Citations de Manhon Tutin (64)
Accroche-toi à moi, relâche-moi.
J’ai besoin de toi autant que je souhaite m’enfuir en te laissant là.
— C’est Ghost qui gratte derrière la porte ? Pauvre chien, je vais lui ouvrir.
Il s’interrompt l’espace d’une seconde, et reprend après s’être raclé la gorge : — Attendez… Vous êtes nus je parie ! Je ne veux pas voir ça, rendez-moi mon chien c’est tout. Et s’il a été témoin de choses horribles, je vous pends dans la grange ! Vous me l’avez traumatisé alors que j’avais dit pas d’animaux dans les chambres!
Laisse toi aller, Zach, je te tiens
Aux marmottes et aux petits rats,
qui vagabondent sans cesse en espérant
un jour parvenir au bout du chemin.
- Ne reste pas planté dans le couloir ! Je ne ressortirai pas… On parlera demain, peut-être. Quand je serais calmé, et que tu… Non laisse tomber !
Puis plus rien. J’ai perçu dans sa voix la petite note de tendresse qu’il me réserve toujours, quand il a dit qu’on parlerait demain, ce qui me faisait espérer que la crise que nous traversons actuellement n’est pas si grave au final. Mais elle a bien vite disparue…Me laissant avec bien peu d’espoir
Dire que tu étais là depuis tout ce temps… Et que je n’ai rien vu.
Alors même que la vie te quittait peu à peu, j’avais l’impression que ton cœur était mien plus que jamais.
Il vaut mieux avoir aimé et perdu,que de ne jamais avoir aimé du tout.
J’ai réussi à combiner l’ombre et la lumière...
Les malheurs de la vie façonnent le cœur des hommes.
- Ben, qu’est ce que tu fabriques dans le couloir ? Viens donc dans le salon…
Et il dit tout ça en prenant un air angélique, comme s’il ne venait pas de remettre le salon dans un état présentable… Bref, c’est Cody ; on ne le changera plus. Je suis d’ailleurs heureux de voir qu’il s’épanouit autant en étant ici.
Je m’avance vers lui, et lui donne une tape dans l’épaule.
- Je regardais le papier peint, crétin !
- Je t’ai toujours dit quand nous étions petits qu’à force de sniffer de la colle, tu deviendrais louche… Eh bien, tu aurais mieux fait de m’écouter
Je suis aux anges depuis que j’ai reçu mon équipement complet. Pour tout vous dire, je dois avoir porté mon maillot au moins pendant une semaine… C’est vraiment à ce moment que j’ai réalisé que tout était vrai ! Bien sûr, Mia a trouvé les bons arguments et j’ai fini par l’enlever… À contrecœur, il ne faut pas déconner non plus...
Même s’il risque de mourir d’ennui, quelque part entre le rayon des surgelés et celui des condiments. Ce qui serait une mort vraiment atroce, pour un être tel que lui, promu à un grand avenir, vous ne trouvez pas ?
si Mia s’applique elle pourrait bien être une diva en devenir…
Andrew est encore meilleur papa pour Danny, qu’il n’est un merveilleux mari pour Cody.
C’est bien beau de jouer avec Spoony, mais elle c’est une fille… et elle n’est pas aussi amusante qu’un vrai bébé, même si Kassy l’aime d’amour.
Si après tout ça vous avez encore envie de les lire, foncez !
Moi et mes personnages vous souhaitons une agréable lecture ; et une joyeuse Saint-valentin !
Gros Bisous à tous.
Pudeur Seigneuriale de Coralie Martin:
Je me suis avancé pendant sa pique et je ne peux pas esquiver son attaque. Il lance son pied en avant et son pied touche mon ventre. Sous le choc, je recule et mon dos frappe un pilier.
Il est devant moi. Il est contre moi. Sa main tire mes cheveux en arrière. C’est douloureux… C’est bon. Excité, je remarque qu’il est vraiment plus grand que moi. Et un sourire heureux barre son visage.
— Encore gagné.
Il est trop près de moi. Sa chaleur, son parfum, son souffle haletant contre le mien… Dans un élan, je capture ses lèvres.
Elles sont douces et fermes, chaudes et humides avec un léger goût salé à cause de la transpiration.
De surprise, Jean se laisse faire. J’en profite alors pour inverser nos positions. Il est maintenant contre le pilier. Je m’empresse de me plaquer contre lui afin qu’il ne s’enfuie pas.
— Je préfère gagner cette bataille, elle est plus savoureuse… dis-je d’une voix pleine de promesses.
— Il n’est pas sûr que tu la gagnes, répond-il.
Il arrive à se dégager et me prend les cuisses. Soudain, il me soulève. Je perds l’équilibre, mais il me plaque contre lui et il se met en marche. Mes jambes se resserrent contre lui, il ne peut manquer mon désir…
— Te voilà coi, enfin.
— Dépose-moi de suite!
— À vos ordres, messire.
Il me lâche. Je me retrouve dans la paille tandis qu’il rit de ma déconvenue. Je lui fauche les jambes et il se retrouve au sol. Un sourire satisfait aux lèvres, le combat reprend.
Les péchés capitaux de K:
En deux enjambées, il le rejoignit et le poussa violemment contre la table.
Oui, c’est ici et maintenant, pensa-t-il, dans cette caverne dédiée au sexe, qu’ils allaient s’adonner au plus puissant des péchés… LA LUXURE…
Adrian trébucha et s’affala sur la table. Il se retourna et le fixa, un éclat indéfinissable dans ces yeux émeraude glaciaux.
Seigneur, ce maudit capitaine montrait un exceptionnel contrôle de lui-même, et ce calme apparent excita encore plus Brian. Son sexe se tendit douloureusement. Il n’y avait plus que lui, Adrian, son capitaine, son pouvoir de séduction, le souvenir de ce désir qui s’accentuait de plus en plus, et surtout ce besoin animal de l’assouvir. Instinctif, primitif. Cette reconnaissance, dans sa forme la plus primaire. Si fondamentale.
— Ça me fait mal! reprit Brian, toujours furieux.
Le capitaine cligna des yeux, une lueur de perplexité au fond de ce regard émeraude.
— Pardon? s’exclama-t-il.
Son lieutenant s’avança, jusqu’à se coller à lui, à cette table.
— Mon désir pour toi, il me fait mal. Il me consume. Me brûle à petit feu.
- J’ai bien vu que ça faisait deux jours que ton attitude de Saint Bernard a pris le dessus… Pour combler ce côté de ta personnalité, je te propose de me faire un bon massage. J’ai les épaules encore toutes endolories…
- Tu te fous de moi ?! Je secoue la tête, en essayant de garder mon sérieux. Il se tait, je pense qu’il est en train de prendre le temps de la réflexion. Ou de chercher un moyen de me tuer et de cacher le corps sans trop éveiller les soupçons… J’ai un doute. Ben oui attendez, je viens de le comparer à un chien ! Certes, un chien très utile durant les opérations de sauvetage, mais un chien quand même.