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Critiques de Lucie Baratte (36)
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Le chien noir

Mais parce que les princesses d’aujourd’hui ont beaucoup appris de leurs aînées, notre héroïne ne restera pas passive face à son destin !
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Le chien noir

Ce livre a le mérite d’être bien écrit et de se dévorer d’une traite, ou peu s’en faut.

Pas de réelle surprise cependant sur le dénouement que je ne dévoilerai pas, néanmoins il s’agit d’une belle relecture/réécriture de contes connus. Barbe-bleue revisité en mode gothique, moderne et féministe...

Un livre à découvrir dans une magnifique collection, chez un petit éditeur marseillais dénicheur de talents oubliés ou potentiels qui nous offre des ouvrages de qualité.

Je pense avoir plus apprécié le style riche et savoureux de l’autrice, dont j’essaierai indubitablement de suivre ses prochaines créations dans le domaine de la fiction, que l’histoire elle-même, qui n'est pas désagréable pour autant.

Lisez-le, lisez-la, ne serait-ce que pour découvrir la plume de Lucie Baratte.

Il était un fois...
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Le chien noir

Les contes pour enfants étaient là pour les éduquer. A travers des histoires, des messages étaient passés. Parfois, ces histoires étaient cruelles mais comme ce n'étaient que des histoires, cela pouvait être entendu et accepté. Mais les histoires ne sont pas toujours juste des histoires.



Eugénie, belle princesse née avec une tâche sur le visage, est la fille du roi Cruel. Seul la richesse, les batailles et la peur qu'il inspire ont d'importance pour lui. Quand le roi Barbiche se présente à son château pour demander la main de sa fille en échange d'une fortune colossale, le roi Cruel n'hésite pas un seul instant. Ainsi, si la vie d'Eugénie n'était déjà pas tendre, elle sombrera cette fois dans la noirceur. Le château, la forêt, le personnel et les amis de Barbiche sont tous à son image. Mais en arrivant, Eugénie trouvera malgré tout un chien noir, mal en point, qu'elle soignera et adoptera. Elle l'appellera Chasseur. La nouvelle reine tiendra-t-elle le coup?



Il semblerait que ce soit une réécriture de Barbe bleu. Je fais confiance, car je ne l'ai jamais lu. Ici, je vois une princesse qui s'oppose à son père dès qu'elle le peut sans pour autant dépasser une limite. Malheureusement pour elle, à son époque, une époque qui a bien existé, elle doit être sous la tutelle d'un homme. De fille, elle passe à épouse forcée. Il est évident qu'elle n'a pas choisi ce mari. A travers ce conte, c'est l'histoire de milliers de femmes qui est retranscrit. Ne pensez pas qu'il s'agit d'une histoire révolue, là pour un devoir de mémoire. C'est une histoire encore d'actualité. Trop. Beaucoup trop.



Sous une plume douce et acérée à la fois, qui reprend les codes des contes d'antan, Lucie Baratte raconte sans fioriture l'histoire d'Eugénie, mais elle pourrait être n'importe qui d'autre.



Certain(e)s pourraient reconnaitre leur grand-mère, leur mère, une soeur, une amie, une voisine, une femme croisée par hasard dans la rue, en cette reine. Enfin, je vous invite à la prudence, car des passages de violences physique et psychologique sont présentes. La beauté n'a jamais empêché la cruauté après tout.



Acheté après un @vleel_ , il se trouve que ce roman a été pré-sélectionné par @leplib2021. Découvrez-le.
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Le chien noir

Il était une fois… une jeune princesse au visage marqué, un père et roi Cruel qui ne se souciait que de son pouvoir, un mariage inespéré, le désenchantement, un riche Barbiche aux allures repti-liennes, des voix de femmes qui se perdaient entre les murs, des scènes sanglantes, un dénommé Lanterne inquiétant et un chien noir, mi-bête, mi-amant. Un mélange de Barbe-Bleue, de la Belle et la Bête, les contes fabuleux qui se mêlent dans ce sombre récit gothique érotisé. Une plume qui m’a beaucoup touchée. Une histoire qui m’aura un peu moins marquée, peut-être trop d’échos à ce que j’ai pu lire dans mon enfance. Toutefois je vous invite à accompagner Eugénie dans ce voyage angoissant, douloureux, sensuel et libérateur. Un monde pénétrant, une écriture envoûtante et presque magique… qui sait… peut-être qu’ils vivront heureux et auront beaucoup d’enfants…
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Le chien noir

Roi Barbiche (ou Barbe-bleue), dans son château lugubre, aux pièces froides et murs suintants, mène son épouse, choisie discrète et fragile, qualifiée de sotte et trouillarde avec laquelle il joue. Apeure. Contrôle. Maltraite et mate. Voici le conte. Que de noir, comme le chien aux pieds d’Eugénie, aussi sombre que l’ébène, doux et violent, dans ses bras, son ombre, ses pas.

Si le château est obscur, les âmes le sont davantage.

Ce court roman – conte gothique aux pages redoutables, histoire universelle de la violence faite aux femmes, ne peut laisser indemne. Le noir est noir, empli de haine, de corps disloqués, de cauchemars, de sévices, jusqu’à l’écœurement. On abuse. On écrase. Et nous, lecteurs, frissonnons, voyeurs de l’abomination, impuissants dans nos fauteuils, de ce qui se passe parfois juste à côté.

L’écrit percute sur l’air de rien d’un conte connu et reconnu, aménagé pour l’heur, juste pour (re)dire, avec ses phrases de ton classique, ses mots chantants, l’inacceptable.

Une belle découverte.


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Le chien noir

Grande amatrice de contes, j'ai beaucoup apprécié cette réécriture de Barbe Bleue.

L'écriture est fluide et très agréable à lire. J'ai beaucoup aimé les nombreux clins d'oeil aux contes traditionnels qui ponctuent le récit (en particulier au début de chaque chapitre). Lucie Baratte respecte tous les codes des contes de fées, les détourne et les adapte à son récit. C'est vraiment intéressant.

Au fil des pages, l'autrice nous invite à partager les pensées, les rêves, les envies, les désillusions, les peurs et les espoirs de son héroïne. Elle nous propose donc un récit intimiste et émouvant.

J'ai passé un moment très agréable en compagnie de ces rois, reines et autres animaux fantastiques.

Une belle lecture.
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Le chien noir

C’est un conte à ne pas mettre entre toutes les mains, car on y lit des viols conjugaux et de la zoophilie, ainsi que tout un tas d’horreurs innommables.

Je trouve le personnage d’Eugénie très passif et de fait pas très attachant. A la fin, bien sûr, elle aura un sursaut, car il faut qu’elle se libère par elle-même, mais, de fait, ça fait surfait, peu crédible.

Le « personnage » du chien noir Chasseur crée une présence mystérieuse et intéressante.

Barbiche est parfaitement ignoble et en même temps tellement caricatural que, là encore, je n’ai pas réussi à éprouver un sentiment, en l’occurrence de la détestation ou de la haine vu le bonhomme.

Je reconnais que l’autrice a su créer une ambiance sombre et des descriptions qui marient toutes les nuances de noir.

Au final, je n’ai pas été convaincue par ce récit.
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Le chien noir

Ce livre nous plonge dans un conte oppressant et très dark. J'ai beaucoup aimé retrouver cette natation typique du conte et me laisser bercer par la magie impossible et improbable qui se trouve à chaque page.

La lecture est fluide et efficace. L'autrice nous plonge facilement dans son monde et l'oppression de celui-ci se fait parfaitement ressentir. Comme beaucoup de conte, j'ai trouvé le dénouement un peu trop simple.
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Le chien noir

Ouvrir ce livre à l'instar d'un cadeau rare. Etonnant, passionnant, il bouscule les diktats littéraires. Accorde une chance à un genre, l'Imaginaire et le Fantastique. Original et précieux tant sa beauté gonfle les lignes dans le sombre d'un antre hors de l'espace et du temps. « Le chien noir » est captivant. Les pages tournent à allure folle. On veut savoir, de suite, vite, dans cette impatience enthousiaste ce qui advient de l'intrigue. On traverse cette haute littérature dans un labyrinthe où le charme se situe dans la magistrale écriture de Lucie Baratte. Malgré les courants d'air glacé cette impression majeure d'être au coeur d'un conte qui casse les codes. Une plongée dans l'ancestral d'un gothique confirmé. « Il était une fois un conte obscurci, englouti par un océan de ténèbres qui gisait tout au fond du foyer des histoires, étouffé en secret sous le gris de la cendre. » Le style doux, ciselé, aérien chuchote cette histoire qui tel le fil d'Ariane emmène le lecteur bien au-delà de la visibilité. Ce conte de choralité vêtue est un aimant. On écoute Lucie Baratte. Et là, la nuit surpasse le jour. Mais on est bien. « Eugénie » est une jeune princesse vivant dans un château avec son père « Cruel ». Un homme vil, autoritaire qui emblématise certaines têtes connues. Il broie ses sujets à l'instar d'un rideau baissé à la vue de la liberté pour « Eugénie ». Jeune fille aimant un Page et dont « Cruel » le fera décapiter. (Suivez mon regard). N'ayez pas de crainte. Cette litanie est d'une couleur qui enrobe et apaise. Les sons de l'histoire sont de loin les plus belles attentes. La lecture est envoûtante. Que va-t-il se passer dans cette traversée du miroir ? « Eugénie » va être soumise à un homme. Pas n'importe lequel. Se marier de force avec « lui » « le roi Barbiche ». Nous sommes nos choix. Pas elle. Et pourtant, « Eugénie » cherche à percer les mystères sombres de sa vie. « Ecoutez moi attentivement, vous n'avez rien à craindre… Voyez-vous, en dépit de mon apparence de robuste quadragénaire, j'aurai bientôt mille ans d'âge… » Cette voix qui attire « Eugénie », lui annonce les prémices d'une vie douce. Est-elle sincère ? Le conte ouvre ses tiroirs. Ses passages secrets dans un tunnel où chaque pas prononcé signe l'histoire des fables insistantes. Il y a la teneur de « Edgar Allan Poe » et « Ses histoires extraordinaires ». L'emblème tenace des contes tels que « Peau d'Ane » « Barbe-Bleue ». Le rôle puissant d'une trame renommée dès sa première annonce car unique. Ici, règne le majeur. La glaise des légendes et bien au-delà des évènements, « Le chien noir » fait une entrée fracassante et parabolique. Il est là. Chien recueilli par « Eugénie » en route pour un voyage sans retour avec « le roi Barbiche » vers une île perdue à mille-mille dans les ténèbres des angoisses immortelles. On aime la subtilité de Lucie Baratte, ses signaux, ce qui renvoie à notre contemporanéité en filigrane. « Danses endiablées jusqu'au bout de la nuit, valse, twist, cha-cha-cha et fox-trot, jeux de société pour tous les goûts, du bridge au Monopoly en passant par le tric-trac et le nain-jaune. » Ce chien noir adopté par « Eugénie » qui est-il ? Lisez, je ne vous dirai rien. Juste ce relationnel entre « Eugénie » et lui. Cette osmose qui détourne le conventionnel. La ligne jaune n'est jamais franchie. La pudeur gracieuse de l'écriture remporte la palme d'un conte pour grandes personnes mais que les enfants adoreraient « Que vais-je faire toute seule sur une île déserte ? » « Eugénie » va franchir les frontières des interdits. « Le roi Barbiche » est parti pour un an. Lui laissant en main, ce qui est scellé et dont elle ne peut percer le secret. le Fantastique rentre en scène dans un jeu de lumières. le Sésame parabolique des mystères engloutis dans les souterrains. Et là, les amis ; « Le chien noir » est puissance, métaphore, magie d'outre-tombe. La dualité est actée. « On y entendait des cognements, et les flûtes des cavernes, des sonates de Chopin et la pop mélodique de Kate Bush… » « Le chien noir » oeuvre dans la grotte abyssale. Les tiroirs se referment. Le conte s'achève. Rien ne sera plus comme avant la première majuscule de ce temps qui accroche les histoires aux murailles d'éternité. Envoûtée, bousculée, étonnamment enrichie par cette matrice littéraire hors norme, je referme « Le chien noir » et je sais que ce conte est déjà culte. A noter : Une postface par Elisabeth Lemirre spécialiste du conte littéraire. Perfectionniste, en conférence d'une conclusion à ce merveilleux déployé, dévoile que Pascal Quignard notait « Les contes forment un genre presque inhumain ». Elisabeth Lemirre ajoute : « Humanisant l'Homme qui l'écoute ou qui le lit. » Publié par les majeures Editions du Typhon.
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Le chien noir

Prologue

Il était une fois un petit renard,

qui nous proposa un rencard,

un certain mercredi soir.

« Venez amis lecteurs, venez découvrir le chien noir. »

Parés de nos plus beaux habits,

nous découvrîmes alors l’auteure Lucie.

Devant tous ces yeux ébahis,

elle nous conta l’histoire d’Eugénie.

Et c’est ainsi que l’aventure commença,

entre le chien noir et les booksta.

Depuis nous n’avons plus qu’une envie,

C’est de vous la partager à vous aussi ....

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Chapitre 1

Il était une fois dans un pays lointain une jeune princesse Eugénie. Son père, le Roi Cruel, un passionné de décrets, la maria de force au mystérieux roi Barbiche. Ce dernier l’emmena alors dans son château fort fort loin. Un long voyage durant lequel elle rencontra un animal blessé, un certain chien noir...

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Quelle lecture! Un roman singulier qui sort du lot dans ces dernières parutions et nous replonge dans les histoires de notre enfance mais version adulte tout de même 😆!

Ici nous sommes à la frontière entre le conte et le roman gothique.

Conte car nous n’observons ni unité de temps ou de lieu et la réalité est exprimée par le biais du fantastique, du merveilleux. Sans oublier l’emploi à chaque chapitre du légendaire « il était une fois » .

Gothique, pour ce décor noir, lugubre et angoissant qu’est le château de Barbiche.

Barbiche, cet homme si charmant promettant à Eugénie amour et protection ... Trop beau pour être vrai? D’ailleurs, ce nom ne vous rappelle rien ? Un certain Barbe bleue peut-être ?!

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Dans ce premier roman, Lucie Baratte s’empare donc du conte pour traiter de la violence ( physique,sexuelle...), de la colère, de l’émancipation, du féminisme mais également de l’horreur et de la noirceur du monde. « Noir c’est Noir »

Par ce récit l’auteure a voulu rendre hommage à deux conteuses qu’elle affectionne : la baronne d’Aulnoy et Angela Carter

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Je serai certainement passée à côté sans cette rencontre pour le #VLEEL! Donc merci au 🦊. Et vous alors ? Il vous tente ?

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P.S: En fin de lecture, un site web vous invitera à rentrer dans l’univers mystique du chien noir ...
Lien : https://www.instagram.com/p/..
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Le chien noir

Il était une fois, un conte obscur mais non moins entêtant, tout de noir vêtu, cynique et captivant.



C'est l'histoire d'une princesse promise à un destin lugubre et inquiétant, qui rencontre « un jeune chien noir au beau pelage bouclé […] suintant le sang ».

C'est surtout le récit d'un mariage, conclu et consommé en deux temps trois mouvements : Eugénie est mariée à un homme venu d'ailleurs, plein de mystère et de danger.

Reine noire dans un château de granit aux murs magiques, où l'enchantement fait place à l'horreur, cette *Sweet Sixteen* est rapidement livrée à elle-même. Elle ne peut compter sur personne d'autre, hormis peut-être Chasseur, son doux compagnon, mais certainement pas son époux, le roi Barbiche – mi-Barbe Bleue, mi-Dracula. Car qui est obséquieux à souhait l'est nécessairement pour une raison. Plus le masque est poli, sous l'étendard de la séduction, et plus cruelle est la vérité, dans sa pâle nudité.

Il était donc une fois, une jeune reine (dé)laissée en son château, prenant peu à peu possession des lieux et fortifiant elle-même son esprit, en quête de liberté.



Lucie Baratte excelle dans l'art du conte. Elle manie le verbe haut & peint de sombres tableaux, d'une noirceur éclairée. Son récit est un pur délice, qui se boit jusqu'à la lie.
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Looking for Janis

Un bel hommage, une expérience à lire et à vivre.

Je ne suis pas forcément fan de Janis mais en lisant le livre je ressentais tout l'amour qu'éprouve Lucie Baratte pour son idole.

J'ai profondément apprécié l'univers visuel environnant, à la limite du journal intime et de l'album photo qui viennent enrichir les récits.

Bravo Lucie !
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Looking for Janis

Lorsque Lucie Baratte m'a contacté pour recevoir Looking for Janis, je dois dire que j'ai hésité avant de répondre positivement, ne connaissant pas du tout Janis Joplin. Mais la passion qui transpirait dans les lignes écrites par mail m'a convaincue.





Lucie Baratte est une grande fan de Janis Joplin, mais quand je dis une grande fan, le mot est faible. Alors n'ayant jamais pu rencontrer son idole, elle décide de s'envoler vers les Etats-Unis pour marcher dans les traces de son idole. Et quoi de mieux que la maison d'enfance de l'artiste pour commencer le périple. C'est donc au volant de sa Chevrolet que notre fan va parcourir les Etats-Unis pour découvrir et s'imprégner de l'univers dans lequel a évolué Janis.





A travers ce road-trip américain j'ai ainsi fait connaissance avec Janis Joplin. Plus je tournais les pages, et plus j'en apprenais sur cette artiste. Et je dois dire qu'après avoir refermé le livre, je suis allée sur Youtube pour découvrir les chansons de Janis.





C'est un magnifique livre que nous propose Lucie, agrémenté de magnifiques photos prises lors de son périple. L'écriture est fluide et très agréable à lire. A travers ses mots et ses photos, on arrive bien à s'imaginer toutes les émotions que ressent l'auteur. L'émotion est au rendez-vous.





Looking for Janis est un bel hommage d'une fan à son idole de toujours. Un hommage vibrant et touchant. Qui n'a pas rêvé de marcher sur les traces de son idole à défaut de pouvoir le rencontrer ? Et Lucie Baratte s'est donnée les moyens de le faire. Ce livre nous laisse un bien beau message : on peut réaliser ses rêves si on le veut vraiment.





Plus qu'un livre, Looking for Janis est un magnifique recueil de photos, de références musicales.
Lien : http://aubazaardeslivres.blo..
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Looking for Janis

Je ne connaissais pas du tout Lucie Baratte avant de recevoir son livre, et je connaissais Janis Joplin seulement de nom, ayant croisé quelques-unes de ses chansons sur YouTube au détour de mes errances musicales. J'ai un peu hésité à accepter ce livre, ne sachant pas si il me plairait et un peu aussi par manque de temps (Hum... Désolée pour le retard!). Mais une fois le livre refermé, je n'ai pas du tout regretté de m'être plongée dans cette lecture !

Looking for Janis c'est un livre où Lucie Baratte nous entraîne dans un road trip, à la poursuite de son idole. Très grande fan de Janis Joplin et n'ayant jamais pu la rencontrer – étant donné qu'elle est morte – Lucie Baratte s'envole, en direction des États-Unis, et pour marcher sur les traces de Janis.

C'est donc à la fois un beau-livre, illustré de magnifiques photos, mais aussi un hommage vibrant à une artiste musicale, un carnet de voyage... Bref, un livre très bien fourni !

(Voir mon avis sur mon blog.)
Lien : http://chezlechatducheshire...
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Looking for Janis

Ce qui m’a tout d’abord frappée en regardant le livre, c’est qu’il s’agit d’un très bel objet. En le feuilletant rapidement, on constate qu’il y a de très beaux clichés et qu’il s’agit d’une invitation au voyage.



Dans Looking for Janis, Lucie Baratte nous emmène à ses côtés lors de son roadtrip aux Etats-Unis sur les traces de son idole : Janis Joplin.



J’avoue j’aime l’univers de Janis mais pas au point d’en être fada comme l’auteure. Cependant, en lisant ce carnet de bord, je me suis immédiatement retrouvée en plein voyage avec Lucie Baratte. A travers ses écrits (qui étaient à l’origine sur un blog), le lecteur ressent tout l’amour et l’émotion de l’auteure pour la chanteuse et ce que l’on pourrait considérer comme un pèlerinage.



Ce livre est un mélange du carnet de bord et de l’album photo. Le résultat rend parfaitement bien et fait honneur à cette jeune chanteuse au destin tragique.



Un ouvrage que tous les admirateurs de Janis Joplin devraient posséder.
Lien : https://desplumesetdeslivres..
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Looking for Janis

Un livre, ou plutôt une expérience, riche en émotions !

Lucie Baratte vit sa passion pour Janis avec des sentiments et des anecdoctes qui sentent le vécu (le sien, mais aussi un peu le mien en fait). Un livre aussi vrai que Janis pouvait l'être.



Un incontournable pour toutes celles et ceux qui ont épuisé les autres livres sur leur idole.
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