Critiques de S.D. Perry (90)
je suis en train de le lire et je commence a l'aimer dès le début j'ai sus que j'allais apréssier
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Ce troisième tome s'ouvre avec la fuite de Jill, Barry et Chris de Raccoon : ils récupèrent quelques affaires avant de mettre les voiles en direction de l'Europe pour infiltrer le quartier général d'Umbrella.
Mais ce n'est pas cette petite équipe déjà bien éprouvée qui a la vedette dans ce roman.
Alors que nos STARS préférés quittent la ville pour d'autres cieux, Umbrella a envoyé une escouade de méchants agents pour récupérer le virus.
Quand son créateur s'y oppose, une catastrophe sans précédent se produit : le virus s'échappe, les habitants de Raccoon se transforment.
C'est ainsi que le tout jeune agent Leon Kennedy prend son service à Raccoon pour la première fois, et découvre des rues envahies de zombies.
Il rencontre Claire, elle aussi fraîchement débarquée en ville, à la recherche de Chris (notre STAR qui vient de décoller pour l'Europe...).
Ils finiront par se retrancher dans le commissariat, qui offre autant de passages secrets que le manoir du tome 1 et de mauvaises surprises aussi -autant de réjouissances pour le lecteur fan du jeu vidéo.
La belle -et torturée de la tête- Ada Wong est de la fête : le mystérieux Trent l'a envoyé récupérer le virus.
A ces personnages, s'ajoute Sherry, la touche de fraîcheur : cette petite fille (censée avoir 12 ans, mais on lui en donne difficilement plus de 7 ou Cool m'a fait penser à Newt d'Alien le Retour. En mieux, entendons-nous bien (dans le sens que celle là, je la trouve sympa, et je n'ai pas envie de l'achever). Sherry est cachée dans le commissariat, et va s'avérer un élément clef de l'intrigue, bien entendu.
Pas mal de monstres dans ce tome, avec quelques modèles maous costauds. Sans oublier le maire de Raccoon qui offre ici un pendant au savant fou Griffith du second tome : tueur en série sadique, il perd contact progressivement avec le peu de réalité qu'il lui restait...et voudrait bien ajouter Claire à son tableau de chasse.
Beaucoup d'éléments qui en font un troisième tome sympa, je ne me suis pas ennuyée une seconde ! Se lit vite, comme les deux premiers, et rappelle vraiment l'ambiance du jeu.
J'envisage de continuer ma lecture de la saga, après trois premiers tomes qui m'ont plu.
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Un second volume de la franchise « Resident Evil ». C’est un tome plutôt petit, à peine 250 pages. L’histoire est courte et se lit rapidement. Elle est donc entrecoupée de nombreuses scènes d’action, n’accordant que très peu de temps-mort aux lecteurs.
L’auteur laisse de la place pour les introspections des différents protagonistes. C’est d’ailleurs étonnant, pour un ouvrage qui comporte autant de personnage, que l’auteur arrive à jongler avec les pensées de chacun. Aucun personnage n’est négligé et a droit à son chapitre. Pourtant, l’auteur n’hésite pas à les sacrifier. La fin en devient même une véritable hécatombe.
Ce tome comporte des notions en biologie qui n’alourdissent pas pour autant la lecture. On voit que l’auteur maîtrise la matière et les faits exposés semblent plausibles. On voit également une autre voie de contamination que la classique morsure de zombie, comme quoi l’auteur avait une longueur d’avance sur les autres œuvres du genre (28 jours plus tard).
Malheureusement, j’ai déploré le fait qu’il n’y ait pas plus de créatures. En tout, on en compte trois : Les Léviathans, espèces de poissons-chats géants. Pour moi, ce sont les créatures les plus impressionnantes du récit mais elles ont été mal exploitées. Normalement, dans ce type de romans, les monstres doivent être de plus en plus horribles afin que le récit aille en crescendo. Là, les pires créatures sont lâchées d’entrée de jeu, et puis, les personnages affrontent d’autres moins « terribles ». Les Trisquads, escouades de trois zombies qui ont été très vite maîtrisées sans même mordre qui-que-ce-soit. Pourtant, leur capacité à manier des M-16 les rendait intéressant. Les Ma7, espèces d’hybrides lézards-lions élimés par de simple Beretta (seule arme dont disposent les agents du S.T.A.R.S.), ce qui est décevant pour une fan des jeux vidéo depuis le premier opus de la franchise. Finalement, dans tout ce bestiaire, seul le docteur Griffith fait des dégât sans pour autant s’être auto-infecté à l’image du docteur Birkin (Resident Evil 2). Comme quoi, seule la folie de l’homme est meurtrière.
Les énigmes manquent également. Étant donné, que les tests devaient être réalisés par les Trisquads, cérébralement, le lecteur ne sera pas sollicité.
En bref, un tome dont la série pouvait se passer. Mais l’histoire reste plaisante à lire.
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Ce quatrième tome de Miss Perry, constitue un inédit à la série mettant en lumière David Trapp et son équipe (y compris Léon S Kennedy et Claire Redfield) infiltrant une succursale de la société White Umbrella dans l'Utah. Très franchement, on s'ennuie vite. D'une part le scénario est peu orignal et manque singulièrement de rythme, d'autre part, les vilaines créature sont d'avantage issues de la SF que du bestiaire (pourtant fourni) de Biohazard. Dommage car les trois premiers volumes m'avaient vraiment passionné. Avec l'espoir de pouvoir lire les derniers tome faisant référence à Resident Evil Code Veronica, Resident Evil Nemesis et Resident Evil 0.
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