AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de R.J. Ellory (1760)


Bon sang, on a tous en nous les chansons de nos ancêtres. Ça ne signifie pas qu’on doive les chanter à nos gosses. Mais pourtant on le fait.
Commenter  J’apprécie          00
Ses paroles étaient assurément mauvaises, mais ses actes étaient pires encore. Il ne la battait pas souvent, peut-être une fois tous les deux mois, mais quand il le faisait, il n’y allait pas de main morte. Il fallait des jours pour que son visage désenfle, pour que sa lèvre fendue cicatrise, pour que son œil se rouvre enfin.
Commenter  J’apprécie          00
On n’épouse pas une femme par amour pour ensuite la traiter comme un chien.
Commenter  J’apprécie          00
C’était une Appalachienne pur jus, fière de son peuple, fière de son héritage, mais elle était du genre réservée. Timide, disaient les gens. Voire timorée. Mais elle n’était ni timide ni timorée, elle attendait juste le bon moment pour dire ce qu’elle avait à dire. Le reste du temps, elle parlait très peu. Elle était comme ça. Certaines personnes – mon père en étant le meilleur exemple – ont le sentiment qu’ils doivent faire du bruit pour prouver à tout le monde qu’ils sont encore dans la pièce.
Commenter  J’apprécie          00
Je me demande s’il y a une sorte de justice divine dans ce monde, ou si nous devons attendre le Jugement dernier.
Commenter  J’apprécie          00
Après tout, il y a des fardeaux que nous sommes censés porter seuls...
Commenter  J’apprécie          00
Non seulement on cherche une aiguille dans une botte de foin, mais on cherche probablement dans la mauvaise botte de foin.
Commenter  J’apprécie          00
Vous retrouviez des gens et vous leur demandiez aussi vite que possible tout ce dont ils se souvenaient. L’oubli survenait rapidement. Les visages s’effaçaient des mémoires. Un jour se fondait dans le suivant. Était-ce hier soir ou le soir précédent ? Bon sang, désolé, je ne me rappelle pas clairement. Désolé, je ne peux pas vous aider.
Commenter  J’apprécie          00
Vingt-quatre heures, quarante-huit heures au plus, et la plupart des pistes se volatilisaient, les gens oubliaient des détails, les visages et les souvenirs devenaient vagues et incertains. On peut reconnaître ceux qui jouent de ceux qui sont sincères, et si ce type avait tué son ex, alors il était meilleur acteur que ne l’avait jamais été Montgomery Clift.
Commenter  J’apprécie          00
Ce besoin de s’enfuir aussi vite que possible ouvre un champ de possibilités : il a pu négliger d’autres choses, il a pu manquer d’autres détails qui nous révéleront son identité.Mais ce n’étaient que des conjectures et des hypothèses.
Commenter  J’apprécie          00
Il me semble qu’on servirait mieux l’humanité en trouvant le moyen de revenir en arrière pour réparer ce qu’on n’a pas réparé la première fois.
Commenter  J’apprécie          00
Quand on repense aux choses, c’est toujours facile de prendre les bonnes décisions, mais on n’a pas encore inventé le moyen de voyager dans le temps.
Commenter  J’apprécie          00
Dieu est miséricordieux, Dieu est juste, Dieu voit tout et protège les innocents et les faibles. Dieu avait assurément été occupé ailleurs la nuit précédente, et Il avait laissé une autre jeune âme passer de vie à trépas.
Commenter  J’apprécie          00
Vous pouvez aller au soleil... sentir sa chaleur. C'est comme sentir l'empreinte des doigts de Dieu sur son âme.
Commenter  J’apprécie          00
Ton père disait qu'il n'y avait rien, absolument rien au monde, qui ne méritât pas d'être su. Il disait que l'ignorance était la défense des gens stupides.
Commenter  J’apprécie          00
La culpabilité est une chose amère et indigeste, même lorsqu'elle est un manteau que tu t'es taillé toi-même sur mesure.
Commenter  J’apprécie          00
Le deuil est censé durer aussi longtemps que les fleurs, et après c'est fini. La vie continue. Pas vrai ?
Commenter  J’apprécie          00
« Tu te souviens de janvier 1959 ? demandait-il. Quand il y a eu la grève générale et que La Havane a été paralysée ? Batista était président à l’époque, et sa police secrète combattait les rebelles dans la rue. C’est alors que les guérilleros de Castro sont descendus des montagnes pour envahir les rues et prendre la ville. Il n’y avait plus personne pour les combattre, plus personne. Tu te souviens de cette époque, Ernesto ? »
Commenter  J’apprécie          00
je suis complètement conquise, ce fut une lecture absolument magnifique. Très divertissant, avec des personnages bien définis, et l'écriture est en plus sublime. C'est un livre à lire pour tous les amateurs de cet auteur, les amateurs de livres noirs. Malgré la violence présente tout au long du roman, on se trouve transporté dans l'histoire à vouloir savoir ce qu'il adviendra des personnages aussi complexes qu'attachant.
Commenter  J’apprécie          00
Être intelligent, c’est pas juste savoir comment se sortir des emmerdes. La véritable intelligence, c’est jamais s’attirer d’emmerdes. Et le malheur ? Le malheur, c’est comme un sédiment. On sait pas qu’il est là jusqu’à ce qu’on ait vidé tout le reste. Et quand on pense que quelque chose de bien va arriver, faut y aller doucement. Prendre son temps. Faut pas tout boire d’un coup sinon on se retrouve inévitablement avec un goût amer dans la bouche.
Commenter  J’apprécie          00



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten


Lecteurs de R.J. Ellory Voir plus

Quiz Voir plus

R.J. Ellory en 10 questions

De quelle nationalité est RJ Ellory ?

américaine
britannique
sud-africaine
néo-zélandaise

10 questions
69 lecteurs ont répondu
Thème : R.J. ElloryCréer un quiz sur cet auteur

{* *}