Michael Bond

Paddington et Noël dans la même phrase, impossible de résister ! Je me suis vraiment attachée au petit ours anglais, et c’est toujours un plaisir de découvrir ses nouvelles aventures, même si elles sont toujours trop courtes pour moi.



Ici, les Brown et Paddington vont dans un grand magasin pour rencontrer le Père Noël et faire une petite visite dans le pays féérique aménagé spécialement pour l’occasion. Notre petit ours a économisé tout son argent de poche pour cette sortie et ses attentes sont vraiment très très grandes. Malheureusement, les choses dérapent rapidement… Le village n’est en effet pas à la hauteur et Paddington décide de mettre son grain de sel créant une petite catastrophe… Oups…



J’ai toujours un peu de mal avec les personnages qui se montrent hostiles envers Paddington. Il y en a toujours un dans chaque album, et j’avoue que je trouve que cela casse un peu la magie, surtout ici dans une histoire sur Noël. Mais heureusement, les Brown et Mme Bird sont là pour prendre soin du petit ourson. On voit toute l’affection qu’ils ont pour lui, même quand sa naïveté produit quelques petits désagréments. Mais comment lui en vouloir.



Une histoire mignonne comme à son habitude, même si j’ai trouvé que la magie de Noël n’était au final pas trop présente. La fin remonte par contre bien le niveau avec un événement des plus adorables. De quoi fermer l’album avec un énorme sourire.

Je ne lis visiblement pas les albums dans l’ordre, car Paddington a un meilleur ami dans celui-ci que je ne connais pas du tout, mais cela n’a aucune importance. C’est vraiment le genre d’histoire qui peut se lire indépendamment et j’apprécie cela.



Notre ourson se retrouve donc avec M. Gruber pour une petite promenade touristique à Londres. Une première pour notre héros et il est bien décidé à partir préparé : sandwichs et parapluie de rigueur. Mais arrivés devant le bus à impérial, tout ne se passe pas comme prévu. Des touristes un peu remuants et la pluie viennent quelque peu bousculer les plans des deux amis.



Ce que j’adore, en plus de la bienveillance globale, c’est ce côté très british de l’histoire. Je ne saurais pas trop comment l’expliquer mais dans les situations un peu cocasses, cette façon de se moquer gentiment, tout en gardant l’étiquette, je trouve cela adorable et coquet. Et puis, on ne peut pas résister à Paddington et ses mimiques. Il est absolument trognon dans son ciré bleu et ses bottes jaunes et décidément, rien ne se passe jamais comme prévu avec lui.



Mais c’est aussi un gros atout du personnage, car il y a toujours un petit quelque chose qui transforme une situation qui part en cacahuète en quelque chose de nouveau et charmant. Et moi j’adore.

Depuis ma découverte du film Paddington, j’avais très envie de découvrir l’œuvre littéraire derrière ce petit ours maladroit et adorable. Et j’entends par là, les albums de Michael Bond, car oui, en librairie on m’avait proposé les albums du dessin anime… Nop ! Je voulais l’original. Pas facile à trouver, mais j’ai fini par mettre la main sur trois dont le tout premier, bien entendu.



Pas de surprise, car je connaissais déjà un peu l’histoire avec les films, mais un vrai plaisir de se replonger dans la rencontre entre les Brown et Paddington. L’histoire est très courte, ne faisant qu’une trentaine de pages, mais nous allons à l’essentiel. La rencontre, le caractère naïf et adorable de l’ourson et cette famille qui ne sait pas vraiment dans quoi elle s’est embarquée mais clairement pour une aventure inoubliable.



C’est mignon tout plein, adorable et improbable aussi, mais j’ai beaucoup aimé. Les dessins sont parfaits pour l’histoire et la douceur du trait ne fait qu’ajouter à l’ambiance très cosy de l’album.



Je suis un peu restée sur ma faim à la dernière page, tout comme les Brown à n’en pas douter, mais cela donne clairement envie de poursuivre l’aventure. J’ai même très envie de découvrir les romans !

Le chateau des souris est situé dans le château même, puisqu'il s'agit d'une maison de poupée. Les parents sont charmants, les souriceaux parfois maladroits, attachants toujours. Aussi, quand la maison de poupée, bien abîmée, est retirée du château, la famille doit trouver un nouveau lieu pour se loger. Pas facile, cependant, quand on veut, on peut (beaucoup) et de jolies surprises peuvent finalement survenir.

Les dessins sont soignées, les couleurs fraîches et variées, cet album est hautement recommandable.

Je suis fan de l'ours Paddington découvert via les films, la lecture de cet album à l'origine de l'histoire fut un vrai régal.

Le petit ours Paddington est absolument adorable avec son chapeau rouge et son ciré bleu, il est toujours poli mais il a un péché mignon, la marmelade.

L'histoire est simple mais amusante et plaira je pense à beaucoup d'enfants, et les illustrations sont très jolies, Paddington étant particulièrement mignon avec sa petite bouille.

J'adore !

Mon ourson préféré dans un univers so British!

Adorable petit ours tout en politesse et en maladresse, comment ne pas adopter Paddington. Moins connu qu'outre-manche avant les films reprenant le personnage, Paddington se laisse déguster comme un bon sandwich à la marmelade dont il raffole : sans modération !



Frais, drôle et tout en douceur, notre ours gaffeur au cœur d'or saura vous conquérir que vous soyez petit ou grand.

Fabuleux livre pour enfant racontant l'histoire de Paddington, l'ours péruvien débarquant à Londres où il va lui arriver toutes sortes d'aventures !

Après avoir eu un coup de coeur pour le premier album, Paddington, l’histoire d’un ours qui venait du Pérou, je ne pouvais que craquer et acheter le deuxième titre.



Dans ce titre, l’histoire prend place dans le jardin des Brown, un véritable havre de paix en plein coeur de Londres. Mr et Mme Bronw décident d’offrir un lopin de terre à chacun de leurs enfants, ainsi qu’à Paddington. Judy plante des fleurs, Jonathan fait un espèce pavé avec un bassin pour les oiseaux mais que va faire Paddington? En quête d’inspiration, notre petit plantigrade se rend au marché où il trouve un livre rempli d’idées pour trouver l’aménagement idéal à son jardin.



Outre le jardinage, cet album met en avant l’entraide, le soutien et la quête d’inspiration, le tout avec une petite touche d’humour très sympathique. Il reste moins amusant que le premier mais j’ai aimé l’originalité et l’altruisme qui s’en dégage.
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Suite à un retour vers le passé dans le grenier parental, je suis tombée sur cette perle. Mon premier livre de grande! En tous cas le premier dont je me souviens avec nostalgie. Bon j'avais aussi un cochon d'inde.... Je l'ai relu, la larme à l'œil. Parents n'hésitez pas à faire découvrir Charlotte à vos enfants!

Si vous connaissez ne serait-ce qu'un petit peu les cochons d'Inde, vous savez certainement qu'ils communiquent énormément.

Michael Bond nous traduit ici ces couinements.

Charlotte Parlotte ne fait pas que parler, elle raconte des histoires et pas n'importe lesquelles. Vous apprendrez comment ces adorables bestioles ont perdu leur queue ou encore comment ils ont été sur la lune.

Bref, avec Charlotte Parlotte on ne s'ennuie jamais et ont rit beaucoup.

Charlotte Parlotte, un cochon d'Inde qui prend la vie du bon côté !

La petite bouille de Paddington est mignonne mais ne suffit pas à rendre l'histoire plaisante. Le texte est trop didactique, il manque cruellement de fantaisie. Le livre s'apparente plus à un documentaire illustré sur la cathédrale St Paul plutôt qu'à un véritable album Jeunesse.

La dernière fois que je suis allé à la bibliothèque avec mes enfants, j’ai lancé un grand benchmarking pour trouver de nouveaux livres pour eux. J’en avais un peu assez d’emprunter, et de lire, toujours les mêmes. Et sur les quatre que j’ai proposé aux deux jurés-testeurs, voici le seul qui a passé leur impitoyable sélection.



La famille souris vit paisiblement dans son château, rien de moins. Enfin en vrai dans une maison de poupées, qui est elle-même située dans un château, un vrai celui-là. Mais un jour, leur maison disparait et c’est le début des ennuis pour la famille souris. « Le château des souris » est une très belle découverte. Il ne s’agit pas d’un album très récent, mais il est très joli, avec des graphismes magnifiques, au charme justement un peu désuet. Les souris sont très attachantes, avec leurs tenues et leurs comportement quasi humains. Et même si vos enfants ne sont pas aussi fans des souris que mon fils cadet, ils apprécieront forcément ce bel album !
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Jusqu’à présent, je ne connaissais Paddington que de réputation. Ce personnage britannique a pourtant eu le droit à un film et de nombreux produits dérivés.

L’ourson part en balade avec son ami, monsieur Gruber. Le vieil homme veut lui faire découvrir Londres. Il est assez drôle de lire les réactions de Paddington face à ce qu’il ne connait pas.

L’humour est présent dans cet album de format carré. Il est tout britannique, mais bien là. Paddington reste un enfant. Il peut s’impatienter, se fâcher…

Le comportement des touristes s’explique par un quiproquo. L’ourson ne connait pas encore tous les codes sociaux des humains. Il tente de façon naïve de rendre le sourire aux gens en visitant Londres sans bouger.

Cet album est sympathique, sans être extraordinaire. Les dessins rehaussés l’aquarelle sont doux. Par moment, j’aurais dit qu’ils sont mignons. La typographie présente dans les illustrations contraste trop à mon goût. Cela est certainement dû à la retouche numérique pour la traduction en français.

Ce jeune ursidé venu du fin fond du Pérou a été rebaptisé Paddington par la famille Brown, en hommage à leur première rencontre sur les quais de la gare du même nom à Londres. Rapidement introduit dans la famille et leur quartier, Paddington prend vite sa place, et quelle place! Bourrée de bonnes intentions, l’ourson est d’une maladresse déconcertante, il cumule les bêtises et n’en rate vraiment aucune: de l’inondation de la salle de bain à la montre brisée d’un voisin en passant par la peinture sur les draps et la marmelade sur la moquette, Paddington aura tôt fait de refaire toute la décoration intérieure de son nouveau foyer. Mais son bon caractère et sa gentillesse sont un tel baume au cœur que personne ne lui en veut jamais longtemps.



Entre consternation et fou rire, Un ours nommé Paddington est un premier volume divertissant et d’une richesse narrative incroyable. On se demande où l’auteur va chercher ses idées, mais la recette fonctionne très bien. Le texte est accessible aux jeunes lecteurs et la tendresse qui se dégage du petit ourson rend la lecture agréable et sympathique.
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Imaginez un joli château qui abrite une ravissante maison de poupée vaste et confortable. Tellement pleine de coins et recoins qu’une famille de souris, le papa, la maman et treize souriceaux très actifs y coulent des jours heureux.



Mais un jour, de grands travaux commencent au château et les évènements se précipitant, voilà que monsieur le comte décide de faire enlever la maison de poupée.



La famille Chicote trouvera-t-elle un nouveau logement, les jours heureux sont-ils définitivement derrière elle ?



Les souris, plus mignonnes les unes que les autres, le charme de la maison de poupée, l’élégance du parc et du château, la vivacité des dessins et la douceur de leurs coloris font de cet album une découverte passionnante et enchantée.




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Mr Gruber et Paddington sont de sortie, et la gourmandise du petit ours va leur permettre de sortir d'un mauvais pas : quoi de mieux que de la confiture pour retrouver son chemin dans un labyrinthe ?

Pour apprendre les contraires en s'amusant, l'enfant suit page à page l'ours Paddington

On retrouve avec bonheur les histoires de notre amie Charlotte Parlotte.

De l'humour, de l'amour et surtout beaucoup d'imagination.

Dans un style plus rétro mais tout aussi irrésistible, on savourera, tant qu'on est dans les histoires de chats, ct donc de souris, "Il était une fois Le Château des souris" de Michael Bond, créateur, pour mémoire, de l'ours Paddington, illustré par Emily Sutton, dans la pure veine anglo-saxonne. Avec, en page de garde déjà, une délicate couverture façon papier peint. Composée de quinze petits rongeurs, la famille souris vivait dans une maison de poupées. De quoi faire rêver de nombreux jeunes lecteurs. Une maison dont on admire le plan de coupe. Et qui, pour les souris, était bien sur vaste et confortable. Chaque matin, elles soignaient leur logis puis disparaissaient dans les boiseries lorsque arrivaient les premiers visiteurs. Mais, un jour, leur vw tranquille bascula... Après rénovation complète du château du comte, leur maison, en effet, paraissait



vieillotte, juste bonne à jeter... La suite à découvrir dans ce thriller miniature au charme délicieusement désuet.