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Critiques de Pierre Vergeat (32)
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La voix des disparus

Bonjour ,

C’est en tant que membre du jury du Prix des Auteurs Inconnus, catégorie Littérature Noire que je vous propose aujourd’hui le livre de Pierre Vergeat: « La voix des disparus » qui fait partie des cinq livres finalistes. Attendez-vous à affronter un thriller complexe, entouré d’une atmosphère troublante et oppressante. L’auteur nous emmène dans un village où de sombres mystères entourant disparitions et découverte d’un squelette n’ont jamais été élucidés. Une adolescente manque à l’appel et l’enquête reprend. Le personnage principal est peu attachant, dérangeant par son manque de discernement et par ses erreurs accumulées. L’intrigue est bien ficelée, rythmée, aux rebondissements multiples et au final imprévisible. Je déplore toutefois quelques maladresses mais au final j’ai passé un bon moment de lecture.



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L'homme de la cave

Mais c'est quoi ce livre ? Impossible d'aller plus loin dans ma lecture… Pourtant, tout avait bien commencé. Première prise de contact avec une couverture bien léchée qui m'a attiré l'oeil. Ensuite, prise de connaissance de l'intrigue qui m'avait l'air pas mal du tout.



En 2018, Albin Duval, criminologue expert en infanticides, revient dans le village de son enfance à Montmal, dans le sud de la France, pour l'enterrement de son père. Il avait coupé tout contact avec ce dernier depuis 20 ans. Il est accueilli par son oncle, Henry Petit, ancien collègue et ami de son père. Les deux hommes travaillaient ensemble à l'OPJ de Montmal. Durant son court séjour à Montmal, le meurtre abominable d'un enfant vient bouleverser le court des choses. Ce crime rappelle en effet ceux perpétrés il y a 30 ans sur des enfants de la commune, sans que jamais le meurtrier ne soit découvert. Parmi les victimes figurait également la mère d'Albin, la seule adulte.



C'est indéniable, Pierre Vergeat a l'art de raconter des histoires. La narration est fluide et rythmée, et les personnages nous deviennent très vite familiers. L'intrigue se met rapidement en place, on plonge dans un thriller qui procure des frissons et de l'horreur face aux meurtres bien gores qui ne sont pas sans rappeler ce que l'on peut trouver chez F. Thilliez. Et puis brusquement, on plonge dans le fantastique. Notre personnage principal, Albin, passe dans une boucle temporelle et le voilà revenu en 1988, à l'époque où les premiers meurtres d'enfants sont perpétrés - je ne spoile rien, cela se passe dès le début. Alors là, premier hoquet mais pourquoi pas ? Si ça tient la route ensuite… Problème, cela ne tient pas la route quand on voit la réaction des personnages imaginée par l'auteur. Notre Albin, il est un peu estomaqué de se retrouver face à son père de 40 ans toujours flic et face à sa mère encore bien vivante. Mais il ne se pose pas plus de questions que ça... Pourquoi ne pas en profiter pour résoudre l'affaire  de 1988 tant qu'on y est ? Donc pour moi, premier point noir mais cela reste un avis très personnel.

Ce qui m'a ensuite énormément gênée, ce sont les problèmes de syntaxe, les erreurs lexicales et les énormes fautes d'orthographe. J'ai cru au début que ma liseuse buggait - version numérique du livre- mais non. Un véritable florilège où certaines expressions devenaient très drôles à force de ne vouloir rien dire. le summum est tout de même de se tromper dans l'âge ou les liens entre les personnages.

Très sincèrement, je n'ai pas compris comment ce livre avait pu être édité en l'état. Autoédition sans doute ? Sinon Pierre Vergeat doit demander à son éditeur de le rembourser car ce dernier n'a pas fait son job.

J'ai la plume assassine mais c'est vraiment la première fois que je tombe sur un tel phénomène. C'est dommage, très dommage même pour l'auteur car vraiment, il me semble qu'il a beaucoup d'imagination et une façon de raconter les choses assez addictive. Mais très clairement, c'est ce que je considère comme un brouillon.

Pour toutes cs raisons, je n'irai pas recommander cet ouvrage.

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La voix des disparus

Sur le papier, il avait tout pour me plaire, mais je suis mitigée. L'ambiance est pesante, une légende qui persiste, des disparitions.... oui mais voilà, le manque d'empathie envers Eneko m'a gênée. J'avais envie de lui secouer les puces, il est moumou... même si on comprend pourquoi à la fin. A noter beaucoup d'incohérences aussi.



L''écriture est fluide et l'enquête intéressante, mais le fait que ce flic pas vraiment doué (il regarde les procédures comme s'il débarquait) m'a horripilée. Dommage car l'histoire est vraiment sympa et prenante.



A noter, j'adore le titre et la couverture et je voulais tout de même connaître la fin et heureusement car j'ai pris plus de plaisir au fil de ma lecture.
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La voix des disparus

C'est en tant que jurée du Prix des Auteurs Inconnus 2023, catégorie noire, que j'ai pu lire "La voix des disparus" de Pierre Vergeat. L'ambiance est sombre, mystérieuse, l'auteur a fort bien installé le décor de l'intrigue, sur un fond de légendes du Pays Basque. Le personnage principal est fort touchant, aussi. Toutefois ... de très nombreuses incohérences (Eneko est-il policier ou gendarme?) et des invraisemblances assez énormes m'ont trop souvent "sortie" de ma lecture. Déjà, l'incompétence absolue d'Eneko est terriblement caricaturale; d'accord, dans tout corps de métier, il existe des personnes peu douées, mais là? Ensuite, l'auteur bâtit son intrigue en huis clos alors que rien ne le justifie, le père de la disparue, médecin, fait office de légiste, la mère d'assistante du gendarme/policier, j'en passe un bon nombre d'autres. Certes, on peut admettre une certaine licence artistique, mais là, l'auteur y va nettement trop fort. Ajoutons aussi qu'une correction professionnelle serait bien indiquée, car il reste vraiment beaucoup de fautes d'orthographe, de grammaire, de syntaxe, qui nuisent à la fluidité de la lecture.

Bref, l'auteur semble avoir de bonnes idées d'intrigue, mais une recherche soigneuse de documentation (pour éviter de grossières invraisemblances) et une relecture/correction soignée seraient des atouts pour mettre son travail en valeur.



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La voix des disparus

L’auteur vous propose un polar avec une touche de sorcellerie.

*****

Je vous ai déjà parlé de Pierre Vergeat avec son précédent livre « l'homme de la cave » que j'avais beaucoup aimé. Il nous emmène cette fois à Cherchebruit, une ville dans laquelle tous les membres se connaissent et dont l’atmosphère semble oppressée par le mensonge et les secrets.

Ce qui est intéressant dans cette histoire, c’est l'ambiance qui règne dans cette ville de Cherchebruit. On s’y sent un peu isolés, à l'écart du monde. La forêt alentour et les légendes de sorcellerie ne vont pas davantage nous aider à nous y sentir en sécurité.

C'est pourtant là qu’a grandi Eneko l'un des personnages principaux. J'ai beaucoup aimé ce qui émane de cet homme, fragilisé par la disparition de son frère. Ce anti-héros va monter en puissance tout au long de l'intrigue.

Chacun des personnages est bien travaillé puisqu'ils ont tous une part de mystère, de blessure, de mensonge qui vont servir à l'intrigue. Cette dernière, très travaillée même si elle m’a semblé parfois un peu complexe, vous réserve son lot de surprises et de rebondissements. Certaines m’ont même donné le tournis tant j'ai ressenti l'horreur absolue.

Pierre Vergeat a su insuffler beaucoup de rythme à son histoire avec notamment l'alternance de la narration par différents personnages mais également grâce à de nombreuses révélations.

Malgré toutes les informations données, j'ai été bien incapable de deviner ce qui nous attendait dans les toutes dernières pages.

Au final, c'est encore un bon moment de lecture avec cet auteur à suivre.
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L'homme de la cave

Bonjour amis lecteurs,

Je remercie chaleureusement Pierre Vergeat pour l’envoi de son livre dédicacé : « L’homme de la cave ». J’ai adoré ce thriller fantastique à l’intrigue complexe, glauque, trépidante et aux multiples rebondissements. L’auteur nous embarque pour un voyage surprenant mais fort bien maîtrisé qui m’a tenue en apnée jusqu’au mot fin dans une atmosphère lourde et oppressante. Les personnages sont, pour certains, attachants, pour d’autres, déroutants et monstrueux. Je déplore quelques coquilles mais l’auteur a une écriture fluide et percutante et nous offre un thriller haletant mais aussi bouleversant quand il s”agit d’évoquer les sévices sexuels sur mineurs.

Une belle découverte et un twist final qui vaut le détour !



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La voix des disparus

Ce livre pour moi est une révélation, ayant jamais lu de livres de cet auteur je me suis lancé et je ne le regrette pas, on s'attache aux personnages, l'intrigue est bien ficelée, l'écriture est fluide, tout pour rendre addicte, je ne peux que vous le conseiller
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La voix des disparus

cela se passe au Pays Basque, entre sorcellerie et modernité. Une fois le décor planté, je n’ai pu m’empêcher de penser à la trilogie de l’auteure espagnole Dolorès Redondo… (bien sûr, les deux récits n’ont rien à voir, si ce n’est la sorcellerie) mais instinctivement j’ai fait le rapprochement…. Une atmosphère pesante, de non-dits en dissimulations, des enfants qui sont devenus des adultes marqués à vie… Qui hante les forêts avoisinantes ? dix-sept ans après les premiers enlèvements la Sorginak est-elle de retour pour sévir à nouveau ?

Eneko, (dont le frère a été enlevé en 2004 et jamais retrouvé), devenu policier au sein de cette brigade sur le point d’être démantelée, est chargé de l’enquête ; lui qu’un lourd passé de brimades paternelles traumatise depuis son enfance.

Coûte que coûte, il doit arriver à démêler cet imbroglio macabre et lorsque la vérité éclate, c’est la stupéfaction… L’atmosphère, tout au long du récit, est pesante… aucune étincelle de joie ou de bonheur… mais ce livre est addictif et tient le lecteur en haleine jusqu’au dénouement. J’ai beaucoup aimé !

Je retiens le nom de cet auteur qui a écrit deux autres romans.

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L'homme de la cave

5 étoiles

C'est la couverture qui m'a donné envie de lire ce polar, découvert par hasard, car je ne connaissais pas encore l'auteur et quelle superbe découverte !

*****

Ce livre est plein de belles surprises. A commencer par la couverture que je trouve sombre et prometteuse. Elle m'avait fait anticiper l'intrigue car mon imaginaire s'était emballé mais au fur et à mesure de ma lecture, je m'aperçois que je suis à mille lieux de ce que j'avais imaginé et l'histoire part dans une direction tout à fait surprenante et inattendue. Et là, premier bon point car j'adore être surprise lors d'une lecture et je peux vous assurer que Pierre Vergeat ose ! Pour vous mettre sur la voie, cette histoire m'a fait penser, sur certains points, à un vieux film que j'avais adoré « Fréquence interdite ». Mais attention, cette histoire est développée différemment.

L'auteur traite, en fond d'intrigue, de la peur, de la perversion, des stigmates liés à une souffrance passée et y mêle des actes menés pour combler une détresse immense qui en découle. Je reste volontairement vague sur le sujet car si je développe trop, vous risqueriez de comprendre et ce serait dommage car cette intrigue, très bien menée et développée, est vraiment une des forces de ce polar.

Les personnages quant à eux sont tous réussis. L'auteur arrive à les rendre attachants… et déroutants à la fois. J'ai l'impression que je peux accorder ma confiance à l'un d'eux puis la minute d'après, c'est le doute qui m'envahit ! Et c'est bien joué, je n'arrête pas de retourner ma veste tout au long du livre et l'auteur m'a bien mené en bateau. Pierre Vergeat arrive très bien à entretenir le mystère autour d'eux jusqu'au bout. Mes certitudes s'écroulent alors comme un château de cartes au moment des révélations finales qui me scotchent sur place.

Le style de l'auteur est fluide, prenant et je n'ai pas réussi à décrocher de ce livre avant la dernière page malgré les quelques petites coquilles qui restent encore et ce sera là le seul reproche que je ferai à cette histoire qui m'a littéralement surprise et transportée. Tout y est pour passer un excellent moment de lecture !

C'est le deuxième livre de Pierre Vergeat et je le classe désormais dans les auteurs à suivre tant son imagination et son style m'ont plu. Son premier livre « le dernier héros » sera bientôt en ma possession et je ne manquerai pas de vous en parler.
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La voix des disparus

« Les rumeurs, les ragots, les murmures ont creusé des sillons dans mon esprit, y ont planté une graine qui, en vingt ans, a eu tout le loisir d’étendre ses racines.

« Tu as tué ton frère ».

Je pensais que j’allais me régaler avec une intrigue mêlant légendes basques et disparitions inquiétantes dans une forêt. Mais c’était sans compter l’absence d’étude dans le milieu judiciaire, de la part de Mr Vergeat. Il ne faut pas confondre policier et gendarme. De plus, il y a tellement d’incohérences dans votre enquête menée par trois personnages incompétents que cela en devient risible. Quel dommage ! Le sujet est intéressant et il aurait pu faire un bon polar. Pour illustrer mes propos, votre pauvre Eneko qui est officier diplômé, doit aller chercher un guide dans de vieux cartons pour savoir comment analyser la scène du crime ! Je veux bien croire qu’il manque de confiance en lui, mais là, c’est quand même ridiculiser l’ensemble de la profession. C’est comme cela tout le long du livre, une absence de crédibilité à tous les niveaux. Certains chapitres n’ont aucun sens chronologique entre eux également. Bref, vous l’avez compris une histoire à reprendre et à retravailler en profondeur pour en tirer peut-être quelque chose d’intéressant.

Je l’ai découvert lors de la présélection pour le Prix du jury des Auteurs Inconnus et voici les liens :

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La voix des disparus

Avis plus mitigé pour ma part sur cet ouvrage qui semble avoir plu. Le style est bon, on tourne les pages sans mal, on a envie de continuer à lire, l'ambiance est plutôt rendue, mais en ce qui concerne le background policier, on y est clairement pas.

L'auteur a fait le choix audacieux de proposer un enquêteur novice qui bosse dans une petite ville ( village?) de campagne, n'a aucune expérience en matière d'enquête criminelle et n'a pas, mais alors pas du tout confiance en lui. Et de fait, il commet bourdes sur bourdes, certaines sont même trop grosses, même pour un novice : Le manque de vraisemblance est le gros point noir de ce roman et je ne parle même pas de la confusion durant tout le roman entre policier et gendarme !

Je ne suis pas hyper exigeante en matière de réalisme et vraisemblance. Les romans qui donnent trop de détails et se perdent dans les vrais procédures complexes de notre police et de notre justice m'ennuient, ils perdent le charme de la fiction, mais là la méconnaissance des éléments de base est flagrante et je trouve ça d'autant plus dommage qu'il y a des tas de ressorts scénaristiques qui auraient pu permettre ces libertés: l'enquête aurait pu être menée par une personne autre qu'un enquêteur officiel, la ville aurait pu être isolée par une tempête. Celle choisie par l'auteur n'en est clairement pas unie car un gendarme ou un policier a toujours plusieurs niveaux de hiérachie et pour une ville qui a déjà frappé l'inconscient collectif comme celle du roman, le procureur n'aurait jamais laissé un mec sans expérience sur l'affaire, surtout si comme l'auteur nous le dit souvent, il harcèle le capitaine pour avoir des résultats rapides.

En bref, l'auteur a du potentiel, on ne peut pas le nier, son histoire, malgré quelques incohérences est bien ficelée, mais il va falloir qu'il fasse un minimum de recherches sur le domaine qui l'intéresse s'il veut devenir un grand nom du polar.
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La voix des disparus

Lu dans le cadre du prix des auteurs inconnus.



Un avis mitigé même si j'ai dans l'ensemble passé une bien bon moment de lecture.

Car oui l'intrigue est prenante, le dénouement surprenant et l'ambiance anxiogène.

Mais il m'a fallu pour cela passer les premières choses qui m'ont franchement agacée.



Le policier qui finalement est un gendarme, qui enquête seul sur une disparition, aidé par les parents de la jeune fille !!

En plus il est vraiment pas qualifié, son chef aux abonnés absents.

Et ce qui m'a encore plus énervée alors que cela aurait pu être un angle intéressant, c'est son manque de légitimité.

Les autres tout le temps à le rabaisser, c'était limite insupportable.

Et sa mollesse m'a donné des envies de meurtres !



Heureusement, à un moment cela s'apaise et bien qu'un peu alambiquée et pas toujours crédible sur le fait qu'il enquête seul avec des civils, l'enquête est devenue captivante.



Il y a oui quelques fautes et maladresses mais ce n'est pas ce qui m'a empêché de poursuivre cette lecture d'autant plus que l'écriture est fluide.



Les personnages sont quand même bien travaillés, et évoluent ce qui n'était pas pour me déplaire.



J'ai aimé l'atmosphère générale avec les secrets des petits villages, les rumeurs, les marginaux.

Et l'intrigue est dans l'ensemble bien menée car c'est vraiment juste avant le dénouement que j'ai pensé à certaines clés de l'énigme.





Donc une lecture sympa et dynamique si l'on arrive à passer outre les bémols.



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La voix des disparus

J'ai lu ce roman en tant que jurée pour le prix des auteurs inconnus.



En 2004, dans le village de Cherchebruit, deux adolescents disparaissent tandis qu'on retrouve le squelette d'un enfant dans un tronc.

Dix-sept ans plus tard, une adolescente disparaît et la dernière fois qu'elle a été vue, c'est au tronc où avait été découvert le squelette.

Y a-t-il un lien entre ce squelette et toutes ces disparitions ? C'est ce qu'Eneko, gendarme mal aimé par son père et les habitants du village, va devoir découvrir.



Alors que le résumé était prometteur, je ressors de ma lecture très déçue.

Si l'intrigue en elle-même et les révélations à la fin sont intéressantes, les trop nombreuses incohérences m'ont complètement fait sortir de l'histoire et j'ai eu énormément de mal à terminer cette lecture.



Alors que dans le résumé, il est noté qu'Eneko est policier, il est gendarme et j'ai l'impression que l'auteur n'a vraiment fait aucune recherche sur le métier et les procédures.

Toutes ces incohérences nuisent à la crédibilité de l'histoire.

Pour ne citer que quelques incohérences, car elles s'enchaînent du début à la fin, on se retrouve avec un procureur qui harcèle pour avoir des résultats, mais qui laisse seulement un gendarme complètement incompétent sur l'affaire. Oui, Eneko ne connaît pas du tout son métier et qu'il a besoin d'emmener avec lui son manuel de procédure pour juste baliser la scène et chercher des indices.

On a également les parents de l'adolescente disparue qui vont collaborer sur l'affaire en étant présent lors des perquisitions chez les suspects...



Niveaux personnages, je ne me suis attaché à aucun. Mais je dois dire qu'ils évoluent au fil des pages. En personnage principal, l'auteur nous propose un gendarme qui ne connaît pas du tout son métier, qui n'a aucune confiance en lui et qui est méprisé par tout le monde. Ce personnage n'est pas spécialement crédible par le fait de son métier. Je comprends que l'auteur voulait certainement proposer un personnage atypique, mais là, ça ne fonctionne pas du tout.



En bref, un thriller qui n'a pas réussi à me convaincre. Je n'ai pas du tout apprécié les personnages et les nombreuses incohérences m'ont fait sortir de ma lecture à plusieurs reprises.
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Le dernier héros

Bonjour,



Voici un polar que je viens vous chroniquer en retour de lecture : "Le dernier Héros" de Pierre Vergeat en autoédition.



Dans une ruelle de Londres, le corps sans vie d'Oméga, un super-héros, est retrouvé étrangement mutilé. Les inspecteurs Ethan Epping et Larry Fox vont commencer à enquêter sur ce meurtre.



Mais très vite, un agent du MI5, Jackson Hungate, retire l'affaire aux agents pour s'en emparer afin d'étouffer l'histoire. Il est primordial que pour la population, le super-héros doit rester en vie.



Même le commissaire Jeryl Hussay n'a rien pu faire pour empêcher cela. C'était sans compter sur la ténacité de ses agents qui vont continuer de manière officieuse à chercher la vérité. Qui a pu tuer le super-héros Oméga ?



Excellent roman policier. On voyage de Londres jusqu'en Ukraine, on découvre les horreurs du passé qui ont provoquées des conséquences sans précédent. Des orphelins qui ont grandis dans un endroit aussi sinistre qu'angoissant.



En cherchant la vérité, les agents vont découvrir qui était vraiment ce héros, cet homme qui fait le bien autour de lui pour éviter d'avoir mal. Une sorte d'action de rédemption. Mais pourquoi ? il faut lire pour le savoir.



Ethan va aussi remettre son passé en question, les souvenirs qu'il a de son père, mort dans l'exercice de ses fonctions, va avoir de sérieuses répercussions sur sa vision de ce qu'est l'héroïsme. Son père est-il vraiment mort pour rien comme il le pense ? A vous de voir.



En tout cas, ce roman est passionnant. Il nous montre surtout que tous les héros ne sont pas forcément ceux que nous croyons, qu'il ne suffit pas d'être fort et indestructible pour accomplir l'impossible.

Chacun de nous peut devenir un héros en agissant à son niveau, selon son âme et conscience. Et tout cela sans porter de masque ni de cape ou de slip moulant sur des collants.



Bonne lecture amis lecteurs !
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Crever l'écran

Le roman "Crevé l'écran" présente une intrigue bien écrite et bien ficelée, offrant un point de vue intéressant à travers le personnage de Coco. Cependant, l'absence de trigger warnings pour le cannibalisme peut être problématique pour certains lecteurs. L'histoire aborde des sujets sensibles tels que le harcèlement, la grossophobie, la pédophilie et la violence domestique, suscitant des réflexions importantes. L'univers est ancré dans notre époque et l'ambiance est sombre, bien que certains rebondissements puissent manquer de logique. Malgré quelques réserves, le roman est globalement apprécié pour son style d'écriture original et son impact émotionnel.
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La voix des disparus

J'ai eu ce livre dans le cadre du Prix des Auteurs Inconnus 2023 catégorie Littérature Noire.



Ce livre s'ouvre sur une comptine pour enfant, mais pas une comptine enfantine, quelque chose de sombre.....et c'est là qu'est toute l'ambiance du livre. Un livre noir sur fond d'histoire de sorcière avec une atmosphère pesante et oppressante, un polar avec du suspens et son lot de mystère.



Les personnages qui peuplent ce lieu ont tous leurs petits secrets, et toutes les vérités ne semblent pas bonnes à dire.



Si par moment les aller-retours entre présent/passé, les nombreux personnages, la narration à la première personne (alors que chaque chapitre avait son propre protagoniste) et les descriptions un peu longues m'ont quelque peu perdu, je n'ai pas vu venir la fin que j'ai beaucoup apprécié.



Si vous aimez les enquêtes sur fond d'ésotérisme : cette histoire est faite pour vous.
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La voix des disparus

Etant membre du jury pour le Prix des Auteurs Inconnus 2023 dans la catégorie "Littérature Noire", j'ai eu le plaisir de découvrir le roman de Pierre Vergeat "La voix des disparus". Lors des pré-sélections, la couverture, bien sombre et du coup dans le thème de ce type de littérature, m'avait interpelée et j'avais donc hâte de découvrir ce roman.



L'auteur nous emmène dans un village où de sombres mystères entourant disparitions et découverte d'un squelette n'ont jamais été élucidés. Une adolescente manque à l'appel et l'enquête reprend. le personnage principal est peu attachant, dérangeant par son manque de discernement et par ses erreurs accumulées.



La lecture est agréable et fluide, en partie parce que chaque chapitre est raconté par un protagoniste différent. C'est un thriller complexe et chacun des personnages est plutôt bien travaillé et on s'attache à eux facilement, dans une atmosphère pesante et en toile de fond une légende persistante.



Pour ma part, j'ai aimé cette intrigue et l'enquête. Je n'ai d'ailleurs deviné qui était le coupable que tard dans ma lecture, ce qui est rare.



Un bon moment de lecture !
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La voix des disparus

Livre lu pour le prix des auteurs inconnus



Je ne savais pas à quoi m’attendre avec ce livre aux chroniques dithyrambiques. Je craignais un peu, mais suis tout de suite tombé sur un récit à la plume intéressante malgré ses quelques faiblesses.



Parce qu’en effet, c’est surtout la plume (et les légendes insérées dans le récit) qui donne sa saveur au roman. Bien que facile en terme de structure à quelques endroits, elle est très émotionnelle. Nous ne sommes pas dans un récit dans lequel l’enquêteur enquête et où quelques personnages sont intéressants et font l’histoire et que le meurtrier semble inatteignable. Le choix de l’auteur est de nous plonger dans la vie des personnages, dans leur passé, et dans tout ce qui fait d’eux ce qu’ils sont et leurs relations. Alors oui, Eneko est un peu lâche, Lionel un peu colérique et Amaya légèrement passive, mais à chaque personnage son explication, ses émotions.



Et j’avoue que je ne m’attendais pas à dévorer le récit si vite. La preuve que si : en à peine une journée, j’avais lu la moitié. J’ai beaucoup aimé ce type d’écriture émotionnelle, touchante, qui certes peux à des endroits paraître répétitive (notamment avec Lionel et son Soleil qui perdait de sa saveur en terme de phrase), voir nous rendre confus sur la temporalité, mais qui offre toute la diversité de personnages qui souffrent, évoluent, doivent faire avec une disparition mystérieuse et enquêter sur une sorcière mystérieuse.



À y réfléchir, il y a bien sûr quelques défauts de cohérence de récit, particulièrement sur la disparition de Loria, et quelques facilités. Mais et alors ? C’est ce que je me suis dit quand j’ai terminé ma lecture. On nous promet une histoire sombre, avec une légende de sorcière basque en fond, et des personnages tordus et tourneboulés. Et moi, j’ai sauté à pieds joints dedans. Il faut dire que l’auteur sait nous maintenir en haleine : chaque chapitre que je finissais, j’avais envie de lire le suivant, parce que le cliffhanger ou le twist se tenait devant moi et que je ne savais pas résister. Et vu qu’ils étaient courts, il était facile de me dire “allez, encore un”.



L’enquête était intéressante, un peu tarabiscotée à quelques égards, et tout tournait autour d’un seul personnage peu agréable, mais j’ai aimé la justesse des personnages décrits. De leurs erreurs, de ce qu’ils apprennent.



J’ai aimé ce que je lisais, j’ai trouvé que ça avançait bien, et si je déplore donc quelques répétitions, moi ça m’allait.



Et je tiens à dire que s’il y a une forme de fantastique dans l’histoire, j’ai apprécié celle-ci et cela nous laisse le doute.



Il y a tout de même quelque chose que je reprocherais d’un peu plus dommageable à mon goût, mais en même temps, je ne peux pas le dire vu tout ce que ça spoilerais, et heureusement, ça ne gâche pas le récit ni le twist final.



Mais en tout cas, si vous aimez les écritures pleines d’émotions plutôt que les enquêtes froides, je pense que ce livre pourrait vous intéresser.
Lien : https://koalavolantchronicle..
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La voix des disparus

Livre lu dans le cadre du Prix des Auteurs Inconnus 2023, catégorie noire, dont je suis l'une des jurés.

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Il compte parmi les cinq finalistes de sa catégorie. Lors des présélections, j'avais eu une impression plutôt favorable de la couverture (très ambiance noire), du résumé qui donnait envie d'aller vite découvrir cette histoire, et de l'extrait étudié, tant j'avais apprécié le positionnement narratif, l'écriture cinématographique, la description de la psychologie des différents personnages, le côté quelque peu ésotérique de l'histoire. Cependant, s'il comptait parmi mes textes préférés, je ne l'avais pas retenu dans mes sélections tant il restait de fautes ou de maladresses syntaxiques.



Cependant, j'ai eu un vrai plaisir de lecture en découvrant La voix des disparus dans son intégralité, et je considère que l'auteur méritait donc de se retrouver parmi les cinq finalistes. En effet, malgré ses maladresses formelles (les risques et inconvénients de l'autoédition), il eût été regrettable de passer à côté d'une histoire, certes un peu alambiquée, mais vraiment prenante en termes d'intrigue et de suspense.



Par la voix et les actes de ses différents personnages : Eneko, le gendarme obèse, introverti, méprisé pour son physique, sa lâcheté, son manque de confiance en soi et son incompétence notoire ; Amaya, la garde-forestière sauvage et asociale, qui navigue entre quête d'amour et rejet des autres ; Lionel, médecin de son état et personne influente de son village, fort en gueule pour mieux cacher ses failles et angoisses liées à l'enfance, le lecteur est invité à suivre une enquête de gendarmerie, menée dans le petit village de Cherchebruit (niché au coeur du Pays basque), à la suite de la disparition d'une adolescente Loria (fille de Amaya et Lionel), dans des circonstances obscures et complexes.



Car cette disparition et l'enquête qui la suit viennent en échos à d'autres disparitions d'adolescents vécues dix-sept ans auparavant et à une autre enquête toujours non résolue à ce jour, puisque aucun corps n'a jamais été retrouvé. Au centre de ces disparitions du passé (Iban, le frère d'Eneko et Alice, la soeur de Lionel) : la découverte par les enfants d'un squelette de bébé retrouvé dans une vieille souche, portant lui aussi sa dose de mystère, puisque son identité ni les circonstances de sa mort n'ont jamais été identifiées.



Dès lors, les angoisses collectives (des habitants du village) et personnelles (des différents protagonistes de l'histoire) remontent à la surface, dans un climat de suspicion généralisé, de culpabilité latente et de croyances surnaturelles obscures liées à l'existence potentielle d'une "sorcière" (très ancrées dans la culture basque), la Sorginak, qui serait revenue, une fois encore, sur les lieux pour y prélever un nouveau tribut.



Dans un chassé-croisé entre le présent et le passé, le lecteur est amené à découvrir la psychologie torturée des personnages principaux, mais aussi celle, obscure, de personnages secondaires (entre autres Ida, la grand-mère d'Amaya ; Joël, le père d'Eneko ; Yorik, le père de Lionel ) qui, tous, ont manifestement des actes et des secrets à cacher.



Comme Eneko, placé face à une énorme responsabilité : celle de retrouver Loria dans les meilleurs délais pour ne pas avoir à revivre le drame de sa vie, le lecteur va et vient entre les différentes temporalités, les différents personnages (la voix qui s'exprime dans chaque chapitre est clairement identifiée), les différents lieux (la sylve aux sorcières, la forêt de tous les mystères ; les maisons d'Amaya et Lionel, de Jérémy - le petit-ami pas très net -, de Joël, de Yorik, mais aussi les masures d'Ida et d'Amaya nichées dans les bois ; la gendarmerie en passe d'être bientôt détruite, la maison de retraite où a été placée Ida, mais aussi des établissements psychiatriques, les grottes nichées dans la forêt...).



Petit à petit, à un rythme effréné (car, on le sait, dans les enlèvements d'enfants, chaque minute compte et parce que le supérieur d'Eneko menace de lui retirer l'affaire), les pistes s'ouvrent et se referment, les drames d'hier et leurs conséquences s'éclairent, les rebondissements surviennent (Eneko s'accroche dès lors qu'il semble communiquer avec son frère disparu Iban, par le truchement d'un talkie-walkie, ce qui pourrait signifier qu'il est toujours vivant), de nouveaux personnages font leur apparition et les pièces du puzzle se placent peu à peu jusqu'à la résolution finale.



Dans ce roman, et par le biais de cette enquête de terrain menée par un gendarme qui n'est gendarme que de nom, il est beaucoup question de traditions et de culture locale, de la difficulté de se construire lorsqu'on est différent, du regard des autres, du poids des secrets de famille et de leurs conséquences sur les individus, des liens affectifs difficiles voire impossibles à construire dès lors qu'existent des blessures d'enfance non cicatrisées, de la difficulté à communiquer ses sentiments, mais aussi de vengeance face à des actes délictueux perpétrés sur des personnes fragilisées. Actes pour lesquels justice n'a pas été rendue.



Une construction romanesque intéressante, particulièrement addictive (je l'ai lu en une journée), même si on a parfois du mal à s'y retrouver (entre passé/présent, entre les différents personnages secondaires). Au final, tout s'éclaire. Et connaissant la fin, on a presque envie de le relire pour revoir les événements sous un oeil neuf.



Pour ma part, j'ai particulièrement apprécié le rythme, la façon dont la psychologie des personnages était rendue (on ressent bien la difficulté d'être et d'exister pour ces personnes meurtries par la vie), la succession de pistes potentielles (j'avais identifié quelques obscurs secrets mais pas qui se cachait derrière les faits du présent), le registre de langue adapté aux circonstances, la description des lieux, la présence de belles métaphores, les rebondissements en cascade, dont la fin, totalement inattendue.



J'ai moins aimé l'invraisemblance de certaines situations : l'incompétence d'Eneko en tant que gendarme n'est vraiment pas crédible (quasi insultante pour ce corps institutionnel), de même que l'intervention dans l'enquête des parents de l'enfant disparu ; le médecin de campagne qui devient médecin légiste ; le tripatouillage sur les scènes de crime, la désertion totale de la hiérarchie d'Eneko livré à lui-même face à cette disparition et surtout aux meurtres qui vont suivre.

J'y vois là un manque sensible de documentation sur les réglementations et les procédures en vigueur, ce qui discrédite l'auteur désireux d'écrire un polar qui se voudrait réaliste.



De même, si je respecte totalement le choix de l'auteur de garder sa liberté entière avec une autoédition, j'aurais apprécié qu'il respecte son lecteur en faisant, au moins, une relecture/correction attentive et efficace de son écrit, ou en faisant appel à un professionnel de la correction susceptible de l'accompagner dans l'écriture d'une mouture finale.



En tant que lectrice, mais aussi que jurée d'un prix littéraire, j'ai donc été gênée dans ma lecture par trop de formulations mal dites (ex : un goût amer et humiliant dans la bouche ; je démarre le moteur en silence ; tous les villages alentours vous le diront ; Iban infusait son existence dans celle des autres...), trop d'approximations (vingt-ans d'écart ou dix-sept ans ? tout resplendit à outrance dans un équilibre assez subtil...), trop de détails insignifiants, trop de fautes (trop nombreuses pour les lister ici), les adresses aux lecteurs, les fautes de syntaxe (ex : se mettre à l'abri sur le porche au lieu de sous ; subir la foudre des éléments ; l'implication d'un écolier au lieu d'application ; c'est pour le mieux que je suis la seule personne à m'aventurer ici ; m'adosser contre mon lit = à ; ), les âges en chiffres au lieu d'être écrits en lettres, etc.



C'est la raison pour laquelle j'ai un avis partagé sur ce roman qui, j'en conviens, a une intrigue plus qu'intéressante, est bien construit, est addictif et procure un réel plaisir et de l'intérêt à sa lecture, mais pèche vraiment par son manque de rigueur formelle. Dommage donc, d'autant que l'auteur n'est manifestement pas un novice, car ce roman est son troisième livre publié en autoédition.





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La voix des disparus

Bonjour à tous,

aujourd’hui je vous partage une autre de mes lectures du mois de juin dans le cadre du @prixdesauteursinconnus 2023, dans la catégorie Littérature Noire .



il s'agit de

La voix des disparus de Pierre Vergeat

274 pages, en version numérique



La couverture est tentante... , la 4e de couverture aussi.



Une écriture très agréable, une histoire racontée sous forme de roman chorale.

L'histoire est prenante, j'ai avancé rapidement dans ma lecture, une bonne intrigue, des rebondissements.



Cependant il y a quelques incohérences, Eneko est annoncé comme être dans la police mais il est gendarme, les parents trop impliqués participent à l'enquête... bon pourquoi pas... mais..

Selon moi avec un peu de travail, on peut corriger cela et en faire un très bon polar.





J'ai lu ce livre dans le cadre du prix des Auteurs Inconnus (PAI)

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