai fait du bon boulot. Qu'est-ce qui se passera si elle plaît aux garçons ? Ah, désolé de m'acharner sur toi alors que t'es malade et que tu souffres.
(Kurosaki) - La ferme... Un jour, je te tuerai, vieille sorcière !