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Critiques de Rachel Khan (92)
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Noire n'est pas mon métier

Impossible pour moi d'attribuer une note à ce petit recueil de témoignages, ni d'écrire "j'ai aimé" ou "j'ai pas aimé"; mais une chose est sûre : j'ai été très touchée par les parcours, combats, histoires, anecdotes... de ces 16 femmes issues du milieu du spectacle. La plupart sont actrices, mais il y a également le témoignage d'une humoriste et d'une productrice..

Toutes ont en commun de s'être battues très fort pour en arriver là où elles se trouvent (et elles continuent ce combat au quotidien); mais également d'être métisses, noires, et d'avoir toutes les difficultés du monde à être reconnues en tant que professionnelles en raison de leur couleur de peau.

Ces témoignages sont édifiants, et amènent forcément le lecteur à se poser des questions face aux clichés et stéréotypes qui perdurent encore à ce jour.

Ce petit bouquin se lit très vite, les témoignages sont courts, chacune des intervenantes à son propre style.

Le livre s'achève sur les témoignages plein d'espoir et de confiance d'Assa SYLA & Karidja TOURE, actrices de la jeune génération, qui portent toutes deux un regard empreint d'optimisme sur l'avenir.

Une jolie découverte.

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Noire n'est pas mon métier



🎥Ce livre est un manifeste prenant la forme d’un recueil de 16 témoignages d’actrices et femmes du monde du cinéma sur le racisme qu’elles subissent dans leurs métiers.



🎥Ces témoignages mettent des mots sur une cruelle réalité : bien souvent les actrices ne sont par sélectionnés lors des castings s’il n’est pas précisé que le personnage est noir. Et le peu de rôles ou cela est signifié, les personnages sont stéréotypés.



🎥Ces témoignages parlent aussi de l’importance de la représentation, de la situation dans d’autres pays ou encore des changements entre le début de leur carrière et aujourd’hui.
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Racée

C'est un livre qui va un peu contre-courant. "Noire, gambienne, d'origine musulmane et catholique par son père, blanche, juive et française par sa mère". Rachek Kahn a tout pour faire partie des mouvements militants, à elle de choisir lequel ou lesquels. Mais non, elle a choisie être comme tout le monde, égale à tout le monde.



Et pour dire sa pensée, elle fait appel aux mots du militantisme : les mots qui séparent, les mots qui ne veulent rien dire et les mots qui réparent (ou qui pourraient le faire).



C'est un livre contre les excès des militantismes, où elle montre les défauts. C'est un livre écrit avec un certain humour caustique que certains peuvent trouver agressif, mais qui ne l'est pas plus que ceux des militants.



J'ai entendu une phrase un de ces jours : "L'exagération dans les arguments peut tuer la cause". Et je pense que c'est bien ce dont elle parle.



Elle n'a sûrement pas fait des ami(e)s avec ce livre mais elle montre sa liberté de parole et je trouve bien d'avoir ce courage de ne pas se soumettre au "politiquement correct".
Lien : http://lecture.jose-marcio.o..
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Noire n'est pas mon métier

"Noirs n'est pas mon métier" est à la fois un livre cru et édifiant. C'est un réel témoignage de 16 actrices, noires ou métisses, qui défendent leur parcours et lutte contre cette image stéréotypée de la femme, et le racisme dans l'univers du cinéma, de la télévision, ou encore de l'humour. C'était une découverte, moi qui ne connaissait pas Aïssa Maïga et certaines de ces actrices. J'éprouve désormais pour elles un immense respect, fruit des leçons que ce livre m'a transmis. Un ouvrage à lire absolument !

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Racée

Rachel Khan dénonce les mots; les mots qui séparent, les mots fourre-tout; les mots qui ne soignent pas mais créent de nouveaux maux. Elle a raison. Il y a des mots qui n'ont aucun sens, qui sont vides de substances. Il y a des mots qui ne sont là que pour fracturer un peu plus et davantage, qui séquestrent plus qu'ils ne libèrent. Les mots sont importants, toujours, surtout quand on parle d'identité. Ils doivent donc être discutés, débattus, analysés, étudiés. 



Elle a raison de dénoncer les lacunes de certaines mesures préconisées dans le cadre de la lutte contre le racisme et ses discriminations. Elle a raison de dénoncer les dérives de certain(s) militant(s) anti-racistes qui s'enferment dans leur "cause" et finissent par se perdre. Elle a éminemment raison car tout mouvement "progressiste", s'il ne prend pas garde, risque de nuire à son objectif premier: la liberté, cet idéal qui ne se réalise que dans l'universalité.



En revanche, elle a tort d'employer à son tour des mots vide de sens. Qui sont ces "identitaires" dangereux pour la République française ? Rokaya Diallo? Elle a une telle puissance de nuisance? Et de quelles dérives "communautaires" sont-ils responsables ces "identitaires"? De quelle "crise identitaire" sont-ils comptables? Et comment se définit cette "crise identitaire"?



Bref, malheureusement, sous la plume de Rachel Khan, le combat de coqs reprend car le ton n'est pas au débat d'idées mais au réquisitoire. Les camps s'affrontent encore et perpétuellement s'accusant les uns les autres comme si la vérité n'était pas dans la complexité, celle là même qui ne peut supporter les mots creux. Rachel Khan appelle à la créolisation mais n'y est pas encore. Dommage.
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Racée

Dans un long festival de "je", Rachel Khan s'invente des qualités de spécialiste linguistique pour laisser croire que "Racée" traîte des qualités propres aux races. Il concerne en réalité l'autre aspect du terme : la distinction et l'élégance (elle-même selon elle-même, quoi). La critique et la nuance des mouvements féministes, anti-racistes, la remise en question de termes et de notions telles que la diversité ou l'afro-descendence méritent d'être questionnés. Si seulement ils l'étaient par des esprits vifs et pertinents, et non par des personnalités au verbe vibe, aux constats sans hauteur, et aux références quasi-inexistantes (il est fait référence à Romain Gary 38 fois dans cet essai)... On peine à comprendre pour quelle raison ses quelques réflexions n'en sont pas resté à l'état de tweets et sont devenus un essai entier, confus et inconsistant. Espérons pour elle que ce positionnement qui consiste à taper plus fort sur les anti-racistes que sur les racistes lui permettra d'obtenir un poste fixe dans une des émissions télévisuelles quotidiennes qui se font profit des divisions du pays.
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Racée

Oserais-je avouer que j'ai trouvé que l'auteur tournait un peu en rond ?

Qu'elle se perdait dans une argumentation pas toujours très claire ?

D'où ma relative déception, d'autant que les thèmes qu'elle aborde, notamment l'universalisme Vs le racialisme rejoignent mes propres conceptions des rapports humains...
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Racée



Une saine et intelligente réflexion particulièrement bien construite sur l'imposture de la posture des identitaires généralement mélanodermes, qui se prétendent victimes de tout et de n'importe quoi.



Ceux-là usent de mots violents qui séparent et piègent les éternels culpabilisés qui usent, quant à eux, de mots prudents ou creux qui ne mènent nulle part.



Convoquant les plus grands esprits de notre culture (Glissant, Garry/Ajar, et bien d'autres), Rachel Khan trouve plus constructif, plus humain, d'user plutôt de mots qui réparent et qui, en définitive, affirment notre humanité commune...



Bravo Madame Khan ! J'ai aimé, comme j'ai apprécié votre "soeur" Madame Mabrouk.



Pat.
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Noire n'est pas mon métier

Facile à lire et très intéressant. Même sans être actrices, toute femme non blanche peut s'identifier. Plusieurs actrices noires ou métisses racontent leurs histoires face au cinéma et la lutte qu'elles entreprennent de manière pacifique face aux stéréotypes. Ce livre mériterait d'être lu par tous.
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Noire n'est pas mon métier

Parfois on peut se dire que l'on connait, ou sait déjà tout cela: le racisme.

Si en plus on est une femme, on peut y ajouter le sexisme et la misogynie. Alors, être une femme noire ou métisse...

Evidemment j'avais très envie de lire cet ouvrage, mais je ne savais pas trop à quoi m'attendre et je craignais que l'on ne reste dans ce qui se sait déjà, se dit déjà ( mais si cela continue toujours il faut peut être encore continuer de le dire et l'écrire ?)

Aïssa Maiga, choisit ici un angle intéressant : des témoignages d'actrices et de comédiennes : d'âges différents, de physiques différents, de formations variées, d'origines sociales, culturelles, géographiques diverses, qui toutes racontent leur amour du métier et toutes éprouvent la même difficulté( ce qui est un euphémisme) rencontrée tout simplement en raison de leur couleur de peau et de TOUT ce que cela engendre et qu'elles n'auraient même pas soupçonné.

Ici c'est la multitude des récits, qui vient confirmer que non, il ne s'agit pas d'un cas isolé, mais bien d'un problème structurel de nos sociétés.

Les récits de chaque artiste sont uniques tout comme leur parcours de vie, et malgré l'importance du sujet : le racisme, l'ouvrage reste optimiste, bienveillant et facile à lire.
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Racée

Quel courage d'affronter ainsi les "identitaires " à la Rokhaya Diallo, ou les "indigènes de la République" en affirmant son refus de se faire assigner à la place que ces gens là veulent imposer à ceux qui partagent sa couleur de peau! Elle savait bien qu'elle n'aurait que des injures à y gagner, comme tous ceux que ces nouveaux racistes qui se prétendent antiracistes considèrent comme des traitres à la "cause".



"La cause" fait d'ailleurs partie des "mots qui séparent" (avec "souchien", "racisé" et d'autres) qu'elle analyse avant de passer aux "mots qui ne mènent nulle part" ("vivre-ensemble", diversité", etc), en faisant passer dans cette réflexion sur les mots, toute la profondeur d'une pensée que la richesse de son parcours de sportive de haut niveau, juriste de haut vol, collaboratrice d'hommes politiques d'ampleur nationale, directrice d'association, écrivain, actrice, ... lui a permis de développer.



Quel dommage qu'elle se laisse aller (le résultat d'un attachement immodéré et difficile à comprendre à la lecture de Derrida et d'autres philosophes également impénétrables?) à écrire, de temps à autre, quelques phrases incompréhensibles.



Que le lecteur se rassure, cela n'arrive pas si souvent que cela, même si la densité de ces passages abscons augmente vers la fin de l'ouvage, dans les "mots qui réparent" et dans la conclusion.



Mais il est toujours plus difficile de donner les directions à suivre pour remédier aux défauts que l'on analyse que de les décortiquer, et il reste que c'est déjà, vue de la manière originale qu'a Madame Khan de voir cela, une excellente matière à réflexion dont il serait dommage de se priver.



C'est donc une lecture que je conseille vivement.
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Noire n'est pas mon métier

Elles sont fortes et combatives, pleines de détermination et de mordant,

elles sont 16 artistes noires qui dénoncent leur vécu professionnel et nous font partager leur colère,

elles m’ont confirmé ce que je pouvais imaginer d’un milieu gouverné plutôt par le look et l’apparence que par le talent

mais elles m’ont aussi ouvert les yeux sur tous les clichés qui se baladent sans doute dans mon esprit, sur certaines expressions si faciles, si courantes et si blessantes…

Un écrit important, une petite claque à ma bonne conscience !

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Les grandes et les petites choses

J’avais de grandes attentes après avoir lu le résumé de « Les grandes et les petites choses ». L’auteure nous promettait une histoire à la croisée de différentes origines : celles de Nina Gary, fille d’esclave, petite-fille de déporté.



« Les langues murmurent des récits de trains et de bateaux qui ont emporté les ancêtres. »

En ayant lu cette ligne dans le résumé, je m’attendais à quelque chose de romanesque et de délicat.

Et personnellement, je fus très déçue.

L’histoire se consacre presque uniquement à la carrière sportive de l’héroîne et jongle avec tous les clichés possibles et imaginables. Nina prend ces clichés très au sérieux, et les utilise pour se construire son identité, une identité de « Noire », comme elle le dit elle-même.

J’ai apprécié le dilemne qui se pose à l’héroîne : un déchirement entre la blancheur de sa mère et la noirceur de son père, entre l’islam et la judaïsme, entre la Pologne et la Gambie. J’aurais bien aimé avoir un peu plus de développement de ce côté-là.



Si l’historie se serait moins concentré sur le sport et les garçons et plus sur la recherche d’identité et la famille, ce livre aurait sans doute été un coup de coeur.

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Noire n'est pas mon métier

"stéréotypes, racisme et diversité : 16 actrices témoignent" dit le quatrième de couverture. Chacune avec son style raconte une anecdote ou une tranche de vie en 4 à 10 pages pour expliquer ce qu'est leur vie en tant que femme noire pratiquant le métier d'actrice. Chacune de ces composantes compte à un moment ou à un autre dans leur expérience.

J'ai évidemment été révulsée par les actes sexistes voire les agressions sexuelles évoquées, qui ne m'ont malheureusement pas surprise.

J'ai été frappée et consternée de constater à quel point l'industrie du cinéma français, à tous les échelons, à toutes les étapes, s'obstine pour beaucoup à reproduire des stéréotypes de genre, de classe, de "race" (plus ou moins ensemble et pas forcément dans cet ordre), à quelle point elle est fermée et aveugle à la société multicolore et multiculturelle dans laquelle elle évolue.



Pourquoi est-il si difficile de prendre une personne pour ce qu'elle est : un être humain à qui on doit le respect - qu'elle soit femme, qu'elle soit noire, qu'elle soit actrice, ou n'importe quoi d'autre - ?!



Un livre à mettre entre toutes les mains.

Notamment intéressant pour des enseignants avec des adolescents (je dirais à partir de la 4ème).
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Noire n'est pas mon métier

A lire afin de comprendre le racisme systémique subi par les femmes noires dans le milieu artistique.
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Noire n'est pas mon métier

Un recueil de témoignages ahurissants sur le cinéma français, le racisme et le sexisme qui l’imprègnent. Une vraie claque.
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Noire n'est pas mon métier

Danielle : "16 actrices témoignent des difficultés qu'elles rencontrent dans leur métier et dans leur vie personnelle. Ce livre aborde le racisme, les stéréotypes. Chaque chapitre est écrit par une personnalité, l'âge, l'expérience, le style est différent, mais toujours d'une grande qualité. Le contenu est un choc, même quand on pense avoir conscience du racisme ordinaire."
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Noire n'est pas mon métier

"Dans cette clarté éblouissante où règnent nos absences, je regarde ma fille qui danse dans la cuisine. J'ai envie de me battre pour qu'elle et d'autres n'aient pas à subir les échos d'un passé non révolu. Il est temps de sublimer à l'écran les couleurs qui sont les nôtres. Après tout, nous venons tous du même poème." Rachel Khan, "sans entendre aucun bruit" extrait de "Noire n'est pas mon métier". 16 récits de 16 magnifiques femmes actrices qui se battent au quotidien contre le racisme et le sexisme. Il y a encore du boulot mais on ne baisse pas les bras, jamais ! Merci mesdames d'être une source d'inspiration et de force pour les générations d'aujourd'hui et de demain.
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Noire n'est pas mon métier

Mon avis reste mitigé sur ce livre. Il donne vraiment matière à réfléchir. En tout cas il ne m'a pas laissé indifférent.



D'un côté, je trouve les anecdotes vraiment intéressantes. Elles passent en revue tous les clichés implantés dans notre inconscient collectif sur les rôles des femmes noires au cinéma ; la mama africaine, la joyeuse négresse ricaneuse, la femme de ménage, la prostituée ou la " Morgan Freeman de service ". Elles ont également compris qu'elles servent d'alibis pour servir la soupe à des réalisateurs bobo du show-business qui veulent donner une bonne image en incluant des noirs mais pas trop - , des ardents défenseurs de la multiculturalité - mais qui préfèrent mettre leurs enfants dans le privé - , et enfin des militants farouches pour le droit des sans-papiers et des immigrés à la condition qu'ils ne vivent pas chez eux... car eux c'est différent vous comprenez.



D'un autre côté, je n'ai pas pu m'empêcher de tiquer lorsque ces actrices se plaignent de ne pas trouver leur place dans des milieux artistiques comme la danse classique.



Comme je suis fan de cinéma sud-coréen, je suis habitué à voir jouer des acteurs asiatiques. Je ne vois jamais de blancs ni de noirs. Ça ne me pose aucun problème d'identification d'une part, et de l'autre je verrais très mal un acteur blanc atteindre ce jeu de scène particulier qui tend à la bouffonnerie lorsque l'ambiance se veut sombre.



Il en va de même pour le Gospel ou le Blues. Je trouve que seul les noirs ont ce timbre de voix chaud qui caractérise les grands chanteurs comme une Nina Simone ou un Steevie Wonder. Dans le cas inverse, je trouve un blanc beaucoup moins impressionnant.



Ce besoin de mettre de la représentation partout reste quelque chose qui me dépasse au final. Je trouve les effets contre-productifs. L'une des actrices évoque d'ailleurs le fait qu'on lui refuse le rôle d'une méchante car le casteur a peur que cet acte passe pour raciste.
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Noire n'est pas mon métier

J'étais très enthousiaste quand j'ai vu le projet, en promotion, je l'ai acheté avec grande excitation.

De belles expériences de vie, qui forcent le respect, la révolte, un pot pourri de sentiments qui, dans mon cas, donnent lieu à une émulation toute personnelle.

Toutefois, en refermant le livre, j'avoue avoir été déçue... Ma déception c'est l'inégalité de qualité des témoignage tant par le fond que la forme, certains témoignages ont suscité des impressions positives, d'autres j'étais plutôt dubitative ou voire même désappointée..

Après c'est un jugement subjectif, mais je me souviens d'un témoignage (je ne me rappelle plus l'actrice), très lyrical, enflammé de passion, mais je l'ai trouvé affreusement ampoulé, pompeux et beaucoup trop de fioritures, qui m'ont fatiguées les rétines. Les plumes des seize actrices sont de qualité inégale et c'est là le point négatif à ce livre.
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