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Critiques de Michèle Manceaux (15)
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L'amie

Marguerite Duras est morte le 3 mars 1996.

Un an après, Michèle Manceaux écrit ce livre qui raconte trente ans d'amitié.

Même si depuis de nombreuses années leurs liens étaient rompus, tous les souvenirs sont là.

Leurs maisons à Neauphle-le-Château, leurs innombrables discussions.

Toujours, Michèle s'est sentie inférieure à Marguerite.

Marguerite et son talent.

Marguerite et son caractère entier, autoritaire.

Elle tenait parfois du dictateur, avait des jugements sans concessions sur bien des sujets

Cette amitié était profonde et le retrait de Michèle était parfaitement volontaire et accepté.

Je n'ai pas tout lu de Marguerite Duras, mais j'ai beaucoup aimé ce que j'en ai lu.

Alors que penser de ce livre ?

Je ne l'ai pas vraiment aimé.

L'écriture m'a semblé détachée malgré ce qu'elle voulait transmettre..

Une succession de citations

Marguerite Duras ne m'a pas parue très sympathique.

J'y ai lu beaucoup d'admiration de la part de Michèle Manceaux, et beaucoup d'effacement aussi.
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L'amie

J’ai aimé retrouver Marguerite Duras à travers cette amitié pas toujours simple, comme l’est la vie.

L’auteur a partagé 30 ans d’amitié avec elle et elle écrit ce livre suite à sa disparition. Elle a fait partie de ceux qui sont venus habiter à Neauphle-le-Château sous l’influence de Marguerite. Dans cette amitié, le pouvoir de Marguerite est palpable . L’auteur est humble et ne cherche pas à être l’égal de Duras. Elle est portée par cette relation mais aussi , parfois, elle en est asphyxiée et s’échappe. Elle nous donne à voir une Duras à la fois captivante et tyrannique, qui assène des phrases comme des vérités et qui est capable de se contredire avec la même assurance. Et ses phrases portent toujours en elles une vérité profonde , une intelligence et bien souvent une clairvoyance.



Ça m’a donné envie de relire Duras évidemment…

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La dernière à gauche en montant

Michèle Manceaux évoque sa maison dans un livre qui lui a été commandé le jour où elle l'a vendue, le 2 octobre 2007. L'exercice n'était donc pas facile mais elle s'en sort assez bien même si je trouve que ce récit est d'une grande tristesse.

C'est en 1963 qu'elle achète une maison ancienne à Neauphle-le-Château en haut de la rue de la gouttière "La dernière à gauche en montant". C'est sa résidence secondaire ou maison de campagne comme on disait à l'époque. Elle se trouve dans la même rue que celle de son amie Françoise Spira et surtout dans le même village que Marguerite Duras dont la maison se trouve rue du Docteur Grellière. C'est ce qui m'intéressait, ce groupe de femmes qui se retrouvent régulièrement à Neauphle-le-Château.

Mais ce n'est pas de cela dont il s'agit. Michèle Manceaux parle de ses souvenirs et surtout des mortes qui hantent les lieux. Il y a Françoise qui s'est suicidée, Irène qui est morte dans un accident de voiture comme Valérie sa belle-fille beaucoup plus tard, sans compter Marguerite Duras qui est morte à Paris en 1996. Et puis il y a sa dépression et toutes ces périodes de doutes qui donnent le cafard.

Heureusement, elle revient sur son passé de gauchiste, son métier de journaliste, présente sa famille comme un assemblage hétéroclite où chacun cherche son équilibre et sa place. Surtout, il y a beaucoup d'amis étrangers qui se sentent chez eux à Neauphle-le-Château car cette maison leur rappelle leur pays parce qu'elle est hospitalière.

Pourtant elle va la vendre comme pour chasser le passé douloureux même si elle souffre de devoir se séparer de tous ses livres dont personne ne veut. En somme, ce récit est comme un hommage à ceux qui ont animé cette maison.

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La vie violente

Abandonné à la page 101.

Cette femme ,reporter ,"petite bourgeoise" se "pavanant" dans les camps de réfugiés au Salvador et au Guatemala m'a horripilė:je m'explique,

L'action se déroule au Salvador et au Guatemala dans les années 1980 à 1992.Le Salvador fut le théâtre d'une guerre civile sanglante (+ de 100 000 morts) qui opposait l'extrême droite au marxisme des forces populaires tout comme le Guatemala où eu lieu en 1982cle plus grand génocide du peuple Maya(si mes souvenirs sont bons j'espère ne pas me tromper?) .Bref ,notre héroïne, suite à la mort de sa fille où belle -fille surnommée V. dans le roman, laissant deux jeunes enfants,va ,pour combattre sa tristesse partir en mission et faire un reportage dans ces petits pays d'Amérique Latine centrale qui sont en pleine guerre civile.

L'idée au départ était bonne ,mais ...

Sur place,elle rencontre un médecin de Médecin sans frontières ,qui lui aussi fuit sa vie d'avant.Entre eux va naître une histoire d'amour et tout le roman est basé sur le ressenti de cette femme reporter. Introspection analyse de ses pensées, de leur comportement,beaucoup trop "nombriliste"pour moi!peut-etre aurai -je du le lire au second degré et non au premier,je n'ai pas pu prendre de recul.Autant j'avais bien aimé de cette auteure "la dernière à gauche en montant, lu il y a quelques années autant ce roman m'a énervé donc je ne le plébiscite pas .
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L'amie

"L'amie" de 30 ans de Michèle Manceaux c'est Marguerite Duras. Comme en échos à "L'amant" elle reprend ses notes pour écrire ce récit à la mort de Marguerite Duras en 1996.

C'est en 1955 qu'un proche introduit la jeune femme dans le petit cercle d'intellectuels de la rue Saint-Benoît à Paris. Michèle et Marguerite deviennent amies et se fréquenterons régulièrement à Neauphle-le-Château dans les Yvelines où elles vont s'installer. C'est une époque où Marguerite Duras a le surnom de Margot qu'elle abandonnera trop réducteur à son goût.

Mais ce qui les rapproche et les éloignera plus tard c'est l'écriture. D'ailleurs elle évoque la période cinéma de Duras comme une panne d'inspiration de l'écriture.

L'auteure fait une dépression après avoir été quittée, occasion de parler d'amour et de solitude sujets privilégiés de la Madone de Neauphle.

Michèle Manceaux a noté ce que disait Marguerite Duras après avoir eu peur de la perdre. Elle a donc construit son récit autour de ces propos qu'elle cite en permanence, ce qui m'a un peu gênée car j'ai eu l'impression par moment que c'était un livre de citations. Je trouve aussi qu'elle a tendance à se sous-estimer. Pourtant c'est un témoignage particulièrement précieux à mes yeux, centré sur la vie à Neauphle, lieu partagé et apprécié par les deux dames de la littérature française, malgré le fait que Michèle habite en bas et Marguerite en haut, comme un symbole souvent rappelé.

Alors que leur amitié semblait indéboulonnable, on apprend que Duras a rompu leur lien par réactions contradictoires après la publication de "Brèves", journal dans lequel Manceaux a l'audace de parler de son âge et surtout de sa différence d'âge avec Yann. C'est assez surprenant quand on sait qu'elle se souciait assez peu de son âge. Mais elle n'est pas à une contradiction près. C'est la force de caractère d'une grande dame qui assume tout ce qu'elle fait. Même si c'est une bêtise.

Alors que les deux femmes resteront éloignées Michèle Manceaux continuera à aimer son amie et sa sincérité donne une grande force à ce livre.



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L'amie

Michèle Manceaux a croisé la vie de Marguerite Duras, pendant des années. On ne peut pas dire qu'elle l'ait accompagnée, ni que leur amitié ait été simple et limpide. Le titre est calqué sur "L'Amant", bien sûr, avec cette même distanciation, puisqu'il ne s'agit pas de comprendre: l'ouvrage ne s'appellera ni "Mon Amie", ni même, "Les Amies". On ressent tout au long des pages de ce mémorial une grande dissymétrie, consentie et assumée par Michèle, au profit de Marguerite. Parfois, elle envoie le bouchon un peu loin, Marguerite. Elle s'en excuse, puis se reprend toujours. En même temps, elle est cohérente avec elle-même, mais au prix, souvent, de l'équilibre ou de la tranquillité des autres. Intranquille est Marguerite, intranquille doit être son entourage. Elle a des formules fulgurantes, qui côtoient parfois dangereusement le ridicule, mais n'y sombrent pas. Elle seule peut se le permettre. Ses contempteurs la ridiculisent facilement, ainsi que ses pasticheurs. Mais elle-même ne se pastiche jamais, elle est toute en elle-même, et dans son écriture. C'est sa force. Un jour, après bien des brouilles plus graves évitées, Michèle se trouve en froid avec Marguerite. Pour un rien, une broutille, ou une raison fondamentale. Le charme s'est rompu. Et Michèle tient bon, elle ne veut pas d'une relation dégradée ni dégradante pour chacune d'entre elles, et préfère la séparation vraie à la mesquinerie. Et elle retrouve la force de l'amitié pour écrire ce bel ouvrage après la mort de Marguerite. Ni hagiographie, ni biographie, c'est la chronique d'une relation forte entre deux femmes très différentes, qui furent proches en un sens , et distantes quand l'âge, ou le parcours de vie, dessina plus fermement leurs dissemblances.
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Pourquoi pas Venise

Beaucoup d'encre a coulé sous les ponts de Venise.

De l'acuité visuelle de Philippe Sollers (Dictionnaire amoureux de Venise), au regard gourmand de la chef Marlena de Blasi ( Mille jours à Venise), à la convalescence amoureuse de Claudie Gallay (Seule Venise) en passant par l'intrigue policière de Donna Léon (Venise sur les traces de Brunetti); l'amour nimbé de la lumière de la Venise del Arte a toujours prévalu.

Michèle Manceaux (journaliste, réalisatrice de grands reportages et écrivaine française dont L'amie adapté par la suite au théâtre relate son amitié avec Marguerite Duras) n'a pas failli au rituel.

Pourquoi pas Venise ? est un roman d'amour, mais un amour voué à l'échec. Ce n'est pas tant la différence d'âge, entre une écrivaine mature et un étudiant en droit, qui fait office ici de mauvaise fée (car orphelin de mère, il joue la carte du fantasme) que sa peur de vieillir à elle qui sape un à un les fondements de leur amour naissant.

Une vision différente de l'Art, le regard de la femme cultivée et snob vis à vis de celui de l'ex-villageois terre à terre qui "a grandi avec les vaches" et colère.

Des joutes verbales acérées dans lesquelles le "ton d'institutrice" et le perfectionnisme aigu écrasent le moindre écart de langage de celui qui, maladroit et désarmé, vit avec son temps.

Les comparaisons incessantes avec T., l'ex-amant "parti haineux" et en fanfare, qui lui offrait le luxe et se serait démené pour dénicher des billets de concert envers et contre tout.

Pourquoi pas Venise?, psychanalyse chaque fausse note, remonte aux sources maternelles réciproques pour annoncer la future débandade, détaille chaque facette de l'amour entre physique et intellect, brillance et noirceur.

Enfin, Pourquoi pas Venise? offre au lecteur une magnifique balade d'art; sensuelle et sensitive entre la place Saint Marc, une église couverte de Véronèse, le cimetière San Michele, les canaux en gondole ou en vaporetto...; de cette ville éternelle au seuil de la décrépitude; de ce théâtre enchanté où l'amoureuse propose au candide passionné: "J'aimerais t'appeler Lorenzo", ce à quoi il répond:"Pourquoi pas je t'appellerai Kay".

Oui, Venise, comédie de l'amour, pourquoi pas Venise?

Un excellent roman d'amour tout en finesse et sensibilité, un billet pour une évasion immédiate!
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La dernière à gauche en montant

C'est avec sa part réservataire, héritée d'un père volage, dépensier et quelque peu indifférent, que Michèle Manceaux achète en 1963 sa maison de Neauphle-le-Château. A l'époque ce village perché sur une colline à 35km de Paris, n'est pas célèbre. S' y est déjà installée Marguerite Duras, dont la relation avec Michèle Manceaux sera décrite par cette dernière, dans l'Amie. Plus tard, dans les années 70, y vivra aussi un réfugié politique encore peu connu: l'Ayatollah Khomeiny !

Michèle Manceaux s'est-elle séparée de cette maison lorsqu'elle en écrit les riches heures, ou bien a-t-elle eu recours à l'écriture pour fixer le passé avant de la vendre? Peu importe en somme, puisque la logique de la vie et de l'extinction des liens anciens aboutit à ce dénouement, comme on dit fort justement.

Cette maison abrita des rires, des drames, des pleurs, des deuils, comme toute maison. Justement, c'était le but de Michèle Manceaux, construire un abri familial pérenne, une halte pour les amis, un hâvre d'inspiration pour les artistes, un lieu sûr où poser ses angoisses et ses peines d'éternelle apatride, à l'enfance sans toit stable et sans protection affective solide.

Ce livre est généreux, car il y fait de nombreux portraits , certains touchants et tragiques, d'autres cocasses et hauts en couleurs. Sa maison est aussi la maison des autres, qui s'y arrêtent ou s'y attardent.

L'enfance et l'adolescence de son fils et de ses deux filles adoptives, "les petites blondes", y sont retracées avec émotion et ce récit amène des réflexions profondes sur la solitude des souvenirs que l'on croit partagés. Car la jeune génération a vécu, elle , sous les cerisiers, des moments aussi sombres que notre écrivaine, son amour maternel ne les protégeant pas de tout, et notamment pas de l'angoisse d'exister. Les accidents d'automobile tiennent une part importante dans ce récit des trente glorieuses où l'on appuyait insouciamment sur le champignon, et où la ceinture de sécurité n'existait pas: deux mortes et une blessée grave dans ce livre, et rappelez-vous: Camus, Nimier, Sagan, Jonnhy et Sylvie, et j'en passe. Toute une époque.

Les accidents de la vie, aussi: les séparations, les abandons de famille, l'alcoolisme, le suicide, les dépressions nerveuses, le chômage, déjà.

Mais aussi les retrouvailles, l'amitié, les naissances, les bonheurs de l'été.

On se demande alors avec l'auteur ce qui la pousse à vendre ce décor d'une, de plusieurs vies. Elle nous donne une clé en rapprochant son travail harassant de tri des objets,( car une maison c'est aussi ce qu'elle contient), du travail de deuil que fit Lydia Flem après la mort de ses parents. Travail physique et psychique rapporté dans le beau livre: "Comment j'ai vidé la maison de mes parents".

Ici, Michèle Manceaux se fait assister d'un homme qui ne cesse de lui opposer un visage fermé, témoignant une hostilité à cette démarche à laquelle il apporte son concours cependant.

Elle comprend à la fin la raison de son hostilité quand il finit par lui dire: "Cette maison c'était comme une personne" Ce "meurtre" ainsi qualifié est pourtant celui par lequel Michèle Manceaux doit en passer pour continuer son chemin de vie, en conservant un certain bonheur à évoquer des plaisirs qui ont été et qui ne sont plus.
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La dernière à gauche en montant

L'art de la nostalgie sous la plume douce et alerte de ce journaliste écrivain . Si vous aimez le mystère des maisons, leur histoire liée à celle des êtres vivants qui y ont vécus, vous aimerez "La dernière à gauche en montant". L'histoire à le charme des témoignages un peu décousus racontés le soir au coin du jardin, le style est fluide et vous souhaitez aller jusqu'au bout pour refermer la porte tranquillement.
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Le fils de mon fils

Comme beaucoup de grand-mère, l'auteur a tissé une relation spéciale avec son petit-fils. Lorsqu'elle a commencé à prendre des notes, à l'arrivée d'Alexandre, le titre était explicite, mais, Alexandre, est devenu l'aîné des petits-enfants lors de la naissance de Lili. La petite-fille de l'auteur n'est pas oubliée pour autant.

Ce livre est une succession de notes, entrecoupée de réflexions sur les relations qui existent dans la famille de l'auteur. Famille un peu particulière puisque l'auteur est la mère biologique d'un seul enfant, Pierre. Mais, elle a épousé les deux filles de son ami. L'auteur s'est séparée du père des enfants. Lorsque son petit-fils naît, elle vit avec "M." qui n'a pas d'enfant. Il va également tisser des liens avec le petit Alexandre et la petite Lili dont les parents se sont, à leur tour, séparés. Malgré la séparation, l'auteur va conserver des relations avec son ex-belle-fille.

Ce qui est intéressant est de suivre les enfants dans les premières années de leur vie. Le livre se termine lorsque Lili va entrer à l'école maternelle et Alexandre au cours préparatoire. L'auteur laisse ainsi à ses petits-enfants une vision - la sienne - qui n'est peut-être pas la leur.

En revanche, je n'ai pas du tout apprécié les relations compliquées entre les personnes, les consultations d'analystes et autres "psys"... Bon, je sais que cela existe et ce côté peut, je pense - contrairement à moi - intéresser un public sans doute assez vaste.
Lien : https://becklivetdestinsdanc..
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La dernière à gauche en montant

Un roman qui évoque le lien puissant de l'auteure à sa maison, mais surtout les souvenirs de sa vie d'artiste bohème.

C'est une autre époque, un autre monde que le mien aussi, ce qui fait que je ne parviens pas à m'identifier à cette femme-là.
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Éloge de l'insomnie

Des rencontres passionnantes avec divers types d'insomniaques...une deuxième partie plus lassante avec des extraits d'écrits d'auteurs insomniaques.
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Les femmes de Gennevilliers

J'ai lu cette œuvre au début des années 70, et elle est restée depuis dans mon cœur et sur les rayons de ma bibliothèque. Pourquoi ? J'y découvrais des témoignages de femmes, jeunes et intellectuelles en général, qui s'affranchissaient dans la foulée de mai 68, et s'exprimaient avec sincérité et enthousiasme. Mon souvenir s'arrête -là : pour évoquer plus avant ce livre, je devrais me replonger dedans (quel effet aurait-il sur moi aujourd'hui ?) . Je ne manquerai pas de le faire.
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Pourquoi pas Venise

Une dame, un jeune homme, Différence d'âge sur fond vénitien. Cela faisait beaucoup de points communs. Les dialogues sont parfois vécus. Les lieux parfois reconnus. La ville toujours adorée. On suit les pas du couple ou de chacun des deux quand ils se séparent. On boit, on mange, on a la belle vie. Malheureusement, je ne suis allé ni au Harry's Bar, ni au Cipriani que ce soit à Torcello ou sur San Giorgio Maggiore, juste quelques autres souvenirs communs et une forte envie de continuer le tout.
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Les larmes des hommes

On m'a donné ce livre, entre ironie et banalité. La personne a bien fait ! C'est un essai sur un aspect rarement évoqué aussi directement - intéréssant.
Lien : http://www.echard-ponsonaill..
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