Lucinda Riley

Premier tome de la célèbre saga et je dois dire que ce fut une bonne surprise.

J'ai beaucoup aimé la dimension voyage de ce récit. On apprend pas mal de chose sur le Brésil et son histoire à travers les yeux de Maïa. D'après ce que j'ai compris, l'autrice était passionnée de voyages, et cela se sent dans son récit.

La recherche des origines de Maïa nous permet de découvrir l'histoire du Christ Rédempteur. J'ai trouvé cette dimension vraiment intéressante car je n'avais pas de connaissances sur ce sujet.

La romance est également bien menée sur deux périodes historiques distinctes.

Seul bémol pour moi, mais qui n'est pas très grave : le milliardaire qui adopte six filles et qui à sa mort leur laisse un jeu de piste pour découvrir leur origine n'est pas très crédible.

En conclusion, une lecture qui donne envie de continuer la saga.

C'était LA sortie que j'attendais en 2021, le tome 7 de ma saga préférés... malheureusement il ne remplit absolument pas mes attentes... 

Ça commençait pourtant plutôt pas mal; au début on retrouve par chapitres interposés toutes les soeurs, ce qu'ils sont devenue depuis que nous les avions suivis dans leurs tomes respectifs ... Cette piqure de rappelle fort agréable.



Ensuite la construction du livre est toujours la même on alterne passer présent mais avec plusieurs temporalités du coup déjà j'ai trouvé que ça apportait énormément de longueur....



Dans la partie la plus historique on retrouve Nuala, seul personnage que j'ai bien aimé, pendant la guerre d'Irlande, je ne connaissais pas trop cette histoire donc j'ai trouvé ça intéressent, mais tellement peu interaction vis-à-vis ne cala qu'inutile...



Dans la partie actuelle nous retrouvons Merry la mère et Mary-kate la fille, originaire d'Irlande mais Vivans en Nouvelle-Zélande on ne sait pas laquelle est ladite sœur mais Merry est vraiment un personnage que je n'apprécie pas. 



En temporalité intermédiaire on retrouve l'enfance de Merry.



L'intrigue de Pa Salt, présente depuis le tome 1 et qui s'est accusés au fil du temps arrive a son point culminant mais nous laisse clairement en plan pour au final que le tome 8 lui soit consacré.

Pour moi ce tome est clairement un leurre, car on y apprend aucune réponse, si ce n'est dans les 2 dernières pages... 



Tout est LONG, très long... Normalement un tome de cette saga je le lis en 3/4 jours max, là il m'a fallu presque 15 jours avec vraiment une saveur amère...J'ai eu du mal à retrouver la plume si particulière de Lucinda Riley; quant à la fin... clairement pas a la hauteur de ce qu'elle nous avait habitué.



Ce n'est pas une déception non plus, mais clairement pour moi le moins bon de tous les tomes ( de tous les Lucinda Riley globalement d'ailleurs)



☝ Les plus :

- Toutes les sœurs

- L'histoire D'Irlande

- Nuala



👇 Les moins :

- Les longueurs

- On tourne en rond 



 

Quand on est une habituée des romans de Lucinda Riley on sait exactement à quoi s'en tenir avec son écriture et on sait qu'on ne sera pas déçue.

Cela dit, j'ai trouvé celui-là un peu trop romancé mais il faut bien noter que c'est l'un de ses premiers titres publié sous le pseudo de L.Edmonds alors on se doit de montrer une certaine indulgence quant à l'écriture ainsi que les tenants et aboutissants. C'est en lisant ce roman que je m'aperçois de l'évolution et la richesse de son écriture et certes j'ai vraiment eu l'impression de lire un roman Harlequin mais je m'en suis délectée, sans aucune gêne et je crois même que j'avais vraiment envie de passer un très bon moment romanesque avec les feux de la passion, les trahisons, la vengeance et toutes les émotions qui peuvent nous gagner à la fin du bouquin.

Eh oui j'ai savouré ma lecture avec plaisir, de temps en temps ça fait du bien.

A force de voir passer cette auteure un peu partout, je me suis lancée. J'en attendais beaucoup ce qui explique que j'ai eu une déception, je m'attendais à un côté historique un peu plus développé. Il s'agit plus d'une saga familiale, l'histoire de deux familles liées sur un siècle. C'est parfois assez tiré par les cheveux, mais les personnages sont agréables. L'histoire m'a très souvent fait un pincement au cœur. Amour, trahisons, mais aussi tout faire pour sauver ses enfants, les drames parcourent cette histoire. Malgré tout, il ne s'agit pas du tout d'un roman à l'eau-de-rose. C'est triste, mais pas mièvre. Il y a de l'amour, mais pas de la guimauve. Le style est agréable, on se laisse porter par l'histoire et l'écriture.

J'ai déjà un autre livre de cette auteure prévu dans mes toutes prochaines lectures.
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Je n’aurais jamais lu ce roman s’il n’avait pas été dans le catalogue Netgalley. J’apprécie beaucoup les livres audio que j’écoute durant les dialyses, c’est un bon moyen de faire passer agréablement ces quatre heures trois fois par semaine, surtout cela me permet de découvrir des ouvrages qu je ne lirais pas en format papier. Ce livre en est l’exemple typique, je n’en attendais pas grand chose vu son côté bestseller et mon peu de goût pour les sagas interminables, mais j’ai été agréablement surprise. On est loin du coup de coeur, mais tout autant du livre à fuir absolument.



Maya apprend le décès de son père, un homme mystérieux et très riche qui possède une superbe demeure au bord du Léman (appelé ici le lac de Genève, le renseignement est pourtant facile à trouver sur le net !!). Maya a cinq soeurs, chacune portant le nom d’une étoile de la constellation des seps soeurs justement. Pa Salt a adopté ses filles bébés dans différents pays. Il lègue à chacune, outre l’assurance de revenus plus que confortables, une lettre et un indice sur leurs origines. D’abord Maya ne s’en préoccupe pas, mais un coup de fil de son ex qu’elle désire éviter la convainc de s’envoler pour Rio. Là bas elle rencontrera un romancier qui l’aidera à enquêter sur son passé.



La partie qui concerne son arrière grand mère est nettement plus intéressante que la partie contemporaine où on devine la romance entre Maya et son beau guide dès les premiers mots. Isabella était une jeune fille de la haute bourgeoisie dans les années 1920, elle a voyagé à Paris où bien sûr elle est tombée amoureuse. Cette partie historique est très intéressante avec la conception et la construction de la statue du Christ qui domine Rio, le vie des privilégiés de l’époque puis la crise économique. La condition féminine n’est pas très enviable, le mari a évidemment tous les droits, Isabella essaie difficilement de se faire sa place dans sa belle-famille.



Il y a beaucoup de clichés, de nombreuses inexactitudes sur la Suisse où l’anglais serait une des trois langues nationales. Je suppose qu’il y en a autant sur le Brésil, mais je ne les ai pas détectées ne connaissant pas ce pays. Certaines thématiques sont vues et revues, comme l’adoption, la recherche des origines. Comme par hasard, Maya est issue d’une grande famille, avant d’être adoptée par un millionnaire, ça ne sonne pas très réaliste. Je suppose que l’histoire des autres soeurs est du même style, mais je ne compte pas lire la suite de cette saga. J’ai passé un bon moment mais sans plus et je n’aurais certainement pas la patience de lire la suite en version papier.



Un grand merci à Netgalley et Audiolib pour cette découverte.



#LesSeptSoeurstome1 #NetGalleyFrance !
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Avec notre chouette groupe des #lucindasaddicts, après avoir dévoré la saga des 7 soeurs, nous lisons tous les romans "one shot" qu'elle a pu écrire. Ce mois-ci nous avons découvert Le Secret d'Helena.



Helena, une jeune quadra, est à la tête d'une tribu recomposée. Mère de 3 enfants, seuls ses deux cadets sont les fruits de son amour pour son mari William, qui a lui même également eu une fille ado d'un premier lit. Vous suivez ?



Alors qu'ils rejoignent Chypre pour des vacances, la famille investit Pandora, une bâtisse typique de l'île dont a hérité Héléna de son parrain, Angus.



Les amis de la famille ne tardent pas à débarquer eux aussi pour profiter de vacances à l'oeil dans un cadre paradisiaque...



Helena, elle, est troublée par son retour sur l'île de ses folies adolescentes, ce qui ne manque pas d'échapper à son mari mais surtout à son aîné, Alex, un ado sensible et très intelligent.



Quels secrets abrite Pandora ? Qui est ce mystérieux Alexis qui semble connaître sa mère mieux que personne ?

Va t'il enfin découvrir le nom de son père ?



Il s'agit ici d'un roman original de par sa construction. On alterne entre narration classique et la lecture du journal intime d'Alex, et de toute sa sensibilité. C'est, je crois, la première fois où un livre de Lucinda est raconté d'un point de vue masculin .



Et toi, tu aimes cette autrice? Tu veux changer des doubles temporalités? Tu aimes lez secrets de famille ? les voyages ? Il est fait pour toi 💕



Bonne journée !

Alors je ne vais pas faire original pour cette fois mais ce livre est le premier que j'ai terminé quand j'ai commencé l'aventure bookstagram il y a 6 mois et il était temps que je le commente un peu ☺️



Ce livre, pour les deux du fond qui n'ont pas suivi, c'est le tome 1 d'une saga de 7 livres nommée les Sept sœurs, écrite par la regrettée Lucinda Riley



On suit l'histoire de jeunes femmes, adoptées aux 4 coins du monde lors de leurs premiers moments, par un milliardaire surnommé affectueusement Pa Salt. Toute ressemblance avec le scénario d'Umbrella Academy s'arrêtera là ^^



Le roman commence lorsque l'aînée des 7 apprend le décès de leur père adoré. Dès lors, les filles rejoignent leur maison natale située en Suisse pour rendre un dernier hommage à celui qui les a élevées.



Il leur laisse des indices pour en apprendre plus sur leur passé, et cela conduit Maïa, à Rio, sur les traces de son aïeule au destin extraordinaire...



J'ai beaucoup aimé ce roman, empli de bons sentiments et de romantisme. On voit arriver les romances de loin mais pas grave : on ne lit pas ce roman pour son suspense.

Une partie de l'histoire se passe à Paris et là j'ai vraiment regretté les énormes clichés de cuisses de grenouilles, pain vin et fromage... Mais c'est ainsi que l'on voit les français, il paraît 😅



Il m'a donné envie de lire toute la saga et je vais tenter de me procurer les tomes en grand format aux magnifiques éditions Charleston

Une jeune journaliste, Joanna est envoyée, au pied levé, par son chef, couvrir les obsèques d’un acteur connu. Pendant la cérémonie, une vieille dame assise à côté d’elle fait un malaise et Joanna la ramène chez elle. Peu de temps après, la jeune femme reçoit un courrier mystérieux de cette inconnue lui demandant son aide et la priant de garder cette requête secrète.





La curiosité de Joanna est aiguisée. Cependant, si elle ne sait pas ce qu’elle cherche, d’autres personnes semblent déterminées à ce qu’elle ne le trouve pas.





En grande fan de Lucinda Riley, j’ai lu ce roman sans connaître le sujet ni les avis. Je m’attendais à une histoire d’amour. Même si j’ai retrouvé tout ce que j’aime de Luncida Riley, j’ai été surprise d’être plongée dans un livre au rythme trépidant. Joanna est mêlée à une enquête périlleuse et extrêmement dangereuse qui concerne la royauté anglaise. Aussi, les services secrets, le MI5 sont sur les dents et les dommages collatéraux sont tragiques.





La lettre d’amour interdite est un mélange de thriller et de saga romanesque. J’ai eu un gros coup de cœur pour ce roman, j’ai été passionnée par les secrets, les histoires d’amour, celles d’amitié et par les questions d’éthique qui le composent. Même si les intrigues au sujet de la famille royale anglaise sont fictives, elles interrogent sur la mission et les pouvoirs des services secrets. Le suspense et les rebondissements m’ont tenue en haleine, d’autant plus que la partie romantique a provoqué un tel attachement aux personnages, que ma peur, mais aussi ma peine, à certains moments étaient très fortes.





Énorme coup de cœur.❤️
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Un coup de cœur mais…..

Voici un roman qui m'a agréablement surprise et j'étais loin de me douter que j'allais le dévorer à la seconde partie. Un roman qui commence doucement avec l'entrée en scène d'Aurora qui raconte son histoire à l'heure actuelle. Elle nous plonge des années en arrière avec sa rencontre avec Grania, une jeune femme qui vient de connaitre un drame et retourne vivre dans sa maison familiale en Irlande. Grana fera la rencontre d'Aurora, 8 ans, sur une falaise. Ce sera le début d'une belle histoire d'amour, le plus pure et surtout un plongeon dans les histoires de familles et leurs secrets.

Lucinda Riley construit son roman sur plusieurs générations pour expliquer le lien entre ces deux jeunes femmes. Pour cette partie là, j'ai eu du mal à rentrer dans les histoires de famille que j'ai trouvé complexe à comprendre jusqu'aux révélations surprises et on se demande où l'auteure veut en venir.

Il est vrai qu'elle commence avec une histoire d'amour conflictuelle Grania/Marc et nous présente Mary l'arrière grand mère de celle ci et l'on se demande où l'histoire va t'elle se connecter, où il y aura des liens évidents.

La famille Lisle/Ryan se connaissent depuis plusieurs générations et à chaque fois qu'ils sont entrés en contact, un drame est survenu. Avec La jeune fille sur la falaise, Lucinda Riley a voulu conjurer le sort avec la rencontre Grania/Aurora. Elle nous offre une boucle qui se ferme avec ces deux héroïnes.

L'auteure nous charme avec ses secrets de famille, ses révélations chocs qu'elle distille doucement mais surement. Elle nous surprend même parfois alors qu'on voit le traquenard arriver grand comme une maison. Elle fait évoluer ses personnages forts et on se retrouve même à aimer ou détester parfois ces deux familles.

Des destins tragiques, des drames familiaux qui ont crées de la rancœur. Lucinda Riley apporte le pardon dans la plus belle des manière : l'amour…..

Malgré un enthousiasme évident, je reste sceptique sur certains âges de nos héros. Impossible de donner un âge à Kathleen et Alexander qui reste un détail important pour la trame et surtout pour que le lien "physique" soit plausible entre Aurora et Grania.

Un roman qui offre un happy end dans un premier temps et vous bouleverse dans un second temps. Une très belle histoire d'amour entre des mères et leurs filles. Une jolie rencontre au salon du livre avec l'auteure et ma binôme Missnefer...

Ce nouveau tome est un long voyage qui nous fait remonter le temps à partir de 1906, et démarre à Edimbourg en Ecosse jusqu'en Australie, en passant par la Thaïlande. Cette lecture est un véritable dépaysement. La découverte de l'Australie sauvage et naturelle, avec la traversée de la région de l'Outback jusqu'au Nord-Ouest du pays, en passant par Adélaïde et Alice Springs est passionnante. L'autrice nous fait également parcourir la région du Never Never jusqu'à Hermannsburg, un voyage extraordinaire aux confins du désert australien à la rencontre du peuple aborigène autochtone. La plume de Lucinda Riley est tellement précise et détaillée que j'ai vraiment eu l'impression d'explorer l'Australie avec CeCe.

Comme ses soeurs, CeCe a une personnalité très intéressante. C'est une grande voyageuse et une artiste dans l'âme. La peinture est sa passion. Elle sait reproduire des oeuvres avec beaucoup de sensibilité et de coeur. Lorsque sa "jumelle", Star, s'éloigne d'elle pour retrouver ses origines, CeCe décide également de prendre le large et de partir à l'aventure direction l'Australie, le seul pays qu'elle n'a encore jamais visité. Proche de ses racines, ce sera finalement là-bas qu'elle trouvera du réconfort et se sentira chez elle.

[...]

"La soeur à la perle" est une évasion, un magnifique voyage au bout du monde. Les chapitres alternent entre fiction et récit historique évoquant l'histoire des premiers colons, le traitement des aborigènes, leurs croyances, le milieu industriel et la légende de la perle rose. Avec une plume toujours aussi envoûtante et addictive, Lucinda Riley m'a totalement emporté dans cette lecture. Il ne me reste plus qu'à attendre patiemment le cinquième tome.
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A la mort leur père, Ally et ses sœurs se réunissent dans la propriété familiale au bord du lac de Genève en Suisse. Les six filles ont toutes été adoptées aux quatre coins du monde.

Après les funérailles, le notaire remet à chacune d'entre elles une lettre écrite de la main de leur père comportant un indice sur leurs origines avec les coordonnées géographiques de leurs lieux de naissance respectifs. Celles d'Ally, la deuxième des sœurs, la conduisent entre Oslo et Bergen, au cœur des fjords. Elle va rencontrer les descendants d'Anna, virtuose, et de Jens, un grand musicien du XIXème siècle. Ces rencontres vont la mettre sur la piste des origines de sa naissance.



"La sœur de la tempête" est le deuxième tome sur les sept annoncés de la fameuse saga familiale des "Sept sœurs". Pour rappel, Maïa, Ally, Star, CeCe, Tiggy et Electra sont six sœurs qui portent respectivement les noms des Pléïades "Les sept sœurs", la constellation préférée de Pa Salt, leur père. Elles ont toutes été élevées à Atlantis, la demeure familiale située sur les bords du lac de Genève.

Après nous avoir conduit à Rio de Janeiro sur les traces de l'histoire familiale de Maïa dans le premier tome, l'auteure nous embarque ici en Norvège à la découverte du passé de Ally.



Ally est la fille adoptive de Pa Salt. Elle est navigatrice et musicienne. Son goût pour la navigation lui vient de son père qui l'a initiée à la voile dès son plus jeune âge. Mais Ally a un autre talent caché, c'est une musicienne de talent même si elle ne joue plus aussi souvent de son instrument. Theo son fiancé était un navigateur. Il a péri en mer, emporté par une grosse vague, lors de sa dernière course qui s'est déroulée dans des conditions météorologiques extrêmes. Ally n'était pas sur le bateau lors du drame, Theo ayant refusé de l'avoir à ses côtés en raison de la dangerosité de l'étape. Avec un courage hors norme, elle a dû faire face non seulement à la mort de son père puis maintenant à celle de l'homme qu'elle aime.

Après les obsèques de Theo, elle va se concentrer sur les indices laissés par son père : un livre écrit en norvégien par Jens Halvorsen, la figurine d'une petite grenouille ainsi que des coordonnées géographiques la conduisant tout droit à Oslo.



Après avoir fait traduire le livre, Ally se plonge dans le récit qui la conduira sur la piste de Anna Tommasdatter Landvik, chanteuse dans la pièce musicale "Peer Gynt", et de celle de Jens Halvorsen, l'auteur du livre, qui fut lui-même un grand musicien dans les années 1875.

Lucinda Riley nous emporte ainsi sur les traces de personnalités qui ont réellement existées telles que Henrik Ibsen, l'auteur de la pièce, et Edvard Grieg, le compositeur.



Il est difficile d'en dire plus sur le récit sans en dévoiler les mystères. L'écriture de Lucinda Riley est toujours exceptionnelle et maîtrisée que ce soit dans la fluidité du texte ou dans les descriptions nombreuses parfaitement bien étayées. Elle a procédé à un grand travail de recherches sur l'histoire de la Norvège, sur la biographie des personnages, et sur la genèse de la pièce de théâtre.

Autour de l'histoire d'Ally, on découvre une partie de l'histoire d'un pays que l'on connait très peu, [...]



"La sœur de la tempête", c'est de la romance, du suspense, du voyage.

L'auteure est une merveilleuse conteuse, alternant passé et présent d'une manière très structurée. Le livre fait 600 pages, mais c'est un vrai page-turner. Son écriture nous transporte aux quatre coins du monde avec plaisir et envoûtement. Une lecture totalement addictive.
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Une histoire qui se laisse suivre avec des personnages envoûtants, des destins tragiques ou étincelants. Une saga familiale comme je les aime avec des secrets, des rebondissements, de l'amour, du désamour et cela sur une période de cent ans. J'ai aimé la façon dont tout se dénoue petit à petit, les personnages sont fouillés et tellement bien dépeints que l'on ne peut que ressentir fortement les émotions qu'elles soient de joie ou de tristesse. Les personnages féminins sont des personnages de femmes fortes, courageuses et sont à l'opposé des ravissantes idiotes dont on nous abreuve la plupart du temps. Là elles prennent leur destin en main et se battent pour leurs convictions...



L'écriture est aérienne et douce par moment et plus âpre et triste à d'autres ce qui nous fait passer par une palette d'émotions. J'aime décidément beaucoup cet auteur dont le dernier livre que j'ai lu " les sept soeurs" m'avait vraiment conquise. La fin m'a surprise et j'ai eu du mal à m'en remettre mais je ne dirais pas si cela finit bien ou mal pour vous laisser le découvrir .



C'est un hymne à l'amour sous toutes ses formes et à travers le temps et les âges, on se laisse porter et les pages se tournent rapidement et sûrement, un vrai page turner.



VERDICT



Encore un super livre à ajouter à la longue liste des livres de qualité des Editions Charleston. Pour toutes les romantiques, ce roman est le roman qu'il faut lire.
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Contente de poursuivre tranquillement cette série. Dans ce tome-ci, c’est l’histoire de la 5e sœur qui nous est raconté, Tiggy. Elle vit en Écosse, sur une terre, dans l’espoir de préserver des races d’animaux en danger. Encore bouleversée par la mort de son père, elle lit, et relit la lettre que ce dernier lui a laissée. Cette missive l’amènera en Espagne. C’est donc dans ce pays qu’elle trouvera son origine. Enfant d’une longue lignée de Gitans. C’est le prétexte pour Riley de nous parler de la guerre civile, de flamenco, de musique… J’ai trouvé ce tome un peu longuet, peut-être moins sensible à l’histoire de Lucia, cette jeune prodigue de la danse. Certes, nous avons encore à faire avec des femmes au fort caractère, mais bon… J’en ressors moins emballée qu’avec les tomes précédents. Pas assez, par contre, pour m’empêcher de lire l’histoire d’Electra, qui m’intrigue vraiment.

Voilà un roman qui patientait depuis bien longtemps dans ma PAL, mais qui n'aurait pas dû! C'est une lecture prenante, passionnante; un roman que j'ai dévoré.

On y rencontre Maia, une des six filles que Pa Salt a adoptées.

A sa mort, le vieil homme, aussi secret sur sa vie professionnelle que sur l'origine des filles, leur laisse quelques indices afin que, si elles le désirent, elles puissent en apprendre davantage sur leurs parents biologiques.

La première à chercher est Maia, et cette quête va la conduire au Brésil en la plongeant dans une histoire dont le tournant eut lieu dans les années 20.

Je ne tarderai pas à découvrir la suite :)

Après avoir lu des avis dithyrambiques sur le talent de romancière de Lucinda Riley, j’ai choisi de me plonger dans La Lettre d’amour interdite, écrit en 1995 mais publié seulement en 2017 et quelle jolie lecture !



Comment résumer en peu de phrases la complexité de l’intrigue ? Joanna Haslam, une jeune journaliste du Morning Daily, doit rédiger un article-hommage à Sir James Harrison, acteur légendaire tout juste disparu à l’âge honorable de 95 ans. Sa rencontre avec Rose, une dame âgée, va mettre Joanna sur la piste d’un terrible secret qui pourrait compromettre la monarchie britannique…



Voilà le point de départ de ce « thriller » foisonnant, sans temps mort, où célébrité, espionnage, mensonges, meurtres et suspense conduisent le lecteur vers un final surprenant ! L’écriture de Lucinda Riley est de qualité, étoffée et enrichie de détails « cinématographiques », nous permettant de nous immerger complètement dans le récit.



La richesse de cette histoire, outre l’imagination féconde de son auteure, réside incontestablement dans sa galerie de personnages, extrêmement réalistes, dans leur bonté comme dans leur cruauté. Joanna m’a bien évidemment marquée, en tant qu’héroïne déterminée qui va jusqu’au bout de ses résolutions, tout en présentant des défauts qui ne la rendent que plus humaine. J’ai également admiré Marcus Harrison, pour son côté gentleman, sa générosité cachée et l’amour qu’il porte à Joanna ; Zoé Harrison, pour sa force, son talent et son intelligence ; ou encore Alec, pour son soutien et son amitié. En revanche, les autres personnages (à l’exception de Jamie) m’ont déplu, y compris le personnage de Simon pour lequel je garde un sentiment mitigé…



Enfin, j’ai été séduite par l’ensemble des thèmes proposés dans le roman, du quotidien d’une célébrité aux coulisses du service de renseignement britannique, en passant par le travail d’un journaliste, ou encore le « devenir » d’un ex-agent secret et ce, au cœur de l’enquête menée de A à Z par la brillante Joanna Haslam.



Ce roman est donc une magnifique découverte, que je ne peux que recommander, pour la beauté de son récit, nous dévoilant le mystère d’une lettre d’amour interdite, de son auteur et de sa destinataire…



A lire !

Au début j'aimais ce livre avec tous ces mystères (même tirés par les cheveux). Quand on est partis au Brésil et qu'on a commencé à remonter dans le temps, j'ai été ravie du voyage, avec l'histoire de la célèbre statue du Christ, et j'ai été captivée au départ, par l'histoire de l'arrière grand-mère Izabela. Et je m'arrête là pour les points positifs, car ce livre m'a posé pas mal de problèmes. D'emblée, je n'ai pas du tout adhéré à la romance d’Izabela, pour plusieurs raisons. Déjà je n'apprécie pas les histoires qui sont basées sur l'infidélité - même si je compatis avec la situation d'Izabela qui fait qu'elle est essentiellement piégée dans sa condition féminine du début du 20ième siècle - mais pas totalement quand même, car elle a fait un choix. Ensuite, toute cette histoire d'amour est basée à 100% sur le fait qu'Izabela est belle, superbe, magnifique, la plus belle femme de Rio, la quintessence de la féminité et que sais-je encore, comme on nous l'a répété à 1000 reprises. Je n'aime pas les histoires d'amour qui ne sont basées que sur l'apparence extérieure. C'est facile, c'est superficiel, c'est cliché, c'est vide. J'ai trouvé risible l'unique tentative qui a été faite de nous montrer qu'il n'y a pas que pour son physique que Laurent est amoureux d'elle. Je déteste également que des gens honnêtes, sincères et généreux se fassent mener en bateau comme le fiancé, qui a le tort immense de ne pas être beau. Je plaignais Gustavo, jusqu'à ce qu'il se transforme soudainement en semi-violeur alcoolique (soit dit en passant, ça ne colle pas du tout avec la personnalité qu'on nous a montrée jusque là). Et là j'ai été dégoutée par cette histoire. Car ce n'est pas parce que Gustavo s'est changé en animal en rut, que Laurent et Izabela me sont apparus sympathiques pour autant. J'ai perdu toute envie de lire ce livre et je suis allée directement à la fin.

C'est la superficialité qui domine dans ce roman. Presque tout le monde est beau - sauf ceux qui ne sont pas dignes d'être aimés (c'est d'ailleurs à ça qu'on les reconnaît).

Et que dire des domestiques ? J'ai trouvé ça tout à fait dérangeant l'emploi de ce terme de "domestique" de nos jours au 21ième siècle. Domestique noirs au demeurant, et qui n'ont d'autres soucis dans la vie que les problèmes de leurs maîtresses. Je me suis presque crue dans "autant en emporte le vent" avec "Ma'am Scarlet". J'ai noté également que les domestiques en question restaient domestiques de mère en fille, jusqu'à nos jours.

J'ai aussi relevé une phrase de Maia qui s'émerveille du fait que Floriano ait choisi d'élever sa fille seul alors qu'il aurait pu la confier à ses grands-parents. Un père n'est donc pas tenu d'élever son enfant ? C'est une option ? Ravie de l'apprendre.

Breeeef ça avait bien commencé et c'est parti en eau de boudin pour moi. J'ai abandonné le livre aux 3 / 4.

Maïa a été adoptée très jeune par un richissime et mystérieux homme d'affaire. Très vite rejointe par d'autres gamines issues de régions différentes du monde, elles ont chacune un caractère bien à elle et un destin qui va nous être raconté au travers de 7 romans revenant chacun sur le passé d'une des filles.

A tout seigneur, tout honneur et c'est donc l'ainée qui a le rôle principal de ce premier volume...ou pas tout à fait.

Car le mystérieux papa a donné à chacune de ses filles un indice pour partir à la recherche de ses origines...ce qui va mener la jeune Maïa (plus belle que le jour, évidemment) au Brésil sur les traces de...son arrière grand-mère.

Bon, j'ai passé un bon moment. J'ai voyagé, j'ai été dépaysée, j'ai appris plein de choses et je me suis même amusée (un peu au dépends de l'auteur, je ne le cache pas) mais je ne garderai pas de souvenir mémorable de cette lecture que j'ai trouvée assez plate, très prévisible et manquant singulièrement de la passion que j'en attendais. Ca se résume, finalement, à deux histoire d'amour très soft et sans réelles surprises.

De plus, j'ai trouvé le décalage entre les générations surprenant...l'histoire est touchante, je ne dis pas, mais ça n'éclaire pas vraiment le 'mystère de la naissance' de Maia...

Je tiens, toutefois, à souligner le travail de recherche opéré par l'auteur. Il y a beaucoup d'informations qui sont transmises et j'ai trouvé ça très intéressant. Il y a quelques grosses erreurs techniques...mais qui ne choqueront que les gens qui s'y connaissent un peu en sculpture...

Vais-je lire la suite? Je ne sais pas encore trop, je me tâte... J'ai peur de retomber sur le même schéma.

Je vais donc sans doute un peu attendre avant de prendre une décision.

Je ne connaissais pas Lucinda Riley et c'est en lisant les commentaires élogieux sur Babelio que j'ai décidé de découvrir cette auteure. J'avais envie d'une lecture légère mais intelligente et le thème original de cette saga m'a plu.

J'avoue être entrée très facilement dans l'histoire. Les personnages sont attachants et le côté "fleur bleue" raffraichissant. Cela faisait bien des années que je n'avais pas exploré cet univers là!

Les allers-retours entre passé et présent sont bien construits, on ne s'y perd pas. Le style est très plaisant. J'ai entamé le 2eme volume construit sur le même schéma que le premier. J'espère ne pas tomber dans la lassitude. Il y a 7 sept soeurs tout de même, chacune d'entre elles ayant droit à plus de 600 pages.

Le charme opère pour l'instant.

Vous vous attendez tous à une romance au cœur de la royauté anglaise ? Oui, il y en a … mais ce n’est pas l’essentiel de l’histoire. Et c’est une très belle surprise. Moi qui craint toujours les romances, je suis ravie que l’ensemble ne tournait pas qu’autour de ça. Ça m’aurait sûrement lassée. Contre toute attente, ce fût un véritable coup de cœur. Oui, vous avez bien lu. J’ai dévoré ce roman tant il est addictif.



Je me suis beaucoup attachée aux personnages de Joanna et de Marcus. Tous deux se battent pour se garantir un avenir stable et fidèle à ce qu’ils recherchent. Non sans mal et peu importe leurs classes sociales respectives. J’ai bien aimé Zoé également, même si elle est moins battante que son frère. J’ai adoré détesté Simon … jusqu’à la fin.



L’écriture est simple, belle et efficace. Ce qui en fait un très bon page-turner. Toutefois, on est pas dans une romance. Disons que c’est une romance entremêlée à un mystère royal et donc à une enquête. C’est ce qui a rendu cette intrigue absolument captivante. C’est un roman terriblement bien construit.



Le suspens est à son comble. Jamais je ne suis parvenue à deviner la fin de l’histoire, ni le mystère qui entourait la famille royale. J’ai été baladé de bout en bout.



Je retiens quand même un petit bémol sur la fin : ça m’a semblé trop facile. J’aurais préféré la première fin que l’auteur nous a cruellement fait envisager. Elle paraissait plus plausible. Mais bon, je ne lui en veux pas et ne lui en tient pas rigueur.

Un roman d'une auteure irlandaise que je découvre et qui m'a procuré un plaisir incroyable à la lecture.

Ce livre a été tellement prenant pour moi que je n'ai pu le lâcher jusqu'à la fin.

Un secret de famille à découvrir,  des liens transgénérationnels à suivre tout au long de l'intrigue mais aussi beaucoup de thèmes abordés comme l'amour, la mort, le deuil enfin tout ce qu'on peut avoir dans une saga et comprendre le pourquoi du comment d'une famille et sa descendance.

Tout se comprend au fil des pages, tout se rejoint et les émotions sont forcément là avec leur lot de rebondissements.

Une bien belle lecture romanesque mais loin du conte de fée ou du roman à l'eau de rose mais tellement agréable qu'on ne voudrait pas qu'il se termine.