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4.06/5 (sur 166 notes)

Nationalité : États-Unis
Biographie :

Roan Parrish est auteure de romance gay.

"Au milieu de nulle part, tome 1: Ici et Ailleurs" (In the Middle of Somewhere, tome 1: Middle of Somewhere, 2015) est son premier roman.

Elle vit à Philadelphie.

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Fall is here, and Kellie from the Suburban Soapbox joins us to share a delicious baked brie recipe that is perfect for any autumn or holiday celebration. Follow along to learn how to bake this tasty treat that your guests will love, plus some exciting new fall titles you'll definitely want to add to your TBR list. In this video: SUMMONING UP LOVE by Synithia Williams https://www.harlequin.com/shop/books/9780369710819_summoning-up-love.html RUTHLESS by Gena Showalter https://www.harlequin.com/shop/books/9781335474964_ruthless.html AURA OF NIGHT by Heather Graham https://www.harlequin.com/shop/books/9780778386810_aura-of-night.html THE RIVALS OF CASPER ROAD by Roan Parrish https://www.harlequin.com/shop/books/9781335724205_the-rivals-of-casper-road.html PACK OF LIES by Charlie Adhara https://www.harlequin.com/shop/books/9781335473240_pack-of-lies.html CAPTURED ON KAUAI by R. Barri Flowers https://www.harlequin.com/shop/books/9780369731913_captured-on-kauai.html SMALL TOWN BIG MAGIC by Hazel Beck https://www.harlequin.com/shop/books/9781525804717_small-town-big-magic.html A COWBOY FOR THANKSGIVING by Melinda Curtis https://www.harlequin.com/shop/books/9780369723352_a-cowboy-thanksgiving.html An Alaskan Family Thanksgiving by Beth Carpenter https://www.harlequin.com/shop/books/9780369723475_an-alaskan-family-thanksgiving.html THANKFUL FOR THE MAVERICK by Rochelle Alers https://www.harlequin.com/shop/books/9780369733405_thankful-for-the-maverick.html CINDERELLA MASQUERADE by LaQuette https://www.harlequin.com/shop/books/9780369724236_cinderella-masquerade.html Follow the Suburban Soapbox! YouTube: https://www.youtube.com/channel/UCK7y-AEbtF5bpp5uG3AQImA Facebook: https://www.facebook.com/TheSuburbanSoapbox/ Instagram: https://www.instagram.com/thesuburbansoapbox/ Twitter: https://twitter.com/suburbansoapbox Discover wonderful autumn, Halloween and holiday reads on Harlequin.com! Visit Harlequin's Holiday Romance Headquarters: https://www.harlequin.com/shop/pages/holiday-romance-headquarters.html *** Subscribe for more from Harlequin: https://www.youtube.com/channel/UCxCJKbFiPONVnPv_R6JGDAg?sub_confirmation=1 https://www.harlequin.com Subscribe to Harlequin Plus! Start your 7-day FREE TRIAL today: https://www.harlequinplus.com/shop/index.html?pubid=100126&subid=GEN&utm_source=youtube&utm_medium=youtube_description&utm_campaign=launch_startfreetrial&utm_id=mar_2022&utm_content=GEN Facebook: https://www.facebook.com/HarlequinBooks Twitter: https://twitter.com/HarlequinBooks Instagram: https://www.instagram.com/harlequinbooks/

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Citations et extraits (81) Voir plus Ajouter une citation
Notre baiser est comme une conversation : apprendre à se connaître, s'incliner pour se trouver, s'explorer.
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— Le truc, c’est que… C’est qu’il a reçu une offre de promotion au travail. Et à mes yeux, ça n’a pas l’air d’une promotion du tout. C’est plutôt comme si son patron était prêt à augmenter son salaire pour qu’il fasse plus d’heures de ce qu’il fait déjà, mais peu importe.

— C’est littéralement ce à quoi correspondent la plupart des promotions, mais oui, continue.

— Mais c’est justement le problème, il est malheureux. On dirait qu’il… étouffe dans sa propre existence. Si on peut qualifier ça d’existence. Et s’il obtient la promotion, il aura moins de temps pour faire autre chose et…

— Stop. Tu ne lui as pas dit tout ça, n’est-ce pas ?

— Eh bien… Si.

Mariana secoua la tête à mon attention, la mâchoire serrée.

— Tu es tellement con, je n’arrive pas à y croire.
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— Je suis parti parce que tu me fais vouloir des choses et c’est plus facile de ne rien vouloir. Plus prudent.
— T’as pas l’air du style prudent.
Je pouffai, l’air contrit.
— Ouais, justement. Et ça m’a pas trop réussi.
Theo hocha la tête, se pencha en avant sur sa chaise et posa les mains sur mes genoux. Ce simple contact ferme en disait long.
— Je me sens… mieux quand je suis près de toi, dit-il doucement. Comme là, maintenant, avec toi. J’ai le sentiment que je peux juste être moi-même au lieu de ce gars pour qui tout le monde me prend. Toi… tu me vois vraiment. Juste moi. Et je t’apprécie. Et oui, j’ai plus ou moins tout le temps envie de toi.
Il me lança un regard auquel je ne pus m’empêcher de sourire.
— Mais c’est toi qui vois, ajouta-t-il.
Quand il retira ses mains, j’eus l’impression de dériver.
Merde. Bien sûr que j’avais envie d’être avec lui mais j’avais passé l’année précédente à apprendre à me méfier de ce que je voulais. À apprendre que si je désirais quelque chose, ce quelque chose finirait par me tuer. Il m’était difficile de concilier cette leçon avec l’homme en face de moi, s’offrant tout entier d’une main et me protégeant de l’autre.
J’avais juste besoin de savoir que je n’étais pas impuissant face aux choses que je désirais. Que ces choses ne me contrôlaient pas et ne m’aspireraient pas comme du sable dans une vague. J’avais besoin de savoir que je pouvais faire preuve de volonté.
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Faron glissa en moi si lentement que j’eus l’impression qu’on me déchirait en deux. Je me tortillai et me débattis parce que sa présence était écrasante, la pression intense, mais j’avais aussi le sentiment qu’enfin, enfin ! chaque contact se fondait dans la plénitude inévitable qui envahissait tout mon corps. Quand il fut complètement en moi, mes muscles eurent un spasme puis se détendirent, et j’ouvris des yeux ronds à son intention.

— Parfait, murmura-t-il, les cils papillonnant. Il se pencha et huma mes cheveux, puis la peau de mon cou. Il lécha délicatement mes lèvres, comme s’il voulait savoir si elles avaient une saveur différente de ma langue. Il me goûtait avec tous les sens.

Il tint mes hanches immobiles alors qu’il entamait son va-et-vient, de sorte que tout ce que je ressentis fut cette friction, cette sensation d’être enfin entier. Nous observâmes tous deux mon sexe osciller entre nous à chaque poussée : vermeil, gonflé et ruisselant.
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Habituellement, je n’aimais pas le contact, la sensation était désagréable et ça me faisait prendre conscience d’un corps que je préférais oublier. Mais quand Faron me touchait, c’était incroyable.

Maintenant, mon instinct me dictait de m’éloigner de lui parce que j’avais déjà l’impression de lui appartenir et j’espérais désespérément que ses mains se posent sur bien plus que mes cheveux. Je voulais qu’il m’attire contre son torse et me garde là, contre lui. Je n’allai pas plus loin que ça dans le fantasme, en partie parce que, ces jours-ci, mes fantasmes semblaient culminer à l’altitude d’une esplanade victorienne, et aussi parce que Faron se mit à tresser mes cheveux.

Il lissa et tressa, tenant fermement mes cheveux, mais ne tirant jamais. Chaque terminaison nerveuse dans mon cuir chevelu s’illuminait comme un sapin de Noël, et quand il tendit sa paume pour attraper l’élastique, je rêvai d’un soudain coup de tonnerre qui le ferait sursauter et laisser tomber la tresse pour qu’il doive recommencer.

Faron passa une main le long de la tresse puis s’éloigna. Je passai des doigts tremblants dans mes cheveux et constatai qu’il m’avait fait une tresse épaisse qui partait du sommet de ma tête.

— Merci, dis-je, et il sourit en inclinant la tête.

— Super, dit Ginger, brisant la tension. Vous feriez mieux d’y aller, maintenant. Souhaitez un joyeux anniversaire à Ann de ma part et passez le bonjour à Ron.

Christopher l’embrassa et salua tout le monde. Je sentis les yeux de Faron peser sur moi alors que je suivais Christopher hors de la boutique.
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— Je pensais, au moment de Thanksgiving, que je ne le connaissais pas vraiment. Je ne sais pas ce qui le motive – motivait. Genre, s’il était le personnage principal du livre que je lis, ce serait seulement le chapitre deux. Je connaîtrais son nom et qui il était dans sa vie quotidienne, mais j’attendrais de découvrir cette chose qui me donnerait envie de m’intéresser à son histoire. Du moins, c’est comme ça que je me sentais avant. Comme s’il restait un livre entier. La promesse que peut-être si je continuais à lire, je pourrais en apprendre assez pour faire en sorte que je l’aime – que je me soucie de lui. Seulement maintenant, c’est comme s’il était seulement un personnage secondaire – voir tertiaire. Et l’auteur n’a même pas songé à compléter son histoire. Il n’y a juste plus rien à son sujet. Et, je ne sais pas. Cela me rend foutrement triste parce que je pense qu’il ressentait probablement la même chose à mon sujet. Je sais qu’il se souciait de moi, du moins un petit peu. Je veux dire, je crois. Et Colin et les gars, ils le connaissaient. Et ils sont foutrement dévastés qu’il soit mort. Et je suis jaloux parce que…
— Parce que ? intervient Ginger.
— Parce qu’ils étaient une famille et que je n’en faisais pas partie, dis-je et même si je n’ai jamais eu cette pensée avant, je sais que c’est ce que je pense vraiment à la seconde où elle quitte ma bouche.
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Theo griffonnait. Assis sur le sol, ses longs membres pliés ou étendus dans diverses positions ayant l’air toutes aussi inconfortables les unes que les autres, avec le clavier devant lui et son carnet à sa droite. Il griffonnait dans le carnet, essayait quelque chose sur le clavier, puis griffonnait à nouveau. Au début, j’avais l’impression qu’il n’arrivait à rien, mais si je m’arrêtais et écoutais attentivement, je pouvais entendre la chanson se dessiner en blocs de trois et quatre notes. Je réalisai qu’il composait verticalement, pas horizontalement. Chaque bribe qu’il entendait, il l’entendait comme guitare, chant, basse et batterie. Ce petit merdeux était là, sur mon plancher, à écrire du rock comme s’il composait une foutue symphonie. Non pas que je sache vraiment comment composer une symphonie.
Je n’avais pas la moindre idée de comment il arrivait à garder toutes les parties bien en ordre dans sa tête. Je n’avais jamais réalisé qu’il écrivait de cette manière, c’était comme s’il creusait six pieds sous terre pour chaque phrase. Je restai bouche bée et me demandai alors quelles autres surprises Theo Decker cachait derrière cette cascade de cheveux noirs, ces yeux somptueux et le personnage de rock star que le monde entier connaissait.
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— Je ne veux pas la célébrité, je veux juste la musique. Je sais que tu comprends ça.
Le regard de Caleb confirma ce que je pensais.
— J’aime composer, j’aime monter sur scène, mais putain je déteste le reste. Et j’en n’ai plus besoin. J’ai plus besoin que le monde entier m’aime ou que mes parents m’aiment. J’ai juste besoin que toi tu m’aimes. Parce que je t’aime.
L’expression de Caleb était déchirée entre le choc et le désir. Et la peur aussi. Beaucoup de peur. Mais je continuai, car je devais tout sortir. Je devais rendre tout ça réel.
— Je t’aime tellement Caleb, et… et… et sans toi je n’aurais jamais compris que je pouvais le faire, que je pouvais quitter le groupe. Je n’aurais jamais réalisé que c’était une possibilité si tu ne m’avais pas répété que je n’étais pas forcé d’accepter toutes les conneries de ce milieu et que je pouvais jouer selon mes propres règles. Surtout, je n’aurais jamais vraiment admis vouloir quitter Coco, Ven et Ethan, si tu ne m’avais pas montré ce que c’est d’avoir quelqu’un qui se soucie sincèrement de moi.
Je respirais difficilement. J’étais si bouleversé, exalté et sur les nerfs que j’avais du mal à y voir clair.
— Tu m’as aidé à concrétiser tout ça, ajoutai-je plus doucement. Tu comprends ?
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— C’est là où tu es, bébé. C’est le matin après que tu es sorti. Tu as des décisions à prendre. Et je sais que c’est difficile et que c’est effrayant comme tout, mais… le matin après que tu es sorti… Eh bien, ne pas décider de prendre une décision est la même chose que prendre la décision de ne pas changer ta vie. De ne pas prendre la responsabilité de ce qui arrive ensuite.
— Je n’étais pas en prison, murmuré-je en détournant les yeux.
La colère a quitté la voix de Rafe, maintenant il semble juste triste.
— Tu étais autant en prison que quiconque que j’ai connu là-bas, Colin. Seulement, tu t’es créé la tienne tout seul. Ton père a mesuré la cellule et tes frères ont adapté les barreaux, et tu as tourné la clé dans la serrure et tu l’as enterrée dans un endroit que tu es le seul à connaître. Et tu as fixé Daniel à travers les barreaux et tu l’as maudit pour avoir été capable de franchir la porte. Mais il n’est pas celui qui a fait quelque chose de mal. Tout ce qu’il a fait, c’est se sauver lui-même. Et tu le peux aussi. Mais tu dois trouver cette clé et déverrouiller la porte.
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Pour Timo, il avait ressenti du désir, de l’affection et de l’amour ; du moins, c’était ce qu’il avait cru.

Corbin avait réveillé en lui quelque chose qui était toutes ces choses et aucune à la fois.

C’était ce qui différenciait la confiture de fraises et une fraise parfaite qui avait mûri au soleil. Les autres qu’il avait désirés avaient été de la confiture. Il les avait vus, les avait appréciés, avait capté leur potentiel. Il avait songé à ce qu’il leur ferait et comment ils s’accorderaient.

Corbin était une fraise. Quand on avait du bon sens, on la prenait telle quelle sans poser de question. On n’ajoutait pas de sucre et on ne la faisait pas chauffer. On ne la mettait pas dans un sandwich ou un gâteau. On ne lui faisait rien, parce qu’elle était déjà la plus parfaite des fraises. On acceptait cette vérité et on était reconnaissant de l’existence d’un tel fruit.

Et, si on était chanceux, on la savourait.

C’était ce que faisait Alex.

Il savourait.
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