Pierre Thiry

J'étais au départ sceptique sur ce recueil de sonnets car je n'ai jamais été très attirée par la poésie. L'auteur ayant réussi à me convaincre, j'ai tenté l'expérience.



Dés le premier poème, j'ai su que cette lecture me ferait passer de très bons moments : bien loin des poésies classiques que l'on a pu étudier en cours, l'écriture de P. Thiry est accessible à tous et surtout, le contenu de chaque histoire est totalement compréhensible.



Jai beaucoup aimé lorsque l'auteur écrit plusieurs textes autour d'un même groupe de mots : avec les mêmes termes, on peut créer de nombreuses oeuvres très différentes les unes des autres.



Je tiens à souligner que ce n'est pas un livre que l'on dévore, je pense qu'il faut prendre le temps de savourer chaque page afin d'assimiler l'ensemble du message de l'auteur. Je n'ai pas l'habitude de lire page par page, en le laissant respirer entre deux mais finalement c'est très reposant.



Je ne peux que le conseiller à tous, amateurs comme novices, pour faire une pause dans son quotidien.

Ça faisait très longtemps que je n’avais pas lu de poésie et la lecture de Sansonnets, un cygne à l’envers (sous-titré Cents sonnets insignes allant vers…)a été bien agréable. Comme pouvait le laisser présager le titre de ce livre, ce recueil de sonnets mêlent habillement humour et jeux de mots. Ça m’a fait sourire. En outre, on y ressent l’amour des mots et de la langue française de la part de l’auteur.



Les thèmes abordés y sont variés, mais j’ai particulièrement apprécié ceux relatifs au quotidien comme ‘Scène de métro’, ‘Innovation’ ou ‘Attente à la caisse un après-midi de printemps en banlieue’. Côté rimes, l’exercice de voir les mêmes séries de mots d’un sonnet à un autre était intéressant et amusant, mais peut-être un peu répétitif sur la longueur. Ce n’est pas un recueil à lire d’une traite, mais à découvrir petit à petit et la Postface était instructive et intéressante.



Merci à Pierre Thiry pour ce livre qui m’inciterait à m’intéresser davantage à la poésie.


Lien : http://raconte-moi.net/2015/..

Je n’ai pas du tout l’habitude de lire ce style de roman, je suis trop terre à terre pour lire ce genre de fiction, mais étonnamment, j’ai apprécié cette lecture, je n’irais pas jusqu’à dire que j’ai adoré, mais j’ai passé un très bon moment. Elle m’a fait retombé en enfance, je me suis revu entrain de lire Alice au pays des merveilles et autres contes merveilleux. Les personnages sont tous très.. intéressant je dirais. Mais j’ai surtout apprécié le chat noir qui ne fait que citer Jean de La fontaine...



La suite sur le blog !
Lien : http://lilipotdecolle.wordpr..

Ce recueil est une ode poétique, une parenthèse de sensibilité dans un monde où nous vivons toujours trop vite, sans savourer. Je découvre la plume de Pierre Thiry par ce recueil de trois nouvelles, agrémenté de trois sonnets et un triolet.

L’écriture est agréable, fluide et poétique. Les trois nouvelles sont agréables et vous mèneront dans des univers bien différents avec des sensibilités différentes. J’ai eu un énorme coup de cœur pour la dernière nouvelle. Drôle, fine, et terriblement originale.

Les trois nouvelles sont très courtes, pas d’excuse pour ne pas les découvrir, elles se lisent en un rien de temps et j’ai eu l’impression en tournant la dernière page que je venais à peine de le débuter.

Moi qui ne suit pas une grande fan de poésie, j’ai été touchée pour l’approche et par les sonnets et le triolets, qui sont très bien amenés. Ne craignez rien, n’ayez pas peur, lisez-le !! Ce recueil vous offre des textes riches en émotions où les mots sont posés délicatement pour apporter une jolie parenthèse.

Subjuguée par ce recueil de Nouvelles. Fascinée par l’univers si particulier de l’auteur, un enchantement à chaque fois. Mais j’ai surtout envie de m’attarder sur la première Nouvelle « Valse froide », où l’auteur y distille une poésie pure et glaçante, un tourbillon de sentiments. Un poète, un enchanteur qui nous déroule ce drame, si inéluctable, avec finesse, délicatesse mais avec une telle puissance !!
Lien : https://lespatchoulivresdeve..

La découverte de ce court recueil de Pierre Thiry m'a réjoui car il manie avec efficacité une plume onirique qui nous plonge dans des atmosphères forts différentes au sein des trois nouvelles.

Dans Valse froide tout d'abord, c'est une ambiance singulière et l'auteur arrive à nous donner envie de protéger cette petite fille dans la clairière tout en maîtrisant habilement la tension dramatique qui augmente au fil des pages. Une nouvelle très intéressante qui nous interroge sur le deuil, le pardon, la vengeance.

Dans Lia Métonymie, c'est, outre le cadre à Clermont-Ferrand au début de la nouvelle qui m'a plu, pour moi une métaphore sur le pouvoir des livres. Certains écrits nous poussent à nous dépasser, à surmonter nos peurs ou nos à priori, et j'ai trouvé que cette nouvelle, qui est plus du genre fantastique, en était un bel exemple.

Dans la dernière nouvelle, La Plume Rebelle, l'auteur nous entraîne aux côtés de ses personnages aux destinées tragiques. L'enchaînement est bien mené, avec cette Plume Rebelle comme fil conducteur, c'est très original. Une mention spéciale pour la note en bas de page, moi qui les lis toujours, j'ai particulièrement apprécié celle-ci !



L'originalité tient à la mise en parallèle des nouvelles avec les poèmes ou les sonnets qui les ont inspirés. Étant férue de poésie, j'ai beaucoup aimé ce rapport entre les deux formes d'écrit.



Une belle découverte d'un livre court et original !

Valse Froide est un recueil de 3 nouvelles, toutes aussi agréable à lire les unes que les autres. Il ne s'agit pas seulement de lire mais de se plonger dans une poésie aussi douce qu'agréable, si bien que le temps d'une lecture on oublie tout ce qui se passe autour. Tantôt drôle, tantôt mélancolique, mais particulièrement touchante, la plume de l'auteur est très agréable à lire et le format idéal pour emporter ce recueil partout avec vous. Je n'ai pas forcément l'habitude de ce genre de lecture, mais je dois avouer que cela me donne envie de m'y plonger plus souvent. Pourtant les nouvelles ont tendance à me laisser sur ma faim, j'ai toujours envie d'en savoir plus. Seulement là cette lecture a comblé mes attentes, les mots sont justes et bien trouvés, ce n'est ni trop ni pas assez. Je ne saurais dire laquelle des 3 nouvelles j'ai préféré, toutes sont très différentes mais ont pour point commun d'être très bien écrites. Valse froide est la plus douce amère, Lia Métonymie la plus légère et la Plume rebelle la plus surprenante. Vous pourrez également découvrir quelques sonnets au travers ce recueil, également agréable à lire.



Je ne saurais que vous conseiller cette lecture, ne serait-ce que pour vous offrir un petit moment hors du temps.



Ps : S'il y a parmi vous des amateurs de notes de bas de page c'est que définitivement ce recueil est fait pour vous, à défaut peut-être pourra t-il vous réconcilier avec ce type de référence.

3 nouvelles. 3 styles différents. "Valse froide" nous emmène dans la tête d'une fille de 4 ans dont le père a été tué. "Léa Métonymie" est une nouvelle plus imagée où un homme suit une jeune femme dans un jardin. Enfin, "La Plume Rebelle" nous conte l'histoire d'une plume d'un coq un peu particulier...

***

Pierre Thiry a une plume très poétique, sans avoir le côté pompeux que peuvent avoir quelques écrivains poétiques. À travers ses images, tout est clair et on entre facilement dans la tête de ses personnages



Un petit livre de 3 nouvelles qui nous emmène dans un tourbillon de notes : à travers ses images liés à la musique classique, "Valse froide" montre tout le talent de l'écrivain autant pour les nouvelles, que pour les poèmes ou encore les sonnets. Si vous aimez voyager dans un monde nouveau, je vous invite à découvrir ce petit recueil.

Mention spécial à la nouvelle "La Plume Rebelle" que j'ai adorée
Lien : https://www.instagram.com/p/..

Bonjour amis lecteurs,

Je remercie chaleureusement Pierre Thiry pour l’envoi de son livre dédicacé : « Valse froide »

Une très belle découverte que ce recueil composé de trois nouvelles se terminant par des sonnets. L’auteur nous entraîne avec brio dans un triptyque improbable. La première aventure, “Valse froide” est bouleversante et m’a séduite par la musicalité de son rythme. “Lia Métonymie” et “La plume Rebelle” recèlent des facettes inattendues. Des univers différents, beaucoup d’émotions, de tristesse, d’imagination, des mots qui donnent envie de créer, de sculpter, de voyager, d’être heureux, amoureux, de sourire , rêver et surtout envie d’écrire. L’auteur est un magicien, un artiste qui jongle avec les mots, use d’une plume brillante, talentueuse, poétique, délicate et sensible. Un merveilleux moment de lecture à savourer lentement sur fond  de symphonie fantastique de Berlioz.

Passionné des mots et auteur prolifique, Pierre Thiry réussit également l'exploit de rendre la poésie accessible, en rencontrant directement le public par une lecture régulière de ses textes sur les réseaux sociaux. Ainsi, le poète met-il en voix ses trouvailles nées d'une imagination foisonnante sans cesse renouvelée.

L'an dernier, le musicien Jean-Marc Quillet préfaçait le recueil de poésie Termine au logis avec ces mots : « les rondeaux d'été font du bien en toute saison ». Début 2021, est paru Ce voyage sera-t-il mélodieux ?, rassemblant cent sept rondeaux et vingt haïkus, cette fois préfacé par l'agrégée de lettres Odile Dinand. Les habitués verront là une notable innovation, car, après les sonnets et les rondeaux, le poète s'essaie maintenant à l'art raffiné du haïku, oui, vous savez, ces poèmes d'origine japonaise d'une extrême concision qui se plaisent à cueillir la saveur du moment.



Toutes les créations de ce nouvel opus présentées chronologiquement proviennent d'émotions, de lectures et autres coups de coeur. Parmi de belles surprises, on y croise des oiseaux, une comtesse à Venise, un homme paysage, un automate, un zèbre chantant de travers et même un chat briguant une élection. Il ne manquait plus que ça ! Comme le titre de l'ouvrage le laisse supposer, la grande musique aura, elle aussi, droit au chapitre, avec les incursions des compositeurs Purcell, Mozart, Bach et Debussy. Inséparable de la musique, la danse sera aussi de la fête, tout comme ce que les envies d'évasion et de voyages peuvent inspirer. Et, il y a fort à parier, que ce feu créatif s'harmonise à merveille avec l'univers musical. Et puis, comme toute belle mélodie ne saurait se passer des auspices de Cupidon, celui-ci fera donc également son apparition. Preuve qu'on s'amuse beaucoup au fil de ces pages : on suivra même de très près les aventures d'un facétieux Rubik's cube. En gardant toujours en tête une jolie petite musique qui, elle, aura pour vertu de calmer les nerfs !



Notons par ailleurs qu'avec une dizaine de livres dans sa bibliographie, cette nouvelle publication fait écho aux ateliers d'écriture que Pierre Thiry anime régulièrement à Rouen et sa périphérie.



✒️Pour en savoir plus sur l'univers de Pierre Thiry :



Cf. Merci pour vos visites sur mon blog : chroniques du 15 février 2020 sur le premier opus de la trilogie des « Sansonnets », intitulé Sansonnets, un cygne à l'envers – Cent sonnets insignes allant vers ; du 22 septembre 2020 à propos du recueil Sois danse au vent, composé de quatre-Vingt-dix sonnets et quinze rondeaux et du 6 novembre 2020 Termine au logis.



Profil Instagram de l'auteur sous le hashtag #UnJourUnRondeau @ThiryPierre, chaîne Youtube et site Internet http://www.pierre-thiry.fr
Lien : http://scambiculturali.over-..

Notamment connu et reconnu pour son étonnante trilogie des Sansonnets, l’écrivain et poète Pierre Thiry a publié en 2020 le recueil de quatre-Vingt-dix sonnets et quinze rondeaux intitulé « Sois danse au vent ». Ce passionné, cet « écriveur » comme il se qualifie lui-même a créé ce néologisme, né des mots « écrivain » et « chercheur », pour exprimer toute la passion qui l’anime. Comme d’autres en effet recherchent l’or avec avidité, lui a une soif de l’écrit rare et précieux. C’est aussi pour quoi il cherche régulièrement à partager toute sa ferveur pour les mots bien ciselés dans ses ateliers d’écriture.



L’auteur nous a enchantés tout l’été avec la mise en voix de sa poésie diffusée sur différentes plateformes d’expression d’Internet et ce n’est pas sans émotion qu’en ce premier jour d’automne, je publie une chronique sur ce recueil qui, d’une certaine façon, retrace une tranche de vie de cette drôle d’année Vingt. On trouve d’ailleurs là l’explication du « V » majuscule dans le nombre « quatre-Vingt-dix ».



Celui qui entreprend d’écrire capte en un sens l’air du temps. Et bien malin qui aurait pu prévoir comment un jour un affreux Virus fait tout Vaciller. Envers et contre tout, on voit comment le poète conserve sa force de vie dans une farouche volonté de vaincre l’adversité.

Entrer dans l’univers de Pierre Thiry est une expérience unique, un peu comme ouvrir sa fenêtre sur un matin lumineux pour surprendre un éléphant en train de descendre du ciel en parapluie. Une impression à la fois fascinante et déroutante, soyez-en sûrs. C’est en tout cas la première image qui me traverse l’esprit, mais il y en a bien d’autres et selon sa sensibilité chacun trouvera la sienne.



Le poète, lui, se fait clairvoyant dans son « Sois danse au vent » qui donne son titre au recueil, à d’autres moments, « Le prochain épisode », « La prochaine aventure », il célèbre la joie de toute création artistique tout en soulignant les doutes, les errements qui peuvent aussi la parcourir, mais quoi qu’il en soit, il finit toujours par nous emporter dans le tourbillon de la vie car « La vie va » au rythme d’une chatoyante samba...



Même si chaque poème est en soi un petit joyau, j’ai pour ma part eu un véritable coup de cœur pour le sonnet « Lueur Fugace ». Comme il y en a quatre-vingt-dix, vous trouverez sûrement le vôtre. Les quinze rondeaux aussi valent le détour.






Lien : http://scambiculturali.over-..

La Princesse Elodie de Zèbrazur est une gentille princesse qui, comme toutes les princesses, aime être jolie et bien habillée. Elle vit dans un beau château entre la mer et la forêt, avec pour compagnie Madame Brichard et Augustin, un gentil chien. Mais Augustin n'est pas un chien comme les autres car il ne fait que des bêtises. Ah oui vraiment, Augustin est un chien qui fait n'importe quoi. Un petit chien tout fou, en somme... Mais entre Madame Brichard, l'intendante qui ne vit que pour ranger et nettoyer le château, et la Princesse Elodie, aimante, câline et qui lui laisse faire un peu n'importe quoi, il est difficile de trouver sa place... Cependant, pour grandir et découvrir qu'on ne peut pas toujours faire n'importe quoi, il faut faire ses propres expériences, parfois même au prix de grosses frayeurs...



Paroles d'enfants, de pré-adolescent et d'adulte



A. (6,5 ans) : Un sourire éclaire son visage lorsqu'elle lit le titre : "J'ai hâte de découvrir les bêtises du chien Augustin!"  "Oooohhhhh des dessins à colorier!" "C'est normal qu'Augustin fasse encore des bêtises, il est trop petit, il apprend! Mais il faut qu'il apprenne vite parce qu'il va se faire gronder sinon!" "Elodie et Madame Brichard c'est comme ses parents qui lui font découvrir des choses, qui supportent ses bêtises, qui réparent ses bêtises et qui le grondent."  "Moi, j'aimerais être la sirène parce qu'elle vit à la mer et c'est elle la plus forte. Elle calme tout le monde avec sa musique et n'a pas besoin de gronder. Et puis elle a un drôle de cheval."



T. (9,5 ans) : "Ce petit chien est vraiment comme un enfant et il ne sait pas encore ce qui se fait et ce qui ne se fait pas." "Il ne faut pas le disputer trop fort mais le surveiller et lui dire non quand il fait trop n'importe quoi." "J'adore la nature, c'est joli et une sirène qui chante et qui vole sur un hippocampe, même si ça n'existe pas, ça fait rêver." "Moi aussi, quand j'étais petit je me suis fait pincer par un crabe? Ca doit faire mal!"



R. (11,5 ans) : "C'est joli, c'est doux, les dessins sont bien faits. Ils me font penser aux vieux dessins animés avec Mickey" "C'est comme dans les livres que tu me lisais, il y a plein de répétitions. On sait qu'Augustin fait n'importe quoi et que la Princesse est Elodie de Zèbrazur, on ne risque pas de l'oublier!" "C'est poétique le chant des vagues et des coquillages. C'est vrai que ça apaise d'être au bord de la mer..."



Mes petites critiques littéraires (39 ans) : Je me suis endormie hier après avoir lu ce conte et je me suis surprise à ressentir les mêmes sensations qui m'envahissaient, enfant, quand ma mère me lisait une histoire le soir, au coucher. On s'endort avec la tête pleine de poésie, de douceur mais aussi de rêves et d'espoir. On sourit en lisant les (mes)aventures de la Princesse Elodie de Zèbrazur et d'Augustin le chien qui faisait n'importe quoi. Mais il serait réducteur de n'y voir qu'un simple enchaînement de péripéties. Ce conte est bien plus profond qu'il n'y paraît tant il remet en perspective l'importance de la bienveillance, de la patience, de l'écoute, de l'observation, de l'apprentissage. Il est à lui seul l'éloge de la lenteur... Prendre le temps de faire des bêtises, de grandir, de se croire invincible pour se rendre compte qu'il n'en est rien, d'observer la faune, la flore, d'apprendre à écouter la musique de la nature. Car c'est en restant connecté à cette nature fragile et délicate que nous parvenons à trouver notre place, que nous apprenons le respect et que nous laissons la poésie nous envahir.



Un merveilleux conte qui allie poésie et humour. Le vocabulaire y est recherché et la syntaxe, bien que simple, met au défi la compréhension de nos petites têtes blondes. Le texte est riche, les phrases sont longues. Enfin un livre pour enfants qui les pousse vers le haut!!! Les illustrations en couleur s'alternent avec les illustrations en noir et blanc, donnant irrémédiablement envie aux jeunes lecteurs de se replonger dans le conte et de se l'approprier à grand renfort de crayons de couleur. Une très belle collaboration entre un amoureux des mots, Pierre Thiry et deux amoureux des traits, Samar et Hani Khzam.



Un immense merci à Pierre Thiry de m'avoir envoyé ce merveilleux conte qui, une fois n'est pas coutume, trouvera sa place autant dans une bibliothèque d'enfant que dans une bibliothèque d'adulte.
Lien : https://mespetitescritiquesl..

Quel long titre pour ce conte! Mais on le sait, Pierre Thiry aime les mots! Et au moins, dès le titre, ma fille, avec qui j'ai lu le livre, rigolait: un chien qui fait n'importe quoi? Voilà qui promet d'être drôle!

L'auteur offre un conte ravissant et amusant dans lequel la princesse Zébrazur partage son temps entre une gouvernante obsédée par le rangement et un chien en total opposition, complètement farfelu. Faut-il toujours tout soigneusement ranger, au point de ne jamais vraiment pouvoir jouer? Ou bien faut-il profiter librement et laisser libre-court à son imagination, ses rêves? La princesse de Zébrazur oscille entre les deux, comme beaucoup d'enfants...ou plutôt de parents!

Le livre en lui-même est super car, toujours dans l'optique de laisser les enfants s'approprier l'histoire (et le livre), certaines pages sont laissées en noir et blanc et peuvent ainsi être coloriées!

Un grand merci à pierre Thiry qui a gentiment dédicacé son livre à ma fille, quel beau cadeau!

Il se passe de drôles de choses dans le château où vivent la princesse Elodie de Zèbrazur et Augustin le chien. Madame Brichard aime que tout soit rangé. Mais alors c'est sans compter sur Augustin le chien qui fait n'importe quoi ! Et la princesse Elodie le trouve tellement rigolo.



Ce joli conte illustré est tendre, très amusant et ludique. La police d'écriture se prête parfaitement aux apprentis et jeunes lecteurs et les illustrations font bien vivre le récit.



Ainsi, les textes de Pierre Thiry, les dessins de Hani, le graphisme et la mise en scène de Samar ont donné naissance à un très joli conte divertissant et bien illustré. Et les noms farfelus des personnages reflètent bien l'univers loufoque des écrits de l'auteur ce que j'ai apprécié aussi.



De plus, l'auteur, Pierre Thiry, laisse entrevoir que cet album pourrait être le début d'une série des aventures de la princesse Elodie et de son chien Augustin et je trouve que ce serait une très bonne idée. Je vous invite donc à découvrir cette histoire en famille pour votre plus grand plaisir et celui de vos enfants.
Lien : http://larubriquedolivia.ove..

Aujourd'hui, accrochez-vous bien puisque c'est chose rare et exceptionnelle, je vais vous parler d'un recueil de sonnets, ou poèmes, en fait non car ce sont des sonnets.





Je ne lis pas beaucoup de recueils de ce genre car à part Le parti pris des choses de Francis Ponge que j'adore. En général je n'accroche pas trop. Faut croire que malgré mon côté fleur bleue, je n'ai pas une âme poétique ! Mais j'ai voulu tenter l'expérience... Et ça a fonctionné ! Bon je vous avoue que ce n'est toujours pas ce que je préfère lire, mais j'ai pris beaucoup de plaisir à lire ces cent petits sonnets !



Je n'ai pas eu autant de plaisir pour chacun mais je vais vous résumer brièvement mon ressenti.

Je trouve que l'auteur est très talentueux, rédiger des sonnets est déjà une chose peu aisée, mais il complexifie cet exercice avec des particularités qu'il sème çà et là.



J'ai donc particulièrement aimé les sansonnets 9 à 14, je pense que ça a du être très difficile à réaliser, mais l'auteur ne manque pas d'inspiration ni de ressource !



Les 97, 98 et 99 ont eux aussi une particularité bien sympathiques, c'est le genre de chose que j'adore, je ne sais pas si ça a un nom mais c'était une bonne idée j'ai trouvé.



Plusieurs poèmes m'ont fait sourire notamment le 38, certains m'ont fait rire comme le 16, d'autres ont touché en moi quelque chose que je ne saurais citer comme le 39 et le 100ème.



Je pense qu'on devrait absolument mettre ce recueil entre les mains de professeurs de français, qui j'en suis sûre s'amuseraient à décortiquer jusqu'au moindre vers avec leurs élèves !



Pour finir, j'ai deux choses à dire, c'est vrai que ça donne envie d'écrire ses propres sonnets et pourtant je ne me suis pas ennuyée une seule seconde en lisant ceux-ci !


Lien : http://lalecturedeslivres.bl..

J'avoue qu'à la base, je ne suis pas spécialement fan de poésie. Ce n'est pas ça qui m'attire le plus, mais faut dire aussi que ça me rappelle énormément l'école où il fallait se mettre debout devant la classe pour réciter sa poésie apprit deux jours avant. J'avais tout simplement HORREUR de ça. Pourtant, j'ai accepté de lire Sansonnets de Pierre Thiry.



Je me suis tout de même renseignée pour connaitre la différence entre un sonnet et une poésie. J'ai donc appris qu'un sonnet est une poésie fixe avec 14 vers. Pas un de plus. Du coup, en 14 vers, le poète doit nous faire vibrer sans rajouter une ligne. Grosso modo.



Et à ma plus grande surprise, les ami (e)s, je suis restée scotchée sur les textes en prenant tout mon temps pour savourer le contenu. J'ai vu mon sourire s'étirer sur certains sonnets en me disant que l'auteur avait une sacrée belle plume.



Sansonnets, c'est un voyage à travers les mots, des phrases, un ressenti, une émotion, une pensée, un souvenir, un regard... Ce livre me fait penser un peu à un slameur ou un rappeur conscient à texte, un peu dans le style d'un Kerry James, grand corps malade ou même d'un Charles Aznavour. Pierre Thiry a cette même plume que je retrouve chez eux, du coup, me donne envie de lire ces autres livres.



J'ai savouré Sansonnets, sincèrement. C'est tout un assemblage de mots comme un puzzle qui prend forme devant nos yeux. Ravie de voir le résultat. Ravie de tourner les pages pour découvrir d'autres textes parfois farfelus et d'autres un peu plus poétiques. L'auteur rajoute en plus à la fin du livre, des références, des explications pour nous permettre de mieux comprendre sa façon d'écrire. Merci.



En conclusion :

C'est une très belle découverte au niveau de cette poésie mais aussi de l'auteur. Je recommande !!

J'aime la poésie et j'en écris parfois, pour autant c'est la première fois que je vais chroniquer autre chose qu'un roman.

Merci à l'auteur Pierre Thiry

pour m'avoir permis de découvrir ce livre de recueil sublime

Dès la première page on sait que l'on va être transporté dans un monde magique , une monde où les mots s’entremêlent pour nous chanter la plus douce des musiques.

1 mois c'est le délai que j'ai demandé à l'auteur pour découvrir ce livre en l'informant que se serait peut être moins. parce qu'un recueil de poésie ne se lit pas non plus comme un roman Pour autant j'ai vite compris que ce recueil se laisserait dévorer en 2 temps 3 mouvements . Mais j'ai vite découvert que cette lecture il fallait la savourer, laisser les mots glisser sous la langue pour en apprécier toutes les flagrances.

Chaque sonnet est un bonbon. Un bonbon surprise.

Chaque mot possède un sens et un autre tout à la fois, à chacun de découvrir lequel, celui qu'il entend. C'est pourquoi ces 100 sonnets sont magiques , c'est féérique, léger .

Un bel univers de jeu de mots, et ce fut un grand plaisir de plonger dans de la poésie pour changer un peu.

je devrais peut être choisir mon sonnet préféré, mais à vrai dire j'ai du mal

je ne peux dire non plus que je les aimés tous, non évidemment, certains m'ont laissée indifférente, et j'en ai survolé d'autres, sur 100 sonnets,celui qui me dirait qu'il les as tous appréciés je ne le croirais pas

Vous dire lesquels, j'aurais du mal , "sansonnets " à retenir ce n'est pas si facile

mais force est de reconnaitre le talent de l'auteur, avec parfois sans rimes ni raison,sait bien faire résonner les mots

Vous n'y connaissez rien en poésie ?

Pour vous c'est un genre litteraire qui vous dépasse ?

La poésie c'est ringard et vous ne connaissez que Rimbaud , Baudelaire... et tous ces classiques scolaires?

alors quant à savoir ce qu'est un sonnet !

Vous connaissez celui là c'est sur :

Quand vous serez bien veille
Lien : http://missneferlectures.ekl..

Pour commencer, je tiens à remercier chaleureusement Pierre Thiry. J’ai reçu ce joli recueil de sonnets par l’intermédiaire d’un service de presse. En ce moment, vous l’avez peut-être remarqué, j’ai envie de m’aventurer vers des genres littéraires que je connais finalement trop peu. La poésie (et donc le poème sous forme de sonnets) en fait partie. J’ai souvent peur de ne pas accrocher. Peur de m’ennuyer. Pourtant, lorsque je suis tombée sur la couverture de ce livre, le jeu de mots m’a tout de suite fait sourire. De même, si je me représentais le sonnet comme étant une forme poétique datée, poussiéreuse (j’en suis désolée, c’est donc qu’il était vraiment temps que je me réconcilie avec la poésie), j’ai été intriguée par l’idée d’un mélange entre sonnets et scènes de la vie quotidienne. J’avais alors une chance de peut-être accrocher… Et donc est-ce que j’ai aimé ? Un grand oui. Pour moi, ce recueil constitue un hommage à la beauté de la langue française. On ressent combien son auteur prend plaisir à jouer avec les mots, les sonorités, à créer moult allitérations. Je serais incapable d’en faire autant, mais j’ai apprécié le voyage (ce qui n’est déjà pas si mal).



Sur les cent sonnets qui constituent ce recueil, j’ai bien sûr été sensible à certains, moins à d’autres. Certains m’ont fait sourire, j’ai passé plus rapidement sur les autres. Je pense surtout avoir apprécié les scènes faisant écho à la vie réelle. A travers les sonnets, le lecteur se retrouve ainsi tour à tour dans la file d’attente d’une caisse de supermarché, à l’arrêt de bus et sans parapluie alors même qu’il pleut à torrent, dans le métro ou encore… en Italie, accompagné de quelques gondoles. J’ai trouvé ça plutôt rigolo. De même que j’ai apprécié l’effort de création de plusieurs petits personnages, comme le Señor Sonéklacique ou encore Sam le chauffard. A savoir que nos amies les bêtes ne sont pas non plus en reste : nous pouvons ainsi y croiser un cheval, une taupe, une grenouille et même quelques fourmis.



Pour ce qui est maintenant du travail autour des sonorités, j’y ai été on ne peut plus sensible. Certaines rimes peuvent parfois nous sembler faciles ou répétitives, pourtant chaque sonnet réussit à posséder un univers qui lui est propre. Ce qui en soi constitue quand même un certain tour de force.



En bref, j’ai passé un bon moment en compagnie de ce recueil. Il peut tout à fait se lire d’une traite, ou au contraire par petits bouts / dans le désordre. Je le conseille aux amoureux de la langue française, à tous ceux qui apprécient l’humoriste Raymond Devos (qui lui aussi sait manier les mots avec brio) mais également aux personnes qui souhaitent se réconcilier avec la poésie. En tout cas, ça a marché pour moi !



Je ne connaissais pas du tout les écrits de Pierre Thiry. Je compte maintenant le découvrir très vite à travers le registre du roman.
Lien : http://labibliothequedebened..

Après Ramsès au pays des points-virgules et Isidore Tiperanole et les trois lapins de Montceau-les-Mines, voilà le troisième livre de l’auteur et troisième livre que j’ai la chance de découvrir. Mais que se cache derrière ce nouveau titre à rallonge ?

Alors que les deux premiers étaient plutôt destinés aux plus jeunes lecteurs (le deuxième étant illustré, qui plus est) même si les adultes pouvaient parfaitement y trouver leur compte, Le Mystère du Pont Gustave Flaubert est définitivement destiné aux lecteurs adultes et aguerris, à mon sens. Plus long et plus complexe, il mérite une approche différente. Cependant, on retrouve une nouvelle fois ce qui a fait et fait le succès de Pierre Thiry : un style particulier, des jeux de mots en veux-tu en voilà et toujours tout un tas de références culturelles extérieures.



J’ai cru voir un avis positif chez Méloë et un avis désappointé chez Mina. De mon côté, j’ai pris du plaisir à cette lecture mais comprends aussi la « déception » de Mina. Lorsqu’on lit la quatrième de couverture et lorsqu’on feuillette les premières pages, on pourrait croire, grâce à la mention « d’un détective privé », « d’un vélo volé » et « d’un opéra disparu », qu’on s’apprête à suivre une enquête policière. Alors certes, énigme il y a, curieuse énigme même, mais Pierre Thiry laisse vite celle-ci de côté pour partir vers d’autres horizons. Tout est évidemment intimement lié et l’intrigue « policière » reste en toile de fond, mais si vous vous attendez à lire une enquête à la Hercule Poirot, ouvrez plutôt un Agatha Christie.

Une fois passée cette légère déconvenue, j’ai pris énormément de plaisir à lire les nombreuses digressions de l’auteur. Dans ce troisième livre publié, Pierre Thiry rend hommage à un célèbre auteur (je pense que vous devinez lequel) mais également à sa ville, Rouen. De Gustave Flaubert, je ne connais que Madame Bovary que j’ai lu deux fois et apprécié lors de ces deux lectures. De Rouen, c’est bien simple, je ne connais absolument rien. C’est donc avec énormément de curiosité que je tournais les pages du Mystère du Pont Gustave Flaubert, avide de découvrir de nouvelles anecdotes sur l’un et sur l’autre. Je suis sortie de ma lecture repue (peut-être même avec une légère indigestion… il faut le temps de tout assimiler) et bien décidée à lire d’autres ouvrages de Gustave Flaubert, auteur que je ne verrai sans doute plus jamais de la même façon (j’avais uniquement en tête avant cette lecture, le célèbre portrait de trois-quarts de l’auteur, un peu rond et possédant une grosse moustache).

Je comprends parfaitement que cette affluence d’informations et surtout, leurs apparitions assez peu linéaires dans le texte, puissent déstabiliser certains lecteurs. J’ai parfois eu du mal à me « placer » dans le texte, ne sachant plus quelle était l’action présente et dans quel contexte se plaçait l’anecdote en cours. Le Mystère du Pont Gustave Flaubert demande une lecture assez concentrée tant elle regorge de petites choses. Je suis persuadée, à l’instar de Méloë, que je suis passée à côté de nombreuses citations et références littéraires (et culturelles en général) et me ferai donc un plaisir, dans quelques années, lorsque j’aurai lu d’autres œuvres de Flaubert et aurai une plus grande maturité, de relire ce fameux Mystère… je suis sûre que j’en ressortirai avec des sentiments différents et retirerai d’autres choses de ce titre.



Je félicite Pierre Thiry qui a réussi à insérer des passages plus ou moins longs de l’œuvre de Flaubert dans son propre texte et à le faire bien. Ce n’est pas lourd et ne paraît pas « artificiel ». On sent ainsi tout le travail qui se cache derrière le Mystère du Pont Gustave Flaubert et les nombreuses connaissances ayant servi à la rédaction de celui-ci. Monsieur Thiry est un passionné, c’est palpable et communicatif. Je l’ai déjà dit, mais c’est évident, je vais me lancer sérieusement dans la découverte de l’œuvre du Papa d’Emma Bovary !

Outre ces nombreuses citations Flaubertiennes bien agréables à parcourir, l’on retrouve le style de Pierre Thiry, toujours généreux en jeux de mots et en musicalité. L’auteur travaille la forme. Entre mes lectures souvent plus « Young adult » et donc, malheureusement souvent plus « simplistes » (du moins dans la forme), c’est agréable de lire un auteur qui prend soin de la langue française et joue avec elle.



Un dernier mot pour remercier l’auteur, non seulement de me permettre de découvrir ses livres, de me faire passer un bon moment à chaque fois, mais également pour le remercier de sa gentillesse, de sa disponibilité et du clin d’œil qu’il a fait au Bazar de la Littérature (entre autre) dans ce Mystère du Pont Gustave Flaubert !





Tout d’abord légèrement désappointée par le chemin pris par l’intrigue (car je m’attendais à une enquête policière), j’ai ensuite pris énormément de plaisir à découvrir les nombreuses anecdotes et références littéraires, musicales et historiques laissées par Pierre Thiry. Le Mystère du Pont Gustave Flaubert m’a divertie mais m’a surtout beaucoup appris. Grâce à cette lecture, j’ai une furieuse envie de m’atteler à l’œuvre de Flaubert… la preuve que ce dernier-né de Monsieur Thiry a un impact, et un bon !
Lien : http://bazardelalitterature...

Deux amoureux qui embarquent à bord d'un luxueux

voilier, un R.O.M.A.N; Le Polycarpe arpenteur..

Du coup ? ... (Oserais-je dire ?) Non ! Cette formule est une tare absolue 😉

Nous savons que dans la vie, rien ne se déroule

comme prévu. Alors,

de voyages en naufrage, de poésies en musiques,

d'enchevêtrements en dénouements vertigineux,

l'auteur nous transporte, nous emporte avec une

habilitée qui fait danser les mots

Une histoire remarquable, tellement riche de

références ! Mais il m'a fallu quelques recherches en parallèle pour en apprécier toute sa subtilité ainsi que la complexité et la

richesse de la langue française

Somptueuse, majestueuse, grandiose plume

poétique!

Coup de cœur pour le chapitre 1 !! Je conseille ce

livre à tous ne serait-ce que pour la magie poétique de ce chapitre!