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Citations de Margaret Laurence (28)


"People usually say there must be a God", Chris went on, "because otherwise, how did the universe get her? But that's ridiculous. If the stars and planet go on to infinity, they could have existed forever, for no reason at all. Maybe they weren't even created. Look - what's the alternative? To believe in a God who is brutal. What else could He be? You've ony got to look anywhere around you. It would be an insult to Him to believe in a God like that. Most people don't like talking about this kind of thing - it embarrasses them, you know? Or else they're not interested. I don't mind. I can always think about things myself. You don't actually need anyonne to talk to."
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My father was a doctor, and like many doctors, his advice to his own family was of an exceedingly casual nature. My mother's prenatal care, apart from "For Pete's saake, honey, quit running around like a chicken with its head cut off", consisted mainly of admonitions to breathe deeply and drink plenty of water.
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Le canari, comme d'habitude, n'était pas d'humeur musicienne et je restais assise à côté de la cage, morne, indifférente, n'essayant même pas de l'inciter à chanter. Je me demandai si grand-mère Connor était en ce moment même au ciel, cet endroit incertain. (p. 82)
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Premier chagrin d'amour" Vanessa me dit elle timidement un jour.? Je sais que tu ne me croiras pas, ma chérie, mais au bout d'un certain temps, tu auras moins mal? Et pourtant, en un sens, tu auras toujours mal. Personne n'y peut rien. De fait elle avait raison sur tous les plans. A l'époque, je ne la crus pas. Pourtant vingt ans après, dans une certaine mesure, la souffrance est toujours là, parmi les évènements qui se sont accumulés, sans que je puisse jamais n'en délivrer totalement.
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Bien sur que je ne l'ai pas fait, je n'ai pas couché avec lui! Mais j'aurais pu.
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Je me demande vraiment pourquoi j’ai aussi impitoyablement pris soin d’elle, comme pour la conserver éternellement, telle une fleur séchée sous verre. Ce n’est pas ma responsabilité. Ça ne l’a jamais été. Je peux prendre soin d’elle, mais un peu seulement. La maintenir en vie n’est pas en mon pouvoir. Quel énorme soulagement que de m’en rendre compte.
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La nuit est un lac noir couleur de jais. On pourrait y sombrer, et même y disparaître sans laisser de trace.
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Chaque journée s’éteint avec le sommeil.
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James est bon dernier, comme d’habitude. Quand il s’agit d’entrer en classe ce garçon est un véritable escargot. Pour sortir, par contre, il décolle toujours comme un moineau et semble s’envoler comme par miracle
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Enfant, mon étonnement aurait sûrement été grand si l’on m’avait dit que je reviendrais un jour ici, dans cette salle où je ne suis plus celle qui a peur de déplaire mais le mince géant femelle derrière le bureau sur l’estrade, celle qui a le pouvoir de choisir n’importe quelle craie de couleur dans la boîte et d’écrire absolument n’importe quoi au tableau noir. À l’époque c’était un pouvoir qui paraissait pourtant digne d’être possédé.
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Que la miséricorde divine soit sur les plaisantins involontaires. Bénis soient les imbéciles.
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Certains poisons sont doux quand on les goûte, mais ils n’en sont pas moins prêts à vous tuer quand même.
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Les femmes comme moi sont un anachronisme vivant. Nous n’existons plus. Et pourtant je regarde le miroir et je m’y vois. Je suis une réalité tangible, un rêve tangible.
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Oh quelle toile complexe nous tissons
Quand au départ nous entreprenons de tromper.
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Il y a des jours où il semble plus difficile d’être patient. Il y a des jours où ils pourraient chahuter ou hurler de leurs vingt-six voix réunies et où ça ne me perturberait pas le moins du monde. Et puis il y a d’autres jours où la moindre chose suffit à me mettre hors de moi
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Il ne reste plus qu’à effacer le mot Funeral. Un vilain mot, aux relents de mortalité. Personne ne meurt jamais à Manawaka, du moins pas de ce côté-ci de la voie ferrée. Nous sommes une assemblée d’immortels. Nous quittons peut-être ce monde sous les divins portails topaze et azur de Calla, mais nous ne mourons pas. La mort est grossière, dénuée de bonnes manières, on n’en parle pas dans la rue.
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Les enfants ont des radars intégrés leur permettant de détecter l’artifice.
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- Qu'est-il arrivé à Nanook?
- qu'aurais-je pu faire d'autre...
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“My mother sighed, making me feel that I was placing an intolerable burden on her, and yet making me resent having to feel this weight. She looked tired, as she often did these days. Her tiredness bored me, made me want to attack her for it.”
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On reste avec une créature sur les bras dont il faut s’occuper et se soucier, une créature dont il faudra tenir compte à tout jamais. Pas pour une seule et unique année mais bien dix-huit. Dix-huit années, ça fait un bail.
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