Citations de Marilyn Monroe (121)
Je me rendis compte que, tout comme j'avais du me battre pour faire du cinéma et devenir une actrice, je devrais maintenant me battre pour obtenir le droit d'être moi-même et d'utiliser mes talents. Si je ne me défendais pas, je deviendrais une marchandise bonne à être vendue dans les vitrines de cinéma.
Je ne comprends pas pourquoi les gens ne sont pas un peu plus généreux entre eux.
Personne encore ne lui avait jamais offert un objet aussi luxueux.
- Mais tu ne l'as pas fait graver, remarqua-t-il. De Marilyn à... Avec tout mon amour. Ou quelque chose dans ce goût là.
Mon coeur faillit s'arrêter de battre.
- Je voulais le faire graver, repondis-je. Et puis j'ai changé d'avis.
- Pourquoi ? demanda-t-il en me regardant avec beaucoup de tendresse.
- Parce que tu me quitteras un jour, et tu aimeras une autre fille. Et tu ne pourrais pas porter mon cadeau s'il y avait mon nom dessus. Comme ça, tu t'en serviras toujours comme si tu l'avais acheter toi-même.
En général, quand une femme fait ce genre de confidences à son amant, elle s'attend à ce qu'il proteste, calme ses craintes, lui jure fidélité. Ce ne fût pas mon cas. Ce soir-là, dans mon lit, je pleurai longtemps à chaudes larmes.
Un amour sans espoir est un sentiment crucifiant.
Il m'a fallu deux ans pour régler au bijoutier la totalité des cinq cent dollars. Lorsque je lui ai enfin remis le dernier versement de vingt dollars, mon amant était marié à une autre.
Mais quelque chose m'empêchait de revenir au monde de Norma Jean. Ça n'était ni l'ambition ni le désir de devenir riche ou célèbre. Je ne sentais pas au fond de moi un talent qui ne demandait qu'à s'épanouir. Je ne me trouvais même pas belle ou particulièrement séduisante. Mais il y avait en moi une sorte de folie qui ne voulait pas céder. Elle ne cessait de me harceler, non pas sous forme de mots mais de couleurs, - pourpre et or, blanc lumineux, vert et bleu... Les couleurs dont je rêvais dans mon enfance lorsque j'essayais d'échapper au monde morne et sans amour où vivait Norma Jean, la petite esclave orpheline.
Ce monde-là, je le fuyais toujours, mais il continuait à m'environner.
Je lui dirai que l'honneur et la bonté se rencontrent dans le monde, certes, tout comme on y trouve des diamants et du radium.
Je n'ai jamais voulu être méchante avec qui que ce soit, mais vous ne pouvez pas vous permettre d'être trop gentil avec les gens qui travaillent avec vous. Sinon, ils vous piétineraient à mort !
“Imperfection is beauty, madness is genius and it's better to be absolutely ridiculous than absolutely boring.”
Je ne sais pas qui je suis, mais je suis la blonde.
Je ne me soucie pas de vivre dans un monde d'hommes si je peux y être une femme.
" - Je comprends maintenant les problèmes que vous pouvez avoir, Marilyn. Vous émettez réellement des vibrations sexuelles - quoi que vous soyez en train de faire ou de penser. Le monde entier a déjà réagi à ces vibrations. Elles sont retransmises par les écrans de cinéma quand vous y apparaissez. Et vos grands patrons ne s'intéressent qu'à vos vibrations sexuelles. Elles suffisent à leur rapporter une fortune. Voilà pourquoi ils refusent de vous considérez comme une comédienne. Tout ce qu'ils veulent, c'est tirer parti du stimulant sexuel que vous représentez. Leurs motifs et leurs projets sont très clairs."
Plus j'y pense, plus je me rends compte qu'il n'y a pas de réponse : la vie doit être vécue.
A wise girl kisses but doesn't love, listens but doesn't believe, and leaves before she is left.
Les garçons se mirent à me faire la cour comme si j’avais été la seule créature de mon sexe dans tout le secteur. (…) J’aurais bien aimé désirer quelque chose autant qu’eux. Moi, je n’avais envie de rien. Ils auraient aussi bien pu faire la cour à une bûche.
J'aime les plaisanteries, mais je ne veux pas en être une.
La vérité, c’est que malgré mon rouge à lèvres, mon mascara et mes rondeurs précoces, j’étais aussi sensuelle qu’un fossile.
Hollywood est un endroit où ils vont vous payer un millier de dollars pour un baiser et cinquante cents (centimes) pour votre âme...
Marilyn Monroe
J'ai une grosse tête, vous savez. Bien sûr, il n'y a rien dedans mais elle est grosse tout de même ...
J'ai essayé tout l'hiver d'imaginer le printemps - il est là et je me sens toujours aussi désespérée.
la souffrance de sa nostalgie lorsqu'il regarde
quelqu'un d'autre
comme une insatisfaction ressentie depuis
le jour de sa naissance
Et moi, ma détresse implacable
devant la souffrance de sa nostalgie -
lorsqu'il en regarde une autre et qu'il l'aime
comme une insatisfaction ressentie depuis
le jour de sa naissance
nous devons l'endurer
moi encore plus tristement car je ne puis ressentir aucune joie
Nous sommes toutes des étoiles. Il suffit juste d'apprendre à briller