Lucinda Riley

Si j'aime tous les genres littéraires, j'ai un petit faible pour les sagas familiales qui nous plongent dans le passé et mettent en avant les femmes.

Dans La jeune fille sur la falaise, l'auteure s'attache justement au statut des femmes au siècle dernier et l'évolution de la place de la femme dans la société. Pas toujours évident. Elle reprend, ici, la même trame et insiste sur l'importance des origines pour tout un chacun, mais aussi sur celles des parents d'adoption. Et de se poser ces questions : qui sont véritablement nos parents ? Ceux qui nous mettent au monde, ou ceux qui nous élèvent et nous chérissent ? Peut-on vivre sans connaitre nos origines ?

Dans ce premier opus, Lucinda Riley nous présente la fratrie composé de 6 sœurs et non pas 7 comme l'annonce le titre, suscitant rapidement notre curiosité. Le père qui vient de décéder est un personnage très énigmatique que même ses propres filles ne connaissent pas vraiment. Quel secret cache cet homme mystérieux qui a adopté, élevé, aimé des enfants ramenés de ses voyages autour du monde à qui il a donné les noms des Pléiades. Une petite leçon d’astronomie et de mythologie s'impose et le lecteur de se demander pourquoi ce choix saugrenu. Nous avons donc, de la plus âgée à la plus jeune : Maïa, Ally, pour Alcyone, Star pour Aspérode, CeCe pour Célono qui n'ont que quelques mois d'écart et se comportent comme des jumelles, Tiggy pour Teygete, Electre la benjamine. Une Mérope manque à l'appel et pourtant son nom apparaît sur la sphère armillaire, objet d'une grande importance dans cette énigme. Et de nous poser cette autre question : pourquoi Pa Salt n'a-t-il adopté que des filles ?

Beaucoup de questions, il ne manque plus que les réponses . L'auteure nous révélera quelques indices pour les trouver alors que nous suivons Maïa dans la quête de sa famille.

L'ambiance est magique, un peu féerique, avec le refuge et lieu de vie de nos protagonistes, au nom mythique d' Atlantis, des références à la mythologie, et l'auteure en fin de roman nous surprend avec ses explications sur certains de ses choix et nous renvoi sur son site, dans lequel on en apprend beaucoup sur la conception de cette saga.

Vous l'aurez compris, ce roman est ludique et éducatif. Lucinda Riley ne fait pas les choses à moitié. Elle mêle personnages fictifs à personnages ayant existé et nous transporte dans le passé à travers un voyage au Brésil à l'époque contemporaine et celle de la construction du Christ Redempteur qui surplombe Rio. Tout ceci ne fait qu’aiguiser ma curiosité et ma soif de connaissances.

C'est aussi à Paris dans les quartiers populaires, à la Closerie des Lilas, quelle nous fait rencontrer des artistes célèbres, écrivains, musiciens, sculpteurs, peintres... J'avoue avoir été surprise de trouver ce restaurant en plein coeur de Montparnasse alors quartier artistique, alors que je l'imaginais à Montmartre.

C'est à travers les lettres de son arrière-grand-mère que Maïa va nous ouvrir la porte sur la condition féminine dans les années 1920. Une époque à laquelle elles n'avaient pas droit au chapitre, d'abord sous la coupe du père pour passer à celle du mari. L'amour n'a pas sa place dans les projets de mariage. Encore moins quand on fait partie des nantis, soit par la fortune, soit par les origines aristocratiques.

Nous rencontrons donc Izabel, une jeune fille de 18 ans qui va être sacrifié à l'autel de la position sociale, auprès d'un mari aimant, mais qu'elle n'aime pas en retour, puisque son cœur est pris ailleurs. Romance classique mais touchante et vraisemblable sous la plume de Lucinda Riley, en tenant compte du contexte historique dans laquelle elle la situe. On note un remarquable travail de recherche qui donne toute sa crédibilité à l'aventure avec le contexte social et politique, le décor et les ambiances Brésiliennes tant passés que contemporaine pour les chapitres au présent et la romance de Maïa avec Floriano son bel écrivain et historien qui l'aide dans sa quête. Alors on se promène sur la plage d'Ipanema, découvrons le site du plus célèbre monument du Brésil, l'ambiance festive des quartiers, les favelas... à la fois dans les pas de Maïa, mais de ses ancêtres aussi.

Dans cet opus l'auteur s'attache à nous donner un aperçu des personnalités de ses héroïnes, toutes uniques et semblables à la fois, déterminées qu'elles soient du présent où du passé et là encore, on devine l'attachement de Lucinda Riley à ces femmes d'hier qui se sont battues contre les préjugés sexistes du passé et grâce auxquelles la condition féminine a progressé. Cependant l'amour y tient une grande place, on perçoit sa quête infinie et les conséquences quand il est perdu. C'est l'histoire d' Izabel mais aussi de Gustavo.

Qu'en sera-t-il de l'histoire d'amour de Maïa ? Trouvera-t-elle le bonheur et la paix maintenant qu'elle a partagé son sombre secret ?

Le dénouement ouvre la porte à l'opus concernant Ally. Mais certains mystères planent encore en ce qui concerne l'identité de Pa Salt, des raisons de ces adoptions,bien plus encore maintenant que j'ai découvert les aventures de Maïa, et quelques petits points de détails me titillent. J'ai besoin de quelques confirmations sur des hypothèses. Mais je crains qu'il ne me faille aller au bout de la saga pour découvrir ce mystère. Je suis persuadée que Lucinda Riley va nous offrir quelques éléments au court des tomes suivants pour en découvrir l'issue finale.

Un coup de cœur pour ce premier tome d'une saga magistralement menée, éducative, ludique entre monde fictif et réel, magie féerie et mystère. Une saga particulièrement romantique avec plusieurs thématiques sérieuses dont la perte d'un être cher et autres tout aussi sérieuses... qui se dévore. J'espère que les autres opus seront à la hauteur de celui-ci, j'ai toujours crainte que les histoires s'épuisent et que mon intérêt s’amenuise au fil des tomes. C'est toujours un risque dans de longue saga comme celle-ci.
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Voici encore une petite pépite aux éditions Charleston.



Le deuxième tome de la saga Les Sept soeurs de Lucinda Riley



Pour les lecteurs inquiets de ne pas avoir lu le premier tome de cette saga, sachez que moi non plus je ne l’ai pas lu et que cela n’a aucunement gêné ma compréhension.



Chaque tome est l’histoire d’une des sœurs D’Aplièse.



Ici l’auteure nous raconte la réaction d’Ally face à la mort de son père adoptif et les événements qui en découlent.



Un roman empli d’éléments qui en font une lecture que l’on ne peut plus lâcher. Des rencontres amoureuses, bien sûr, mais aussi et surtout des narrations historiques dont je suis particulièrement friande.



J’ai particulièrement apprécié au même titre qu’Ally sa lecture de ce qui est arrivé à Anna 130 ans plus tôt, ne voyant pas les pages défiler, je me suis retrouvée à lire cet énorme ouvrage en à peine deux jours entiers.



J’avais déjà beaucoup aimé La jeune fille sur la falaise de cette même auteure, Lucinda Riley parvient à passionner ses lectrices en abordant des histoires qui au départ peuvent paraître simples, mais se révèlent être riches en émotions, en anecdotes, avec des personnages profonds que l’on apprend à aimer et que l’on regrette de quitter lorsque la dernière page se tourne.



La sœur de la tempête nous en apprend beaucoup sur la vie et les difficultés de différentes époques, fin du 19ème siècle, période avant seconde guerre mondiale. Il nous fait également voyager de L’Italie, à la Suisse, puis en Norvège, en Allemagne…



Vous comprenez donc que la monotonie n’est pas de mise durant cette lecture, on en prend plein les yeux mais également plein les oreilles, car je ne vous ai pas parlé de la musique, qui est dans ce roman, à l’origine de tout…
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Traduit de l'anglais par Marie-Axelle de La Rochefoucauld



Quel bonheur d'enfin lire le dernier tome de la saga des sept soeurs, consacré à Atlas, leur père.

Quel malheur que Lucinda Riley ne soit plus.

Merci à son fils, Harry Whittaker, d'avoir pris la relève avec panache et lui avoir ainsi fait honneur en terminant son ouvrage.

Nous connaissons enfin l'histoire, un peu, beaucoup chahutée, de Pa Salt, le mystérieux père des sept soeurs dont nous avons suivi les aventures dans les tomes précédents.

Son histoire ressemble à un conte, avec de bonnes fées qui veillent sur lui et un méchant sorcier qui cherche à le tuer pour un motif que je vous laisse découvrir.

Adieu donc Titan ( le yacht ), Atlas ( le père ), et les Pléiades ( les filles ).

Tout ceci ne vous rappelle rien ?

Bonne lecture.

J’ai souvent vu en librairie ces livres de Lucinda Riley composant la saga des sept sœurs et m’en suis détournée même si attirée. En effet, une histoire de sœurs pouvait forcément trouver crédit à mes yeux. Néanmoins une petite appréhension de tomber dans une romance qui me ferait perdre mon précieux temps m’a retenue jusqu’au jour où ma sœur m’a conseillée de lire cette saga… Et là, bien sûr, j’ai plongé tête la première ! Merci ma sœur bien-aimée !



Un milliardaire père de six filles adoptives décède et va permettre dans son testament à chacune de retourner sur les marches de l’escalier de ses origines. Issues d’horizons différents à travers le monde, les sœurs vont chercher ce qui leur appartient et les a construites. Chaque tome se consacre à l’histoire de l’une des filles.



Ce tome 1 retrace les origines de Maia, sœur ainée et nous fait voyager au Brésil à Rio. Les ancêtres de Maia dévoilent de nombreux éléments l’aidant à comprendre ses origines et lui permettent de tendre vers l’épanouissement.



Le roman est bien construit, se lit très facilement et nous tient du fait de l’histoire que l’on découvre, nous faisant apprécier une écriture simple et fermer les yeux sur une syntaxe grammaticale légère par moment.



J’ai apprécié cheminer sur les traces de Maia et ne manquerai pas de continuer à lever le mystère qui plane sur le reste de la fratrie.

Après tous les avis positifs que j’ai lus sur ce livre, je ressors légèrement déçue du premier tome des Sept Soeurs.



Le roman se partage entre deux époques pour raconter la quête d’une jeune femme qui vient de perdre son père adoptif et part sur les traces de sa famille biologique au Brésil.



J’ai beaucoup aimé la partie qui se déroule dans les années 1920, entre Rio et Paris, où il est question d’une jeune femme, Bel, qui se retrouve partagée entre raison et passion, entre un mariage souhaité par ses parents et son amour pour un artiste rencontré à Paris. Et l’histoire de Bel se mêle à la grande Histoire, avec en arrière-plan la construction du Christ Rédempteur du Corcovado, la crise boursière de 1929, le Paris de la Bohème, etc. C’est d’ailleurs la partie la plus développée, au point que le roman aurait dû s’intituler "Bel" plutôt que "Maia".



La partie contemporaine m’a bien moins convaincue. Ca commence avec le décès et l’enterrement du père dans des circonstances tellement troubles que j’ai eu du mal à y croire. Et puis la quête des origines de Maia m’a semblé assez bancale : l’auteur passe tellement de temps sur l'histoire de l'arrière-grand-mère (des centaines de pages sur Bel), alors que les révélations sur la mère de la jeune femme n’occupent que quelques pages. Comment celle-ci pourrait-elle se satisfaire de si peu…



Malgré ces faiblesses dans l’intrigue, la lecture n’est pas désagréable et je ne perd pas espoir d’apprécier davantage le prochain tome, "Ally".

Londres, 1995.

Joanna, journaliste, vit difficilement sa rupture amoureuse. Son travail ne l'enchante pas beaucoup ces derniers mois, les sujets traités dans ses articles sont assez décevants. Mais, grâce à Simon, son meilleur ami, vivant lui aussi à Londres, son quotidien est moins morose.

Puis, un évènement vient bouleverser tout le pays. James Harrison, aristocrate et ancienne vedette du cinéma britannique, vient de décéder. Il laisse derrière lui ses petits-enfants et un arrière petit-enfant, Marcus, réalisateur, Zoé, actrice, et Jamie, le fils de cette dernière.

Joanna est chargée de couvrir l'événement et doit se rendre aux funérailles de l'homme. A l'église, elle s'installe auprès d'une vieille dame qui dit s'appeler Rose. Puis, des circonstances conduisent les deux femmes à se rapprocher. Rose se confie et demande l'aide de Joanna. Quelques jours avant de mourir à son tour, Rose remet une lettre à la journaliste, une très vieille lettre qu'elle doit protéger et garder précieusement.



Lucinda Riley est une écrivaine de sagas familiales, romances et portraits de femmes que j'adore. "La lettre d'amour interdite" est un roman qui attendait dans ma pile à lire depuis bien longtemps. C'est une lecture que je réservais pour un moment particulier, en hiver, bien au chaud, et surtout au calme. Dans ce roman, nous rencontrons Joanna dans la capitale anglaise. Elle s'y est installée pour son travail, mais a grandi à la campagne. Londres est une ville animée, bruyante. C'est le cœur de son métier de journaliste. Pourtant, il y a des jours où elle ressent le besoin de se ressourcer, de s'évader dans le silence de la nature, et du cocon familial. Ne pouvant s'y rendre dès qu'elle en ressent le besoin, c'est auprès de Simon qu'elle trouve ce réconfort.



Simon est son ami d'enfance. Lui aussi s'est installé à Londres pour son travail. Ils n'habitent pas loin l'un de l'autre. Le métier de Simon est assez curieux. Il ne s'attarde jamais sur ses fonctions. Joanna ne cherche pas à en savoir davantage. Le fait de pouvoir régulièrement se retrouver tous les deux pour discuter, boire un verre où déguster les dîners de Simon, dignes de ceux d'un grand chef cuisinier, lui convient parfaitement.



Le décès de James Harrison et la mission qui lui est confiée apportent de l'animation dans sa vie. Car, depuis ce jour, et celui de sa rencontre avec Rose, c'est son intimité même qui est bouleversée jusqu'à ce que ce soit son appartement qui se trouve visité et saccagé par des inconnus. Elle se rend vite compte que la vieille lettre est un objet de convoitise. Des gens la recherche.

Puis tout s'enchaîne, Joanna se retrouve brutalement rétrogradé dans son entreprise, sans raison, on lui pose des questions et on lui demande de se faire discrète. Elle décide alors d'enquêter, seule. C'est ainsi qu'elle fait la connaissance de Zoé, Marcus et Jamie. Elle découvre au fur et à mesure qu'un véritable secret d'état entoure cette lettre.



"La lettre d'amour interdite" est l'histoire d'un amour interdit, un mystère qui échappe à tous.

Entre mensonges et secrets de famille, l'héroïne de cette histoire accède à des informations qui peuvent être dangereuses pour elle et son entourage. Fait-elle vraiment confiance aux bonnes personnes ?



J'ai beaucoup aimé ce livre, surtout la force de caractère des personnages féminins. Le milieu du cinéma, de l'aristocratie et des manigances m'a passionné. Les secrets qui se rattachent à l'intrigue sont bien amenés jusqu'à la révélation finale.



Une belle histoire qui se lit très bien,

des personnages liés par le poids du passé,

une intrigue passionnante !


Lien : http://labibliothequedemarjo..

Traduit de l'anglais par Jocelyne Barsse



J'ai mis trois étoiles parce que je suis gentille.

Mais après la saga des sept soeurs, j'ai trouvé ce roman bien fade. J'aurais peut-être dû attendre un peu plus...

Julia vient de vivre, de nos jours, une tragédie insupportable.

Elsie fait à Julia, sa petite fille, le récit de ce qui s'est passé en 1939, en Thaïlande.

Que va-t-il découler de cette confrontation entre le passé et le présent ?

Vous aurez la réponse en lisant ce livre, si vous en avez vraiment envie.

La sœur de la lune est le tome 5 de la Saga 𝑳𝑬𝑺 𝑺𝑬𝑷𝑻 𝑺𝑶𝑬𝑼𝑹𝑺 de la regrettée Lucinda Riley qu'on ne présente plus... Oh et puis si :

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7 sœurs adoptées à leur naissance par un riche homme d'affaires, qui en aura fait des femmes accomplies. A sa mort, il sera révélé à chacune des coordonnées géographiques, pour les aider à savoir d'où elles viennent.

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Après avoir découvert les origines des 4 aînées : Maïa au Brésil, Ally en Norvège, Star au Royaume-Uni et Cece en Australie, nous découvrons la vie et l'histoire de Taygete dite Tiggy en Ecosse puis en Espagne.

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Tiggy est gentille, c'est l'amie des bêtes et des humains, et déteste le conflit. Elle se laisse un peu porter et ne cherche jamais à s'imposer (ennuyeuse)

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Lucia son aïeulle est tout l'opposé : flamboyante, dynamique, égoïste (détestable ?)

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Je ne vais pas vous mentir, je n'ai pas beaucoup trouvé de rythme à cette lecture, ni beaucoup de plaisir. Lu en commun avec mes #lucindasaddicts , je me suis vraiment traînée et j'ai terminé des semaines après les autres...

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Et pourtant, c'était, comme toujours avec Lucinda, beau , doux et un peu poétique... Pas un flop complet, donc... Et ça ne m'empêche pas d'être en ce moment en pleine lecture du 6 avec Electra qui me plaît beaucoup plus !

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Et toi, tu connais cette saga ? Quel a été ton avis sur ce tome ? Lequel est ton préféré ?



Bonne journée ❤️

On passe un bon moment de détente à la lecture de ce roman d'été en compagnie d'Helena , l'héroïne, de retour à Pandora, dans l'île de Chypre , ouvrage simple et chaleureux qui permet de s'évader à la lumière éblouissante , la charme et la beauté de la majestueuse demeure de Pandora propriété chypriote d'Angus , le parrain d'Helena dont elle devient l'héritière après son décès , au coeur de vignes verdoyantes s'étendant à perte de vue .

Construite en pierre claire de la région , Pandora se dresse sur des terres arides et calcaires .

Son immense balustre surplombe un paysage en pente douce de fermettes blanchies à la chaux , de nombreux oliviers et de vignes .



Vingt-quatre ans après y avoir vécu un inoubliable été , celui de ses seize ans , Helena revient avec son mari William et leurs enfants dont Alex ,notamment son fils aîné de treize ans , précoce et sensible.



La maison a un sérieux besoin de rafraîchissement…. si la mer d'Emeraude n'a rien perdu de sa beauté …

Le roman est construit en alternance avec le journal intime qu'Alex rédige à treize ans avec la mise en forme dix ans plus tard afin de réaliser une mise au point .

«  Pourquoi ma mère et son passé sont - ils une énigme ? . »



Intrigue mystérieuse , ambiance tendue , sentiments et secret enfoui , La splendeur de Pandora permettra t - elle de libérer un secret bouleversant tu depuis très longtemps ?

Il risque de faire des ravages lors de sa découverte ….

Les personnages sont nombreux ,l'histoire est addictive , poignante sur la complexité des liens familiaux, le poids des non- dits, les malentendus , les addictions , les rapports intimes, les pièges de l'adoption , le manque de confiance …..

Un été décisif pour l'avenir de cette grande famille recomposée ….



Entre vacances , mystère et révélations , souvenirs , amitié , jalousie , passion , le lecteur se laisse porter par le talent de conteuse d'histoires de l'auteure même s'il y a quelques longueurs .

Elle sensibilise le lecteur à la place de la famille et aux relations familiales : la maturité d'Alex, la sensibilité de Viola , la grâce d'Helena , la faiblesse er la lâcheté de Sacha , la dureté de Julia ……les problèmes de la séparation des parents ….

Un charmant roman d'été qui manque un peu de profondeur !

Comme tout le monde, j’avais entendu parler de la série de Lucinda Riley intitulée « Les sept sœurs ». Je reconnais que je n’avais pas l’intention de la lire, ayant suffisamment de lectures en avance grâce au volume fort impressionnant de ma PAL et me méfiant en général des livres entourés d’un certain battage médiatique.

C’est sur l’insistance de deux de mes collègues que j’ai cédé ( ce sont mes collègues préférées, il faut le dire )et accepté que l’on me prête les trois premiers tomes de cette série, et puis après tout, la période des vacances me semblait propice à ce genre de lecture…

Je me suis donc lancée tranquillement dans cette lecture, n’en attendant rien de particulier et finalement, je me suis laissé prendre au jeu.

On découvre une famille fort particulière puisque composée d’un père et de ses six filles adoptives. A la mort du patriarche, chacune de ses filles se voit attribuer un courrier paternel qui devrait lui permettre de partir à la recherche de ses origines.

Le tome un met en avant l’histoire de l’ainée de cette famille, Maia. Elle va se retrouver au Brésil, à la recherche de ses parents biologiques. Ses recherches vont l’amener à se plonger dans le passé…

Cette partie a été le plus intéressante pour ma part. Je ne connaissais pas du tout l’histoire du Christ Rédempteur du Corcovado, alias le Christ Roi de Rio , qui a été construit par un sculpteur français : Paul Landowsky .

En conclusion, une lecture sympathique…







Challenge Séries 2021

Challenge Pavés 2021

Comme beaucoup d’entre vous j’ai été choquée par le décès de l’auteure. Je venais tout juste de terminer le premier tome de la saga. Toutes mes condoléances à sa familles et amies car elle devait être très appréciée vue le nombre d’hommages qui lui sont rendus sur le net. J’avais entendu beaucoup de choses positives et j’avais envie de découvrir son style et sortir un peu de mes lectures habituelles. Une offre nous permettait de recevoir ce livre gratuitement et ça a été pour moi le déclic pour sauter le pas.

Ce tome 1 commence avec le décès du milliardaire Pa Salt d’une crise cardiaque. On comprend très rapidement que cet homme n’a pas été ordinaire et était très discret, sans ami. Il a toujours séparé sa vie professionnelle et sa vie privée pour accorder toute son attention à ses filles. Il est parti avec des mystères...

Tout au long de sa vie, il a adopté des filles venant des 4 coins du monde quand elles étaient encore bébés. Il leur a donné les noms des Pléiades, les Sept sœurs, sa constellation préférée. Maia est l’ainée, elle apprend par Ma (Marina), la gouvernante du décès de son père. Quand elle arrive, l’Atlantis, elle apprend qu’il est décédé tôt ce matin et qu’il est déjà enterré. C’était sa volonté qu’aucune de ses filles ne soit présente et il voulait un enterrement en mer. Pa a fait qu’une demande, que Georg Hoffman, son avocat viennent quand toutes les sœurs seront réunies. A son arrivé, il leur explique le partage de l’héritage et il leur remet un indice pour que si elle le souhaite, elle découvre où leur histoire a commencé, connaitre leur origine. Ce premier tome est consacré à Maia.

Surprise j’ai adhéré à ce premier tome et pour une fois que je commence une saga par le premier tome, c’est un exploit ! J’avais envie de découvrir les origines de Maia et j’ai bien envie de découvrir celles des autres sœurs. Le style est agréable, on voyage, on apprend des éléments historiques et mythologiques… même s’il ne faut pas oublier qu’il s’agit bien d’une fiction. Ce premier tome a été captivant et divertissant.

Je viens de lire "Les mystères de Fleat House" qui m'a réconcilié avec Lucinda Riley (la série des Sept Sœurs avait fini par me paraître écœurante à force de répétition des mêmes motifs). J'ai beaucoup aimé cette histoire, mais je pense que, si c'est un très bon roman, ce n'est pas un si bon policier.



Le récit se concentre essentiellement sur Jazz Hunter, enquêtrice Londonienne qui reprend du service dans le Norfolk où elle vient d'emménager après un divorce et une période loin du bureau. L'histoire, assez touffue, mêle la vie privée de l’enquêtrice et sa vie professionnelle. Cela permet de donner de l'épaisseur au personnage de Jazz, mais cela atténue aussi le suspense à force de papillonner d'un sujet à l'autre.



J'ai aussi trouvé très frustrant qu'on ne donne pas la parole au coupable une fois qu'on l'a démasqué. Les policiers commentent ses réactions, ses motivations, mais ça m'a manqué cette confrontation finale qui n'a pas lieu.



Au final, le roman est très bien écrit et se lit avec beaucoup de plaisir, mais je reste avec l'impression que l'intrigue reste convenue et pas si captivante.

Traduit de l'anglais par Elisabeth Luc



Avec Lucinda Riley, pas de suspense. Quelle que soit l'histoire, "tout est bien qui finit bien".

Or moi, j'adore les histoires qui finissent bien !

Même si ce n'est pas un chef-d'oeuvre, je me suis régalée à suivre les différentes péripéties des différents personnages, tous attachants... ou presque.

Vous avez besoin d'une petite pause après une lecture horrifique ?

Débarquez alors à Admiral House et rencontrez Posy et toute sa galaxie.

Bonne lecture !

Audiolib, je tiens sincèrement à vous remercier pour ce gros coup de cœur que j'ai eu pour ... Une romance ! Hé oui, qui l'eut cru ;-D et pourtant ce n'était pas gagné !



Lorsque j'ai vu qu'était proposé sur Netgalley France le premier volet d'une série de sept livres consacrée à une saga familiale, il m'a fallu plusieurs jours de réflexion avant de solliciter l'ouvrage, car, même si j'avais eu de bons échos de cette série, je ne lis que très rarement de la romance.

Finalement quelle agréable découverte qui m'a fait voyager durant 16 heures que ce soit à travers les époques ou sur plusieurs continents. La voix d'Ariane Brousse que je connaissais après avoir écouté les lendemains de Mélissa Da Costa il y a quelques mois m'a rapidement emportée dans ce nouvel ouvrage.



Je me suis rapidement laissé emporter par cette histoire que j'étais excitée de retrouver le soir pour en apprendre plus sur l'histoire familiale de Maia, l'ainée de la fratrie des sept soeurs. La plume délicate et très sensible de Lucinda Riley a été bien mise en valeur par la voix d'Ariane Brousse qui a réussi à m'offrir une écoute très immersive qui m'a procuré beaucoup d'émotions.



Je tiens à vous remercier Audiolib et Netgalley France pour cette très belle découverte que je vais très certainement poursuivre par la lecture ou l'écoute des autres tomes de cette saga dont on n'a pas fini d'entendre parler...

Julia Forrester, pianiste à succès, vient de vivre un drame terrible, celui de la mort de son fils et de son époux. L'accident s'est produit sur les routes du sud de la France alors, qu'au même moment, elle se produisait sur scène.

Elle revient en Angleterre pour trouver du calme le temps de son deuil et revoir ainsi sa famille. Dans le village, elle revoit Wharton Park, le lieu où son grand-père, botaniste, prenait soin des plantes exotiques de la famille Crawford, notamment de leur splendide collection d'orchidées.

Mais la demeure est aujourd'hui à vendre. Une vente aux enchères est organisée sur place. Julia, accompagnée de sa sœur Alicia, s'y rend afin de trouver un souvenir pour son père.

Là-bas, elle rencontre le propriétaire actuel des lieux, une vieille connaissance qui va bouleverser sa vie.



"La maison de l'orchidée" est un roman sur le deuil, la guerre et les secrets de famille. A travers ses souvenirs, les retrouvailles et l'exploration de Wharton Park vont redonner goût à la vie et un peu d'espoir à Julia.



Cette histoire est celle d'une famille mais aussi celle de femmes qui se déroule sur plusieurs époques. Ce sont plus de sept cents pages qui se dévorent entre la douceur du Norfolk et l'exotisme de Siam, comme on l'appelait autrefois. Car l'auteure nous fait à nouveau voyager dans le temps et dans le monde.



Aux côtés de Julia, on rencontre Christopher Crawford, héritier de Wharton Park. Ses deux personnages se lient très vite. Ils se sont connus jeunes et se retrouvent aujourd'hui dans des circonstances peu joyeuses.

Julia est malheureuse, elle s'éloigne de la musique et n'a envie de rien à part s'isoler seule dans le calme et le silence de sa maison d'enfance.

Christopher croule sous les dettes. Les travaux et l'entretien que nécessitent Wharton Park ont eu raison de lui et malgré toute sa bonne volonté, il est contraint de se séparer de la demeure. En attendant, il rénove des cottages, anciennement habités par le personnel des Crawford, pour en faire de belles maisons d'habitations.



C'est la découverte d'un vieux journal intime dans l'un d'eux qui va sortir Julia de son isolement.

Ce journal date de 1940 et a été écrit par Bill, son grand-père, lorsqu'il était soldat durant la 2ème guerre mondiale. A cette période, il opérait en Thaïlande aux côtés du grand-oncle de Christopher. Ce journal est une sorte de mémoire dans lequel Bill mettait par écrit son quotidien, ses rencontres, et tout son cœur. C'est en lisant ces lignes, que Julia se rend compte que les destins des deux familles s'entremêlent, et qu'il existe des secrets ayant failli détruire le domaine cinquante ans plus tôt.



Ce roman est un véritable coup de cœur. Il s'agit d'une belle saga familiale transportant le lecteur à deux époques, entre l'Angleterre et la Thaïlande, et qui, au milieu d'une guerre, nous fait découvrir la douceur des jardins d'orchidées.

C'est intense et passionnant. Lucinda Riley est vraiment une excellente conteuse dans ce domaine. Que ce soit les personnages, les lieux et même l'intrigue, tout m'a captivé du début à la fin.



Pour les fans du genre, c'est une lecture que je recommande absolument.


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Je suis un peu déçue par la lecture. En fait j en ai tellement entendu parler que je m attendais à un superbe coup de cœur.

Alors je n ai pas détesté mais je n ai pas été conquise. J ai trouvé la première partie très longue et je n ai pas vraiment accroché aux personnages.

Au décès de leur richissime père adoptif, chaque fille hérite d indices pour découvrir son passé et ses origines. On suit la première sœur l aînée Maia de la maison paternelle en suisse jusqu au Brésil. Les chapitres alternent avec le récit d une femme de sa famille et ces chapitres se sont révélés palpitants.

L enquête en elle même est bien menée.

Je vais tenter le tome 2 car je pense qu il y aura moins de longueurs que dans le tome 1.

J’ai passé un bon moment avec le deuxième tome des Sept Sœurs qui nous raconte l’histoire d’Ally, navigatrice et musicienne, qui part en Norvège sur les traces de son passé. Le roman se lit très bien. Le style de Lucinda Riley est très fluide et elle sait construire des intrigues efficaces, même si tout cela reste assez prévisible.



En plus, il y a de grosses similitudes avec le premier tome, dans la construction surtout, mais aussi dans les thèmes abordés même si on laisse le Brésil et le Paris des années 1920 pour la Norvège et l’Allemagne de la fin du XIXème siècle. Il y est avant tout question de femmes qui doivent lutter pour se faire une place dans une société qui leur laisse peu d’opportunités, qu'il s'agisse de mener une carrière, de choisir un mari ou une façon de vivre...



Concernant la partie contemporaine du récit, j'ai trouvé le parcours d'Ally très touchant. Toutefois j’ai toujours un peu de mal à comprendre comment une jeune femme adoptée qui part sur les traces de ses origines peut se satisfaire de l’histoire de son arrière-arrière-grand-mère… Par la suite, elle en apprend plus sur sa naissance, mais le récit se concentre quand même sur l'histoire d'une femme qui a vécu cent ans plus tôt.



Le mystère autour du décès du père des sept sœurs continue à s’épaissir, et ce d'autant plus que des indices troublants laissent planer un doute sur la mort même de Pa Salt.



Après un premier tome qui n'avait pas été tout à fait à la hauteur de mes espérances, j'avais moins d'attente pour La Sœur de la Tempête, c'est peut-être pour cela que j'ai passé un meilleur moment avec celui-ci bien qui l'histoire et la personnalité de Bel m'aient davantage plu que celles d'Anna.

Des trois premiers tomes, voici mon préféré, de loin. J'avais de la sympathie pour Star, et j'ai eu plaisir à la découvrir. Les descriptions de la librairie où elle va travailler et de la maison où elle découvre la famille d'Orlando m'ont beaucoup touchée. Mais surtout, j'ai adoré l'histoire de Flora, la description de la société anglaise des années 1910, de la campagne anglaise. Flora est un magnifique personnage, et j'ai dévoré son histoire. Une excellente lecture !

Helena est de retour à Pandora, en Chypre, après avoir quitté l'île depuis plus de vingt ans. Pandora est une magnifique propriété léguée par son parrain tout juste décédé. Là-bas, elle y a grandi, a connu son premier amour. Puis elle a fait son chemin, s'est vouée à la danse, une passion qui lui a fait parcourir l'Europe où elle s'est produite sur les plus grandes scènes. De l'Autriche à la Grande-Bretagne, Helena a fait son chemin. C'est après la naissance de son fils, Alex, qu'elle met un terme à sa carrière.

Puis, elle s'installe en Angleterre, se marie et fonde une belle famille. Aujourd'hui elle est mère de deux autres enfants.

Pandora la ramène aux sources. C'est son passé, son jardin secret. Mais, cette fois-ci, elle y entraîne William, son époux, et leurs trois enfants à l'occasion des vacances d'été. Le lieu est emplit de souvenirs et de secrets, jusqu'ici bien gardés, enfermés "dans une boîte de Pandore".



"Le secret d'Helena" c'est un voyage en Méditerranée à travers deux époques. Nous alternons entre 2016 et 2006.

L'histoire commence de nos jours avec le récit d'Alex, adolescent de treize ans, surdoué qui s'interroge beaucoup sur son avenir et sur son père, cet inconnu qu'il n'a jamais rencontré. Helena n'a jamais révélé le secret de sa naissance. Les vacances en famille en Chypre, sur les lieux de jeunesse de sa mère, seront peut-être l'occasion d'en apprendre davantage.



Entre les deux décennies, on comprend pourquoi Helena a fui et ce qu'elle a fait de sa vie et nous tournons les pages au milieu des paysages magnifiques, entre mer, oliviers, soleil, statues de divinités grecques, qui invitent au voyage. J'ai aimé la personnalité de cette femme, plein de bonté et de douceur et surtout sa famille, qui ressemble à tant d'autres, dont les membres sont soudés, aimants et compréhensibles. Des vieilles connaissances, des amis de longues dates font leur apparition. Helena n'aura pas d'autres choix que de s'ouvrir.



Un roman écrit par Lucinda Riley et inspiré de sa propre expérience. Elle en rédige les premiers chapitres après un voyage en Chypre où elle a logé dans une villa avec enfants et amis, un séjour durant lequel elle a imaginé le portrait d'une femme hanté par ses souvenirs. Une lecture qui se prête parfaitement en cette période estivale et que j'ai vraiment adoré.


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C'est la 1ère fois que Mme Riley me déçoit dans ses romans, je dois avouer que j'avais très envie de me replonger dans une saga en série mais là j'ai trouvé que le début était assez improbable sur le fait que cet homme très riche subitement décédé, ayant adopté 7 filles et ne leur ayant jamais expliqué l'origine de leurs familles de naissance est assez douteux.

Le décor est bien planté dès le départ mais s'étouffe très vite dès que la fille ainée, Maïa, part au Brésil à la recherche de ses ancêtres.

Beaucoup de pages pour peu de dynamisme, je dirais même des longueurs assez inintéressantes. Bon... je n'ai plus besoin de me poser la question à savoir si je poursuis la saga des 7 sœurs, je pense que ma réponse va venir dans les prochains jours.