Michel Honaker

Surpris par une violente tempête de sable, trois hommes en fuite trouvent refuge dans une étrange ville perdue au milieu du désert. Une ville du nom de Ghost City, qui va s'avérer bien moins hospitalière que prévue. Prenez garde, vous qui entrez dans Ghost City, rien ne dit que vous pourrez en sortir...



J'ai tout de suite été séduite par le décor dans lequel se déroule l'intrigue. L'auteur nous plonge dans un Far West plus vrai que nature, rude, sauvage, soumis aux forces de la Nature. Mais il nous en montre aussi une toute autre facette, nimbée de fantastique et de légendes indiennes.

Dès les premières pages, on se retrouve en plein milieu du désert, pris dans une course-poursuite où se mêlent poussière, sable, sueur et peur. Difficile de ne pas se laisser emporter par le souffle de l'aventure ! En lisant "Ghost City", j'ai retrouvé l'ambiance de "L'agence Pinkerton", une série du même auteur (géniale!!) se déroulant elle-aussi dans le Far West.



A mes yeux, le point fort du roman est sans conteste la ville Ghost City elle-même dans laquelle l'auteur nous entraîne. A travers cette ville pénitentiaire et le personnage du juge Hayes, Michel Honaker nous amène à une réflexion sur les notions de bien et de mal, de justice et rédemption. Dommage que cet aspect de l'histoire ne serve que de toile de fond à la romance entre Farley et Miranda, un peu trop fade et prévisible à mon goût...

Né en 1756, à Salzbourg (Autriche), le jeune Wolfgang Amadeus Mozart est un musicien prodige : « À seulement deux ans, il savait jouer du clavecin, à quatre composer de petites pièces ». Son père Léopold sillonne avec lui l’Europe et l’exhibe dans les salons aristocratiques, où le petit virtuose est traité comme un singe savant : pour plaire aux grands de ce monde, Wolfgang doit jouer les yeux bandés, ou bien sur un clavier recouvert d’un linge qui en masque les touches…



L'avis de Sabine, 12 ans : C’est une biographie de Mozart. Je n’aime pas trop les biographies, mais c’est vrai que celle-ci n’est pas mal. Elle semble très complète et elle est facile à lire. Je conseille ce livre à ceux qui ne connaissent pas encore la vie de Mozart. 



L'avis de la rédaction : Un bon roman biographique, agréable à lire et bien adapté aux jeunes lecteurs.

Jubella Sinocare, jeune journaliste free-lance, est invitée par l'excentrique Lord Denholm. L'ex-magnat, retiré des affaires, vit seul dans son manoir et il a choisi la jeune fille pour lui donner une interview exclusive. Il lui confie qu'il est le dernier prince charmant vivant et qu'à cause de cela, il est en danger de mort. En fait, Denholm est un Eveilleur, qui a le pouvoir, par un simple baiser, de ramener une personne aimée d'entre les morts. Le lendemain de l'interview, Jubella est réveillée par la police. Denholm a été assassiné et le tableau de Turner qu'il possédait a disparu. La jeune journaliste va alors mener l'enquête qui, de Londres à Prague, l'emmènera de révélations en rencontres.

Un roman fantastique qui aurait pu aller beaucoup plus loin dans l'exploitation du mythe du Prince charmant. Donc assez décevant en fin de compte, avec une fin téléphonée. On ne peut pas dire que pour l'instant, je trouve cette sélection 5e/4e des Incorruptibles 2015/2016 bien folichonne. Heureusement qu'il y a "Les Autodafeurs" !

Mélange d'enquête et de conte fantastique, ce roman nous fait également découvrir la peinture de Turner et le métier de journaliste.

On suit l'enquête mais l'histoire manque cruellement de crédibilité, tant sur le déroulé des événements que dans les sentiments des personnages. On ne comprend même pas les motivations de la méchante. Bref pour moi c'est raté !

Quelle belle histoire tout en finesse !

Le fantastique s'insère avec légèreté dans le récit par le personnage du prince charmant revisité sans mièvrerie tout en délicatesse. Le rythme du récit est soutenu et varié : enquête journalistique, suspense, traque, esprit gothique, peinture, résilience ... Tout s'entremêle et la sauce prend.Il est difficile d'arrêter la lecture. Le personnage de Jubella est attachant par sa détermination, et enrichi de fêlures qu'elle surmonte au fil du récit.

L'écriture est soignée et fluide, certaines phrases résonnent. Bref, un très beau livre.

Rythme soutenu, graphisme intense, dialogues enlevés, voici un album susceptible d’accrocher un large public, au-delà du lectorat traditionnel de cette collection.
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Carabosse ou La légende de la fée maléfique de La Belle au Bois Dormant.



Il était une fois deux sœurs, Cara et Léonore. Les deux étaient belles, l’une blonde, l’autre brune. Mais la première est maudite car bossue, ce qui lui ôte toute possibilité de se marier un jour … Par dépit amoureux, elle devient la septième fée, celle du Vent Mauvais, celle de la magie noire. C’est ainsi qu’à la naissance de sa nièce, la belle Aurore, princesse du Bois Dormant, Carabosse la maudit.



"A toi Aurore, psalmodia Cara, au jour de tes dix-huit ans, j’offre…la mort. Tu perceras ta main à un fuseau, et tu périras. "



Mais heureusement la fée Lilas intervient et transforme le jugement de mort en un espoir plus doux : « Ainsi que je l’ai déclaré autrefois : un prince réellement épris de la dormeuse viendra l’éveiller par un baiser sincère, car le charme d’amour seul est capable de rompre les maléfices tissés par Carabosse. En attendant, tout ici doit s’apaiser. Tout ici doit s’assoupir. Le temps doit cesser de s’écouler sur Bois-Dormant. Horloges et pendules doivent interrompre leur course, jusqu’au jour où l’élu, l’éveilleur, viendra ici dissiper les ténèbres. »



Tout le monde connait cette histoire, mise en images et en musique par Disney. Mais ici Honaker retourne aux sources du conte de Charles Perrault et enrichit le monde de l’histoire intemporelle. Il imagine ainsi un roman palpitant, où la magie est omniprésente, mais il l’actualise également en imaginant un monde similaire au nôtre au final, où il est difficile de trouver des princes … Il y mêle d’autres emprunts, en particulier aux mythes du roi Arthur dont la fée Morgane nous rappelle Carabosse la laide.



En tous les cas, même si l’on connaît la fin, on ne s’ennuie pas une seconde et ce peut être une bonne approche du conte pour les adolescents, dans une version modernisée très séduisante.



Un plus à rajouter : la couverture est superbe ..

A lire et à offrir !
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La lecture de ce livre nous plonge dans un univers western admirablement décrit. Le début du roman joue sur l'atmosphère et l'ambiance de cette époque et c'est sans difficulté et même avec plaisir que nous suivons les aventures des héros. Tout y est : les débuts des chemins de fer, les indiens et leurs mystères et bien sûr les Pinks, employés de l'agence Pinkerton. J'ai été très séduite par ce premier tome de la série qui mêle des détails méconnus de l'histoire à une intrigue fantastique. Il me faut vite le tome 2 !

Résumé : Jubella, jeune journaliste débutante, est invitée par Lord Denholm pour une interview exclusive. Il lui révèle alors être le dernier prince charmant vivant : en effet il pourrait, d’un seul baiser et dans certaines conditions, ramener quelqu’un à la vie. Il lui annonce aussi qu’on en veut à sa vie, et que s’il lui arrivait quoi que ce soit, la clé serait dans un tableau qu’il conserve bien caché dans son château. Le vieil homme est assassiné pendant la nuit. Jubella, dubitative mais flairant le scoop de sa carrière, décide de mener l’enquête.

Mon avis : L’écriture de Michel Honaker est toujours aussi agréable. Les personnages sont attachants et j’aime bien l’idée de départ. On se laisse entraîner dans cette enquête, voyageant des brumes anglaises aux rives de Seine parisiennes en passant par Prague. Mais l’épilogue tout droit sorti de « Pretty woman » m’a désappointée.

Dommage…

PL

Dès 12 ans

Jubella, jeune journaliste est invitée par Lord Denholm, ancien magnat de la presse. Alors que la jeune femme se demande pourquoi elle, son hôte lui livre un secret : il serait le dernier des Eveilleurs. Voulant en savoir plus, Jubella va devoir traverser l'Europe, connaître les beaux-arts, affronter les Vicaires et se poser continuellement la même question : Le prince charmant existe vraiment ?



Est-il besoin de présenter Michel Honaker, écrivain touche à tout ? Du fantastique à la biographie en passant par le roman historique, sa bibliographie s'élève à une centaine d'ouvrages. Grâce à cette écriture pluridisciplinaire, il nous plonge dans les méandres de cette enquête. Les personnages de Michel Honaker sont habités par leurs sentiments, en particulier Jubella, victime d'un accident qui lui à fait perdre sa mère. Tantôt romantiques, tantôt angoissants, leurs caractères, l'ambiance, renvoient aux genres littéraires gothique, romantique. Or, l'enquête (et le titre) font référence à William Turner, peintre anglais, de la vague romantique.

C'est là toute la force de ce roman ! Ecrire un roman au XIXeme siècle avec des personnages et une ambiance empruntés au XIXeme.



Tour à tour, enquête, hommage au fantastique, et récit sur l'art, Le Val de la Morte Embrassée envoûte le lecteur. Vous laisserez-vous séduire ?



LE VAL DE LA MORTE EMBRASSEE

AUTEUR : MICHEL HONAKER

EDITIONS : FLAMMARION
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J'ai pris plaisir à me laisser emporter encore une fois par la plume de Michel Honaker, mise au service de ce roman court et vif, à l'ambiance bien mystérieuse !
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Je trouve ce deuxième tome encore plus palpitant que le premier. Comme on change plusieurs fois de pays, on a vraiment différents univers tout au long du livre, et donc on ne peut pas se lasser. Il y a aussi beaucoup d'action qui rend le récit très vivant. Une fin que l'on n'attend pas vraiment, un style agréable à lire, avec de petits détails qui montrent que l'auteur connaît tout de même son sujet.

Je conseille vraiment ces deux ouvrages !

Merci à Babelio et aux éditions Flammarion pour cette édition de Masse critique !!!



Yakusa Gokudo tome 1 - les otages du Dieu dragon est une belle surprise. Honnêtement, je ne pensais pas, d’après le pitch, que ce serait aussi dynamique et entraînant. D’ailleurs la couverture annonce plutôt une littérature jeunesse et ce n'est franchement pas le cas.

C'est l'histoire d'une aventure d'un Yakusa qui vient en aide à une femme qu'il prend pour la princesse de la mer Otohimé et qui est apparemment poursuivie et recherchée. Je ne vous en dis pas plus afin de ne pas vous spoiler. En tout cas, on découvre le monde des Yakusas qui sont des maffieux ayant un code d'honneur et d'éthique. C'est assez paradoxale !

Il y a également beaucoup d'action, avec peu de moment de pause.

Tout cela pour dire que c'est mon petit coup de cœur de ce premier trimestre 2013.

Malgré le fait que c'est visiblement les prémices d'une suite (tome 1), on a une vraie fin, mais je suis assez pressé d'avoir la suite, car cela se lit vraiment très bien. J'ai dû mettre une petite semaine en lisant doucement pour à peu près 260 pages.

Je vous le recommande vivement.
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Je suis entrée dans cette série (ou cycle, je ne sais pas très bien encore) par l’auteur

Michel Honaker. J’ai aimé de lui le cycle Terre Noire, saga sur la Russie du début du XXème siècle. J’avais aimé son style, simple et efficace et je voulais lire autre chose de lui, pour voir.



Je suis satisfaite. Je commence à entrevoir le style Honaker. une écriture simple et efficace donc, une ambiance bien reconstituée sans chichi ni aucune description pédagogique. Des personnages qui traînent leur passé dans leurs valises, des secrets, du rythme.

le « je » de ce narrateur-ci est bien moins « gnangan » que celui de l’héroïne de Terre Noire, c’est appréciable.



Je me suis bien plue dans cet ouest sauvage. C’est le temps du train, machine du progrès, des immigrés, des indiens, des saloons, des chercheurs d’or…

La première enquête de Neil Galore est (rapidement) résolue dans ce 1er tome. Elle a un goût de fantastique et pose mille questions pour les tomes suivants.



Bref, je me suis faite avoir. Michel Honaker, c’est un peu comme pour Bottéro. C’est tellement facile (trop diront certains) que je m’étonne d’aimer, mais j’aime.

Mon résumé est assez bref pour essayer de vous en dire le moins possible. Toutefois j’ajouterai que l’Agence Pinkerton est une entreprise pas comme les autres. Sorte d’agence fédérale, elle a tout pouvoir sur les autres autorités, ses agents sont respectés par la peur qu’ils engendrent. Enfin concernant la mission de Neil Galore et ses nouveaux collègues, ils sont chargés de retrouver et de mettre sous clefs « le Chapardeur », un voleur qui opère à bord du Transcontinental, train qui traverse Amérique sur toute sa largeur.



J’ai beaucoup aimé l’ambiance de ce roman très western. L’histoire est rythmée par le passage du train, nouvel engin qui a sucité beaucoup de sacrifices de la part de certaines populations. On en apprend beaucoup sur l’arrivée de ce moyen de transport aux USA, et cela m’a beaucoup intéressée. Le personnage de Neil Galore (qui raconte son aventure) est plus complexe qu’il n’y paraît. Sa vie passée nous est dévoilée en filigrane alors que son futur se dessine malgré lui. Les personnages secondaires donnent plus d’épaisseur à l’intrigue et j’espère bien les retrouver dans le prochain tome.



L’enquête est close à la fin du tome et je me demande ce que me réservera le prochain.
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Deuxième tome de L'Agence Pinkerton, roman déjà bien apprécié. On retrouve les mêmes personnages (l'agent Galore, Pinkerton débutant et en échec permanent, Armando, Navajo et pisteur hors pair et Elly, aussi à l'aise sur les scènes des saloons qu'à cheval) en pleine lutte contre la Brigade Pâle, armée de morts-vivants engagés par les Sudistes pour préparer une nouvelle guerre de Sécession. À cheval entre recherche des origines et aventure, Michel Honaker maîtrise toujours avec autant de perfection la langue et les mécanismes de rebondissements réussis. À mon sens, une sorte de Durango, le fantastique en plus, et une deuxième tome encore plus réussi que le premier. Dès 11-12 ans.

J'ai adoré ce livre (oui, je suis capable, de temps en temps, de rédiger des avis très brefs). Certes, de très nombreux éléments plaidaient en sa faveur. Le héros, d'abord, Stepan. Ses origines sont mystérieuses, et sans doute ne les connaîtra-t-on jamais : orphelin, il a été adopté par la baronne Danilova, à cause de son prodigieux don pour la musique. Il n'a cessé de développer ce don et à dix-neuf ans, il est devenu un compositeur en vue. En dépit des mises en garde, il se met en danger - pourtant, je n'ai pas trouvé son comportement irréaliste. Même averti, pouvait-il vraiment se douter de l'ampleur du complot qui se tramait contre lui, et de l'intransigeance du Tsar ? J'en doute.

Il faut dire que les adversaires sont puissants et déterminés. Ils remplissent à merveille leur emploi de traître. Volodia, le fils légitime, déteste Stepan parce qu'il ne comprend pas pourquoi sa mère l'a préféré à lui, son enfant biologique - j'aurai d'ailleurs aimé savoir pourquoi cette mère de trois enfants a désiré en adopter un quatrième. Kusak, son beau-frère, mari d'Olga Danilovna, est un traître magnifique, toujours capable d'une nouvelle fourberie. Je suis sûre qu'il n'a pas encore dévoilé tout son potentiel. d'autres parviennent encore à jouer double jeu - jusqu'à quand ?

Puis, il y a la Russie. Je ne n'épancherai pas sur ce pays, sinon, je n'en finirai pas. Sachez seulement qu'en lisant ce livre, j'ai retrouvé les sensations qui étaient les miennes en lisant Tourgueniev ou en regardant Trois soeurs de Tchekhov. Ce constat est plutôt positif pour un roman de littérature jeunesse.
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Voilà une jolie réussite. Ce roman est avant tout une enquête. Le héros est chargé de la résoudre et le lecteur plonge avec bonheur dans ses pérégrinations. On attend impatiemment l'arrivée de Lucky Luke qui, évidemment, ne pointe pas le bout de son nez. Les personnages sont bien travaillés et les retournements de situation très bien gérés. Le fantastique s'insère doucement dans le récit et ne choque ainsi pas le lecteur.



Une belle petite pépite, à lire à partir de 12-13 ans.

Terre noire : Les exilés du tsar – HONAKER Michel

Flammarion – Février 2009- 264 p.

ISBN : 978-2-0812-1979-3 - Prix : 13 €

Résumé :

En 1887, en raison de difficultés financières, la famille Danilov est obligée de se séparer de son domaine de Kamarov en Ukraine et de s’installer définitivement à Saint-Pétersbourg. Deux des trois enfants de la baronne Danilov, Vladimir et Olga soutenus par l’intendant Kusak, mari de celle-ci, souhaiteraient également qu’elle revienne sur sa décision d’accorder une rente et le domaine de Terre Noire à Stepan Tchakarov, son fils adoptif. Elle s’y refuse et Natalia sa dernière fille prend conscience de la violente jalousie que ses aînés éprouvent à l’égard de Stepan qui est un jeune musicien promis à un brillant avenir. Ainsi, la représentation d’une de ses premières œuvres, présidée par le Tsar Alexandre III, connait un triomphe. Mais très vite, la santé de la baronne va décliner et après son décès, Volodia et Kusak complotent pour se débarrasser de Stepan.

Mots-clé :

RUSSIE / REGIME TSARISTE / MUSIQUE / JALOUSIE / AMOUR /ADOPTION / COMPLOT / EXIL/ VENGEANCE

Commentaires :

Le premier volume d’une trilogie. Rédigé sous la forme de deux journaux intimes des deux personnages principaux, Natalia et Stepan qui alternent leurs récits, chacun donnant sa propre vision à la Russie du Tsar. Il y a de l’aventure, du suspense, des complots, des rebondissements qui tiennent en haleine jusqu’au bout. Un assez bon récit historique.

Pistes de discussion :

• La fin du régime tsariste et la situation sociale en Russie à cette époque.

PLONGEZ AU COEUR D'UNE AVENTURE RUSSE PASSIONNEE DU DEBUT DU SIECLE, OU LA MUSIQUE MELANCOLIQUE SE MUE EN SANGLOTS D'EXIL, TRAGIQUES ET VENGEURS!!! Le premier tome d'une série époustouflante, basée sur des faits historiques et digne des grandes saga russes!! Des héros dramatiques malmenés par un Destin impitoyable dans le déclin russe. Réécriture et nouvelles pistes développées depuis la version de 1994, pour notre plus grand bonheur!!

Terre Noire; « Monsieur Tchakarov, sachez que vos crimes doivent être châtiés. Nous ne désirons plus votre présence sur la terre de Russie. Vous devrez partir sans espoir de retour. Vos oeuvres seront retirées de l'affiche. Votre nom ne sera plus publié, ni prononcé. Vous n'êtes plus un sujet d'exemple mais de honte. » 1887, Saint-Pétersbourg Jeune compositeur, Stepan réjouit par sa musique l'esprit du tsar. Mais tant de succès dérange. Alors, le jeune homme est accusé de complot contre le pouvoir. En Russie, il n'y a pas de place pour les traîtres. Stepan doit quitter ses terres d'Ukraine qu'il chérit tant : le sombre domaine de Terre-Noire : et abandonner sa seule alliée, Natalia. Très vite, son exil prend la couleur de la haine...


Lien : http://petitesmadeleines.hau..