Samuel Bjork

Chic ! un autre auteur norvégien aussi barré que Jussi Adler-Olsen, qui lui est danois ou Lars Kepler (le couple suédois). J'ai dévoré "le hibou" et j'ai bien l'intention d'enchaîner sur "je voyage seule". Je retrouve avec plaisir l'ambiance très particulière des pays du grand nord où le temps ne semble pas avoir la même densité que dans nos pays plus tempérés. Je retrouve la lumière, le silence que j'associe à ces lieux et plus que tout l'humanité des individus qui habitent les textes et qui vous restent longtemps en tête après les avoir fini. Le point de départ de ce roman est une adolescente squelettique retrouvée morte sur un lit de plumes de hibou dans un décor qui évoque la magie noire en pleine forêt. Mais comme le dit le géant à Dale Cooper dans TWIN PEAKS : "les hiboux ne sont pas ce que l'on pense ...". Associés à la nuit et à un monde obscur, ils sont ici aussi symboles d'une ouverture sur d'autres mondes.

Il y a un an, j’ai offert ce roman à une collègue à l’occasion des cadeaux de Noël du collège. La couverture m’avait séduite. Je lui trouve une dimension menaçante et en même temps elle dégage une poétique assez fascinante. Cette silhouette de hibou a quelque chose de glaçant et de captivant. Alors, quand j’ai cherché un livre pour partir à Oléron et que je suis tombée dessus par hasard, je ne me suis pas fait prier!



En bref : un corps de femme est retrouvé, entouré de plumes de hibou, un lys dans la bouche. Cette mise en scène en fait frémir plus d’un, et ce d’autant plus qu’une vidéo montrera bientôt le calvaire enduré par la victime. Holger Munch réunit son équipe et tente de démêler les fils de cette inextricable pelote.



J’ai tout d’abord savouré la complexité de ce roman. Plusieurs fils narratifs se développent sous nos yeux sans que nous ne puissions les relier au début : un couple qui veut se marier en dépit de l’avis du patriarche, des enfants malmenés dans une secte, un meurtre abominable aux accents occultes, le tout épicé par les déboires d’une équipe d’enquêteurs détonante. Holger Munch, divorcé depuis des années en pince encore pour son ex-femme, Mia Krüger, génie du profilage, est torturée par un passé et par des deuils impossibles à digérer, Curry et ses démons sombrent peu à peu, Gabriel, jeune hacker au service de la police craint de ne pas être à la hauteur… Le lecteur ne s’ennuie pas! Les chapitres défilent sous nos doigts, passant d’une histoire à l’autre et piquent notre curiosité. Dès les dix premières pages, je savais que j’allais aimer ce livre. L’atmosphère qu’il dégage, les personnages torturés, le meurtre aux motivations obscures et à l’atrocité sans nom. Le mélange idéal pour une lecture addictive.



La rythmique de ce récit est tout bonnement parfaite. Ce que nous prenons au début pour des temps morts concernant Holger, sa famille ou la vie privée de ses enquêteurs prend sens peu à peu au fil des pages. En effet, les fils narratifs vont s’emmêler, s’enchevêtrer jusqu’à former un nœud opaque, si consistant que les policiers auront du mal à dénouer sans casse. C’est aussi une force de ce thriller : personne n’est épargné. L’enquête est longue, pénible et entame les nerfs des plus solides, les autres personnages ont aussi leur lot de malheurs et de peurs. Il n’y a ici aucun bon sentiment qui dégouline et nous avons une lecture vraiment sombre, oppressante, glaçante. J’ai apprécié la consistance du mystère, car presque jusqu’au bout, j’ai peiné à trouver l’assassin et je ne l’ai démasqué que lorsque l’auteur a bien voulu que son public comprenne. Le maillage narratif est donc particulièrement travaillé pour entretenir cette complexité sans perdre le lecteur et pour donner une explication qui soit crédible et compréhensible. Il y a là un très beau travail de construction romanesque.



Autre point des plus savoureux : j’ai découvert en cours de route que Le Hibou était le deuxième volet des enquêtes d’Holger Munch et, à aucun moment, cela n’a entravé ma lecture! Je ne me suis sentie ni ralentie, ni perdue dans les relations entre les personnages. Les rappels des éléments importants sont plutôt subtils et placés de manière stratégique. Je suis enchantée!



Si vous commencez à me connaître, vous vous doutez que j’ai beaucoup aimé les personnages. Mia est une jeune femme qui marche au bord de l’abîme, elle est touchante par sa souffrance, déconcertante par son génie et par son obstination à se fermer aux autres. J’ai hâte d’en savoir plus sur elle. J’ai adoré Gabriel, le jeune hacker, un peu perdu, pétri de bonnes intentions, qui veut à tout prix aider, même si ses frêles épaules peinent à endurer les vicissitudes de l’enquête. Enfin, mention spéciale à Holger Munch: c’est un enquêteur comme je les aime. Il est humain sans être faible, perspicace sans être arrogant, il sait s’appuyer sur son équipe… et il est tout aussi cabossé par la vie que les autres. Voilà des personnages qui respirent la vie avec tout ce qu’elle comporte de joies, de douleurs, de peines et de souffrances. Cela permet de rendre l’histoire crédible et de donner matière à se projeter, à entrer dans le livre.



Enfin, la chute du roman est précise et efficace. Elle est très émouvante et ne laissera personne indifférent. J’ai trouvé savoureux que ce ne soit pas un happy end. Oui, le meurtrier est arrêté, nous comprenons l’étendue de sa folie et cela nous rappelle la terrible banalité du mal, car finalement, le monstre n’est pas toujours celui que nous croyons. Mais, en même temps, cette résolution d’enquête se fait dans la douleur et la tragédie affleure encore, empêchant les enquêteurs et le lecteur de se réjouir complètement. Du reste, nous laissons les personnages dans une telle posture que nous n’avons qu’une hâte : les retrouver pour savoir comment cela évoluera! Vous comprenez donc que je vais guetter la prochaine sortie de Samuel Bjørk. En un tome, il a su conquérir mon petit cœur de lectrice et m’attacher de manière durable à ses personnages. En attendant la suite, je me jetterai sur le premier volet Je voyage seule.



Le Hibou est donc une lecture parfaite en tous points : équilibrée, dense et intense. Elle met en scène un meurtrier retors et diablement intelligent. Nous sommes tenus en haleine tout du long. J’ai adoré.
Lien : https://lesreveriesdisis.com..

Un polar qui se décompose en de nombreux petits chapitres, entrainant le lecteur sur différentes pistes jusqu'au resserrement final. Agréable à lire, mais l'intrigue manque de puissance et l'atmosphère scandinave est trop peu présente

Un bon thriller malgré un duo de policiers sans surprise : un grognon et une legerement fêlée qui m'a rappelé Lisbeth ou Saga (de la serie Bron)

J aime beaucoup les auteurs scandinaves. J apprécié leur style la plupart du temps. Je sais que ça peut être très lent mais ça fait parti d un tout.



Parfois, je n apprécié pas. C est le cas ici. Je me suis ennuyée du début à la fin. Pas une once d action ou de suspens. Des idées avancées sans suivies. Des «  retournements » de situation qui n en sont pas car ils passent en fait inaperçus. Bref pas une grande réussite à mes yeux.

Encore une belle claque de thriller glauque 👌 Contente de retrouver l'équipe. Je me dis quand même que c'est un chouilla poussé quand on est de la famille de qui-vous-savez/saurez... Véritable page turner! On ne s'ennuie pas une minute! Hâte de découvrir ce que mister Bjørk nous réserve pour la suite 😊

Ce roman est truffé de psychologie à deux balles, qui pourraient laisser à penser que les Norvégiens sont tous des psychopathes ou manquent d'affirmation de soi. Quand l’auteur présente l’équipe de policiers comme les meilleurs de Norvège, vu la façon dont ils mènent l’enquête, il vaut mieux ne pas être concerné ! Beaucoup d'incohérences et de clichés, dont l’éternel flic à la dérive. Aucun personnage ne ressort du lot, on les voit évoluer avec de l’indifférence. Fin trop stéréotypée. Finalement, assez ennuyeux.

Après un début un peu long, mais nécessaire, où la présentation des nombreux personnages plante le décor, tout s'accélère et la tension monte crescendo !

On est tenu en haleine jusqu'au twist final, que je n'ai absolument pas vu venir ! Je suis une habituée des thrillers donc je sais qu'il faut toujours se méfier des personnages qui semblent totalement innocents mais là, chapeau, je suis tombée des nues ! Arrivée à la moitié du livre, il m'était totalement impossible de le lâcher avant la fin !!

J'ai adoré les personnages qui composent l'équipe policière et vu que l'auteur s'est lancé dans une saga avec déjà un tome 2, je suis pressée de lire la suite de leurs aventures !

Ça part bien, l'intrigue se noue rapidement, le style est vif, on a envie de savoir la suite. Tout ce qu'il faut pour faire un bon polar. Puis les pages tournent, la fin arrive, un peu décevante. Et finalement, tout est resté assez superficiel, les personnages ne livrent pas grand chose, l'histoire est assez invraisemblable, la fin mal ficelée. Bon c'est agréable à lire, ça vaut ses 3 étoiles mais pas plus. J'essayerai quand même "je voyage seule" histoire de voir si c'est mieux. Parce qu'on sent bien que l'auteur a du potentiel !

Lu en Janvier 2017

Introduction très longue mais je venais de lire Je voyage seule juste avant. Espacer plus les livres je pense. L'enquête m'intéressait moins que la première, qu'une seule victime, des recherches trop abstraites, l'identité des personnages pas assez détaillé. Pas d'émotions.

Une enquête menée tambour battant par un duo insolite. Cette histoire va toucher le protagoniste Hunger Munch en plein coeur. J'ai bien aimé. C'est rythmé et réaliste. Nos enquêteurs sont bourrés de failles et de défauts qui les rendent attachants et suscitent une certaine curiosité chez le lecteur. Peu à peu tout se met en place. C'est original, haletant et enlevé.

Walter Henriksen promène son chien à Maridalen, quand il tombe sur le cadavre d’une fillette pendue à un arbre par une corde à sauter, son cartable sur le dos et une pancarte autour du cou avec, dedans, un papier : je voyage seule.



Chez les Iversen les disputes et les coups sont monnaie courante. Pour éviter ce type de spectacle à son petit frère Torben, Tobias a pris l’habitude de l’emmener dans leur cabane en forêt, aujourd’hui, ils iront chasser le mammouth près du lac. Tobias taille des flèches en attendant le retour de Torben parti en récupérer une, un peu plus loin. Quand les deux frères se retrouvent, Torben lui dit avoir vu un ange sans ailes pendu dans la forêt et qui voyage seul.



Mia Krüger a été flic. Elle s’est retirée sur l’île d’Hitra, à deux heures de Trondheim, pour y mourir. Elle a décidé de la date, ce sera le 18 avril dixième anniversaire du jour de la mort de sa sœur jumelle, Sigrid.



Elle alterne les médicaments, par couleur, parce que par utilité elle s’en fiche, et l’alcool, telle est sa vie aujourd’hui, jusqu’au 18 avril. C’est dans 12 jours ! Elle s’assied sur le rocher, regarde la mer et l’horizon, prend de temps en temps deux cachets dans sa poche et les fait passer avec une rasade d’alcool.



Holger Monch a été le patron de Mia. Tout s’est arrêté, car Mia a tiré volontairement sur un dealer lors d’une descente. Nul ne le saura jamais, mais il s’agissait du petit ami de Sigrid, c’est lui qui lui avait donné la dope qui avait causé son overdose seulement deux semaines après être sortie de désintox. Il méritait ça ! Holger s’est trouvé rétrogradé pour avoir pris sa défense et le département a été purement et simplement fermé.



Mais la situation est grave et Holger va devoir convaincre Mia de reprendre du service. Il lui apporte les photos de la première scène de crime, sans savoir qu’il y en a eu une deuxième. Et en excellente professionnelle qu’elle est, Mia a tout de suite relevé des indices très troublants. Son annonce fait froid dans le dos, Pauline, cette petite fille de 6 ans, ne sera que la première d’une longue série, elle en est persuadée. Elle ne se trompait pas !



Son suicide attendra, Mia a décidé de résoudre cette enquête et rejoint Holger à Oslo.



Waow ! Outre l’histoire qui fait effectivement froid dans le dos, des personnages très troublants et avec un passé extrêmement lourd, un rythme vertigineux, on a là affaire à du grand polar scandinave ! Pour son premier roman en solo, il n’a rien à envier aux plus grands du genre, on comprend que Je voyage seule soit un best-seller partout en Europe !



Des personnages très complexes et parfaitement analysés, des situations ambiguës et toujours justifiées, une plume énergique ; une chose est sûre, vous n’êtes pas prêt de lâcher ce roman.



Mia est d’une fragilité émouvante, dernière de la lignée familiale, elle n’arrive pas à surmonter cette solitude. Holger, sexagénaire désabusé par la vie et son métier, voue un amour sans borne à sa petite fille Marion, à défaut d’avoir aimé sa fille comme il aurait dû. Mais il n’a pas été vigilant et son métier a pris le dessus, le conduisant au divorce.



Les personnages secondaires - si on peut dire qu’il y en ait tant chacun a une importance vitale - ne sont pas laissés en compte, du petit geek dernier arrivé dans l’équipe, au psychopathe responsable des assassinats, tous sont merveilleusement bien décrits et présentés.



Une course contre la montre, folle, surprenante, pleine d’embûches et de fausses pistes, font de ce thriller CELUI qu’on doit lire absolument !


Lien : http://onirik.net/Je-voyage-..

Le pasteur de Sandefjord ferait bien des entorses à ses convictions pour une poignée de billets, et plus la poignée est importante, plus l’entorse peut l’être aussi. Marier le fils d’un riche armateur, grand bienfaiteur de son église, à une femme ayant déjà deux enfants ne le dérange pas, même s’il doit mentir et faire abstraction des deux enfants. Ils n’apparaîtront nulle part sinon le fils à papa n’héritera pas, alors que la mort du patriarche est imminente.



Quand peu de temps après la jeune mariée vient à disparaître et qu’à nouveau le fiston le sollicite, contre une « promotion », l’affaire est conclue. Il ne dira rien de ce la jeune femme est venue lui confier : ses enfants ont disparu de la surface de la terre !



Tom Petterson est botaniste à l’université d’Oslo. Il est en charge de la préservation d’une espèce végétale rare : la tête de dragon. Il est parti en forêt ce matin pour tenter de découvrir un nouveau pied de cette plante, mais son chemin va croiser l’horreur, le corps d’une jeune adolescente nue, bleue, entourée de plumes, un lys blanc dans la bouche.



Holger Munch va être appelé sur la scène de crime, c’est une affaire pour l’unité spéciale. Le corps de Camilla Green est au milieu d’un pentagramme, entourée de bougies, les bras et les jambes dans une drôle de position. Ça ressemble à s’y méprendre à un rituel, peut-être satanique.



On retrouve, avec une délectation non dissimulée, la même équipe dirigée par Munch sous la houlette de Rikard Mikkelson : Ludvig, Kim, Anette, Gabriel, Curry et la petite nouvelle, Ylva. Mia Krüger est toujours en indisponibilité, elle tente de régler son addiction aux médicaments et à l’alcool.



Sans Mia, son équipe n’est pas complète. Comme il y a six mois, il va aller la voir pour lui demander de réintégrer l’équipe à condition de continuer ses séances chez le psy. Et, il va falloir vraiment tout l’esprit alambiqué et torturé de Mia, pour avancer dans les investigations. L’horreur à l’état pur vient de frapper.



Les personnages de Munch et de Mia, sont à nouveau mis à l’honneur, et si cette enquête fait suite à Je voyage seule, elle peut tout à fait être lue indépendamment. Mia continue de s’éloigner du monde dans sa tête, sa dépendance est de plus en plus forte et on se demande comment elle arrive encore à raisonner et tenir debout.



Munch s’en rend bien compte, mais lui aussi doit faire face à ses propres démons, d’autant plus que cette fois encore il va être touché de très près. On s’attache encore un peu plus à eux, leur fragilité, leurs faiblesses, mais aussi leur persévérance, leur pugnacité en font vraiment des personnages intéressants. Ils ont évolué par rapport au premier roman.



L’histoire est énorme et vous allez être scotchés ! Et il ne s’agira plus de dire : oh encore un chapitre, encore 5 minutes. Non, non, ce sera plutôt : je veux le finir ce soir, tout de suite. Extrêmement addictif et bien écrit, il ne vous laissera pas le choix que de continuer votre lecture, dans une bulle d’horreur et de dépravation.



On a hâte de les retrouver dans une nouvelle enquête, qui sera, à n’en pas douter, aussi tordue, machiavélique mais pleine d’humanité, que les précédentes. Oui vraiment, on a hâte !
Lien : http://www.onirik.net/Le-Hib..

J'ai été prise assez rapidement dans le récit, et le suspens est maintenu tout au long des pages, même si j'ai trouvé quelques longueurs au début.

J'ai eu peur de perdre le fil de ma lecture car une multitude de personnages et de points de vue apparaissent au cours des chapitres, mais en fin de compte, on s'y retrouve facilement. Chaque personnage à un rôle à jouer et chaque événement a son importance.

Les personnages de Mia et Holger sont plutôt attachants, j'ai apprécié également les autres membres de l'équipe de police dont on ressent la cohésion.

De plus l'écriture ne se perd pas dans trop de descriptions, ce qui fait que la lecture est assez plaisante.

Une bonne découverte.

Après avoir lu " je voyage seule" que j'ai adoré j'ai dévoré celui ci et je n'ai pas été déçue bien au contraire....

On retrouve Mia et Holger personnages principaux de ces deux thrillers.

A quand le 3éme Mr Samuel Bjork ??

J'ai lu le livre en 1 jour et demi. Haletant. Ecriture fluide. Histoire bien menée. Suspens au RDV !

Je ne suis pas du tout amatrice des romans des pays nordiques, en général j'ai du mal à accrocher avec les noms, l'ambiance..

Je voyage seule est pour moi une très bonne surprise :)

Je viens de le finir, et alors qu'en général je fais un peu traîner ma lecture quand il s'agit de thriller norvégiens, là je l'ai dévoré puisqu'en 2 jours j'avais lu les 600 pages !

J'ai aimé l'ambiance, c'est parfois un peu glauque mais c'est bien ficelé. L'auteur nous balade, il est vraiment difficile de savoir où il va aller.

Je ne m'attendais pas à ça, j'ai été très étonnée par le dénouement.

J'ai apprécié les personnages, surtout Holger Munch et Mia Kruger. Personnages complexes mais captivants.

L'histoire est assez complexe, faut vraiment bien suivre, et il y a pas mal de personnages différents, certains peuvent s'y perdre mais ce ne fut pas mon cas.

Il s'agit du premier roman mettant en scène les deux policiers mais j'espère qu'il y en aura d'autres, et je prendrais plaisir à les retrouver :)

Je mets 4 étoiles car ce fut une bonne surprise :)

Bon moment de lecture que cette histoire de petites filles enlevés.

Un peu macabre mais j'ai aimé le suspens que l'auteur crée.Il y avait un moment que je n'avais lu ce genre de livre et je me suis retrouvé assise sur le bout de ma chaise à quelques reprises.

Certains ont reproché la fin trop rapide mais quant à moi , j'ai aimé.

Je classe donc cet auteur comme auteur à suivre.

Livre que se lit très vite et dont j'ai apprécié les personnages principaux et l'intrigue de manière générale.

J'ai trouvé que c'était bien écrit et bien suivi.

Malgré tout, même si ça se lit sans ennui, je sais que d'ici une ou deux semaines je ne me rappellerai déjà plus vraiment de l'histoire.

Bon livre à lire pendant les vacances pour se détendre mais qui ne laissera pas un souvenir impérissable. Si je tombe un jour sur la suite, je la lirai peut-être, mais ça ne sera pas ma priorité.

Direction la Norvège où l'on retrouve les héros de "Je voyage seule".

Au milieu d'une paisible clairière, un botaniste fait une macabre découverte : le corps d'une jeune femme assassinée. Celui-ci trône au milieu d'une mise en scène pour le moins dérangeante, en effet un étrange pentagramme, des bougies et des milliers de plumes de hibou décorent sa dernière demeure. Très vite, l'enquête s'oriente vers un centre horticole pour jeunes en souffrance. Là, les adolescents, telle que la jeune fille, peuvent étudier, jardiner et renaitre de leurs blessures. Dirigé par la charismatique et bienveillante Héléna, les éloges ne manquent pas. Alors comment expliquer ce meurtre, sans parler du calvaire qu'elle a enduré les semaines précédentes? Quel esprit tordu et machiavélique est derrière tout cela?

Munch, un vieux de la vieille et son équipe dont Mia, une jeune femme aux troublantes capacités, une âme torturée et hantée par son passé, vont tout mettre en œuvre pour élucider cette affaire. Et le temps presse car l'oiseau de nuit est déjà sur la piste d'une autre "élue".

Entre satanisme, folie, argent, abandon, activisme..., un roman rythmé sans pause. C'est bien ficelé et l'étau se resserre jusqu'au dénouement final. Très nordique mais le grand nord a du bon ;-)