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Citations de Oren Miller (119)


Mais comme le lieu de détention d'Ed était parfaitement entretenu, voire un tantinet immaculé, il avait plus de chances de croiser Dieu dans sa cellule qu'un microbe. Il deviendrait donc un vieux dingue en excellente santé.
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Contempler les restes d’une vie brisée, c’était pire que contempler la mort elle-même .
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Les petites villes ont deux avantages majeurs universellement reconnus : il est presque impossible de s’y perdre, et tout ce qui est important se trouve sur la place centrale.
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- Le syndrome post-guerre, soupira son interlocutrice. Les nations sortent à peine d'un conflit mondial qu'elles ne pensent qu'à se doter d'armes de plus en plus puissantes en imaginant que cela empêchera le suivant de se produire.
- Une guerre silencieuse et clandestine, mais toujours une guerre. Je ne crois pas que la paix soit le mode de fonctionnement normal des êtres humains. Ils ont développés des trésors d'imagination pour continuer de se battre sans en avoir l'air.
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- La femme qui m'a donné le sein et a supporté ma tyrannie d'enfant privilégié disait que lorsqu'on ouvre la bouche il faut être certain des mots qui vont en sortir, parce qu'ils ont tout autant le pouvoir de réconforter, soigner ou rendre heureux que de blesser, humilier ou asservir. Elle comparait le don du langage à de la magie noire qu'il fallait combattre par de belles intentions placées dans chaque parole.
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Eh ouais, Hisham, continua le pirate, décidément avide de phrases. Je suis moins con que j'en ai l'air. Et c'est parce que j'ai passé la majeure partie de ma vie entouré d'abrutis aussi fidèles qu'une pute au rabais que je sais pas comment tourne le monde et comment doivent fonctionner les rapport entre les gens.
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-Sa femme est morte, si je puis me permettre.
-Eh bien, ça ne l’a jamais empêché de penser qu’il lui parle. D’après lui, la mort n’est pas une excuse pour mettre fin à une conversation.
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-Etes-vous vraiment à la tête d'un gang?
-Pensez-vous qu'une femme ne pourrait pas l'être?
-Je pense que les femmes peuvent tout faire, souvent bien mieux que les hommes.
-Tiens donc?
-On vous sous-estime tout le temps. Cela vous donne un avantage stratégique.
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Cet homme avait l’air de se trouver partout chez lui, et cela insupporta le maître des lieux. Il ne pouvait jamais y avoir deux rois sur le même trône.
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Tous les gosses de la rue sont braves, renchérit Landreyt, légèrement absent. Ils n'ont guère d'autres chemins à prendre que celui de l'endurance.
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Certaines villes tirent leur identité de la solidarité ou de la culture, d'autres de la merde et de la peur. C'est tout aussi efficace, comme tissu social.
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- Le pire fléau de l'humanité, messieurs, c'est l'aveuglement.
- Je croyais que c'était la bêtise ?
- Aussi. Mais des atrocités sont commises parce que des personnes refusent d'entendre d'autres sons de cloche. Elles sont centrées sur leurs désirs et leur idéologie, et rejettent tout ce qui vient de l'extérieur. Aucun recul, aucune remise en question.
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- Ne diabolisez pas ce que vous ne connaissez pas, je vous en prie.
- Rassurez-vous, mon père, je sais d’expérience que le diable se cache dans ce que nous connaissons le mieux.
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Le notaire ne résista pas à l’envie de l’espionner. L’indiscrétion valait toujours mieux que l’ignorance.
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Sur le papier, Neuchâtel paraissait être une ville agréable, [...] Sur le papier. Il faut toujours se méfier des belles cartes postales. En général, elles écrasent les ombres et surexposent la lumière.
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Plus qu’une bévue pâtissière, remplacer une fraise par une pomme était criminel.
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Le piège de la vie consistait à se laisser distraire par un regret passé ou une espérance future.
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- Bon, on va d'abord remonter la voiture ! ordonna le lieutenant- colonel, avant de se tourner vers le docteur. Vous regardez si vous pouvez faire une première identification ? C'est peut-être des locaux.
- Oh, mais je peux d'ores et déjà vous la faire, l'identification : bouillie numéro un, et bouillie numéro deux.
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La mémoire est un monstre qui a un grand sens de l’humour. Des nuits entières, on court après des souvenirs et on désespère de leur perte, tandis que notre cerveau est envahi par un tas d’images du passé, une diarrhée visuelle, dont on voudrait se passer. Comme si le diable lui-même était aux commandes.
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Le syndrome post-guerre, soupira son interlocutrice. Les nations sortent à peine d’un conflit mondial qu’elles ne pensent qu’à se doter d’armes de plus en plus puissantes en imaginant que cela empêchera le suivant de se produire.
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