Et l 'amour était, n'est-ce pas, une force à laquelle nul mortel ne pouvait se soustraire, il pensait même que la lumière de l 'amour pénétrait de temps à autre jusque dans la profonde ténèbre du monde d'en bas.
Stendhal parle de cristallisation et, ailleurs, d'une fièvre; être amoureux, dit Socrate dans Phèdre, c'est une ivresse, une maladie, un délire.(...)Mais une Mania inspirée par le divin et aspirant à lui, une folie divine qui donne des ailes à l'âme confinée dans le terrestre.
Ce que saint Augustin dit du temps vaut tout aussi bien pour l’amour. moins nous y réfléchissons, plus il nous paraît se comprendre tout seul ; mais si nous commençons à nous creuser la tête à son propos, nous n’en sortons plus