Je tiens tout d'abord à remercier les Éditions Cairn et Babelio pour l'envoi d'un livre exceptionnel dans le cadre d'une opération masse critique. Je remercie également Madame Johanna Michler, référencière de Cairn, pour son aimable mot.
Philippe Lauga a écrit un ouvrage particulièrement riche, dans lequel il mélange différents thèmes avec maestria : d'une investigation policière du meurtre de Bérengère épouse du puissant Jean-Jacques Harizar ; de voleurs de maisons exclusives, où les propriétaires sont absents ; la pêche de restes humains à Capbreton et la découverte par Mme Hayet de Sètes dans le local à poubelles d'un immeuble, un Africain, la cinquantaine en piteux état. L'homme s'appelle Ousmane Malela, qui a quitté sa Guinée natale à la recherche désespérée de ses 3 fils qui sont partis en Occident pour trouver du travail, un peu de bonheur et "Hôronya" ou l'indépendance, en un patois guinéen. Il y est question de trafic humain et de trafic d'organes humains.
C'est sous les ordres stricts du commandant de la Police Judiciaire de Bayonne, Francis Sanlucar, qu'opèrent: la capitaine Marie Legalet, enceinte jusqu'aux yeux ; le capitaine Christian Lapège, qui rêve à sa retraite dans un mois ; Beñat Etcheto, le Basque de service ; et le jeune lieutenant Armand Destribats, qui aime les femmes et qui tombe tout de suite amoureux de la nouvelle procureuse de Bayonne, la belle Claude Jacob, 38 ans.
Le plus intéressant et important du livre, réside, dans mon humble avis, dans la description du traitement proprement scandaleux des pauvres bougres fuyant la misère de leur pays d'origine, tels la Guinée, le Mali, etc. Des "Untermensch" qui se font maltraitér, abuser et qui sont soumis à des travaux d'esclavage. Comme le note l'auteur : "En réalité tout le monde profite de cette manne !"
Dans la postface, à la page 437, Philippe Lauga écrit : "Mon propos n'est pas ici de débattre ou de porter un jugement sur les phénomènes migratoires."
Écoeuré, triste, dégouté et furieux, je ne peux m'empêcher d'ajouter quelques paragraphes ci-dessous qui sont de mon propre cru et que je mets sous une ligne, pour bien distinguer les deux.
_____________________
Je crains, comme annoncé antérieurement, qu'une victoire de l'extrême droite aux élections du 6 juin prochain, ne fera qu'augmenter considérablement la situation.
Si l'on considère ce qu'un Vincent Bolloré se permet déjà dans le monde de la presse et de l'édition, 2 secteurs qui ont fait la gloire de la France culturelle depuis des siècles, et que maintenant le JDD en perte de vitesse, depuis qu'il y a imposé à la tête de la rédaction, un de ses potes de l'extrême droite. Il a réussi de faire d'une chaîne d'informations, une chaîne de désinformation et de haine. Malgré toutes les plaintes contre ce guignol ridicule de Cyrille Hanouna, notre brave milliardaire le maintien, envers et contre tout. le bonhomme se voit sûrement déjà une réincarnation du fameux "Citizen Kane" dans lequel Orson Welles a projeté, en 1941, le magnat de la presse américaine de l'époque, William Randolph Hearst (1863-1951).
Si des gugusses de l'extrême droite avec leurs obsessions maladives, sortent vainqueurs des élections, le calvaire des réfugiés, dépeint par l'auteur, ne sera que pire.
En Belgique, la situation n'est guère mieux. Selon les derniers sondages, les extrémistes flamands du Vlaams Belang (Intéret Flamand) remporteraient le plus de voix, 27% ! Tout dépend maintenant de ce que va concocter le chef du Parti de la nouvelle alliance flamande, Bart de Wever.
Notre citzen Kane a multiplié à ce propos les déclarations sibyllines, dont il est probablement le seul à comprendre leur signification. Si signification, il y a ?
Un gouvernement basé sur ces 2 Partis, sonnera la fin du Royaume de Belgique. Après avoir refusé 2 fois de diriger le gouvernement du pays, préférant la mairie d'Anvers (où l'on s'expose à moins de critique), aujourd'hui, il a annoncé vouloir former le prochain gouvernement fédéral !
"Pauvre Belgique", dans une version encore plus exécrable que le pamphlet inachevé au même titre de Charles Baudelaire de 1864.
Je tiens tout d'abord à remercier les Éditions Cairn et Babelio pour l'envoi d'un livre exceptionnel dans le cadre d'une opération masse critique. Je remercie également Madame Johanna Michler, référencière de Cairn, pour son aimable mot.
Philippe Lauga a écrit un ouvrage particulièrement riche, dans lequel il mélange différents thèmes avec avec maestria : d'une investigation policière du meurtre de Bérengère épouse du puissant Jean-Jacques Harizar ; de voleurs de maisons exclusives, où les propriétaires sont absents ; la pêche de restes humains à Capbreton et la découverte par Mme Hayet de Sètes dans le local à poubelles d'un immeuble, un Africain, la cinquantaine en piteux état. L'homme s'appelle Ousmane Malela, qui a quitté sa Guinée natale à la recherche désespérée de ses 3 fils qui sont partis en Occident pour trouver du travail, un peu de bonheur et "Hôronya" ou l'indépendance, en un patois guinéen. Il y est question de trafic humain et de trafic d'organes humains.
C'est sous les ordres stricts du commandant de la Police Judiciaire de Bayonne, Francis Sanlucar, qu'opèrent: la capitaine Marie Legalet, enceinte jusqu'aux yeux ; le capitaine Christian Lapège, qui rêve à sa retraite dans un mois ; Beñat Etcheto, le Basque de service ; et le jeune lieutenant Armand Destribats, qui aime les femmes et qui tombe tout de suite amoureux de la nouvelle procureuse de Bayonne, la belle Claude Jacob, 38 ans.
Le plus intéressant et important du livre, réside, dans mon humble avis, dans la description du traitement proprement scandaleux des pauvres bougres fuyant la misère de leur pays d'origine, tels la Guinée, le Mali, etc. Des "Untermensch" qui se font maltraitér, abuser et qui sont soumis à des travaux d'esclavage. Comme le note l'auteur : "En réalité tout le monde profite de cette manne !"
Dans la postface, à la page 437, Philippe Lauga écrit : "Mon propos n'est pas ici de débattre ou de porter un jugement sur les phénomènes migratoires."
Écoeuré, triste, dégouté et furieux, je ne peux m'empêcher d'ajouter quelques paragraphes ci-dessous qui sont de mon propre cru et que je mets sous une ligne, pour bien distinguer les deux.
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Je crains, comme annoncé antérieurement, qu'une victoire de l'extrême droite aux élections du 6 juin prochain, ne fera qu'augmenter considérablement la situation.
Si l'on considère ce qu'un Vincent Bolloré se permet déjà dans le monde de la presse et de l'édition, 2 secteurs qui ont fait la gloire de la France culturelle depuis des siècles, et que maintenant le JDD en perte de vitesse, depuis qu'il y a imposé à la tête de la rédaction, un de ses potes de l'extrême droite. Il a réussi de faire d'une chaîne d'informations, une chaîne de désinformation et de haine. Malgré toutes les plaintes contre ce guignol ridicule de Cyrille Hanouna, notre brave milliardaire le maintien, envers et contre tout. le bonhomme se voit sûrement déjà une réincarnation du fameux "Citizen Kane" dans lequel Orson Welles a projeté, en 1941, le magnat de la presse américaine de l'époque, William Randolph Hearst (1863-1951).
Si des gugusses de l'extrême droite avec leurs obsessions maladives, sortent vainqueurs des élections, le calvaire des réfugiés, dépeint par l'auteur, ne sera que pire.
En Belgique, la situation n'est guère mieux. Selon les derniers sondages, les extrémistes flamands du Vlaams Belang (Intéret Flamand) remporteraient le plus de voix, 27% ! Tout dépend maintenant de ce que va concocter le chef du Parti de la nouvelle alliance flamande, Bart de Wever.
Notre citzen Kane a multiplié à ce propos les déclarations sibyllines, dont il est probablement le seul à comprendre leur signification. Si signification, il y a ?
Un gouvernement basé sur ces 2 Partis, sonnera la fin du Royaume de Belgique. Après avoir refusé 2 fois de diriger le gouvernement du pays, préférant la mairie d'Anvers (où l'on s'expose à moins de critique), aujourd'hui, il a annoncé vouloir former le prochain gouvernement fédéral !
"Pauvre Belgique", dans une version encore plus exécrable que le pamphlet inachevé au même titre de Charles Baudelaire de 1864.
Je tiens exceptionnel dans le cadre d'une opération masse critique. Je remercie également Madame Johanna Michler, référencière de Cairn, pour son aimable mot.
Philiptout d'abord à remercier les Éditions Cairn et Babelio pour l'envoi d'un livre pe Lauga a écrit un ouvrage particulièrement riche, dans lequel il mélange différents thèmes avec avec maestria : d'une investigation policière du meurtre de Bérengère épouse du puissant Jean-Jacques Harizar ; de voleurs de maisons exclusives, où les propriétaires sont absents ; la pêche de restes humains à Capbreton et la découverte par Mme Hayet de Sètes dans le local à poubelles d'un immeuble, un Africain, la cinquantaine en piteux état. L'homme s'appelle Ousmane Malela, qui a quitté sa Guinée natale à la recherche désespérée de ses 3 fils qui sont partis en Occident pour trouver du travail, un peu de bonheur et "Hôronya" ou l'indépendance, en un patois guinéen. Il y est question de trafic humain et de trafic d'organes humains.
C'est sous les ordres stricts du commandant de la Police Judiciaire de Bayonne, Francis Sanlucar, qu'opèrent: la capitaine Marie Legalet, enceinte jusqu'aux yeux ; le capitaine Christian Lapège, qui rêve à sa retraite dans un mois ; Beñat Etcheto, le Basque de service ; et le jeune lieutenant Armand Destribats, qui aime les femmes et qui tombe tout de suite amoureux de la nouvelle procureuse de Bayonne, la belle Claude Jacob, 38 ans.
Le plus intéressant et important du livre, réside, dans mon humble avis, dans la description du traitement proprement scandaleux des pauvres bougres fuyant la misère de leur pays d'origine, tels la Guinée, le Mali, etc. Des "Untermensch" qui se font maltraitér, abuser et qui sont soumis à des travaux d'esclavage. Comme le note l'auteur : "En réalité tout le monde profite de cette manne !"
Dans la postface, à la page 437, Philippe Lauga écrit : "Mon propos n'est pas ici de débattre ou de porter un jugement sur les phénomènes migratoires."
Écoeuré, triste, dégouté et furieux, je ne peux m'empêcher d'ajouter quelques paragraphes ci-dessous qui sont de mon propre cru et que je mets sous une ligne, pour bien distinguer les deux.
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Je crains, comme annoncé antérieurement, qu'une victoire de l'extrême droite aux élections du 6 juin prochain, ne fera qu'augmenter considérablement la situation.
Si l'on considère ce qu'un Vincent Bolloré se permet déjà dans le monde de la presse et de l'édition, 2 secteurs qui ont fait la gloire de la France culturelle depuis des siècles, et que maintenant le JDD en perte de vitesse, depuis qu'il y a imposé à la tête de la rédaction, un de ses potes de l'extrême droite. Il a réussi de faire d'une chaîne d'informations, une chaîne de désinformation et de haine. Malgré toutes les plaintes contre ce guignol ridicule de Cyrille Hanouna, notre brave milliardaire le maintien, envers et contre tout. le bonhomme se voit sûrement déjà une réincarnation du fameux "Citizen Kane" dans lequel Orson Welles a projeté, en 1941, le magnat de la presse américaine de l'époque, William Randolph Hearst (1863-1951).
Si des gugusses de l'extrême droite avec leurs obsessions maladives, sortent vainqueurs des élections, le calvaire des réfugiés, dépeint par l'auteur, ne sera que pire.
En Belgique, la situation n'est guère mieux. Selon les derniers sondages, les extrémistes flamands du Vlaams Belang (Intéret Flamand) remporteraient le plus de voix, 27% ! Tout dépend maintenant de ce que va concocter le chef du Parti de la nouvelle alliance flamande, Bart de Wever.
Notre citzen Kane a multiplié à ce propos les déclarations sibyllines, dont il est probablement le seul à comprendre leur signification. Si signification, il y a ?
Un gouvernement basé sur ces 2 Partis, sonnera la fin du Royaume de Belgique. Après avoir refusé 2 fois de diriger le gouvernement du pays, préférant la mairie d'Anvers (où l'on s'expose à moins de critique), aujourd'hui, il a annoncé vouloir former le prochain gouvernement fédéral !
"Pauvre Belgique", dans une version encore plus exécrable que le pamphlet inachevé au même titre de Charles Baudelaire de 1864.
Je tiens exceptionnel dans le cadre d'une opération masse critique. Je remercie également Madame Johanna Michler, référencière de Cairn, pour son aimable mot.
Philiptout d'abord à remercier les Éditions Cairn et Babelio pour l'envoi d'un livre pe Lauga a écrit un ouvrage particulièrement riche, dans lequel il mélange différents thèmes avec avec maestria : d'une investigation policière du meurtre de Bérengère épouse du puissant Jean-Jacques Harizar ; de voleurs de maisons exclusives, où les propriétaires sont absents ; la pêche de restes humains à Capbreton et la découverte par Mme Hayet de Sètes dans le local à poubelles d'un immeuble, un Africain, la cinquantaine en piteux état. L'homme s'appelle Ousmane Malela, qui a quitté sa Guinée natale à la recherche désespérée de ses 3 fils qui sont partis en Occident pour trouver du travail, un peu de bonheur et "Hôronya" ou l'indépendance, en un patois guinéen. Il y est question de trafic humain et de trafic d'organes humains.
C'est sous les ordres stricts du commandant de la Police Judiciaire de Bayonne, Francis Sanlucar, qu'opèrent: la capitaine Marie Legalet, enceinte jusqu'aux yeux ; le capitaine Christian Lapège, qui rêve à sa retraite dans un mois ; Beñat Etcheto, le Basque de service ; et le jeune lieutenant Armand Destribats, qui aime les femmes et qui tombe tout de suite amoureux de la nouvelle procureuse de Bayonne, la belle Claude Jacob, 38 ans.
Le plus intéressant et important du livre, réside, dans mon humble avis, dans la description du traitement proprement scandaleux des pauvres bougres fuyant la misère de leur pays d'origine, tels la Guinée, le Mali, etc. Des "Untermensch" qui se font maltraitér, abuser et qui sont soumis à des travaux d'esclavage. Comme le note l'auteur : "En réalité tout le monde profite de cette manne !"
Dans la postface, à la page 437, Philippe Lauga écrit : "Mon propos n'est pas ici de débattre ou de porter un jugement sur les phénomènes migratoires."
Écoeuré, triste, dégouté et furieux, je ne peux m'empêcher d'ajouter quelques paragraphes ci-dessous qui sont de mon propre cru et que je mets sous une ligne, pour bien distinguer les deux.
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Je crains, comme annoncé antérieurement, qu'une victoire de l'extrême droite aux élections du 6 juin prochain, ne fera qu'augmenter considérablement la situation.
Si l'on considère ce qu'un Vincent Bolloré se permet déjà dans le monde de la presse et de l'édition, 2 secteurs qui ont fait la gloire de la France culturelle depuis des siècles, et que maintenant le JDD en perte de vitesse, depuis qu'il y a imposé à la tête de la rédaction, un de ses potes de l'extrême droite. Il a réussi de faire d'une chaîne d'informations, une chaîne de désinformation et de haine. Malgré toutes les plaintes contre ce guignol ridicule de Cyrille Hanouna, notre brave milliardaire le maintien, envers et contre tout. le bonhomme se voit sûrement déjà une réincarnation du fameux "Citizen Kane" dans lequel Orson Welles a projeté, en 1941, le magnat de la presse américaine de l'époque, William Randolph Hearst (1863-1951).
Si des gugusses de l'extrême droite avec leurs obsessions maladives, sortent vainqueurs des élections, le calvaire des réfugiés, dépeint par l'auteur, ne sera que pire.
En Belgique, la situation n'est guère mieux. Selon les derniers sondages, les extrémistes flamands du Vlaams Belang (Intéret Flamand) remporteraient le plus de voix, 27% ! Tout dépend maintenant de ce que va concocter le chef du Parti de la nouvelle alliance flamande, Bart de Wever.
Notre citzen Kane a multiplié à ce propos les déclarations sibyllines, dont il est probablement le seul à comprendre leur signification. Si signification, il y a ?
Un gouvernement basé sur ces 2 Partis, sonnera la fin du Royaume de Belgique. Après avoir refusé 2 fois de diriger le gouvernement du pays, préférant la mairie d'Anvers (où l'on s'expose à moins de critique), aujourd'hui, il a annoncé vouloir former le prochain gouvernement fédéral !
"Pauvre Belgique", dans une version encore plus exécrable que le pamphlet inachevé au même titre de Charles Baudelaire de 1864.
Je tiens exceptionnel dans le cadre d'une opération masse critique. Je remercie également Madame Johanna Michler, référencière de Cairn, pour son aimable mot.
Philiptout d'abord à remercier les Éditions Cairn et Babelio pour l'envoi d'un livre pe Lauga a écrit un ouvrage particulièrement riche, dans lequel il mélange différents thèmes avec avec maestria : d'une investigation policière du meurtre de Bérengère épouse du puissant Jean-Jacques Harizar ; de voleurs de maisons exclusives, où les propriétaires sont absents ; la pêche de restes humains à Capbreton et la découverte par Mme Hayet de Sètes dans le local à poubelles d'un immeuble, un Africain, la cinquantaine en piteux état. L'homme s'appelle Ousmane Malela, qui a quitté sa Guinée natale à la recherche désespérée de ses 3 fils qui sont partis en Occident pour trouver du travail, un peu de bonheur et "Hôronya" ou l'indépendance, en un patois guinéen. Il y est question de trafic humain et de trafic d'organes humains.
C'est sous les ordres stricts du commandant de la Police Judiciaire de Bayonne, Francis Sanlucar, qu'opèrent: la capitaine Marie Legalet, enceinte jusqu'aux yeux ; le capitaine Christian Lapège, qui rêve à sa retraite dans un mois ; Beñat Etcheto, le Basque de service ; et le jeune lieutenant Armand Destribats, qui aime les femmes et qui tombe tout de suite amoureux de la nouvelle procureuse de Bayonne, la belle Claude Jacob, 38 ans.
Le plus intéressant et important du livre, réside, dans mon humble avis, dans la description du traitement proprement scandaleux des pauvres bougres fuyant la misère de leur pays d'origine, tels la Guinée, le Mali, etc. Des "Untermensch" qui se font maltraitér, abuser et qui sont soumis à des travaux d'esclavage. Comme le note l'auteur : "En réalité tout le monde profite de cette manne !"
Dans la postface, à la page 437, Philippe Lauga écrit : "Mon propos n'est pas ici de débattre ou de porter un jugement sur les phénomènes migratoires."
Écoeuré, triste, dégouté et furieux, je ne peux m'empêcher d'ajouter quelques paragraphes c
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