Lucinda Riley

Ce roman a été écrit au moment de la mort de Lady Dy, et quand on voit que l’intrigue se concentre sur la famille royale et qu’un énorme scandale pourrait avoir lieu, on comprend pourquoi certaines maisons d’éditions ont refusé de l’éditer. Il a fallu attendre que l’auteure se fasse connaître, installe sa popularité pour que le manuscrit ressorte des tiroirs et soit publié.

Autant vous dire que cette intrigue est menée tambour battant, les rebondissements sont multiples et on a à peine digéré l’un qu’un autre nous relance sur une autre piste. C’est tout l’intérêt du roman car, sinon, je trouve que les deux histoires sentimentales qui se nouent dans le roman sentent la guimauve à plein nez. Plus particulièrement celle qui s’installe entre Joanna et Marcus le petit-fils de l’acteur, je trouve que ce pauvre Marcus traîne un peu trop de casseroles pour être plausible. Si vous aimez les histoires de secrets en tout genre, ce roman est pour vous.



Challenge Multi-défis 2020

Challenge Plumes féminines 2020

Challenge Pavés 2020

La sœur à la perle est le tome 4 de la Saga 𝑳𝑬𝑺 𝑺𝑬𝑷𝑻 𝑺𝑶𝑬𝑼𝑹𝑺 de la regrettée Lucinda Riley.

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On suit l'histoire de 7 sœurs adoptées à la naissance par un riche homme d'affaires, qui en aura fait des femmes accomplies. A sa mort, il sera révélé à chacune des coordonnées géographiques, pour les aider à savoir d'où elles viennent.

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Après avoir découvert les origines de l'aînée Maïa au Brésil, d'Ally en Norvège et de Star au Royaume-Uni, j'ai plongé avec beaucoup de bonheur dans l'histoire, présente et passée de Cece, la sœur qu'on a adoré détester dès le départ.

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Cece et Star ont toujours été inséparables, mais depuis que Star vole de ses propres ailes, Cece va mal . Celle que l'on pensait directive, froide et pas très sympathique se révèle une jeune femme sensible, celle peut-être la plus en quête d'une identité.

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Cece, metis, découvrira ses origines en Australie (ce que l'image sur la couverture ne laisse pas supposer) sur les traces de Kitty McBride, fille de pasteur, qui, cent ans auparavant, a abandonné sa vie bien rangée pour accompagner une vieille dame d'Édimbourg jusqu'à Adélaïde.

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Après Star, ce tome est vraiment celui que j'ai préféré... Le caractère des personnages, leurs décisions, les paysages... J'ai été envoûtée... Ce qui n'a vraiment pas été le cas du tome suivant 😬

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Et toi, tu as lu cette saga ? Quel tome as tu préféré ?

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Nous allons bientôt lire le tome 6 avec un super chouette groupe de lecture commune, rejoins nous ❤️

Contrairement au premier tome, je me suis laissée embarquer très vite dans l'histoire de celui-ci. Il y a quelques longueurs au milieu de l'histoire, mais elles sont compensée par l'excellente trame historique du récit du passé. A la recherche de ses racines, Ally se retrouve en possession de la biographie d'une chanteuse du tout début XX° siècle. On y découvre la Norvège de l'époque, mais aussi l'univers de musiciens comme le célèbre Grieg. J'ai bien aimé cette partie.

Lucinda Riley a encore frappé et elle réussit son superbe pari haut la main. Encore une fois elle nous surprend avec sa saga qui nous embarque dans une nouvelle contrée avec le portrait d'une femme qui a marqué l'histoire à sa façon début 1900. Le personnage de Kitty va avoir son impact sur la vie de Celeano. Cece la 4éme sœur, celle qui jusqu'à présent était pour moi la sœur antipathique, la sœur pot de colle de Star, la sœur coup de gueule qui dés le premier tome réussit à débloquer une grosse somme d'argent auprès du notaire de la famille. Je ne spoile pas pour ceux qui ont lu Maia savent déjà ce détails.

Qui est réellement Cece? J'ai été agréablement surprise par le portrait brossé par l'auteure et l'image qu'elle dégageait jusqu'à présent. Cece est une grande aventurière, une baroudeuse, une casse cou, une artiste mais est malheureusement complexée par sa dyslexie. Quel est son point commun avec Kitty Mercer qui a habité à l'autre bout de la planète? Les cauchemars de Cece ont ils un lien avec son passé? Et la question qui restera en suspend jusqu'au 7ème tome, comment et pourquoi Pa Salt a t'il choisi Cece dans ce pays lointain? Je commence à avoir ma petite idée….

Encore une fois, Lucinda Riley nous propose deux portraits de femmes fortes, exceptionnelles qui devront faire des choix pour être heureuses et épanouies. Cece a besoin de cette quête dans le passé pour se retrouver elle même. Kitty, l'aïeule, est pour une fois à contre courant de ce qu'a pu nous proposer l'auteure. D'ailleurs son personnage risque de faire grincer des dents et pousser à la réflexion sur ses choix de femmes. Elle fera écho à toutes ces femmes carriéristes qui ont sacrifié certains aspects de leur vie. Pour la première fois je n'ai pas lu un lien entre les deux femmes mais un avertissement pour Cece. Un effet boule de neige qu'il faut absolument endiguer et Cece pourrait être celle qui stopperait le tout. Et voilà mon idée saugrenue concernant Pa Salt… Aurait il rencontré certaines descendances de ces grandes femmes au destin tragique et qu'il voulait arrêter cette boucle avec les Sept sœurs…. D'ailleurs à propos de Pléiades, on en apprend beaucoup plus sur la légende qui éclaircit certains points.

Cette fois ci, Lucinda Riley nous plonge dans une histoire plus mystique. Elle aborde des thèmes qui m'ont touché personnellement : le métissage, l'appartenance à une pays que ce soit à l'époque de Kitty et que les choses évoluent doucement… J'ai trouvé ce tome avec beaucoup plus de suspense que les précédents. Des agréables surprises dont je n'ai rien vu venir. Par contre, ce qui ne lui ressemble pas, Lucinda Riley laisse une fin ouverte sur Cece sur son futur amoureux. L'happy end est de mise car elle trouve ses réponses mais l'auteure ne nous offre pas une romance cousue de fil blanc. Je me demande si l'auteure va y revenir plus tard et nous donner des nouvelles de Cece comme elle l'a fait un peu pour Maia.

C'est un coup de cœur inattendu. J'ai hâte de lire la suite mais je vais devoir être patiente…. Une saga que je conseille de lire pour les amoureuses d'histoire de femmes fortes et indépendantes!

Comme pour le cinquième tome, je suis avant tout contente d'avoir terminé ce sixième tome qui m'a semblé bien long. La plume de Lucinda Riley est très agréable et l'histoire se lit bien, mais la structure est tellement répétitive et figée que le récit en devient trop prévisible. Je me demande d'ailleurs ce que va donner le septième tome, puisque la septième sœur n'est pas connue et qu'il semble donc compliqué de se lancer de la même façon dans le récit de la vie d'une de ses ancêtres...



Cette fois encore, nous avons une double narration avec Electra de nos jours à New York et Cecily en 1939 au Kenya et quelques années plus tard aux Etats-Unis. Le liens ente les deux histoires est si ténu dans un premier temps, que j'ai eu l'impression de lire en alternance deux romans très différents. D'ailleurs Electra réclame plusieurs fois des informations sur sa mère à sa grand-mère qu'elle vient de retrouver, mais même lorsqu'elle insiste, sa grand-mère reste focalisée sur l'histoire de Cecily. Elle ne lui dit même pas le prénom de sa mère ou si elle est en vie ou non... C'est complètement incompréhensible pour moi.



L'histoire d'Electra ne m'a pas tellement convaincue : on passe trop vite de "tout va mal" (drogue, alcool, solitude, colère...) à " tout va bien et même mieux que ça" (addictions surmontées, nouveaux amis, nouvelle grand-mère, nouvel amoureux, des tas de projets professionnels, etc) . La cure de désintoxication est une telle réussite, il n'y a pas un faux pas, à peine un peu de tentation... J'ai eu du mal à y croire. Et puis j'ai fini par m'agacer du nombre de "je suis fier / fière de toi" que son entourage adresse à Electra à tout bout de champ.



Tout au long de l'histoire de Cecily, certains éléments ont fait écho au film "Out of Africa" : les colons et leur "vie mondaine", le vol en avion... Ce film est l'une de mes rares références au Kenya du début du XXème siècle, c'est peut-être juste pour cela que j'ai pensé à ce film. Mais l'autrice mentionne quand même une ressemblance du mari de Cecily avec Robert Redford (sauf que dans le roman, cela se passe en 1969 alors que Robert Redford n'a qu'une trentaine d'années et que le mari de Cecily a dans les soixante-dix ans ce qui m'a fait tiquer).



Enfin bref, j'en suis à un stade avec cette série où j'ai du mal à focaliser mon attention sur autre chose que sur ce qui ne va pas et si j'ai hâte de lire le prochain tome, c'est surtout pour terminer la série (je ne lirai pas le huitième tome qui doit sortir bientôt à moins que je ne change d'avis si la lecture La Sœur Perdue ne soit une telle révélation...).

Ceux qui me connaissent le savent, la romance n'est pas mon genre préféré, loin de là. J'ai lu ce roman dans le cadre d'une Lecture Commune du forum "Sur les ailes d'un livre" de Lanabook. Je ne me rappelle plus comment « La chambre aux papillons » a terminé dans ma Kobo, une promo sans doute, un malentendu pour sûr. En fait, je pensais que le côté historique et le côté saga familiale prédomineraient sur la romance. Ce n'est pas le cas. Le roman est centré sur les amours compliquées d'une mère et celles de ses deux fils. Trois romances pour le prix d'une. Hum… de quoi me perturber ! En plus, l'auteure utilise le même ressort pour Posy et Nick, un lourd secret qui empêche une belle histoire d'amour, un schéma narratif archi-connu, qui paraît-il est la signature de Lucinda Riley. Pour le second fils, il s'agit d'un problème de violence au sein du couple, donc toute la question est de savoir si oui ou non la mère courage va s'en aller… Bref, rien de neuf sous le soleil, c'est dommage la trame manque d'originalité. 



Avant d'atteindre la moitié du livre j'avais compris trop de choses. Les personnages sont un peu beaucoup stéréotypés et l'auteure surjoue les codes du genre avec lesquels j'ai tant de mal, vous l'aurez compris. J'avoue avoir pourtant un faible pour Posy, la mère. Je l'ai trouvée très attachante et l'histoire de son enfance, le destin d' « Admiral House » dans la campagne du Suffolk m'ont vraiment plu. Bon les mauvaises langues diront que c'est parce que son histoire est triste et qu'en plus il y a un cadavre… je dirais simplement que c'est le côté historique et l'évocation bucolique de la campagne anglaise qui m'ont conquise.



Pour résumé, si vous aimez les histoires d'amour contrarié, les secrets de famille, ce roman est pour vous ! Il est plutôt bien écrit, la plume de Lucinda Riley est très agréable. Mais personnellement, j'ai trouvé les secrets très convenus. Ils se devinent aisément donc le fil conducteur ne m'a pas passionnée. L'ensemble m'a paru fade avec un goût de déjà vu/lu.



Petite précision : ma notation (2.5 /5) est sévère mais c'est juste que ce genre littéraire ne me convient pas du tout. Je voulais découvrir Lucinda Riley et surtout participer à la LC de mon amie. Comme l'auteure utilise tous les poncifs, c'en était trop pour moi, mais si vous aimez les romances, vous aimerez ce livre.

Je termine "la saga phénomène" « Les sept soeurs ».

Au passage, je remercie les divers traducteurs sans lesquels je n'aurais pas pu participer à ces aventures.

Les soeurs d'Aplièse, toutes adoptées, ont chacune reçu le nom d'une des étoiles de la Pléiade :

Maïa

Alcyone alias Ally, soeur de la tempête

Astérope alias Star, soeur de l'ombre

Céléano alias CeCe, soeur à la perle

Taygète alias Tiggy, soeur de la lune

Electra, soeur du soleil

Mérope, la soeur disparue.

Elles ont été élevées à Atlantis, un magnifique château, en Suisse, au bord du lac Léman.

Après la mort du mystérieux Pa Salt, leur père adoptif, les soeurs partent à la recherche de leurs origines grâce aux indices qu'il leur a laissés.

Avec elles, j'ai voyagé aux quatre coins du monde, : Brésil, Norvège, Angleterre, Australie, Ecosse, Espagne, Etats-Unis, Nouvelle-Zélande, Irlande.

Lucinda Riley entremêle avec brio les faits et personnages réels avec ses personnages de fiction. C'est une belle réussite.

Mais, et c'est la bonne nouvelle, du moins pour moi, l'histoire ne s'arrête pas ici. En effet, un huitième opus est prévu pour l'automne 2022, consacré à Atlas, le père des sept soeurs de la Pléiade.

Je suis trop contente et impatiente.

Voilà une série dont on m'a beaucoup parlé et qu'on ne présente plus !

Le point de départ est original et c'est avec plaisir que nous nous attachons à Maia.

Les histoires du passé et du présent m'ont semblée cousues de fil blanc mais pas désagréables à lire: c'est un roman pour se détendre. Je n'ai pas trop apprécié l'histoire d'amour dans le passé mais ça se lit tout seul.

J’ai adoré ce tome !!

J’ai adoré la couverture, le titre, l’histoire et le personnage principal.

Vraiment un tome éblouissant qui nous plonge dans le monde cruel du mannequinat, où Lucienda Riley nous décrit l’envers du décor qui est loin d’être rose et de tout repos.

Electra est belle, célèbre, riche, entourée, mais pourtant elle est malheureuse et masque sa détresse par des addictions de plus en plus fortes qui prennent le dessus petit à petit et qui mettent sa vie en danger.

A la mort de son père elle est encore plus dévastée par le chagrin de l’avoir perdu et même les indices sur son adoption qu’il lui a laissé dans le testament la laisse indifférente. Elle est bien trop fière pour demander de l’aide et se laisse sombrer dans l’alcool et la drogue jusqu’à ce qu’une rencontre extraordinaire arrive à la sortir de son tourbillon infernal .



Lucinda Riley nous embarque dans plusieurs pays à plusieurs époques comme à son habitude , elle va nous raconter une histoire magnifique qui débutera en Afrique dans la tribu des Massaïs et finira aux États Unis pendant la ségrégation, on va découvrir des paysages grandioses et des événements historiques, tragiques et marquants .

Les deux histoires racontées sont captivantes et riches et malgré l’épaisseur du livre on en vient à bout très facilement !



J’ai été très surprise et peinée d’apprendre le décès en juin de Lucinda Riley, c’était une écrivaine très talentueuse qui savait raconter de très belles histoires , le dernier de la saga est dans ma PAL et je laisse le suspens durer encore un peu ...🥰

Je n'ai pas pu dépasser les 150 pages, j'aurais dû m'en douter, mais j'avais envie d'essayer un autre genre de roman. Les critiques dithyrambiques m'ont motivée à me lancer, mais cette lecture n'est clairement pas faite pour moi. Ce qui m'a vraiment fortement déplu ce sont les dialogues, ils sont insipides et insupportables à lire. Les personnages sont tout droit sortis d'une émission de téléréalité, les jeunes femmes sont toutes les 6 belles et riches, les guéguerres entre les soeurs sont d'une immaturité profonde, ces filles ont des vrais problèmes de riches comme on dit. J'espérais que le côté mystère des lieux de naissance me passionnerait, mais la mièvrerie ambiante aura eu raison de moi. Je ne connaîtrai donc jamais les histoires de Maia, Star, Ally, Elektra, mais tant pis.

Electra est la sixième sœur d'Aplièse, fille adoptive de l'énigmatique Pa Salt. A sa mort, Electra reçoit une lettre dans laquelle se trouve des éléments sur son lieu de naissance ainsi qu'une vieille photo. Cependant, elle n'y prête pas attention et laisse les documents dans un coin puis finit par les égarer et le jour où elle s'y intéresse, elle ne trouve plus rien. Désemparée, elle sombre dans la mélancolie. Mais, le destin va frapper à sa porte en la personne de sa grand-mère biologique qui vit à seulement quelques rues de chez elle.



Electra est plus rebelle que ses sœurs. Mannequin à New-York, elle mène une vie bien remplie et voyage aux quatre coins du monde. Elle travaille sans cesse, ne connait pas de répit. Elle est très peu disponible. Riche, célèbre et toujours très entourée, elle se sent seule et triste. Alors, elle tombe dans toutes sortes d'addictions et la mort de son père n'arrange rien. Elle culpabilise de ne pas avoir prêté plus d'attention aux derniers mots de son père.



Mais, Pa avait anticipé. Il a lui-même contacté la grand-mère d'Electra peu avant sa mort. Elle s'appelle Stella Jackson. C'est comme cela qu'un beau matin, la jeune femme reçoit une lettre accompagnée de la même photo reçue quelques semaines auparavant. Dans cette lettre, Stella se présente, lui indique vivre également à New-York et être prête à la rencontrer au plus vite.



Les deux femmes vont faire connaissance et c'est ainsi qu'Electra va apprendre que ses origines se trouvent au Kenya, au cœur d'une tribu Massaï et qu'elle est issue d'une lignée de princesses.

Nous remontons ainsi le temps jusqu'en 1939, année durant laquelle nous faisons la connaissance de Cecily Huntley-Morgan, une américaine en partance pour quelques semaines de vacances au Kenya. Ce voyage sera un véritable dépaysement pour une lady de son rang qui va découvrir les animaux, la nature, les populations nomades, les paysages colorés et l'amour.



Si Electra est le personnage de la saga que j'ai le moins apprécié, la partie dédiée au destin de Cecily m'a littéralement subjuguée. L'histoire est pleine d'aventures et de rebondissements. L'alternance passé et présent est dynamique et passionnante. Encore un excellent tome de presque 700 pages qui se lit très vite.
Lien : http://labibliothequedemarjo..

Taygète (Tiggy) est la cinquième des sœurs d'Aplièse, les filles adoptives de Pa Salt. Elle a grandi à Atlantis sur le bord du lac Léman dans un véritable cocon. A la mort de son père, elle reçoit une lettre qui contient des indications sur ses origines et sur son lieu de naissance. Ces renseignements vont la mener sur les traces de ses ancêtres en Espagne.



Tiggy est la sœur la plus rêveuse et la plus proche de la nature. Elle est diplômée en zoologie et spécialisée dans la préservation de la vie sauvage. A la mort de son père, Tiggy se trouve en Ecosse et travaille dans un refuge pour animaux. Il est ensuite fait appel à elle pour travailler au domaine Kinnaird, ses tâches seront de s'occuper des chats sauvages tout en effectuant des recherches sur les espèces autochtones. Là-bas, elle rencontre Chilly, un vieil homme d'origine espagnole qui lui dévoile un étonnant message : elle serait l'héritière d'une famille de voyants andalous.



A partir de là, nous suivons ses aventures jusqu'à Grenade, au cœur de l'acropole médiévale de l'Alhambra où se situent les grottes de Sacromonte, fief de la communauté gitane dont serait originaire Tiggy. Sur les conseils de Chilly, elle part à la rencontre d'Angelina, une vieille femme qui lui raconte l'histoire de sa famille.

C'est ainsi que le lecteur se retrouve emporté en 1936, en Espagne, sur les traces de Lucia Amaya Albaycin, plus connue sous le nom de "La Candela", célèbre danseuse de flamenco et grand-mère de Tiggy. Son récit évoque le destin d'une femme exceptionnelle, uniquement guidée par sa passion de la danse à travers tout le pays jusqu'aux ravages de la guerre civile.



A travers l'histoire de Tiggy, Lucinda Riley évoque tout un pan de l'histoire de la communauté gitane, de l'Andalousie jusqu'en Amérique du Sud. J'ai aimé ce contexte, la période et les références sur la tradition et l'art du flamenco. Une superbe lecture !
Lien : http://labibliothequedemarjo..

Alex est un jeune garçon qui rédige son journal intime à l' âge de 13 ans et revient dessus pour faire une mise au point 10 ans après.

Une histoire de famille anglaise dont la mère hérite d'une villa familiale à Chypre.

Un secret de famille est tu depuis un certain nombre d'années et risque de faire des ravages lors de sa découverte. Les langues se délient, la vérité est mise à nu et les liens familiaux risquent d'être bouleversés à tout jamais.

Comme d'habitude Lucinda Riley sait nous surprendre et nous offre un moment de dépaysement avec son nouveau roman.

Son écriture est toujours aussi fluide, la traduction parfaite et l'intrigue bien que convenue ne nous déçoit pas. Ses romans sont chaleureux et nous apportent un très bon moment d'évasion. C'est une auteure qui jusque là ne m'a jamais déçue.

Et bien, je suis contente d'être arrivée au bout de ce cinquième tome !

J’ai de plus en plus de mal avec Les Sept Sœurs, une série qui me semble très répétitive avec la construction toujours très similaire, le mystère toujours plus dense autour de la mort de Pa Salt, la quête des origines qui ne se concentre pas sur les parents, mais sur une arrière-grand-mère, une femme marquante qui a eu une vie amoureuse compliquée, liée aux milieu artistique, etc. Et pourtant, je laisse du temps entre chaque tome...



Et donc, ici aussi, le roman se partage entre deux histoires : celle de Lucia, gitane en Espagne au début du 20ème siècle, et celle de Tiggy, la cinquième des sœurs d'Aplièse.

J'ai eu du mal avec la partie consacrée à Lucia, essentiellement parce que je l'ai trouvée peu attachante : fonceuse et égoïste, guidée par une énergie dévorante, ne vivant que pour son art (la danse flamenco). Elle n'a pas que des défauts, son énergie et sa détermination pouvant s'avérer salvatrices en période de crise.

Dans ce récit, j’ai préféré le personnage de Maria, la mère de Lucia, une femme plus mesurée, qui a mené une vie rude dans le quartier de Sacromonte. J'ai d'ailleurs trouvé passionnante cette immersion dans la communauté gitane à une période charnière de l'Histoire d'Espagne, avec l'arrivée de Franco au pouvoir.



L'histoire de Tiggy aussi est intéressante même si la jeune femme est assez effacée. D'ailleurs elle ne se lance sur les traces de ses origines qu'une fois qu'elle se retrouve acculée, forcée de quitter le domaine où elle travaillait comme consultante en vie sauvage. Son voyage en Espagne vient couper le récit assez brutalement (j'ai eu du mal à garder le lien entre les deux parties), puis le retour en Ecosse ferme cette parenthèse et la résolution des problèmes restés en plan est assez expéditive. La confrontation avec le "méchant" de l'histoire m'a même paru assez délirante tellement cela ne collait pas avec la personnalité de l'héroïne. Si on ajoute les voyages en avion à tout bout de champ (quand on ne sort pas le jet privé si c'est plus pratique), les problèmes cardiaques qui la gardent au lit pendant des semaines, mais ne l'empêche de voyager soudain ...



Tout cela pour dire que même si la plume de Lucinda Riley reste très agréable, c'est vraiment difficile de s'immerger dans le récit alors qu'il y a toutes ces petites chose qui ne collent pas, ou qui m'agacent ou qui se répètent mécaniquement d'un tome à l'autre...

J’ai commencé mon aventure bookstagram avec la lecture du 1er tome de cette saga qui m’a accompagnée toute l’année 2022.

Grâce à elle, un super chouette groupe de lecture a été formé sur instagram et nous avons été très heureuses de lire ensemble au fil des mois les aventures de ces 6 sœurs au destin extraordinaire.



Pourquoi 6 et non 7 ? Car comme le titre l’indique, la septième a disparu !!!



Petit rappel pour celles qui ne connaissent pas encore la saga :

On suit l'histoire de 6 jeunes femmes, adoptées aux 4 coins du monde lors de leurs premiers moments par un milliardaire surnommé affectueusement Pa Salt et qui en a fait des femmes accomplies. A sa mort, il a été révélé à chacune des coordonnées géographiques, pour les aider à savoir d'où elles viennent.



Après avoir suivi Maïa au Bresil, Ally en Norvège, Star en Angleterre, Cece en Australie, Tiggy en Ecosse et Electra au Kenya, on retourne sur les traces de la regrettée Lucinda dans son pays d’origine : l’Irlande. Après des années de recherche, l’avocat de la famille aurait retrouvé la trace de la 7eme soeurette et cette quête va nous conduire de Nouvelle-Zélande en Irlande, en passant par le Canada et la France, sur les traces d’une mystérieuse Mary McDougal. Est-elle vraiment celle que tout le monde recherche ? Et quels terribles secrets cache t’elle ?



J’ai beaucoup aimé ce tome même s’il ne sera définitivement pas mon préféré. J’ai trouvé cette Mary parfaitement antipathique et hautaine. Sa façon d’éviter les D’Apliese et ses multiples fuites m’ont un peu fatiguée et je la trouve bien peu empathique envers les 6 sœurs qui ne lui veulent que du bien.

La partie du passé m’a moins captivée que la vie au Kenya ou en Australie par exemple. Mais c’est juste le thème de la guerre civile en Irlande qui m’a sans doute moins intéressée.

J’ai eu un peu l’impression d’un roman « étiré » pour pouvoir en faire un 8eme avec l’histoire de PA … dommage que l’autrice soit partie avant.



En revanche j’ai eu beaucoup de plaisir à retrouver la sororie (j’ai cherché le mot pour vous  ) leur évolution depuis le tome qui leur était consacré à chacune, même si deux d’entre elles sont bien plus présentes *chut*



Et toi tu en es où de cette saga ?

Tu nous rejoins pour la fin en mai ?

je dois être l’exception, mais j’ai pas du tout été séduite . j’ai même carrément (osons le dire ! ) abandonné la lecture à la moitié du livre .

j’ai horreur de ces histoires utopiques , ou les gens sont tous beaux, grands , minces , bronzés , riches .

Ça se veut réel mais la vie n’est pas comme ça , c’est ça qui me dérange . Quand on essaie de rechercher ses ancêtres , on ne tombe pas sur un inconnu beau etc .. et historien comme de par hasard qui va vous résoudre tout ça . Bon je sais que la majorité a adoré. Sans doute les mêmes qui ont aimé tout le bleu du ciel . Il en faut pour tout les goûts , mais moi définitivement j’aime pas ce genre de lecture .

L'histoire commence avec Greta qui retourne dans la magnifique demeure familiale de Marchmont Hall après plus de 30 ans.

Elle a perdu tous ses souvenirs il y a une 20aine d'année suite à un terrible accident et depuis elle vivait un peu comme une recluse. Là-bas, elle va retrouver sa petite fille, son mari ainsi que David son « neveu », fidèle soutien depuis toujours.

Lors d'une balade dans le parc, elle va découvrir une tombe, celle d'un très jeune enfant, son propre fils à en croire les inscriptions... A partir de là, les souvenirs trop longtemps oubliés ne vont cesser de ressurgir et son histoire peu à peu se dévoiler.



Nous allons donc découvrir l'histoire de cette famille sur 3 générations, de 1945 à 1985.



J'ai mis un peu de temps à rentrer dedans pour être tout à fait honnête (presque une centaine de pages), mais une fois dans l'histoire, il m'était impossible de lâcher le livre ! L'intensité est croissante tout du long, j'ai lu les 150 dernières pages d'une traite, je ne pouvais tout simplement plus m'arrêter, il fallait que je sache comment tout cela allait bien pouvoir se terminer !

Seul bémol, à mon sens : le personnage de Greta que j'ai trouvé assez fade, difficile d'imaginer quelle puisse déchaîner les passions… Heureusement Cheska est là pour nous en faire voir de toutes les couleurs (c'est peu dire), elle nous maintient en haleine !



J'ai un peu honte de l'avouer mais c'est le 1er livre de l'auteure (et seul à ce jour) que j'ai lu. Et comme je l'ai beaucoup aimé, j'ai bien envie de me laisser tenter par son autre grande saga familiale, à savoir Les sept soeurs.



Et vous, vous avez déjà lu cette auteure ? Vous l'appréciez ?

Rosanna écrit à son fils l'histoire d'amour qui l'a vu naître,son histoire, celle de sa famille. Elle commence à Naples, Rosanna a 11 ans,elle croise Roberto dans une fête familiale et elle sait alors qu'il sera l'homme de sa vie. Dès les premières pages,le plaisir de la lecture est là : l'ambiance napolitaine,la pizzeria de papa et mama,les quartiers populaires mais aussi Posillipo qui domine la baie avec ses magnifiques villas. C'est là, poussée par son frère Luca, qu'elle va faire connaissance avec celui qui deviendra son professeur de chant et la propulsera jusqu'à la Scala. L.Riley nous conte un amour passionnel avec ses escales au paradis mais aussi en enfer. Après Naples nous plions bagages pour Milan, Londre, New York. Nous rencontrons de belles personnes, l'amitié, l'admiration pour les maîtres, la splendeur de l'Opéra...L'auteur sait parsemer son récit de piment pour nous tenir en haleine et nous empêcher de refermer ce livre! Pour tout ceci sans hésitation 4 étoiles ! Même si je dois avouer que j'ai trouvé un réel côté fleur bleu un peu bêta à cette histoire.La plume légère et agréable de La. Riley sait nous provoquer les émotions qui nous font oublier ceci le temps de la lecture.

Et un tome de plus !

Le personnage étant détestable dans les tomes précédents, je n'avais pas hâte de lire son histoire. Mais comme les autre, elle est intéressante. Après un passage sur ses addictions et sa difficulté à faire face, on découvre peu à peu l'histoire de sa famille d'origine, au Kenya et aux Etats Unis. Pas mal dans l'ensemble

Avec notre chouette groupe des #lucindasaddicts, après avoir dévoré la saga des 7 soeurs, nous avons plongé dans l'unique livre policier de Lucinda Riley : Les mystères de Fleat House.

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Fleat House est le nom d'un dortoir du prestigieux internat privé de St. Stephen qui se trouve dans le Norfolk.

Bienvenue dans la campagne anglaise, au sein de la jeunesse favorisée, chez les aristocrates et gens de bonne famille...

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Mais même chez les privilégiés (et surtout chez eux!) il y a des secrets, et lorsque que le corps sans vie d'un étudiant est retrouvé, les mystères et les mensonges se multiplient, et la police devine qu'il ne s'agit pas d'un accident.

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L'enquêtrice londonienne Jazz Hunter, qui se reconstruit doucement dans la région après un divorce douloureux, devra composer avec ses propres démons pour déjouer faux semblants et cachotteries autour de St. Stephen...

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Cette lecture a été un vrai régal. Tout d'abord parce que je veux rendre hommage à ce super groupe de lecture qui est toujours d'une charmante compagnie .❤️

Et parce que Lucinda a su complétement changer de style avec ce roman policier, auquel nous n'étions pas habituées... Un suspense haletant, des personnages très vivants (ok sauf les morts 😇 ) mais la principale protagoniste reste la vieille bâtisse victorienne Madame Fleat House 🏫

Vraiment dommage qu'a priori (sauf si on nous ressort des cartons une suite cachée?) ce sera le seul de ce genre

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Un petit coup de coeur pour Jazz, une femme forte et généreuse❤️



Et toi, tu aimes cette autrice? Tu veux changer des doubles temporalités et d'histoires de soeurs? Il est fait pour toi



Bonne journée !