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Citations de Penelope Sky (220)


On n’a pas besoin d’être grand pour être fort. La force vient du plus profond de soi. C’est la capacité à esquiver la douleur, à persévérer quand l’échec nous gifle au visage comme une pluie glaciale. C’est le refus de céder sous la pression. C’est beaucoup de choses. La taille n’a rien à voir. 
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Mon corps était déshydraté tellement je mouillais en sa présence.
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Tu as des cicatrices, et les cicatrices sont sexy. Les hommes vont à la guerre et sont fiers des marques qu’ils portent sur leur corps. Les femmes comme les hommes doivent relever des défis et survivre aux épreuves, dis-je en caressant doucement son ventre. Tu vas traverser la plus rude des épreuves humaines : donner la vie. Bien sûr, ton corps ne sera plus le même, il sera encore mieux. Tu auras des cicatrices de guerre, et c’est très sexy.
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Nous avions passé l’année dernière à traquer l’homme qui avait assassiné ma mère, une innocente qui n’avait rien à voir avec nos affaires. Il l’avait capturée pendant qu’elle faisait des courses et lui avait fait subir des choses innommables. J’en étais malade chaque fois que j’y pensais. Sa mort m’avait soulagé… Au moins, elle avait cessé de souffrir.
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Il a tenu sa promesse et m’a baisée de la façon qu’il avait décrite. Je me suis débattue férocement, mais il m’a ligotée avec des cordes blessantes et il a enfoncé sa queue en moi. Il m’a fait mal. Je ne pouvais que rester allongée et subir. Je me sentais dégoûtée. Sale. J’avais envie de pleurer, mais je me suis retenue. Je refusais de lui donner cette satisfaction. Il ne méritait pas mes cris ni mes larmes. Il voulait me briser parce qu’il savait que ce ne serait pas facile. Mais je ne céderais pas.
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La vengeance était un marathon, non un sprint. Elle exigeait du temps et de l'organisation. Il fallait une patience inflexible. La vengeance se devait d'être parfaite.
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Comme le serpent, j'avais une patience remarquable. Je pouvais rester assis et la regarder toute la nuit jusqu'à ce qu'elle bouge enfin. Elle était la proie -- et j'étais le chasseur. Mes yeux la suivaient comme une cible.
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Tu as l'air en pétard !
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J’aimais tellement cette femme que, si je l’avais pu, j’aurais pris sa place en souriant. L’aimer, c’était comme vivre avec mon cœur en dehors de mon corps. J’étais vulnérable, fragile, et elle tenait mon sort au creux de sa main. Ce qui lui arrivait à elle m’arrivait aussi à moi.
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Les baisers me laissaient généralement indifférent. Moins il y avait de préliminaires, mieux c’était. Je voulais passer aux choses sérieuses, me faire sucer goulûment par une femme avant de la baiser jusqu’à ce qu’elle hurle. Je n’avais pas besoin de l’embrasser ou de la toucher pour la faire jouir.
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Peu importait que cette femme m'attire. Il y avait entre nous une frontière infranchissable. Elle était mon ennemie. Elle serait toujours mon ennemie.
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J'avais échappé à la mort. Il me restait au moins ça. Tout espoir n'était pas perdu. Je trouverais un moyen de m'en sortir.
J'étais une Barsetti. Et les Barsetti n'abandonnaient jamais.
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Il avait mes yeux. Son nez. Mes lèvres. Ses cheveux.
Un parfait mélange de nous deux.
Trois kilos de perfection, la plus belle chose que je n’avais jamais vue de ma vie. Il tenait dans la paume de ma main tellement il était petit. J’aimais ma femme de tout cœur, et j’avais du mal à croire que je pouvais aimer quelqu’un d’autre plus qu’elle.
Et pourtant, si.
Mon fils. 
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— Je suis venu parler affaires, et pas de ma vie privée avec ma femme. Elle n’est pas que la femme que je ramène dans mon lit. Elle est ma partenaire et elle possède la moitié de ce que j’ai. Si vous lui manquez de respect, vous me manquez de respect. Elle est ma famille et hors d’atteinte. Alors, tant que vous ne vous serez pas excusé, Damien et moi retirons notre offre. Vous pourrez trouver une solution ailleurs.
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- Il nous retrouvera, maman, dit Claire en regardant sa mère. Papa est le plus intelligent de tous les papas. Il nous retrouvera.
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Il m’embrassa si délicieusement, caressant mes lèvres comme si j’étais la seule femme qu’il voulait embrasser. Son haleine chaude titillait mes lèvres, et sa langue sensuelle se glissa dans ma bouche. Tout ce qu’il faisait était sexy, de sa respiration à ses caresses. Quand il me dominait comme ça, j’avais l’impression d’être un animal captif n’ayant nulle part où aller.
Je ne voulais être nulle part ailleurs.
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J’observai son visage, la voyant sous un nouveau jour. Elle était si ravissante quand on la baisait : ses joues rouges, ses lèvres entrouvertes. Parfois, elle se mordillait la lèvre inférieure de plaisir quand ma queue frottait au bon endroit, et ses hanches ruaient toutes seules. Ses ongles s’enfoncèrent dans ma peau, et un gémissement étouffé s’échappa de ses lèvres quand le plaisir la submergea.
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Elle avait été la plus belle femme de la soirée, et j’en ressentais de la fierté. Elle était mon trophée, un objet que je possédais et que tout le monde m’enviait. Cela m’avait ennuyé au début d’avoir une femme, mais elle se montrait utile. Au moins, elle aidait mon image et mes affaires.
Et je ne pouvais m’empêcher d’être d’accord avec tout le monde… Elle était exceptionnelle.
Ses cheveux étaient bouclés, ses yeux charbonneux, et elle avait mis un rouge à lèvres si foncé qu’il tirait sur le bordeaux. Son look était complété par des diamants à ses lobes, et par une robe qui épousait son corps sexy.
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Il était vraiment pas mal, avec ses yeux bruns et l’ombre d’une barbe mais, au lit, il n’avait pas été à la hauteur. Ses belles lèvres auraient été divines entre mes cuisses ; dommage qu’il en ait fait le moins possible pour me satisfaire.
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Une partie de moi voulait que ça arrive, voulait le regarder dans les yeux lorsqu’il comprendrait que c’était moi qui avais baisé sa femme, qui avais revendiqué son cœur pour de bon. Elle serait bientôt à moi, et il devrait vivre le restant de ses jours en sachant que c’était sa faute si Annabella couchait avec un autre homme.
Je n’essayai pas d’édulcorer ou de nier. Ce moment était inévitable, et j’étais soulagé que la vérité ait éclaté au grand jour. Je ne voulais pas faire semblant de l’apprécier. Je terminai mon verre avant de glisser du tabouret et de me remettre debout.
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