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Critiques de Pascal Louvrier (38)
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Je ne vous quitterai pas

Un premier roman réussi mêlant astucieusement l'univers des lettres et celui de la politique.


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Je ne vous quitterai pas

Le charme vénéneux du déclin.
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Sagan un chagrin immobile

Ou quand Sagan traverse le mur de la légende, à fond la caisse pour faire exploser les clichés avec lesquels elle a dû composer sa vie entière. Une biographie coup de coeur !



Beaucoup de choses ont été déjà dites sur Sagan mais l’auteur nous prend par la main et semble nous dire : “comment cela a-t-il été dit” ? Cette biographie est si bien écrite que je ne savais plus par moments, qui de l’auteur ou de Sagan écrivait. C’est en appui chronologique sur son oeuvre que Pascal Louvrier nous raconte ce qu’il fallait lire entre les lignes de certains livres. Car c’est souvent là qu’on retrouvait Françoise. Le portrait est réaliste, enfin épuré du tapage que son simple nom évoquait. Les clichés y sont MAIS débarrassés de ce qui en faisait (justement) des clichés. La photo est nette !



C’est également une peinture basée sur la psychanalyse, le “Je est un autre” de Rimbaud semble avoir été écrit pour Sagan. De fait, au départ elle est Kiki de Cajarcs, une enfant de la bourgeoisie conservatrice mais enfant non “attendue” et “substituée” à un autre garçon mort en bas âge quelques années auparavant. Immédiatement et à jamais, elle devient la Kiki à son papa : ce dernier lui passera toujours tous ses caprices, l’incitant même à la transgression, la privant ainsi de repères, de limites et la laissant à vie avec un père “oedipien” sur les bras… Et ce que cela entraîne pour sa sexualité, bisexuelle mais surtout homosexuelle.



En exergue aussi de ce portrait, la vitesse, la précocité et la lucidité extrême de Sagan : très jeune elle a déjà compris le sens existentiel de la vie (Sartre est devenu un ami). Elle veut aller vite, jouer, aimer, conduire, parler vite. Tout cela correspondait à sa nature profonde. Elle ne bafouillait pas comme certaines images le montre, non elle avait déjà entamé une autre phrase.“Son paradoxe pourrait se résumer ainsi : sa lucidité lui a fait quitter le monde de l’enfance mais elle ne peut se résoudre aux adieux tant celui des adultes est insupportable**”. Elle aura du mal à grandir, à prendre les choses au sérieux, à se prendre au sérieux. L’arrivée de son fils Denis la remet sur le chemin de la bienséance, elle se marie pour lui donner un nom et un père. Elle s’en occupera sans effusions débordantes mais tendrement, elle sera sévère sur les résultats scolaires , entretenant plus une relation basée sur la bienveillante complicité. Sauf pour les bases, les principes hérités de son éducation bourgeoise. “On pourrait penser qu’elle les rejette ces mesquineries de tous les jours, qu’elles sont sources d’asphyxie. Eh bien non, “elles sont des habitudes précieuses et les bases saines de notre équilibre social. En fait, si leur présence nous est pénible, leur absence serait insupportable.*” Ce qu’elle appelle élégance car elle fuit la vulgarité avant tout Sagan, l’élégance est la politesse du coeur, on y cache aussi ses chagrins profonds…On donne le change et puis c’est inné chez elle, pudeur et élégance ! L’ennui arrive trop vite avec les aubes désenchantées de la trentaine finissante. Il y a eu les accidents, le jeu, la drogue surtout, sa compagne de douleur qui s’est invitée à vie. “Elle ne pourra plus se passer de la drogue, parce que la drogue, c’est la protection pour pouvoir écrire loin de la société du spectacle mortifère”. Et les dettes qu’elle lèguera à son fils. Mais surtout le legs d’une oeuvre inimitable, sensible et subtile car lire d’abord, puis écrire ont toujours été une seconde respiration. Et comme le dit si bien Pascal Louvrier :“Mais les journaux s’en vont et les livres demeurent**”… au sujet de Sagan qui “jouait” (souvent) les pipole mais rageait intérieurement quand elle disait qu’elle “travaillait” (tout le monde s’en fichait un peu autour d’elle), écrire ne doit pas être vraiment sérieux ! Et pourtant “ (…) les nuits à écrire, les longues et éprouvantes nuits d’écriture. Périlleuses autoroutes pour échapper au néant.**” Alors certes elle s’est épuisée dans les excès, elle s’est aussi donnée à l’écriture intensément, et sans son fils aujourd’hui, ses livres étaient sérieusement menacés de ne jamais passer un jour à la postérité. Personne ne voulait les rééditer à sa mort, il y a huit ans. Il lui ressemble tellement !
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Moteur !

"Rien ne me retient sur terre et pourtant j'ai peur de mourir"

Moteur ! C'est ça, des personnages usés par la vie qui ne savent plus vraiment à quoi s'accrocher.



C'est tout d'abord à travers un narrateur au style haché, froids et distant qu'on découvre les personnages, James et Eden. Et puis vient l'Arizona, notre regard sur James s'élargis comme le fait le décors qui se plante dans l'immensité du désert. On découvre un homme qui a enduré beaucoup de choses mais qui est hanté par un ultime mystère étroitement lié à la mort de sa mère. Celle-ci, étant une célèbre actrice hollywoodienne, permet à l'auteur de nous plonger dans l'industrie du cinéma des années 60, avec comme propos de fond la déchéance dans laquelle les célébrités de l'époque était poussée. Enfin, le roman nous mène à un dénouement inattendu, hors de toutes proportions.



Les questions se bousculent dès les premières pages et ne trouvent de réponse que dans les dernières, tenant ainsi le lecteur en haleine. Cependant, le personnage principal est très froid et plutôt égocentrique, ce qui le rend peu attachant, ceci est la seule chose qui m'a vraiment gênée.
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Moteur !

Très bonne surprise que ce roman noir s'il en est avec un héros revenu de tout, désabusé, blasé, alcoolique, aux accès de violence chroniques qui vit dans le souvenir de sa mère grande star d'Hollywood et dont il voudrait comprendre les raisons du suicide. A ses côtés, Eden, jeune et jolie fille un peu perdue, droguée, qui passe de l'amour à la haine en une fraction de seconde, du rire aux larmes, d'une déclaration enflammée à une colère terrible, violente.



Sur fond de cinéma étasunien des années 1950, Pascal Louvrier construit un roman noir, sec, dans lequel il ne s'embête pas avec des fioritures. L'écriture est directe, sèche elle aussi, va au plus rapide, sans passer par des circonvolutions peu intéressantes. Ses personnages sont bien sûr archétypaux, ce qui est dans les codes du genre noir. Il parvient habilement à nous les rendre sympathiques en allant au plus profond de leurs débordements, de leurs doutes et peurs, interrogations, et James en a des tonnes.



On est loin du rythme d'un thriller, James prend son temps, même s'il est pressé par Eden pour changer, pour sortir de cette adoration morbide pour sa mère et les raisons de son suicide. Rien de déplaisant pour le lecteur, bien au contraire, qui prend lui aussi le temps de vivre avec les protagonistes pour ensuite sentir monter l'intrigue et tenter de résoudre l'énigme. Icelle est fort bien menée qui tient jusqu'au bout, sans doute par l'atmosphère pesante, lourde et orageuse comme le climat du désert de l'Arizona.



Franchement, j'ai beaucoup aimé, je me suis régalé de bout en bout -malgré quelques paragraphes superflus. Pascal Louvrier a écrit pas mal de biographies (Michel Delpech, Françoise Sagan, George Bataille et Johnny Halliday) ; Moteur ! est son troisième roman, qui en plus me fait découvrir les éditions TohuBohu.
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L'état du monde selon Sisco

J’ai bien aimé le regard au scalpel que porte son architecte désabusé sur les nouvelles égrenées par la radio, qui, comme le chantent Eicher, sont mauvaises, d’où qu’elles viennent.

Et puis, rapidement, tout s’est gâté. Passé le premier chapitre, le roman commence très vite à tourner en rond, répétant inlassablement les mêmes scènes : Sisco se sent étouffer, Sisco en a assez de la lenteur d’esprit de ses collaborateurs, Sisco pense à sa mère mourante, Sisco boit du whisky, Sisco sort dîner avec sa nouvelle collaboratrice et amour de jeunesse… Très vite, tout cela m’a lassée. Le ballet des noms propres de lieux branchés et de célébrités sur le retour, sans doute destiné à « faire vrai », m’a plongé dans un milieu bourgeois d’une vulgarité déplaisante. C’est ainsi que l’homme en pleine crise existentielle, qui aurait pu recueillir l’adhésion du lecteur, la perd en se révélant absolument antipathique. C’est bien simple, s’il ne pensait pas de temps à autre à sa mère avec affection, on pourrait croire que Sisco a enterré son cœur dans les fondations d’un de ses projets.



Plus sur le blog :
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Je ne vous quitterai pas

Pascal Louvrier a mis à profit son expérience de " ghostwriter " et de biographe pour écrire un premier roman réussi.


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Je ne vous quitterai pas

Livre lu dans le cadre de l’opération Masse critique du site Babelio. Merci à eux, ainsi qu’aux éditions Allary.



Jacques Libert, célèbre écrivain, vient de remettre à son éditeur le manuscrit de son dernier roman. Malade du cœur, il sait que ses jours sont comptés et a décidé de se retirer dans sa maison normande qui comme lui est en sursis, car sise au bord d’une falaise que la mer grignote peu à peu. Afin de mettre de l’ordre dans ses papiers, Libert engage Louise, étudiante à qui il va se confier un peu plus chaque jour, lui livrant des secrets qu’il avait tus jusque-là. Car si l’homme est connu pour sa plume, il l’est aussi pour son statut d’ancien conseiller de François Mitterrand. Très proche du président durant ses deux mandats, il a vécu au cœur du pouvoir et pourrait détenir une part de vérité qui n’a pas encore été révélée. C’est du moins ce que pense l’éditeur de l’écrivain, qui espère que l’ultime manuscrit sera porteur de surprises.



La suite sur mon blog...
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Gérard Depardieu à nu

Dans sa nouvelle biographie, écrite par Pascal Louvrier, on découvre un acteur terriblement angoissé, voire torturé, timide, entêté et fragile par moment, mais qui fonce envers et contre tous.
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Michel Delpech : Mise à nu

Sur la base d'interviews et de recherches documentaires, l'auteur retrace le parcours complexe de celui qui derrière le chanteur de variétés, a su retrouver l'homme et ses contradictions.

Depuis l'enfance paisible à Courbevoie jusqu'au tardif renouveau, en passant par les années d'immenses succès avant le trou noir, tout est là et on apprend beaucoup.



Tout jeune, Delpech envie le public féminin de Lucky Blondo et Franck Alamo. Il écoute Gainsbourg et Ray Charles, admire Trénet, signe son premier contrat, essuie son premier échec, avant de rencontrer le compositeur Roland Vincent, celle qui deviendra sa femme, et connaître le premier succès encourageant avec "Laurette". C'est l'ascension vers la gloire avec "Inventaire 66", il commence à dire des bêtises : "Je veux être une vedette le plus vite possible...Je ne lis jamais, c'est trop long...".

Pour sa signature chez Barclay, étant mineur, il doit avoir la signature de son père. Barclay le fait conduire en voiture américaine devant l'atelier de nickelage-chromage paternel : gêne et fierté.

Passage à l'Olympia en 1ère partie de Brel qui y fait ses adieux. Dispute avec le grand Jacques car le godelureau veut imposer un rythme plus rapide à "son" orchestre, dirigé par le fidèle François Rauber.

Et la course s'emballe pour notre Rastignac : rencontre avec Johnny Stark, rapide passage au service militaire avant d'être facilement réformé.

"Wight is Wight" et sa 12 cordes, la richesse, la gloire, la fête permanente, les caprices, le whisky, la coke, les groupies...



Et puis en 75, changement de look, chansons sombres ("Les aveux", "Ce Lundi-là") ou décalées ("Quand j'étais chanteur" avec l'évocation des Beatles dans les chœurs), la descente progressive avant le gouffre.

En 1976, sa femme s'exhibe en public avec son amant : perte de confiance, séparation, déménagement, image de gentil garçon devenue insupportable, plongée dans l'hindouisme, recherche d'un nouvel horizon, recherche des racines ("Le Loir-et-Cher"), voyantes, marabouts, psychiatres, cures de sommeil...retour avec ses enfants, chez ses parents, névrose, ruine...Plus rien ne semble pouvoir enrayer la chute.

Retraite religieuse, vente de ses biens, de ses droits...C'est la fin.

Sauf que l'amour d'une femme va le sauver...



Pascal Louvrier parvient à rendre cette histoire, très touchante, quel que soit l'intérêt que l'on peut porter ou pas, à Michel Delpech.

Replaçant à chaque fois les étapes de ce parcours dans le contexte de son époque, il le rend finalement très prenant et sociologiquement intéressant.

Nous ne sommes pas dans l'hagiographie (et Delpech lui même est suffisamment lucide pour éviter ce penchant), mais dans le récit d'une histoire compliquée d'un homme banal qui s'est brûlé les ailes.

Certains passages sont poignants : les soucis de drogues (lui, sa fille, son ex-femme qui se suicide), sa mère aimante mais incapable d'exprimer ses sentiments et de le serrer dans ses bras...



Le livre comprend également un encart de photos et il reprend l'ensemble de la production discographique de Delpech .



Conseillé aux fans bien sûr, mais pas que.
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Vérité BB

"𝐶ℎ𝑖𝑒𝑛 𝑝𝑒𝑟𝑑𝑢 𝑠𝑎𝑛𝑠 𝑐𝑜𝑙𝑙𝑖𝑒𝑟 𝑟𝑒𝑐ℎ𝑒𝑟𝑐ℎ𝑒 𝑟𝑒𝑓𝑢𝑔𝑒 𝑑𝑒́𝑠𝑒𝑠𝑝𝑒́𝑟𝑒́𝑚𝑒𝑛𝑡."



Un ouvrage biographique sur une des femmes les plus belles du monde, un sex symbol des années 1950, dans une époque où la femme (disons-le clairement) n'était rien, n'avait aucun droit. Tout se faisait sous l'accord du père ou de l'époux. Une vie de silence et de femmes de foyer où se promener nue sur les plages n'étaient pas vraiment envisageable.



Ici, l'auteur nous parle d'une jeune femme qui n'a pas forcément eu une enfance facile avec un manque d'amour parental. Une femme dont la solitude lui pèsera longtemps avant qu'elle arrive à la dompter, à l'apprivoiser.



Lors de la lecture de cet ouvrage, j'ai appris des choses que je ne savais pas sur cette femme, beaucoup sur son caractère, sa manière d'être et de faire, sur ces moments de tournage ou de vie privée. L'auteur axe principalement là-dessus. Beaucoup de dates, de noms, de références filmographies et discographique. Je trouve dommage qu'il n'y ait qu'une petite partie sur son engagement pour la cause animale, car elle rayonne à travers ses animaux et le bien qu'elle peut leur procurer. De plus, c'est une partie qui m'intéressait énormément.



En soi, un ouvrage biographique assez riche cinématographiquement parlant, mais pour moi trop pauvre du côté de l'engagement pour la cause animale.



Un ouvrage qui se lit très bien, même si j'ai parfois dû aller sur Google pour voir à quoi ressemble certains noms cités, ainsi que leurs biographies.

Ce genre d'ouvrage peut énormément plaire aux grands fans de BB.



J'ai bien aimée cette lecture car enrichissante sur la vie de Brigitte Bardot. Le contenu est plutôt pas mal pour apprendre à connaître un minimum la star.



Et vous, aimez-vous BB ? Liriez-vous cet ouvrage ?
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Moteur !

C'est un roman noir des plus original que je vous propose de découvrir aujourd'hui. L'auteur a décidé de mêler le cinéma hollywoodien des années 60 et la vie d'un scénariste, James Katenberg.







James est un personnage très mystérieux. Il est blasé de tout, il est alcoolique, il vit dans le souvenir de sa chère maman qui était une grande star hollywoodienne. Cette dernière s'est suicidée et il voudrait en comprendre les raisons. Qui est James ? Pourquoi est-il surveillé de près ?







James va chercher Eden, tout juste sortie de prison. Il ne sait pas vraiment pourquoi il fait ça mais il le fait. Eden est une jeune et jolie jeune fille qui est un eu paumée, qui est droguée et qui souffle le chaud et le froid en une fraction de seconde. Qui est Eden ?







Pascal Louvier a une plume brute de décoffrage, il ne s'embête pas à nous broder les choses, il part au plus pressé. Il brusque un peu le lecteur qui est en perpétuelle questionnement. C'est d'ailleurs ce qui nous pousse à poursuivre la lecture, la curiosité prend le pas sur tout le reste.







Malheureusement, ce livre ne m'a pas totalement convaincu. Je pense que la plume de l'auteur n'y est pas étrangère car l'idée de départ est très intéressante et c'est dommage que ce franc-parler est un peu gâché le tout, en tout cas pour moi.
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Moteur !

Un thriller particulier mêlant histoire du cinéma hollywoodien des années 60 à la vie d'un scénariste James.



James est un personnage très mystérieux. Qui est-il ? Pourquoi est-il surveillé ?



Que dire de ce roman ?

Dès le départ, l'entrée en matière est particulière. James vient chercher à sa sortie de prison Eden, il ne sait pas vraiment pourquoi il fait ça.

Toute la trame de ce récit est de cette trempe : bizarre, originale. On se pose énormément de questions : on se demande où l'auteur veut nous mener.

Du coup, j'ai eu un peu de mal avec l'histoire et pourtant quelque chose m'a poussé à aller au bout : on veut comprendre qui est James, ce qu'il a pu faire .

Quand la réponse arrive, elle est assez surprenante. Toutefois on comprend mieux le pourquoi de certaines références.



Un roman particulier, difficile à décrire. Une mise en scène spéciale qui ne m'a pas totalement convaincue et pourtant il y a quelque chose d'addictif dans ce récit.

Je pense que ce livre plaira à un public en quête de nouvelles sensations, d'un genre original.
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Je ne vous quitterai pas

J'ai beaucoup apprécié la belle connaissance de Mitterrand par un écrivain fictif (Libert), un ghostwriter. Cet écrivain est comme un double de l'auteur, mais surtout du personnage principal, "le président", jamais appelé autrement, même quand il s'agit de parler de lui avant qu'il soit président.



Le désir triangulaire fonctionne à merveille : la fascination de l'écrivain fictif pour son personnage historique appelle la nôtre pour tout ce qui, de Mitterrand, constitue la part d'ombre... et la matière de romans. Ce livre, qui fait la lumière sur les ombres du président, en est un bon.
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Je ne vous quitterai pas

Un bon premier roman qui distille intelligemment ses secrets.


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Je ne vous quitterai pas

Entre élans patriotiques et soliloques intimes.
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Je ne vous quitterai pas

Je ne vous quitterai pas, d'après ce mot de Mitterrand prononcé lors de ses derniers voeux, redessine à la pointe sèche, avec force détails et anecdotes méconnues, le portrait d'un homme "hors normes". Pascal Louvrier maîtrise admirablement son sujet, qu'il décline sur un mode romanesque passionnant, et avec style.


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Sagan un chagrin immobile

L'ensemble se lit avec plaisir même si, ainsi le veut la loi du genre, les exégètes de l'oeuvre et de la vie trouveront matière à pinailler.
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