AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Sophie Audouin-Mamikonian (416)


Elle ne s’était pas méfiée, d’autant qu’il lui rendait souvent service, l’aidant à s’occuper des petits. L’homme avait été habile. Il avait aussi été patient. Il avait attendu plusieurs mois que les enfants s’habituent à lui, avant de s’attaquer à eux.
Commenter  J’apprécie          00
J’ai dix-huit ans et je suis un monstre.
Pas le genre avec des tentacules et des taches violettes, qui fonce sur les gens avec de grands « Gaarrrghhh ». Non, le genre anodin, qui se fond dans la masse. Qui ressemble aux humains.
Les plus dangereux.
Enfin pas moi, vu que je ne ferais pas de mal à une mouche. En fait, il faudrait déjà que j’arrive à l’attraper.
Je n’ai aucun signe distinctif. Pas de cicatrice sur le front, d’œil caramel et de beauté glaciale, de longues dents et de soif de sang. J’ai un nombril comme tout le monde et si on donnait mon sang à quelqu’un, contrairement à celui de Superman, ça ne lui ferait rien.
Commenter  J’apprécie          00
1ère phrase: Contrairement à moi, mon histoire n'a rien de banal.
Dernière phrase: La guerre des clans venait de débuter.
Commenter  J’apprécie          00
- Bon sang, Axel, ne me dis pas que vous êtes en train de jouer un remake d'Underworld !
Il me regarda, sincèrement intrigué.
- De quoi ?
- Underworld, le film où une vampire tombe amoureuse d'un lycan. Qui est l'un des esclaves des vampires.
- Connais pas. J'aime pas les films de vampires.
- Et tu aimerais encore moins celui-ci, parce qu'il se termine très, très mal. La vampire est condamnée au soleil et meurt, et le lycan est emprisonné, s'enfuit puis est tué des siècles plus tard. il eut une moue agacée
Commenter  J’apprécie          00
La salive des vampires est à la fois anesthésiante, aphrodisiaque et surtout fluidifiante, afin que le sang coule mieux. Un peu comme les moustiques, en fait. Sauf que les moustiques ne laissent pas les humains saigner à mort parce qu'ils trouvent ça amusant. Certains auteurs ont écrit que les morsures de vampires ont des propriétés coagulantes. C'est vraiment débile comme idée. Le but de la salive des vampires est de faire couler le sang, pas de l'arrêter ! Depuis que Bram Stoker est tombé sur l'un d'entre eux et a réussi à en parler avant de se faire tuer (non, il n'est pas mort de mort naturelle, désolé), tout le monde raconte n'importe quoi sur les vampires, Hollywood en tête.
Commenter  J’apprécie          00
J’ai dix-huit ans et je suis un monstre.
Pas du genre avec des tentacules et des taches violettes, qui fonce sur les gens avec de grands « Gaarrrghhh ». Non, le genre anodin, qui se fond dans la masse. Qui ressemble aux humains.
Les plus dangereux.
Enfin pas moi, vu que je ne ferais pas de mal à une mouche. En fait, il faudrait déjà que j’arrive à l’attraper.
Commenter  J’apprécie          00
Je hais les prédateurs. Encore plus lorsque j’en ai un à mes trousses. Il marche sur deux pieds, mais son âme est celle d’un animal. J’ai trouvé ce renfoncement pour me cacher. La sueur coule sur mon visage et je respire trop fort.
J’entends un reniflement appuyé. Puis un gloussement. Mon cœur s’accélère.
J’ai juste le temps de voir ma vie défiler devant mes yeux. Les pas se rapprochent. J’arrête de respirer.
Il m’a trouvé.
Commenter  J’apprécie          00
— Tu sais, j’adore être chez toi. Nanny m’a installée dans une chambre d’amis, mais je me suis faufilée jusqu’à ta chambre, là je suis sur ton lit.

De vertigineuses images de slips sales et de chaussettes puantes assaillirent mon esprit. La vache, est-ce que j’avais bien tout rangé avant de partir ?
Non, bien sûr, j’avais tout balancé comme un sauvage.

— Quoi... quoi ? coassai-je comme un débile.

Elle eut de nouveau un petit rire, me stupéfiant par sa capacité de lire dans mon cerveau.

— Relaaaaaaax, Nanny a tout rangé. J’ai juste trouvé ta collection de Playboy.
Commenter  J’apprécie          00
Comme partout dans le palais, la magie avait transformé les choses. A l'intérieur [du jardin], le mur disparaissait et on avait l'impression d'être au Mentalir, le pays des licornes. L'horizon s'étendait à perte de vue. L'herbe bleue était parsemée de minuscules fleurs blanches et les arbres ployaient sous les fruits. De ravissantes petites fées, lilliputiennes ailées, butinaient de fleur en fleur, faisant une concurrence acharnée aux bizzz, les abeilles jaunes et rouges d'AutreMonde. De magnifiques papillons violets formaient des motifs étranges et un concert d'oiseaux siffleurs vocalisaient des airs inouïs. Bizarrement, alors qu'il faisait presque nuit dehors, à l'intérieur brillait un superbe soleil rouge, dont les rayons teintaient de rose les pétales blancs. L'air était incroyablement parfumé et une seule goulée effaçait tous les soucis.
Commenter  J’apprécie          00
En suivant les couloirs pour aller jusqu'au parc, Tara constata que pour une mystérieuse raison, ce jour-là, l'impératrice avait parsemé des arbres un peu partout dans son palais. Prenant racine directement dans le marbre vert, ils étendaient leurs ramures et formaient une voûte de feuilles dorées. Des oiseaux de feu volaient dans les corridors, leurs ailes flamboyantes englobées par un sort ignifugé, (...).
Commenter  J’apprécie          00
Elle bondit en l'air si brutalement que le jet brûlant passa derrière elle, détruisant des buissons de roses blanches, une partie de l'île, et vaporisant l'eau si violemment que les Glurps se retrouvèrent à nager dans le vide.
Commenter  J’apprécie          00
Ils feraient mieux de vivre leur vie en l'appréciant, plutôt que de gâcher celle des autres.
Commenter  J’apprécie          00
Et puis des créatures capables d'employer des expressions comme «Les idiosyncrasies de l'impératrice se reflètent dans le sui generis de son palais» n'étaient peut-être pas trop enclines à se laisser gentiment caresser la tête.
Pas sans embrocher l'importun au préalable. Après lui avoir dispensé un cours de philosophie.
Commenter  J’apprécie          00
Fabrice leva la tête vers l'énorme saurien qui bavait sur la bulle, essayant de la traverser, mais en vain.
Je déteste ça ! cria-t-il. Pourquoi ça tombe toujours sur moi chaque fois qu'il y a des machins affamés !
Faites-moi sortir d'ici avant que tout le système de sécurité ne tombe en panne !
Il n'y a aucun risque, répondit Damien.
Ouais! fit Fabrice, et vous avez «dépensé sans compter» et «les ordinateurs ne peuvent pas disjoncter»...
Quels ordinateurs ?
Sortez-moi de là, je vous dis !
Commenter  J’apprécie          00
livre super super génial
Commenter  J’apprécie          00
« Le jeune homme ne comprenait toujours pas les règles de ce nouvel univers. Il " mangeait" des sentiments mais n'avait pas besoin d'éliminer, ce qui lui semblait illogique. Il était essoufflé s'il courait, pourtant, il ne transpirait pas. Il pouvait pleurer, les larmes mouillaient sa main et ses joues, mais il ne sentait pas son coeur battre. Comme si son corps était une projection de son moi originel. Comme si son âme avait pris la forme qui lui semblait la plus familière, par habitude, plutôt que pour une autre raison. »
Commenter  J’apprécie          00
-La soif de sang est passée, Katerina, dit-il d'un ton doux mais sévère.Tout ce que tu feras à présent n'est que le reflet de ton caractère. Rien à voir avec ta transformation en semi. Tu n'auras aucune excuse si tu éprouves du plaisir en voyant souffrir Tyler.Eliminer un ennemi est une chose. Le torturer est tout à fait différent.
Les deux filles firent la grimace en même temps. Annabelle parce qu'elle trouvait très bien de torturer des gens si c'était utile.Katerina parce qu'elle espérait bien que sa condition de bête lui permettrait de se défouler sans culpabilité.
Raté
Commenter  J’apprécie          00
Katerina remua et Axel lui balança un coup de poing sur la tête qui me fit tressaillir.
- Prie pour qu’elle ne se souvienne pas de ça lorsqu’elle redeviendra humaine, sourit Chuck qui s’amusait beaucoup. Il n’y a pas pire enfer qu’une femme rancunière.
Axel eut l’air nettement moins amusé d’un seul coup, et jeta un regard inquiet vers la forme de nouveau inconsciente sur son épaule.
Commenter  J’apprécie          00
Nous vécûmes notamment un bel instant de panique lorsque le shérif voulut m’enfermer à cause de l’avis de recherche et que Katerina dut expliquer qu’elle n’avait pas été kidnappée et que, au contraire, elle essayait d’échapper à Tyler Brandkel qui m’accusait faussement. Ça, j’avoue que je l’avais complètement oublié et que, du coup, lorsqu’il m’était tombé dessus, j’avais été totalement surpris. Heureusement, le shérif avait la fibre romantique et le méchant-plein-de-fric qui essaye d’acheter la-jolie-fille-sans-le-sous en essayant de se débarrasser du concurrent honnête-mais-pauvre lui avait tiré quelques larmes de compassion.
Commenter  J’apprécie          00
Je déglutis. Il me regarda. Et je vis ma mort dans ses yeux.
Commenter  J’apprécie          00



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Sophie Audouin-Mamikonian Voir plus

Quiz Voir plus

Tara Duncan : T. 1 : Les Sortceliers, de Sophie Audouin-Mamikonian

Comment se nomme la grand-mère de Tara ?

Isabella
Angélica
Déria

10 questions
330 lecteurs ont répondu
Thème : Tara Duncan, tome 1 : Les sortceliers de Sophie Audouin-MamikonianCréer un quiz sur cet auteur

{* *}