Citations de Mike Mignola (38)
Ils sont la crue torrentueuse qui recouvre la Terre. Sept dieux du pouvoir. Sept démons d’oppression. Sept au firmament et sept sur la Terre.
D’une force colossale, d’un mépris souverain, ils piétineront la Terre comme on foule le grain.
Sans pitié pour l’humanité, sans colère non plus contre elle, ils verseront le sang comme la pluie se répand, et dévoreront la chair.
Que les sept remontent à présent de l’abysse. Que les chaînes se rompent. La liberté leur appartient. Comme la puissance.
Oui, Miss Dean, nous avons votre sarcophage.
Il est arrivé vendredi dernier et depuis ce moment nous n'avons eu que des ennuis.
Durant le week-end, notre gardien a démissionné sans explication. Lundi, les ouvriers chargés de la rénovation sont partis au bout d'une heure, se plaignant "d'étranges perturbations". depuis, personne ne veut entrer dans le musée sauf moi, et j'ai entendu des bruits très étranges.
- Va... au... diable...
- Nul besoin, créature. L'enfer vient à moi !!
Je serais le premier à reconnaître que ce ne sont pas les défauts qui me manquent... Mais si je devais en souligner un, celui d'entre eux qui m'a, au fil des ans, embringué dans les pires ennuis... ce serait mon tempérament parfois un peu soupe au lait. Et quand la moutarde me monte au nez, je fais parfois des bêtises. Comme de charger tête baissée dans une pièce noire comme l'encre. Je suis plus coriace, plus fort que n'importe quel être humain... mais je ne vois pas mieux dans le noir. Dommage.
Tu ne vas pas tarder à comprendre, en glandant avec nous. C'est Hellboy qui a droit à toute l'action. Avec lui, c'est toujours des zombies, des loups-garous et des têtes qui volent. Avec nous, neuf fois sur dix, on voit que dalle.
Je serais le premier à reconnaître que ce ne sont pas les défauts qui me manquent... Mais si je devais en souligner un, celui d'entre eux qui m'a, au fil des ans, embringué dans les pires ennuis... ce serait mon tempérament parfois un peu soupe au lait.
Mon cerveau recommence à fonctionner, au delà du pur instinct de base. Pendant un instant, j'aurais voulu que tout s'arrête... car avec les sensations, revenait la conscience. Et ça, c'était moins drôle.
Même les démons ont leurs démons.
Lorsque Gotham sera en cendres... je te donnerai le droit de mourir.
La souffrance efface jusqu'aux émotions les plus primitives de l'homme.
- Quel carnage ! Il faudra me faire lire ton rapport là-dessus, Hellboy... à supposer qu'on s'en sorte sains et saufs !
- Tope-là.
- Pas trop forte la décoction. A présent, il y a des choses dans ma vie que je n'ai pas envie d'oublier.
- Vous m'en voyez ravi, mon ami...
(... mais il y a aussi des choses dont vous ne devez vous souvenir en aucun cas...)
Nota : c'est malin, de finir là-dessus... la suite !
IBLIFIKA... 22ème esprit au service de Belial, consort de Marchosias, autrefois membre du pandémonium et de l'ordre de la mouche, mais prisonnière du marquis de Fabre depuis 1482.
-Il n'y a plus de royaume qui tienne. Plus de princes, plus de généraux, plus de ducs ni de seigneurs.
-Rien que vous, la classe ouvrière. Je vois.
Victor Frankenstein.
Ingostadt, Allemagne, 1812.
-Maintenant je sais ce que peut ressentir un dieu.
Les gens sont comme des maisons, plus on a d'expérience et de souvenirs, plus on a de pièces dans sa maison. Certaines valent la peine d'être visitées, d'autres gagnent à rester fermées, barricadées, emmurées.
Il y a ceux qui pensent que le boulot a été fait par un médecin mais je vous le dis, il faut être un artiste pour reconnaître le messie dans les entrailles d'une prostituée.
Il y a beaucoup de sorcières par ici. Il y en a toujours eu, mais autrefois il y avait aussi des gens normaux. Maintenant, ce sont surtout des sorcières.
HELLBOY.-On m'a toujours dit que vous étiez un type bien, ED. Comment avez-vous atteri ici ?
EDWARD GREY.-Le déroulement des choses n'est pas toujours juste. Vous êtes bien placé pour le savoir.