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Critiques de Santiago Posteguillo (70)
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Moi, Julia

N’y allons pas par quatre chemins. Ce livre est splendide. D’abord parce qu’il nous propose de découvrir un personnage historique féminin hors du commun, cette Julia Domna dont tous ceux qui l’ont connue ont pu mesurer – mais parfois trop tard – la très vive intelligence. Mais également parce que, malgré son érudition – la bibliographie donnée en fin d’ouvrage couvre une douzaine de pages -, il reste tellement lisible, tellement accessible, tellement humain !



Car, oui, quand on se retrouve confronté initialement à ce beau pavé, on peut légitimement se demander si l’on va être en mesure de suivre ce récit, qui s’attaque, il faut aussi le signaler, à une période de Rome particulièrement complexe, qui voit en quelques mois se succéder trois empereurs, assassinés les uns après les autres, dans une guerre civile qui ne s’achève que dans la lutte entre les trois gouverneurs les plus puissants !



La liste des principaux personnages de l’histoire, donnée en début d’ouvrage peut, elle aussi, faire peur davantage qu’elle ne rassure. « Ne vais-je pas m’y perdre parmi cette cinquantaine de noms ? »



Mais rassurez-vous : l’auteur a mis tout son art pour que ce récit reste incroyablement accessible. Le seul moment où, parfois, on peut avoir l’impression de ne pas visualiser exactement la situation, c’est lors des descriptions des batailles, qui constituent toujours des moment complexes, dont on dit souvent qu’ils se caractérisent par une indescriptible pagaille… si l’on en croit les mots, comment s’étonner qu’il soit compliqué de les dépeindre avec précision ?



Le seul vrai problème avec ce livre, c’est qu’avec ses 800 et quelques pages (et presque 900 avec les annexes, la bibliographie, les plans des lieux, une note historique…), c’est que, pour ceux qui lisent assis, dans un fauteuil bien confortable, il pèse quand même vraiment son poids ; pour ceux qui lisent dans leur lit ou sur un canapé, c’est compliqué… Mais il faut – et il est rare que nous soyons aussi directifs -, oui, il faut tout de même absolument le lire !



Ah, et puis, quand même, n’oublions pas que la meilleure nouvelle de tout cela, c’est que la suite est sortie…
Lien : https://ogrimoire.com/2023/0..
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Moi, Julia

Alors quelle fresque ! N'ayons pas peur des mots, c'est un vrai chef d'oeuvre pour moi que signe ici @santiago_posteguillo Vous l'aurez compris c'est un véritable coup de coeur. Et pourtant, soyons honnêtes, en voyant le pavé de 800 pages j'avais un peu peur car si on accroche pas ça peut être très long ! Mais au contraire, j'ai refermé ce livre en tournant les pages tellement facilement que j'étais étonnée du rythme de ma lecture. J'ai adoré découvrir Julia, c'est une femme incroyable, belle, intelligente mais pas que... et ce couple avec Septime Sévère, on les envie presque tellement ils donnent cette image de couple parfait. J'adore l'histoire de Rome, j'adore lire sur ces époques mouvementées où tout était incroyable ! Les descriptions et la fluidité du texte est juste parfaite. Je m'y voyais et je ressentais les émotions de Julia et de sa famille. C'est un roman magnifique qui m'a conquise et que je vous recommande très fortement, je l'ai trouvé magistral. J'espère que vous succomberez à ce roman et que vous aurez aussi envie de découvrir Julia.

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Julia et la colère des dieux

Une lecture des plus passionnante, encore une fois j’ai pu découvrir ce qu’était l’empire romain de par la dynastie à en devenir de Julia Domna et Septième Sévère. En effet tout ne se passera pas comme prévu, les Dieux vont s’en mêler afin de contrer le pouvoir absolu qu’exerce la belle syrienne.

Le travail de recherche est un point non négligeable, si vous aimez cette période : foncez.

J’avais eu un coup de cœur pour le premier tome : Moi, Julia. Je crois que ce second tome aura aussi réussi à s’inscrire dans mes tops de l’année 2023.



Car en effet, l’auteur à totalement réussi à construire un ouvrage tout aussi riche que le premier, il est dans la continuité des évènements concernant la famille impériale mais se distingue aussi par son côté plus « psychologique » concernant les personnages, qu’ils soient loyaux, imbus d’eux-mêmes ou bien même souffrants. J’ai pu comprendre davantage le fonctionnement de certains, m’attacher et pour ça : merci.



Ce tome est néanmoins digne d’une tragédie : Julia face au reste du monde, aux ennemis, aux dieux mais aussi face à la maladie. Une femme de poigne, de caractère et prête à tout pour maintenir sa dynastie, vraiment à tout.

Croyez moi, vous allez adorer parfois même détester mais surtout vous allez savourer cette lecture dense et qui vous mènera au cœur de l’empire romain faisant face aux plus grandes menaces.



C’est avec une douce amertume que je ferme ce livre, que je laisse cette famille aux secrets parfois inavouables au sein de l’empire romain.

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Julia et la colère des dieux

Son mari Septime Sévère désormais nouvel empereur de Rome, Julia Domna est ravie de voir que ses stratégies ont fonctionné et qu'elle est passée de simple petite princesse syrienne peinant à se faire une place au sommet ! Mais les tensions familiales entre ses deux fils qui se déchirent et l'annonce par son médecin de famille d'une terrible maladie viennent ébranler l'avenir de sa dynastie. Julia ne peut et ne veut laisser tomber. Coûte que coûte elle doit faire face aux obstacles et la faire perdurer le plus longtemps possible de son vivant. En parallèle, le conseil de Jupiter formé par les dieux romains est très en colère contre Julia et ils décident de jeter leur colère sur elle en lui envoyant différentes épreuves dont elle n'a évidement pas connaissance pour la tester et l'empêcher de mener à bien ses derniers projets. Julia n'a d'autre choix que de l'emporter ... ou de mourir.







Si je vous dis que j'ai mis 48 heures seulement pour dévorer plus de 900 pages vous me croyez ? C'est ce qui s'est passé avec ce roman qui est un véritable chef d'œuvre et clairement ma meilleure lecture de 2023 jusque-là. J'ai adoré retrouver Julia, sa famille, son médecin et même ses ennemis qu'on prend plaisir à détester (et on aimerait bien que les dieux s'en prennent plutôt à eux). On s'intéresse à la seconde moitié de la vie de cette femme incroyable qu'on a tenté de rayer de l'Histoire et dont l'auteur permet, au travers de ses recherches, de se rendre compte de tout ce qu'elle a accompli. Mère de la patrie, des armées et mère tout court elle a permis d'éviter bon nombre de drames et de par ses talents de stratèges bon nombre de conflits. La deuxième et dernière partie de sa vie est plus sombre, on se doute de comment cela finit mais tout du long on est immergé dans la Rome antique avec les scènes de batailles grandioses, les complots politiques, les trahisons, les banquets factieux, les jeux de cirque ou encore les courses de chars impressionnantes à l'hippodrome. On s'y croirait et les querelles familiales apportent une touche supplémentaire d'adrénaline ce qui fait qu'on ne peut pas lâcher le roman jusqu'à la dernière ligne. C'est très dense, il ya beaucoup de personnages, le vocabulaire est parfois en latin et c'est évident que vous n'aurez pas toutes les références (moi comprise) mais vraiment focalisez-vous sur Julia, sa famille, ses amis et ses ennemis. Une fois ce petit monde identifié laissez-vous juste porter par la suite et vous verrez c'est magique. Trash, sanglant et horrible ... mais prenant 😍

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Julia et la colère des dieux

Ce livre est la suite de Moi, Julia, et c’est encore une lecture très agréable, intéressante, palpitante même, autour de cette femme qui fût Julia Domna Augusta, impératrice de la Rome Antique (c.197 dC).

Le livre a 786 pages et pesait, dans cette édition, 1 kilo 200 grammes à soutenir, mais cela vaut la peine.



Julia est Impératrice, mère des armées, épouse de Septime Sévère et sa vie nous est racontée par le médecin impérial, Galien de Pergame.

Les chapitres sont courts, avec un texte si visuel et dynamique que l’imagination s’envole et l’on se retrouve dans un bon péplum en technicolor.



Julia a constitué une nouvelle dynastie avec son époux, l’Empereur Septime Sévère, grand militaire et stratège, et ses deux fils Antonino et Geta.

Julia esta ambitieuse, intrigante, très intelligente. A Rome tous veulent le pouvoir et ils sont disposés à tout pour l’avoir : intrigues, assassinats, empoisonnements, rapts, viols, incendies, inceste, trahisons, mensonges. Tout peut servir, il n’y a pas d’éthique.

Les deux fils de Julia sont destinés à régner, mais ils ne veulent pas partager le pouvoir.



Les situations les plus incroyables surviendront avec des solutions qui ne sont pas toujours justes, mais c’est la couleur locale en 197 dC. Garder le pouvoir ou mourir, telle est la devise.

Dans ces conditions, il est difficile de juger les actes de Julia car étant femme, et de plus étrangère (syrienne), elle n’aurait pas du accéder au pouvoir le plus haut de l’État.



Les cohortes romaines, si impressionnantes, si parfaites, étaient constituées en grande partie de mercenaires recrutés aux quatre coins de l’Antiquité. Ces hommes étaient très vénaux, réclamant toujours plus aux Généraux, refusant le combat en cas d’impayés. Et il est vrai que les chances de rester en vie étaient infimes… Le Sénat était indépendant de l’Armée et le Cesar avait besoin de ce Sénat pour régner. Un Sénat corrompu qui survivait avec des intrigues sordides.



L’attitude de Julia, indomptable, ambitieuse, rétive, va indisposer les dieux de l’Olympe qui vont se diviser en deux groupes irréconciliables. Les dieux, aussi peu conciliants que les simples mortels. C’est le côté fantastique dans le récit de Posteguillo.



Julia a eu la main sur l’Empire Romain, une tâche de titans, elle, la manipulatrice implacable, mais toujours cérébrale.

Il y a d’autres profils de femmes magnifiques dans ce beau roman : la soeur de Julia, Maesa, celui de sa nièce Sohemias, celui de l’esclave Lucia.

Quelques hommes m’ont paru remarquables : Septime Sévère le mari ,son amant Quinto Mecio, le médecin Galien.

Un très bon roman.
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Moi, Julia

Moi, Julia est un pavé de huit cent pages qui impressionne aux premiers abords. On prend le livre en main avec certaines appréhensions : huit cent pages d’histoire romaine quand on n’y connait pas grand-chose, et à propos d’un personnage historique qu’on ne connaît pas, ce n’est pas toujours très motivant même pour un lecteur ou une lectrice assidu(e). Que nenni ! Santiago Posteguillo et la traductrice Hélène Serrano balaient en quelques pages à peine ces craintes et plongent le lecteur dans une immense fresque historique aux parfaits ingrédients : rebondissements, amour, découvertes, des faits historiques véritables, complots, guerre, trahison, etc…

Au centre de cette histoire, Julia Domna, épouse de Septime Sévère, et pourtant jusqu’à maintenant un personnage historique très peu connu qui n'avait jamais été auparavant exploité en littérature. Heureusement Santiago Posteguillo remédie à cela et nous offre, dans ce roman, le point de vue de cette grande dame qui a eu une si grande influence sur l'histoire de l’Empire romain telle que nous la connaissons. Comme dit l'adage, « derrière chaque grand homme se cache une femme « et Julia Domna en fut une des preuves vivantes. Par son histoire, le lecteur comprend vite La femme admirable qu'elle a été, une femme forte qui a su trouver sa place dans un monde régi par les hommes Et qui n'a jamais plié face à eux pour s'assumer comme une grande femme de pouvoir. C'est aussi une femme manipulatrice, preuve d'une très grand intelligence, qui sera toujours guidé son époux dans la bonne voie menant au trône de l'empire romain. Tout cela évidemment a été inspiré par toute la documentation, toutes les recherches qu’a du accomplir Santiago Posteguillo pour réussir l’écriture de ce roman.

Roman historique, certes, mais jamais au grand jamais le lecteur aura l’impression de lire un manuel d'histoire, je vous rassure. Au contraire, l'auteur ne va jamais étaler sa science et ne gardera que les éléments essentiels au récit. De plus, la plume percutante de l'auteur reste accessible, et des notes de bas de page vont aider le lecteur à comprendre les nombreux termes latins Et le contexte historique pour les plus ignares d'entre nous (moi la première je ne connaissais pas grand-chose à cette période historique si ce n'est quelques noms vaguement entendus). Aussi l'écriture est fortement rythmée, dynamique, et surtout fluide. Cela fait de ce roman un vrai page turner et les huit cent pages se lisent en fait très vite. Comme on dit, ça passe crème (ou comme un cachet à la poste).

Mention spéciale à la couverture magnifique de ce roman, à la mise en page ingénieuse et très belle (d'ailleurs chaque partie est parée d'illustrations d'une pièce de monnaie), et les superbe cartes présente à la fin du livre pour une meilleure compréhension de la géographie et des batailles de l'époque.

Milles merci à Babelio et les éditions Cherche Midi pour l’envoi de ce livre et pour nous avoir offerte cette belle opportunité de rencontrer l’auteur en personne lors d’une rencontre le 27 avril dernier. J’en garderai à jamais un merveilleux souvenir.

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Moi, Julia

Ce livre, je vous le dis directement, allez l’acheter et dévorez-le. Oui oui, sa taille fait impressionne, mais faites-moi confiance.



Julia DOMNA est une étrangère, elle n’est pas de cette Italie à la culture du pays si fière. Non, Julia est Syrienne, elle a cette beauté et ce charme des pays d’à côté. Loin de n’avoir que cet atout, elle est également fille d’un ancien roi, née pour régner sur un empire. Même si dans son pays natal il ne lui reste plus rien, elle compte sur son mari Septime SEVERE pour hisser son nom vers le sommet. Grand général de guerre et gouverneur, Septime est le responsable de Pannonie supérieure, soit l’une des factions les plus importantes et influentes de l’empire Romain. Pas de quoi être empereur, le maître de Rome, mais puissant tout de même.



Néanmoins, au début du roman, Julia est à Rome avec ses deux fils, quand son époux est avec ses hommes en Pannonie. Ils ne peuvent se rejoindre, car l’actuel empereur, Commode, un fou tyrannique et paranoïaque veut tenir en respect les grandes factions en tenant « prisonnières » à Rome les familles des gouverneurs. Quand Commode est assassiné par ses proches collaborateurs, le jeu des chaises musicales pour le pouvoir commence.



Dans cette quête enivrante pour le pouvoir, la richesse, tout va tourner autour de Julia. La belle et somptueuse Julia, qui ne laisse personne indifférent, et rien au hasard. Elle n’est peut-être « rien qu’une épouse » pour l’époque, mais en vérité c’est elle qui tire toutes les ficelles. Dotée d’un esprit aussi vif et brillant que son physique, elle a tout planifié pour atteindre son but, sa destinée.



Sous ses yeux vont se succéder plusieurs Auguste, plusieurs empereurs de Rome, et à chaque fois elle saura soit anticiper les dangers, soit les contourner pour en sortir victorieuse. La plus grande des batailles se jouera par elle, et pour elle. Une guerre sans merci aux confins d’un royaume immense physiquement mais aussi historiquement. L’histoire de Rome a traversé les époques, les âges, mais dont on a tu toute l’importance des femmes dans sa renommée. Julia DOMNA fut une femme ambitieuse et exceptionnelle, que ce roman permet de mettre en avant. Sans elle, une page entière de Rome n’existerait pas, et ne serait pas celle qu’elle est aujourd’hui grâce à son vécu. J’ajouterais que son histoire d’amour, sa passion envers son mari est insolite pour l’époque, mais c’est également ce qui fait le ciment de la construction qu’elle s’est évertuée à monter pendant toutes ces années. Cette confiance et ce respect réciproque, rien dans la conquête de Rome n’aurait été possible sans cela. Bouleversant !



Un roman remarquablement bien écrit, historiquement fournit et détaillé qui ne tombe pas dans le lourd ou l’excessif. C’est prenant, addictif même. J’espère que vous vous laisserez embarquer dans ce grand moment aux côtés d’une femme indomptable, admirable et extrême sous toutes ses formes.
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Moi, Julia

*lecture terminée*



moi, Julia de Santiago Posteguillo qui sortira demain chez le @cherchemidiediteur.



Julia Domna, jeune syrienne, épouse Septime Severus, l'un des gouverneurs de Commode. Commode, l'empereur fou et tyrannique de Rome 192 ans après JC. Ce dernier va finir par être assassiné.

Par cet assassinat, Julia comprend que l'Histoire est en train d'être changée et veut fonder une dynastie et nommer son mari empereur.

Cependant, beaucoup rêve d'être empereur et les combats seront loin d'être facile. Va t'elle réussir son ambition? Son mari va t'il survivre aux combats?



J'avoue que le nombre de pages m'a fait peur (un peu plus de 800 pages) ainsi que le sujet. Je lis très peu de romans sur cette période. Mais c'était sans compter sur la plume addictive et fascinante de l'auteur. J'ai littéralement dévoré les pages sans les voir passer.

Le destin de Julia et de son mari est fascinant.

Il y a très peu de livres sur Julia et c'est dommage. Clairvoyante, très grand caractère, ambitieuse, elle a tout pour fasciner.

Je vois très bien une série après ce livre. Entre amour, trahisons, combats, manigances, meurtres et rebondissements on ne s'ennuie pas une seule seconde.

L'auteur a fait quantité de recherches c'est impressionnant! Vous apprendrez beaucoup de vocabulaire de l'époque et voyagerez à travers l'Europe et l'Egypte.



Je vous le conseille sincèrement! Ce livre sort demain en librairie! Foncez-y!



Je remercie infiniment @benoit.andrey pour cette belle découverte!

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Moi, Julia

Une bonne grosse briquette que ce roman ! Et pourtant cela se lit avec assez de facilité.



Ce livre est vraiment une pépite, dans le fond comme dans la forme.

Histoire originale sur un personnage féminin quasi inconnu -Julia Domna- mais qui a eu un véritable impact dans la vie politique de son mari, Septime Sévère, et dans la ville de Rome.



Récit, certes, fictionnel mais qui est bourré de faits historiques ( il n'y a qu'à voir toutes les infos en annexe!),l'auteur a mis plusieures années pour écrire ce texte et le résultat est là !: un savant mélange entre fiction et essai historique.



Et pour la compréhension de lecture, le découpage en grandes parties qui correspondent aux règnes de différents empereurs permet de ne pas trop se perdre dans la frise chronologique.



C'est bien fait et bien pensé.



Me tarde de lire la suite (car oui il existe un 2e tome tout aussi epais)

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Moi, Julia

Désolée je ne rejoindrai pas la majorité des avis sur cette lecture.

Les points positifs :

Un personnage historique féminin puissant

Une richesse historique très bien travaillée par l'auteur

Une intrigue qui s'installe petit à petit

Les points négatifs :

C'est long !

Beaucoup beaucoup beaucoup de récits de batailles et de tactiques militaires.

Un tome 2 qui semble tout aussi long.



En revanche c'est idéal pour les amoureux de la Rome Antique et des récits historiques fidèles.
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Moi, Julia

Moi, Julia 👸🏼

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Un roman historique passionnant basé sur la vie de Julia Domna, une impératrice fascinante et pourtant méconnue en 192 après JC. 🌠

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Rome est sous le contrôle de Commode, un empereur fou. Lorsque celui ci va se faire assassiner, une nouvelle ère de terreur et de tyrannie va alors régner. 🏹

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La belle Syrienne, Julia, suscite déjà bien des jalousies, de par son charisme, son intelligence et sa position dans le monde. 🙇🏼‍♀️

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Femme du gouverneur Septime, ce couple est craint autant qu’il est admiré. 👩🏼‍❤️‍👨🏻

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Elle va alors servir les intérêts de son mari tout en tentant de protéger sa famille menacée. 👨‍👩‍👦‍👦

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Entre dynastie, guerre civile, quête de pouvoirs, menaces qui planent au dessus des têtes, combats d’arènes.. ce roman est riche en descriptions et nous immerge totalement dans une époque si lointaine et dont on a tant à apprendre. 📝

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Un premier tome riche, qui m’a littéralement plongé au cœur des batailles entre empereurs, avec cette soif de pouvoir et de savoir où la femme n’est pas toujours bien considérée. 🥺

.

Une jolie pépite pour les amateurs d’histoire et qui sont toujours en quête de savoir. 🙌🏼
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Moi, Julia

Je pensais qu'on serait au cœur des pensées de Julia au vu du titre.

En réalité on est sur un détail de faits historiques et Julia est la trame de fond.

Il n'y a donc peu d'émotions. Le ton du roman est plutôt froid.

Ça n'en est pas moins intéressant. Je ne me suis pas ennuyée même si le volume de page est conséquent.

L'auteur a fournit un travail de fou pour mettre en valeur cette femme et son incroyable intelligence politique.

C'est une belle mise en lumière de cette femme qui a été "oublié" par les historiens.
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Moi, Julia

Nous suivons l'histoire de Julia qui veut aider son mari Septime Sévère à gagner les guerres civiles et à devenir le seul empereur de Rome.

Excellent roman historique que j'ai complètement dévoré à cause de l'intrigue, de l'écriture et de la personnalité de Julia, une femme forte et bien plus intelligente et perspicace que tout le reste.
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Julia et la colère des dieux

Près d'un an et une quarantaine de romans séparaient ma lecture de Moi, Julia et cette suite. L'avantage d'un excellent ouvrage est qu'on s'en rappelle même après plusieurs mois et c'est pourquoi je n'ai eu aucun problème à replonger dans les aventures de Julia Domna et sa famille.



Après une ascension tumultueuse, Septime Sévère est maintenant le maître de Rome. Tout va à merveille pour Julia alors que son rêve de voir son époux et ses fils au sommet est enfin réalisé. Par contre, le pouvoir attire également la convoitise d'autrui et Sévère n'échappera pas aux différentes tentatives de le déloger de son trône. Comme Julia le fait depuis son mariage, elle usera de son intelligence et son charme afin d'aider son mari à conserver son titre, et sa vie.



En parallèle, ses deux fils héritent aussi du titre de co-empereurs avec leur père et tranquillement, la haine et la jalousie s'installera entre eux. Après Julia l'épouse, c'est aussi Julia la mère qu'on verra et encore une fois, sa soif de pouvoir la poussera bien loin afin d'être rassasiée.



À l'inverse de ce que j'avais fait avec Moi, Julia, je n'ai pas été me renseigner sur les faits historiques avant ma lecture. Ça m'avait un peu gâché le plaisir alors que l'Histoire est respectée et que l'auteur s'est donné très peu de libertés donc je savais un peu ce qui allait arriver. Je n'ai pas fait l'erreur deux fois et c'est après ma lecture que je suis allé jouer à l'historien et encore une fois, la justesse des détails est étoffée. Il n'y a que la descendance de Caracalla dont je n'ai pu avoir de confirmation et qui est peut-être la seule chose dont l'auteur s'est permis en terme de liberté.



Batailles, tentatives de coup d'état, meurtres, complots et trahison, on ne s'ennuie jamais dans ce pavé de plus de 900 pages. J'ai rarement lu de romans historiques aussi bien écrit et ça m'a fait découvrir cette épisode de l'empire romain que je connaissais très peu. Seul bémol, ces chapitres avec les dieux romains qui s'obstinent sur la vie de Julia et lui envoient des "épreuves" ne m'a pas trop plu et enlèvent un brin de crédibilité qui heureusement n'affectent peu l'oeuvre en soi. En espérant voir plus de Santiago Posteguillo traduit en français maintenant!
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Julia et la colère des dieux

Woaw, je n’ai rien à dire ! Cette duologie sur Julia Domna m’a complètement fascinée du début jusqu’à la toute fin ! De plus, dans ce deuxième opus, j’ai beaucoup aimé la touche parallèle sur les Dieux Romains. J’ai beaucoup aimé avoir un point de vue des Dieux sur L’Olympe. Ce 2e roman est tout aussi addictif que le premier. Je l’ai laissé duré du mieux que je pouvais. Mais on arrive toujours à une fin..

Encore merci Cherche Midi pour l’envoi de ces romans et pour cette incroyable découverte !
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Moi, Julia

Un chef d’œuvre puissant et incroyable qui retrace , tant bien que mal, la vie d’une des impératrices les plus fortes qu’est connu L’Empire Romain. Je suis restée sans voix tellement ce roman m’a envoûtée. L’auteur relate les faits historiques d’une plume majestueuse et tellement précise qu’il nous transporte sans aucune difficulté aux côtés de Julia Domna, grande dame qui a marqué l’histoire au fer chaud de par son intelligence et sa détermination.

Hâte de dévorer le 2e tome « Julia, et la colère des Dieux. »



Encore un roman qui se liste sans problème parmi mes lectures favorites grâce à Cherche Midi Editeur et son incroyable CM, Benoît
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Moi, Julia

On va pas se mentir au vue de cette briquasse j'ai légèrement paniqué mais la curiosité l'emporte et je me lance pour découvrir qui est cette Julia.



Moi Julia est un roman historique situé durant l'Empire romain. Une période que je lis peu. On se retrouve face à cette femme déterminée à ce que son mari soit le prochain empereur. Julia oeuvre dans l'ombre de son mari.



De ce talent de conteur que possède Santiago Posteguillo en naît une addiction à ce récit, à ce destin de cette femme dont je suis complètement admirative.

La tension du conflit politique est maintenue tout au long du roman. L'enjeu historique est l'avenir de Rome. L'enjeu du lecteur est qu'es-ce qu'il va arriver à Julia ?



J'ai apprécié l'angle choisi par l'auteur pour nous dresser le portrait de cette femme. Il nous la raconte à travers ses ennemis, reflétant la puissance et l'importance de celle-ci.



Entre complot et trahison j'ai été transporté en pleine Rome antique avec une héroïne que je ne suis pas prête d'oublier.

Si vous avez aimé Games of Thrones vous allez vous passionner pour Moi Julia.

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Moi, Julia

Une histoire frappante !



Tout d'abord, j'ai mis un peu de temps avant de m'habituer au style et à la plume de l'auteur, ainsi qu'aux choix qu'il a fait quant à sa narration. Cette dernière est quelque peu inhabituelle, car nous suivons quantité de personnages sur des très courts moments, parfois. Si le titre de l'oeuvre est "Moi, Julia", nous ne faisons pas que suivre ses aventures. En effet, pour comprendre ce personnage, il est primordial de comprendre ceux qui l'entoure. Comme l'a justement dit S. Posteguillo lors de sa conférence chez Babelio, les sources la concernant sont assez éparses et écrites par des hommes, pour des hommes. Julia n'était que mentionnée, ça et là. Ici, l'auteur a essayé de dresser le portrait d'une femme forte, indépendante et, surtout, très intelligente qui ne se laisse pas faire.



J'ai aimé lire les passages sur Julia ainsi que ceux sur son époux, Septime Sévère. Les deux points de vue m'ont permis de comprendre la dynamique du couple qui n'est, il faut l'avouer, pas ordinaire pour la période. J'ai moins apprécié les autres points de vue. Parfois, je me perdais dans les machinations politiques et je décrochais quelque peu. C'est une lecture où il faut rester concentrer tout du long, sinon elle peut s'avérer compliquée à suivre.



Posteguillo a réussi, et d'une main de maître, à communiquer l'ambiance si spéciale de la Rome antique. La thématique est vaste et extrêmement complexe. Même si je suis professeure d'histoire, je ne suis pas spécialiste de la période. Et pourtant, je ne me suis pas sentie une seule seconde perdue et je pense que cela sera aussi le cas pour le néophytes. En effet, de façon parfois très subtile, l'auteur distille ses connaissances. Les notes de bas de page ainsi que les annexes aident aussi beaucoup et sont absolument nécessaires. Donc, ne vous effrayez pas ! Même sans être spécialistes de la période, vous pourrez apprécier votre lecture sans aucun soucis.



Malgré quelques longueurs, j'ai regretté de découvrir Julia alors qu'elle était déjà mariée à Septime Sévère. Je sens qu'il y a tant d'autres choses à dire sur elle ! Mais je sais que je continuerai de suivre ses aventures dans le T2, et j'ai hâte de l'avoir entre mes mains !
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Moi, Julia

Un roman historique que j’ai trouvé passionnant. C’est dense, bien documenté, tout en étant agréable à lire. Les pages défilent d’elles-mêmes. Toutefois, je pense que ce roman s’adresse vraiment à des personnes qui sont férues d’historique pure. Dans l’ensemble, je n’ai pas trouvé que ce roman distillait beaucoup d’émotion. C’était une lecture assez factuelle et descriptive.

En bref, c’est le roman parfait si vous cherchez à en apprendre plus sur l’Empire romain et ses empereurs. Je dois vous avouer que je ne connaissais pas du tout le personnage de Julia Domna. J’ai eu des cours de latin pendant six ans, mais nous n’avons jamais parlé d’elle. En fait, nous n’étions jamais vraiment entrés dans le cœur de la thématique des différents empereurs romains. Je connaissais Commode et Sévère de nom, mais je ne connaissais pas véritablement leur histoire. Pourtant, ce livre m’a montré l’importance de ces deux empereurs, car avec la mort de Commode, une dynastie s’éteint tandis qu’une autre s’installe.


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Julia et la colère des dieux

Quelle lecture et surtout quelle femme!

Nul besoin d'être passionné par la Rome antique pour partir à la découverte de ce roman historique formidablement écrit. Après avoir dévoré le premier tome, il me tardait de plonger dans la suite. Qui est tout aussi incroyable si ce n'est même plus.

Si vous aimez les grandes épopées, les rebondissements, les intrigues et les portraits finement dressés, vous allez adorer partir à la découverte de cette histoire qui tient en haleine de bout en bout. Vous traverserez un immense empire aux frontières illimitées à une époque marquée par la succession de quatre empereurs. Parmi eux, Septime Sévère dont la plus grande des richesses fût sûrement son épouse, l'inégalable Julia Donna. Fin stratège, ingénieuse, d'une ambition à toute épreuve, prête à tout pour construire une dynastie et sauver l'Empire, elle mérite d'être connue au moins autant que Cléopâtre ! Au milieu des manigances, des trahisons, des batailles sanglantes et des chausses-trappes, cette femme au destin flamboyant et à la gloire indiscutable était juste exceptionnelle.

Mais tous les personnages même secondaires qui gravitent autour d'elle, sont parfaitement représentés et incarnés. J'ai particulièrement aimé le portrait de Galien, médecin grec de la famille impériale, fidèle serviteur, qui passa toute sa vie à découvrir les mystères du corps humain.



Santiago Posteguillo offre deux romans d'une grande richesse, très documentés et immersifs. Une lecture addictive, instructive et parfaite pour les longues soirées d'hiver qui s'annoncent !

Traduits remarquablement par Hélène Serrano.



NB: le tome 1 "Julia, un empire, une destinée" est aussi paru aux @editions_pocket
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La famille

Dans « Orgueil et préjugés » de Jane Austen, les époux Bennett n’ont eu que des filles. Mais combien sont-elles ?

Quatre
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