Lionel Shriver

Lionel Shriver y raconte l’histoire d’un couple de Britanniques, Kay et Cyril, qui décident alors qu’ils sont encore dans la force de l’âge, de se suicider ensemble le jour de leurs 80 ans. Ils ne veulent pas, comme le père de Kay, subir la déchéance de la vieillesse ou devenir un poids pour leurs enfants.
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La romancière américaine s’empare avec autant de sérieux que d'humour de la question délicate et cruciale du vieillissement et de la fin de vie.
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C'est ce qu'imagine la romancière Lionel Shriver dans les douze scénarios qui composent ce roman à la fois drôle et pertinent sur la question de la fin de vie, et toutes celles, très nombreuses, qui s'y rattachent.
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La romancière explore ainsi dans ce roman à la construction savante toutes les questions liées à la fin de vie, avec une drôlerie inattendue sur un sujet pareil.
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La virtuosité règne sur ces chapitres. À la fin, les deux héros vident une bouteille de cabernet. Et l’un d’entre eux regrette de ne pas avoir dit «merde» plus souvent.
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Avec "A prendre ou à laisser", étourdissant roman sur les affres de la vieillesse, la romancière américaine s’attaque sans retenue à bien des sujets sensibles. Décapant !
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Alors oui, Kay et Cyril vont entre autres finir leurs jours dans une maison de retraite digne d’un vrai film d’horreur. Mais ils vont aussi se défiler à tour de rôle, envisager la cryogénisation ou carrément changer ensemble d’avis, se suicider étant assez ingrat dans un contexte de pandémie.
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Que faire des vieux ? La romancière américaine persiste à gratter là où la société fait mal. C'est « À prendre ou à laisser ».
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En ce qui me concerne le sujet principal de ce roman est trés sensible. L'autrice a inventé, imaginé, plusieurs scénarios possible s'articulant autour de son sujet mais, il y en a vraiment trop pour moi.

De plus je trouve qu'il y a beaucoup de longueur autour de la politique et du brexit qui m'ennuie...



Lecture abandonnée page 180

J'ai souffert pendant cette lecture. C'était terriblement long, ennuyant et un brin angoissant. Les personnages sont fades, exaspérants et peu développés. Bien que l'idée soit originale, à mon sens, celle-ci a été mal travaillée. Relire les mêmes scènes, mais avec des fins différentes et de plus en plus rocambolesques a été un vrai supplice !

Le pitch du livre " à prendre ou à laisser" est excellent et j'ai adoré les 80 premières pages. Après j'ai trouvé que ça partait en sucette, en plus ça se complique si vous posez le livre. Comment se souvenir où on en est ? Bref, je suis très déçue. Je souhaite tenter de lire un autre livre de Lionel Shriver car j'aime beaucoup son style.

Alors que son père vient de mourir des suites de la maladie d'Alzheimer, Kay accepte le marché de son époux, Cyril. Pour éviter cette dégénérescence, ils se suicideront le jour de ses 80 ans. Une fois la décision prise, Lionel Shriver décline plusieurs scénarii alternatifs de la fin de vie des deux époux.

J'avais adoré deux des précédents romans de cette auteure mais celui-ci m'a ennuyée. Trop de redondances et de longs monologues sur l'actualité britannique.

En Angleterre, Kay et Cyrill, prenant conscience de la déchéance physique et intellectuelle ayant accompagné la vieillesse de leurs parents ne souhaitent pas la vivre pour eux-même quand elle risque de se manifester. Il décident en fixant la date au 80 ème anniversaire de Kay de se suicider ensemble ce jour là. Sur fond de brexit divisant les anglais l’autrice nous embarque dans une succession de scénarios abracadabrantesques sur le futur de ce couple sympathique selon les options choisies. Amusant un moment, cela devient lourd et pénible à lire.

Lionel Shriver aborde le sujet délicat de la fin de vie qui nous concerne tous, soit via les parents pour les quinquas, soit pour nous mêmes quand on se retrouve en première ligne.

Certains considéreront que le thème est trop grave pour en faire un roman ou qu'approfondir la question est trop lugubre.

L'auteure a choisi d'en parler avec beaucoup d'audace, d'irrévérence et de réalisme en insistant sur les situations les plus douloureuses ou dramatiques.

Un peu farfelu, un peu anticipatoire, ce roman est destiné à ceux qui osent regarder la vérité en face.

C’est rare mais ce fut un abandon un peu après la moitié du livre…

Si l’idée de départ et l’écriture m’ont emballées, je n’ai pas aimé par la suite le côté redondant.

J’irai tout de même chercher d’autres livres de cet auteur car j’ai apprécié le style.

Recommandé par une lectrice qui fréquente la même médiathèque que moi, je pense que je n'aurais pas choisi cet ouvrage sans sa suggestion.

La question reste posée : l'humain est-il capable, avant d'être ou très malade ou dépendant, de choisir l'heure de sa mort ? L'auteur choisit de nous présenter ce challenge sous forme d'un calcul de probabilités. C'est mordant à souhait, le regard sur la vieillesse est sans concession, les rapports humains ne sont pas toujours bienveillants et l'issue apparaît vite évidente. Ce n'est, cependant, pas une lecture fastidieuse.

Une histoire surprenante sur la fin de vie, abordée avec humour, sans drama. Un couple uni se fait la promesse de se suicider le jour de leur 80 ans. Les années passent, la 'date line' se rapproche. La force de l'auteur est de nous livrer différentes fins possibles, toutes ubuesques et à la limite du sadisme pour certaines.

Pur exercice de style? Licence poétique libre ? Certes il est réjouissant de savoir qu'il existe encore des textes incongrus qui trouvent écoute et lecteurs, mais j'ai décroché assez rapidement même si ma curiosité ne faiblissait pas;Jusqu'où irait cette auteure?

Roman plaisant abordant des thématiques souvent délaissées par les auteurs. Quelques histoires glaçantes et notamment celles sur les soins gratuits et avilissants. J’ai apprécié dans l’ensemble même si certaines possibilités notamment plus SF m’ont moins parlé.

Kay et Cyril approchent les 80 ans .



Ils ont passes leurs dernières années a s’occuper du père de kay atteint de la maladie d’alzheimer.



Une chose est sure il ne veulent pas finir leur de cette façon.



Comment faire?



Partir ensemble le soir des 80 ans de Kay ?



Lionel Shriver dans son style si personnel nous entraine sur plusieurs fins de vie possibles pour ce couple , certaines plus déjantées que d’autres .



J’ai apprécié cette lecture même si parfois je me suis sentie un peu perdue. Mais c’est le style de cet auteur