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Critiques de Michèle Fitoussi (132)
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La famille de Pantin

Pour Michèle Fitoussi comme pour moi, la nostalgie est encore plus belle que ce qu’elle était !




J’ai quitté ma Tunisie natale à l’âge de 6 ans après avoir vécu à Sfax à 270 km au sud de Tunis. Elle, est originaire d’une famille juive de Tunis, moi d’une famille maltaise. Mais j’ai pourtant 7% du sang qui coule dans mes veines estampillé « Juif ashkénaze ».

Autant dire que j’ai été passionné par la lecture de ce récit mémoriel, retrouvant souvent les souvenirs des miens et leur amour pour ce pays qu’ils durent si cruellement quitter.

Il est faux de dire que ce livre véhicule des poncifs ou qu’il pourrait évoquer n’importe quelle communauté, c’est l’avoir très mal lu.

La souffrance des juifs de Tunisie décrite ici à travers les siècles fut unique, tout comme leur fierté et leur courage indomptable. Les juifs ont contribué très largement à la culture et à la richesse de la Tunisie par leur dynamise, leur intelligence et leur sens du commerce.

Auteur de deux sites internet sur l’histoire des villes de Sfax et de Sousse, je ne peux que recommander ce livre qui retrace simplement et par le vécu d’une famille juive l’histoire tragique d’enfants chassés de leur si beau pays.

Ne manqueraient que quelques notes ou un glossaire pour expliquer certains mots peu communs.
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Janet

Un livre découverte, et une bien sympathique découverte. Je ne connaissait pas Janet Flanner avant d'ouvrir ce livre et cette erreur est belle et bien réparée et heureusement car quelle vie!!!!

Janet Flanner est née à Indianapolis et veut écrire. Mais attention, pas n'importe quoi, elle veut écrire des romans, être reconnue pour son talent d'écrivaine. Hors, le domaine où elle va s'illustrer sera le journalisme. Mais là encore, pas n'importe lequel de journalisme, celui de reportage, de portrait, la pionnière du journalisme littéraire. Elle fut effacée dans l'histoire par des Truman Capote et autre Tom Wolfe mais ce livre lui redonne toute sa splendeur, son panache, sa pertinence, voire son impertinence et sa dimension de pionnière justement.

Janet Flanner a traversé une époque de dingues car née en 1892, elle va tout vivre, la 1ere guerre mondiale, les années folles, la 2ème guerre mondiale et des changements politiques et sociétaux incroyables. Elle va tout faire vivre aux gens en étant publié dans le New Yorker, magazine qui se voulait piquant et qu'elle va diriger au fil de sa plume comme un grand magazine de société et politique.

Son parcours est fascinant, sa vie tout autant, entre ses relations parfois compliquées avec sa mère, ses amours puissants mais non moins difficiles avec les femmes de sa vie et tous les personnages de l'Histoire qu'elle aura rencontré ou avec qui elle sera amie, cette vie est incroyablement riche et semble si impossible à recréer aujourd'hui tant le monde d'alors était celui de tout les possibles et de toutes catastrophes en même temps.

Franchement, une belle lecture d'été qui donne envie d'aller lire ses articles afin de s'imprégner un peu plus de son œil aiguisé sur l'époque du XXème siècle.
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Le dernier qui part ferme la maison

Sur un fond difficile - Alzheimer et un passé familial lourd - une comédie de moeurs entre une galerie de personnages qui apparaissent tour à tour en un roman choral bien mené : deux soeurs très différentes, une voisine, deux ex-maris, la vieille mère... et en bonus, Chloé et Michaël que je vous laisse découvrir.

Les personnages sont un peu caricaturaux mais le ton de l'écriture est plaisant et il y a une grande palette d'émotions abordées, permettant d'aborder plusieurs sujets dont l'émancipation féminine. Pour moi, un très bon moment de lecture.
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La famille de Pantin

Une visite au cimetière de Pantin où sont enterrés ses proches est l'occasion pour Michèle Fitoussi de revenir à ses sources : sa famille juive séfarade issue de Tunisie, le pays qu'elle a dû quitter à son indépendance.

Au-delà des histoires de familles banales, l'intérêt réside dans la description d'une culture, dans le bref aperçu historique qui nous est donné de l'implantation des Juifs en Tunisie et du sort qu'il leur fut réservé dans les tumultes de l'Histoire jusqu'à leur départ pour la métropole. Là, ces Juifs séfarades, "Juifs de la douceur de vivre" dit-elle, vivront donc dans une sorte d'exil, avec au cœur la nostalgie d'un pays perdu. Par ailleurs, l'auteure interroge sa judéité, dont elle estime avoir un rapport « éloigné ».

Un retour aux sources que l'on lira surtout pour le regard sur une culture et l'histoire mouvementée d'une communauté.
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Janet

je rejoins un peu Bazar car je navigue entre l'intérêt et l'ennui ...
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La prisonnière

Pendant ma lecture, je n'ai cessé de me répéter la même question: est-ce que ceci est vraiment arrivé? Et pourtant, je savais la réponse: l'histoire racontée est vraie. J'avais beau en avoir parfaitement conscience, je ne pouvais pas y croire. Ce livre m'a bouleversé, ce destin surtout m'a bouleversé. Un passage m'a tout particulièrement marqué: celui où, au moment de leur évasion, Abdellatif découvre pour la première fois l'asphalte. Le livre rend parfaitement l'horreur qu'ils ont vécu, mais surtout la force de caractère qu'ils portaient en chacun d'eux et ce sens de l'humour, parfois totalement déplacé mais tellement vital pour leur survie.

L'écriture simple de Michèle Fitoussi rend merveilleusement bien compte de l'histoire tragique qu'ont vécu les membres de la famille Oufkir, et nous permet d'avoir foi en l'espoir.
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Le dernier qui part ferme la maison

un vaudeville le temps d'un week end, à plusieurs voix. Ce livre se savoure avec humour et rire franc. Ces personnages nous ressemblent tant..... D'un côté deux soeurs qui s'affrontent auprès d'une mère atteinte de la maladie d'alzheimer qui fait des fugues, de l'autre, la maison voisine, deux futurs ex divorcés qui arrivent avec amant et maîtresse passer le week end dans la maison de campagne..... Tout ce petit monde va partager des moments intenses de joie mais aussi de désillusion ! Une satire de notre société moderne.


Lien : http://pyrouette.canalblog.c..
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La prisonnière

Un conte des mille et une nuits mais alors une cage loin d'être dorée pour Malika qui va vivre dans des conditions parfois inhumaines avec ses proches.

On ne pas rester insensible à cette lecture.

On voyage malgré tout au fil des pages. Dépaysement total.
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La prisonnière

Une vie, un destin et un royaume.

Empire chérifien, terres de Berbères, palais d'adoption et d'espoirs.

Une date, des faits, une colère noyée de haine et de désaveu.

Aux actes des uns, les autres saignent en silence de la rancœur de ces instants de violence et de meurtre.

Une femme s'ouvre sur des années volées et meurtries par la rigueur d'un homme humilié dans ses certitudes et ses fidélités.

Lignes féminines à découvrir dans leurs duretés et leur force d'espoir et de conquête.
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Janet

Les biographies me séduisent toujours même si parfois le romanesque s’insère plus ou moins à bon escient pour lier la psychologie, la réalité et l’intimité.



Avec envie, j’ai entamé la lecture de ce récit sur Janet Flanner (1892-1978), journaliste américaine au New Yorker pendant cinquante ans. Pionnière du journalisme littéraire, elle a su s’imposer dans un milieu d’hommes et affirmer un réel talent.



Michèle Fitoussi nous offre une biographie précise et très documentée. Très journalistique. Les faits se suivent agrémentés d’anecdotes de l’époque et de descriptions soignées tel un catalogue instructif. On découvre Janet, sa vie, sa famille, son histoire, ses amours homosexuelles plus ou moins assumés, son désir d’écriture. Inquiète et sensible, en proie au doute et profondément liée à sa mère dont elle espèrera perpétuellement une reconnaissance, elle se révèle intéressante et attachante.



Une découverte pour moi qui ne la connaissais pas.




Lien : http://aufildeslivresblogetc..
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Le dernier qui part ferme la maison

Magnifique histoire, ici romancée, qui est très actuelle. Le fameux dilemme de la prise en charge de ses parents, une fois le vieillissement et la maladie installé. Le choix de deux sœurs que tous oppose. La rivalité entre la ville et la campagne, celui du maintien à domicile et celui du placement en maison de retraite. Des rencontres, des échanges. Tout est si simple, si normal, si beau.

Un régal de lecture.
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Helena Rubinstein : La femme qui inventa la..

Michèle Fitoussi nous livre une excellente biographie d'Helena Rubinstein, dont on connaît le nom sans finalement ne rien savoir de sa vie.

Et quelle vie ! Partie de rien ( selon l'expression consacrée), elle a forgé son existence par son travail, sa ténacité, son inventivité. Travail c'est bien le mot qui a guidé sa vie depuis l'Australie où elle est arrivée jeune émigrante jusqu'à ses derniers jours.

Son succès, sa fortune, elle les doit à elle seule.

Sa vie privée en a bien pâtie et elle n'a guère réussi sa vie de famille malgré deux mariages et deux enfants, leur consacrant bien trop peu de temps.

Dure avec elle-même, dure avec les autres, elle n'a toujours voulu qu'aller de l'avant.

Souvent complexée par ses origines modestes, son manque de culture, elle n'en a pas cependant été très impressionnée par les nombreuses personnalités côtoyées.

Presque 1 siècle d'une vie hors du commun transmis comme un roman par Michèle Fitoussi.
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La prisonnière

Incroyable compte rendu troublant de l'injustice politique où Malika Oufkir raconte son emprisonnement avec ses cinq jeunes frères et sœurs et sa mère dans une colonie pénitentiaire du désert pendant 15 ans dont 5 ans en cellule d’isolement. Leur évasion a été extrêmement courageuse et relève du miracle

Un récit déchirant face à des privations extrêmes et au courage avec lequel une famille a affronté son destin.

Je le recommande vivement !!!

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Janet

Ce sera une petite critique pour un grand livre.

Je l ai déjà écrit ici il y a des personnes et là en plus c'est une femme qui ont un destin extraordinaires qui en font des êtres exceptionnels

Ce roman est passionnant j'y est découvert cette grande journaliste qui a côtoyé des noms connus des noms dont vous avez lus ou peut être lus les ouvrages des célèbres et dess moins célèbres.

Ce livre est aussi une page sur l'histoire de la grande guerre et.

C'es aussi le monde de l'intolérence où l'homosexualité est difficilement toléré.

Un livre facile à lire mais qui demande un peu de concentration vu la richesse d'informations qui s'y trouvent presqu'à chaque page.

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Le dernier qui part ferme la maison

Un vaudeville sympathique, facile à lire et qui met en scène les habitants de deux maisons voisines situées à la campagne. Tous ces personnages, qui ne se connaissaient pas, vont se rencontrer le temps de retrouver la vieille dame, propriétaire du "Clos Joli", atteinte d'Alzheimer. Chacune des deux familles a ses secrets et ses petits drames quotidiens. Ils vont se découvrir et s'observer pendant deux jours, se trouvant tous mêler à la recherche d'Yvonne.

L'écriture à plusieurs voix contribue de façon géniale à ce chassé-croisé.

Agréable et humoristique, sans plus.
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La famille de Pantin

Hasard de mes lectures du moment, je viens de lire deux textes sur les grands parents d'écrivaines, qui ont vécu en Tunisie. "Fille de Tunis" d'Olivia Elkaim et "La famille de Pantin" nous parlent des grands parents, parents des auteures, qui ont quitté la Tunisie lors de son indépendance et la fin du protectorat français.

Ces deux textes m'ont permis de découvrir des épisodes de l'histoire de la Tunisie, la relation entre ce pays et la France, l'Italie. Les deux auteures nous parlent de l'histoire avec un grand H mais aussi des histoires personnelles des leurs.

Elles se questionnent aussi sur les racines familiales, sur les histoires familiales, sur les non dits dans les familles.

Michèle Fitoussi a décidé de raconter ses ancêtres, en partant de la famille de Pantin, ou plutôt sur les tombes de sa famille. Et c'est une sorte de pèlerinage, qu'elle fait avec ses parents et elle retrouve des oncles, tantes, cousin(e)s.

L'auteure va alors "enquêter" sur certains membres de sa famille, et elle va se questionner sur elle, sur sa vie, sur ses choix.. Elle va même faire un test ADN qui va lui dévoiler les pourcentages de ses origines : juive tunisienne à 85 %, asiatique, grecque et italienne à 2 %, il lui a également révélé sa part ashkénaze à hauteur de 13 %. Ce résultat d'ADN va alors lui permettre de nous raconter l'histoire de la Tunisie, région de passage, de métissage, de convoitise..

Elle nous parle des racines familiales, des traumatismes et de l'identité.

De beaux portraits de membres de sa famille, de réunions de famille et de l'importance de la nourriture, ce texte est imprégné des effluves de beignets au sucre, de bricks à l’œuf « dégoulinants de jaune », de fricassés au thon, de couscous, de poisson grillé arrosé d’huile d’olive et de citron, des mininas, des makouds, du osban, de l’akoud, des tajines, sans oublier les bombolonis, . Les « prières expédiées entre deux éclats de rire » lui donnent une occasion supplémentaire d’évoquer, avec gourmandise, la pkaïla de Rosh HaShana, le msoki de Pessah, la glace au sabayon, le boulou ou encore les boules au miel…

Elle va alors réfléchir à sa judéité, même si elle n'est pas pratiquante.

"Il y a tant de façons de se sentir juif, les miennes tiennent en deux mots, fierté et fidélité. La fierté d'appartenir au peuple du Livre, des textes, de l'interprétation, du questionnement et de l'intelligence. La fidélité à une histoire, une cellule des valeurs, des traditions que je me sens libre de ne pas respecter et qui pourtant m'émeuvent;"

"Comme la mienne, leur judéité passe par la famille et par la nourriture. Ce qui est encore une énième façon d'être juif" (p86)

J'ai aimé rencontrer cette famille de Pantin et déambuler dans les pages historiques, sur la Tunisie, sur l'histoire des juifs errants, mais aussi sur l'histoire plus personnelle de l'auteure et certaines références, qui m'ont donné envie de (re)lire "Belle du seigneur" d'Albert Cohen (Moi aussi, comme Solal, j'ai voulu me retirer et, comme lui, je suis revenue", lire Albert Memmi, Nina Moati, Gisèle Halimi (en particulier "Kahina"). Mais aussi partir en Tunisie, parcourir les rues de Tunis, de Livourne,

#LafamilledePantin #NetGalleyFrance
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Cinquante centimètres de tissu propre et sec

Fred est une femme d'origine juive tunisienne entourée de femmes se mêlant de tout, spécialement sa mère. Malgré une enfance chaotique entre ses parents divorcés, elle est dentiste, mariée à Sébastien, breton catholique. Ils ont deux petites filles, une vie aisée et stable, sont "heureux". Et patatras ! Fred rencontre Darius, cheveux noirs, yeux noirs, beau parleur un peu menteur, avocat d'affaires, grand seigneur. Darius est tout le portrait du père de Frédérique une émanation qui ravive ses blessures d'enfance.

Une liaison destructrice commence, une vague immense qui balaie tout. 190 pages de pleurs, de passion, d'allers, de retours, de chagrins et de fol amour. Darius et Fred, c'est je t'aime moi non plus. Les dégâts collatéraux sont importants mais plus rien ne compte.

Comment vous dire ? Annie Ernaux avec "Passion simple" ne m'a pas convaincue. Michèle Fitoussi non plus.
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La nuit de Bombay

Michèle Fitoussi, journaliste et romancière trace ici le récit des événements qui ont précédé les attentats de Bombay du 28 novembre 2008, tout en nous faisant découvrir Loumia et Mourad, deux des victimes avec qui elle s'était liée d'amitié. Loumia et sa soeur Shama, avaient créé la marque de lingerie "Princesse Tam-Tam". Loumia était une jeune femme lumineuse et pétillante, complémentaire avec son mari plus sage et rationnel.



J'ai aimé les portraits de Loumia et Shama, la saga de leur famille partie d'Inde pour s'installer à Madagascar. Michèle Fitoussi a soigneusement enquêté pour reconstituer la genèse de ces attentats, les rivalités entre le Pakistan et l'Inde, l'embrigadement des jeunes terroristes.



Je ne savais pas grand chose de ces attentats très meurtriers et j'ai été émue par ce récit bien écrit et bouleversant.



J'ai été un peu perdue par la multiplicité des terroristes et les différentes instances qui les manipulent.




Lien : http://www.unebonnenouvellep..
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Janet

Janet Flanner quitte les États-Unis pour fuir une vie toute tracée qui ne lui convient pas.

Elle s'installe à Paris juste après la première guerre mondiale alors que la ville est le rendez-vous culturel des intellectuels, notamment américains : Hemingway, Gertrude Stein, Fitzgerald, Dos Passos. Mais où on y croise aussi Picasso, Chagall, Modigliani, Diaghilev... et bien sûr les Breton, Aragon, Guitry, Colette, Cocteau, Gide ou Giraudoux.

Dans ce foisonnement littéraire et artistique sans pareil et cette vie de bohème, créatrice d'une émulation riche et fondatrice d'une oeuvre éternelle, Janet s'épanouit et trouve sa place jusqu'à devenir, durant cinquante ans, la correspondante à Paris du magazine le New Yorker, traversant les bouleversements historiques et personnels qui émaillent ces années.



Janet vivra avec la femme qu'elle aime, Solita, assumant peu à peu ses penchants homosexuels et s'abreuvant à l'énergie créatrice qui peuple les rues de la capitale française. Elle tombera amoureuse, aura des amitiés passionnées et passionnantes, traversera les heures heureuses ou sombres de l'histoire avec de plus en plus le souci d'être un témoin actif par ses écrits. Janet Flanner est aussi une femme qui doute, qui hésite, qui cherche. Un être humain dans toute sa complexité, brillamment retranscrite par Michèle Fitoussi.



L'auteur nous livre un récit sublime et un magnifique travail de réhabilitation de cette femme exceptionnelle, pionnière du journalisme littéraire, féministe, libre, amoureuse, brillante, engagée et qui apporta un témoignage éclairé sur tous les grands événements et les personnalités du siècle dernier.



Ce livre donne très envie de découvrir les écrits et correspondances de Janet Flanner pour aller encore plus loin et nous fait pénétrer dans les coulisses du mythique New Yorker. Tout simplement passionnant !

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Victor

Victor, au charme séduisant, est également un personnage haut-en-couleurs offrant plein de rebondissements à une intrigue mignonnette, mais pourtant fouillée. En effet, Victor, brasse pour notre plus (malin) plaisir, la situation de plus en plus difficile des seniors, l'exclusion, l'adoption, le journalisme sensationnel, la quête du bonheur, mais aussi la perfidie et la trahison, dans un cocktail détonnant à découvrir absolument. Une pépite, je vous dis
Lien : http://lire-ecouter-voir.com..
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