Citations de Lauren Weisberger (187)
"Le premier amour, c'était une aventure forte, intime, et ces souvenirs mettaient du temps à s'estomper. Une vie entière. On pouvait aimer son partenaire actuel plus que quiconque sur terre, mais une parcelle de notre coeur restait à jamais réservée à la première personne qu'on avait aimée."
Voilà donc où m'avaient menée mes quatre années d'étude consacrées à analyser et décortiquer par le menu romans, pièces de théâtre, nouvelles et poèmes : à consoler une bestiole pourrie gâtée avec une tronche de chauve-souris tout en essayant de ne pas démolir une voiture qui ne m'appartenait pas et qui coûtait la peau du bas du dos.
Les rides , c'était inévitable - le calendrier du circuit semblait littéralement suivre le soleil autour du globe pendant onze mois sur douze -, mais Charlie avait aussi lu quelque part que soixante-dix pour cent des athlètes professionnels s'entrainant en extérieur développaient un cancer de la peau passé la cinquantaine .
Cette robe est tellement bradée que c'est quasiment elle qui TE paie pour la porter.
"_[...]Tout ça, c'est toi qui l'a choisi. Alors je crois que c'est à toi de décider si tu veux encore de cette vie. On peut toujours changer le cours des choses, tu sais. Au risque de jouer les psychologues de comptoir - un discours que pourrait d'ailleurs entendre la nouvelle Charlie fumeuse de pétards -, on n'a qu'une vie."
"Tout faire pour ne pas essayer, c'est encore essayer."
Tu ne souhaites pas réellement sa mort ai je pensé en m'étirant sur le siège arrière. Car si elle meurt tu perds tout espoir de la tuer de tes propres mains. Et ça ce serait vraiment dommage.
[...] j'avais encore du mal à croire que je venais de promettre à ma patronne de continuer à coucher avec un mec avec lequel je n'avais pas encore couché.
Amicale, extravertie, liante, charmante... Appelez ça comme vous voulez. Quand c'est vous qui faites le premier pas, le message que vous transmettez, c'est "disponible et prête à tout"
Voilà donc où m'avaient menée mes quatre années d'étude consacrées à analyser et décortiquer par le menu romans, pièces de théâtre, nouvelles et poèmes : à consoler une bestiole pourrie gâtée avec une tronche de chauve-souris tout en essayant de ne pas démolir une voiture qui ne m'appartenait pas et qui coûtait la peau du bas du dos.
- Ma vie privée ne tient plus qu'à un fil.
- Bravo, c'est ce qui arrive quand on réussit dans son travail.
"Quoi de plus difficile que renoncer à l'identité qui a été la vôtre durant toute votre vie ? A l'instar de la majorité des athlètes professionnels, Gretchen n'avait sans doute pas eu le temps, ni le désir de préparer la suite. Le jour où elle mettrait un terme à sa carrière, il lui faudrait se réinventer de A à Z."
"Il est bien plus simple de pimenter une biographie en la saupoudrant de quelques anecdotes intéressantes que d'en expurger des années de décisions regrettables."
Les mauviettes ne gagnent pas de grands chelem, reprit Todd. Au tennis , c'est comme dans la vie : les gentils perdent.
Danser ? Mais oui, on était entrain de danser ! Je n'avais plus connu pareil promiscuité depuis la dernière fois qu'un pervers s'était collé à moi dans une rame de métro à l'heure de pointe.
- Tu ne penses pas qu'il pourrait avoir...
- Quoi ? Une liaison ? Bien- sûr que non. Pas Paul, répondit-elle d'un ton qu'elle espérait convaincant.
- Maman ? C'est quoi une liaison ? fit Maisie.
Ce n'est pas la lumière qui me dérange mon coeur, et tu le sais. Mais le fait qu'on ne se soit pas endormi ensemble une seule fois depuis des semaines. Tu me manques.
"[...] les mots ne veulent pas dire grand chose, contrairement aux victoires."
Miranda avait pris l'habitude de nous appeler, Emily et moi, 'Emily', ce qui suggérait, pas entièrement à tort, que nous étions totalement interchangeables.
Le Moët, c' est à peine de l'alcool !