Stéphane Servant

Ce livre , "Miettes humour décalé" fait partie de l'edition court toujours ,c'est un garçon qui fait un one man show . C'est l'histoire d'un garçon dont l'auteur ne nous donne pas le nom . Durant son spectacle ce garçcon va raconter le harcèlement dont il a été victime . Le livre "Miettes ( humour décalé ) de stéphane Seriant . Ce livre est très court et j'adore les livres les livres plutot courts et le fait que ça parle d'harcèlement qui est encore d'actualité .

4/5

L'histoire se déroule à la fête de fin d'année d'un lycée dans un théâtre, le personnage principal, un lycéen timide et solitaire qui se lance dans un one man show...

Devant tout son lycée il décide de se'' fendre la poire ''sur lui même en racontant son quotidien en dénigrant son physique avec humour.

Yann

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C'est l'histoire d'un adolescent qui fait un one man show pour la fête de fin d'année. Il raconte sa vie, le harcèlement, et le fait de se comparer aux autres lycéens. Il se dit ne pas être viril, et dit avoir des bras tous fins comme des bretzels. le personnage principal raconte ses souvenirs qu'il a vécu.

L'histoire se déroule dans un théâtre, sur une scène.

Je n'ai pas aimé car je n'ai pas accroché à l'histoire.



Kaïs



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3/5

Ce livre parle d’un jeune qui a vécu beaucoup d’épreuves dans sa vie qu’il n’en parle pas mais décide de faire un one man show pour le spectacle de fin d’année. Il dénonce tout ce qu’il a pu subir entre les moqueries et les humiliations il ajoute une note d’humour un peu décalé. J’ai bien aimé sa prise de paroles qui peut vraiment faire réfléchir les lecteurs.

Je conseille ce livre au lecteur qui cherche à se remettre en question, à parler de sujet qu’on a trop banalisé dans la société.



Lyo

Le livre est court mais bien ne fais pas très peur je recommande. J'ai bien aimé la fin et les personnages [le moment du cirque était mon favorite]. Mais c'était vraiment trop court. Il y a vraiment beaucoup de monstres comme des humains avec des têtes d'animaux (éléphants ...) Ils vivent dans un autre monde que les humains donc ils ne croisent pas.

Monstre est un roman illustré et court. Ce livre parle d’un petit garçon nommé Otto qui habite dans un village demi humain. Il va voir une avant première d’un cirque appelé « Le cirque d’Erève ». A l’avant première, on apprend qu’un monstre a été capturé et qu’il sera dévoilé le lendemain. La famille d’Otto rentre chez elle. Le lendemain, ils se dirigent vers le cirque, impatients de découvrir le monstre.

J’ai moyennement aimé le livre car il n’y avait pas de suspens  et le livre était trop court. Il n’y avait pas beaucoup d’actions mais aussi beaucoup d’images très jolies. Ce livre était décevant. Je m’attendais a une histoire plutôt effrayante. Ce livre est court à lire.

Je recommande ce livre aux personnes qui n’aiment pas lire de grands livres et qui aiment les illustrations.



Chiara

J'ai bien aimé cette histoire car elle était surréaliste. Mon moment préféré c'est quand l'enfant défend le monstre et que le village se retourne contre lui mais l'enfant le protège comme ci c’était son meilleur ami. En conclusion, ce livre et vraiment super je vous conseille de le lire. En plus, il y a beaucoup de dessins. Il est vraiment animé et l'histoire est vraiment belle.

Gino

Ce livre est un roman d'amitié écrit par Stéphanie Servant et illustré par Nicolas Zouliamis.



Ce livre raconte l'histoire d'un enfant nommé Otto, qui est considéré par les autres comme un monstre. Il habite avec ses parents, dans un village pas du tout connu. Dans ce village, ce que nous, nous pensons être des monstres sont les gens ordinaires, et les gens ordinaires sont les monstres. Et un jour, un cirque arrive dans le village, avec un monstre. Otto et ce monstre se lient d'amitié...



Je n'ai pas aimé ce livre car il était inintéressant, il n y avait pas de rebondissements et une fin sans surprise. Je trouve qu'il y avait trop d'images par rapport à mon goût.

Ce livre fait toutefois réfléchir à ce qu'est un monstre.

Ce livre est facile à lire.



Je recommande ce livre aux petits lecteurs.

Le livre est effrayant. Je le conseille aux personnes qui aiment tout ce qui est en rapport avec les monstres mais il y manque beaucoup d'action. Il y a de très bons dessins.

Antoine





C'est un livre qui peut faire peur à des personnes qui ne sont pas très histoire monstrueuse ! Je peux conseiller ce livre aux personnes qui aiment bien quand il y a une belle amitié entre deux personnes complètement différentes. J'ai aimé ce livre car il y a eu une très belle amitié, et il y avait aussi du suspense. Donc je conseille fortement ce livre. Alors allez le chercher si vous aimez ces histoires !

Annalisa





Les illustrations sont en noir et blanc mais super sympathiques. Il y a beaucoup de suspense car nous voulons savoir à quoi ressemble le MONSTRES. le livre en lui même est super. Je le conseille à tous ceux qui aiment le suspense et les contes.

Pierre





J'ai énormément apprécié ce livre. Les nombreuses illustrations apportent un plus à l'histoire car elles nous permettent de mieux imaginer les scènes. On comprend davantage l'inversion entre les monstres et l'enfant "normal". De plus, il y a une belle histoire d'amitié entre les deux jeunes garçons. C'est aussi très poétique avec l'oiseau qui s'était posé sur le ventre de la maman d'Otto lorsqu'elle était enceinte. Le côté extraordinaire du spectacle et du cirque nous permet d'imaginer l'excitation qu'Otto a pu ressentir lors de l'arrivée des roulottes. Je pense qu'il s'agit du livre que j'ai préféré lire cette année. Le seul point négatif est que je l'ai trouvé trop court. J'aurais aimé que le récit de leur amitié dure plus longtemps.

Charles

Le cœur des louves de Stéphane Servant.

@editions_du_rouergue_litte (2013)

@bmdegrenoble



Comment remercier, le ou la bibliothécaire qui a déposé sur ma route ce roman.



Premières phrases : "C’était au soir de la Saint-Jean. Partout dans la vallée de petits feux piquaient la nuit de jaune. Je suis entrée dans le village au son d’une veille romance. "



Dans ce village reculé, l’atmosphère qui règne dans ces rues est empli de regards fuyants, de mots marmonnés et de vieilles rancœurs.

Les secrets suintent à travers les murs, les rumeurs bruyantes rebondissent sur les toits et la forêt concentre toutes les angoisses.

Certains savent, d’autres imaginent.

Vaille que vaille, la vie poursuit son cours et de toute façon Tina n’est plus là, et ce n’est certainement pas depuis sa tombe qu’elle parlera.

Contraintes et forcées de revenir vivre dans ce village, Catherine et Célia, fille et petite-fille de Tina, devrons se fondre sans bruits et sans vagues dans ce décor oppressant.

C’est mal connaitre Célia, adolescente révoltée, qui n'a de cesse d'essayer de comprendre pourquoi les villageois détestaient à ce point Tina ? Pourquoi crachaient-ils au passage de sa grand-mère mais ne pouvait se passer d’elle ?

Elle trouvera certaines clés, demandera des comptes, et ne lâchera rien tant que la lumière ne sera pas faite.

Mais pour percer le secret, elle devra devenir louve.



Il se dégage de ce roman une énergie incroyable, l’auteur nous emporte dans une nature sauvage, que l’homme tente de dompter.

Je suis encore dans cette foret, l’atmosphère autour de moi est toujours oppressant, je suis sur les pas de Célia, je la regarde marcher aux frontières de la folie, j’essaie tant bien que mal de réunir les pièces du puzzle. A la fin des chapitres je réalise soudain que mon souffle s’est fait plus rapide que mon cœur bat plus vite !!!

Viens à moi alors cette question :

Et si l’animal n’était pas celui désigné par la nature ?



Emma aime :

-L’omniprésence de la nature

-Le besoin de comprendre

-Etre louve
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Un roman étonnant aux accents kafkaïens qui m'a surprise. Je me suis longuement demandé si j'avais aimé ou non, en même temps je suis fan de Kafka et l'appropriation me gêne toujours. Et d'un autre côté, c'était vachement bien fait. On a chez cet auteur une confusion avec le fantastique (le vrai, celui du temps de Maupassant hein) et du coup cela a fait pencher la balance. J'aime cet auteur (je parle de Servant ici, même si j'aime Maupassant aussi ...) parce qu'il est littéraire, au sens le plus noble qui soit. Bon ok mon avis est certainement un peu influencé par ma dernière lecture (le cœur des louves) que j'ai trouvé brillant du point de vue du style ! Mais là ce qui est chouette c'est que justement la littérarité ne vient pas du style mais des échos littéraires que l'on trouve dans l'œuvre. Alors d'accord ils sont un peu lourdauds (Kafka est cité dans le livre, dommage d'ailleurs de ne pas avoir poussé le truc jusqu'à nous dire ce que le personnage a pensé de cette lecture) mais quand même, le lien avec le fantastique qui m'a rappelé Maupassant et qui permet, pour un lecteur moins averti, de comprendre la transformation kafkaïenne, c'est chouette aussi !

Mais je m'égare ... Franchement le livre est sympa. Ce personnage, dans ce trou paumé c'est tout de suite intéressant. Le focus sur sa passion pour l'écriture et cette fille mystérieuse c'est chouette aussi. Quand les liens se nouent avec l'autre écrivain, on ne s'y attend pas. J'ai moins accroché avec la fin. Je l'ai trouvé un peu trop "filmique". J'aurais aimé autre chose, mais je ne sais pas quoi ... Quelque chose de plus littéraire en fait. Mais je ne veux pas spoiler, vous devrez donc le lire pour vous faire votre propre idée !

Quoiqu'on en pense, de par son originalité, c'est de toute façon un livre à découvrir. Le bon côté : il va plaire aux ados, j'en suis certaine, je pense même le proposer à mes bons lecteurs de 5ème !

Stéphane Servant et Nicolas Zouliamis jouent avec brio sur le registre de la surprise, de l’angoisse et de la peur. Il n’est pas question d’effrayer le lecteur. Il s’agit juste de le mettre dans une posture de doute sur qui a peur de qui et pourquoi.

Avec Monstres ils nous plongent dans un univers étrange et mystérieux. Le livre, l’histoire nous renvoient à nos propres peurs, peur de la différence, peur de l’autre, peur du rejet. Une thématique très intéressante déclinée avec beaucoup de sensibilité !



Le livre, un roman-album, est construit comme une structure cinématographique. Au début la caméra présente quelques éléments du contexte avec un narrateur inconnu. Une silhouette apparaît, éloignée, non reconnaissable. Et le cirque arrive face à Otto et face au lecteur. Le contexte reste flou, seules des ombres sont dessinées, des reliefs sont esquissés. Quand le Monstre est enfin dévoilé la caméra se tourne tout de suite vers les spectateurs pour marquer les oppositions. Et la suite continue avec ses plans larges, rapprochés, la part de récit sans texte. Le lecteur-spectateur est amené à se promener dans le village et à suivre de près et de loin les deux personnages principaux. C’est esthétique et engageant, et c’est très visuel. Cela nous donne à penser qu’il est tout à fait possible de proposer aux lecteurs une première approche de l’ouvrage par l’image, pour le rendre curieux et lui donner envie de lire.



Les illustrations sont composées d’éléments intrigants. Des visages ronds comme des soleil aux regards tristes ou vides et à la bouche grande ouverte (cf le tableau Le cri d’E. Munch) font office d’ornement. Ils ressemblent à la vision de Merrick dans Elefant Man lorsqu’il voit l’image de sa mère à la fin du film. Des larmes, des nuées d’étoiles, des yeux, des lanternes, des lampions, des silhouettes étranges… reviennent dans de nombreuses pages comme des éléments de la nuit et d’une certaine étrangeté. Les éclairages sont travaillés, ils permettent de créer des effets de profondeur et de focaliser le regard du lecteur sur des éléments sensibles. La vie de l’enfant Monstre, par exemple uniquement développée en images, est émaillée de focus sur les moments de joie et de peine qu’il a traversés. Quelques illustrations sont grinçantes voire dérangeantes comme celle qui représente les monstres spectateurs sur une double page. Mais elles sont aussi signifiantes sur l’approche de la monstruosité. Beaucoup de sensibilité et d’émotions sont à partager autour des illustrations.



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Sur le thème de la bêtise et de l’arbitraire, Stéphane Servant s’amuse à mélanger des personnages de comptines, de fables, de contes ou d’histoires traditionnelles autour d’une enquête à la manière d’un shérif.

La structure répétitive de ce conte, sous forme de randonnée, va partir d’un fait, le chat disparu, pour lancer les trois petits cochons à la poursuite du voleur. Mais ces derniers ne sont pas futés du tout ! Leur réflexion est très terre à terre : si on a volé le chat, c’est pour le manger. Pour le manger, il faut une grande bouche. Qui a une grande bouche ? Cela ne peut être que « La grenouille à grande bouche » !

Ils partent donc au marais, accusent la grenouille qui se défend comme elle peut mais se retrouve néanmoins aplatie un peu vite…puisqu’il n’y a aucun chat dans les environs. Les cochons doivent donc repartir ailleurs pour trouver le voleur.

Ils vont donc, sur le même principe, accuser le corbeau qui « a un long nez à renifler les chats », puis le renard « qui est un filou », l’ogre qui « a de grosses mains » et le loup « qui a une énorme bedaine ».

Ce dernier, ils en sont sûrs et certains, est le voleur puisqu’il porte un panier avec ….un chat dedans ! Mais le chat n’est pas mangé. Il est juste sur le chemin de la mère Michel à qui le loup le rapporte.

Et les trois petits cochons seront accusés par le loup d’être les méchants de l’histoire !



La randonnée élaborée est bien montée et fonctionne grâce à la dynamique du récit : structure, répétitions et typographie de l’album et humour.



[...] Un nouvel album du duo Servant-Le Saux qui fonctionne toujours très bien en jouant sur une salade de contes humoristique qui alerte les enfants sur les méfaits des rumeurs et des accusations infondées.

Un plaisir pour tous, grands et petits.



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Magnifique ! J’ai adoré, tant le fond que la forme de ce très beau roman illustré qui aborde avec force et poésie le thème de la différence. Les illustrations sont superbes, créant une atmosphère troublante et marquante.

Un beau texte aussi, alliant humour et sensibilité et qui peut bien se prêter à la lecture à voix haute.



Un très bel objet livre assez unique que l’on a envie de faire découvrir aux enfants de fin primaire, début collège.

J'ai trouvé qu'il était un peu long à démarrer, cela prend du temps pour voir où l'auteur veut en venir et j'ai eu peur, pendant ce laps de temps, que mes élèves futurs lectures décrochent ... Ce serait bien dommage parce que c'est un beau livre. Un peu difficile à lire à cause de son aspect monologue mais vraiment intéressant. Ce qui, au début, semble le postulat du livre : la question du genre, et de ce qu'on attend des garçons, cela va finalement plus loin, beaucoup plus loin. C'est un livre qui questionne et qui permet de discuter. C'est un chouette livre !

En faisant ma lecture Servant je suis tombée sur ce petit livre qui m'a rappelé de bons souvenirs :) je ne fais que peu de critiques mais là c'était trop chouette de le trouver ici ! Dans cette histoire le loup veut bien sûr venir manger les petits cochons mais avant ça il veut cette culotte, cette magnifique culotte en vitrine ! Mais elle coûte cher alors il faudra travailler. Et ainsi de suite jusqu'à la culotte parfaite ... Un livre que mes enfants et moi avons lu et relu avec le même plaisir à chaque fois !

Un petit livre étonnant par sa brièveté et l'écriture particulière de cet auteur. J'ai aimé le format et la poésie mais j'ai trouvé qu'il était un peu court. Pas tant au niveau du nombre de page mais au niveau de tout. Il y a une force bien sûr dans cette narration juste esquissée mais il m'a manqué quelque chose. J'ai n'ai pas été emportée. Et c'est dommage parce qu'il est bien, au fond.

Je continue mon exploration Stéphane Servant et franchement j'ai été ravie de cette nouvelle lecture ! Un roman intense qui pulse. Une écriture étonnante, qui nous cueille autant qu'elle nous émerveille par le style, une pépite ce livre.

J'ai tout aimé, le début qui commence de manière assez banale mais où on voit tout de suite la force de l'écriture et la beauté de la mise en mots et puis tout ce qui se met en place au fur et à mesure. Il y a un souffle dans ce livre, que l'on sent tout au long de la lecture et qui nous porte. En voilà un livre féministe qui ne se dit pas !

Un vrai roman d'initiation et en même temps un roman de femmes. Fortes, qui grandissent en même temps que nous dans cette lecture.

Je ne saurais faire la liste de tout ce que j'ai aimé tant elle est grande, et surtout, ce qui surpasse tout ça, ce qui nous reste du livre au fond de cœur.

Une lecture coup de poing, qui est aussi bonne dans la narration qu'elle développe (entière, finement ciselée, amenée peu à peu et avec un crescendo calé au millimètre près, et le reste. Cette respiration qui traverse le livre, ce coeur des louves qui résonne en nous.

Je l'ai pris au CDI du collège, je ne sais pas vraiment si je pourrais le proposer à mes 3emes, mais une chose est sûre : je vais aller l'acheter pour le prêter autour de moi !!

Un conte gothique tout en poésie qui aborde habilement la perception des différences et qui encourage la tolérance à travers l'histoire touchante d'Otto et du monstre du cirque d'Erêves.

Le coup de crayon est original et donne des dessins qui se marient parfaitement à l'histoire, entre douceur et noirceur.

Plutôt déçue par ce livre qui promettait pourtant de belles choses. J'avais été séduite par le côté féminisme engagé (avis franchement galvaudé si vous voulez mon avis) et par le prix décerné. Je pense que j'en attendais beaucoup et donc, bien sûr, j'ai été déçue.

L'histoire est sympa, une mutation touche les jeunes filles qui voient leur corps se couvrir de poils. Le féminisme était censé se cacher là, dans ce combat lié au corps qui oppose les jeunes femmes au reste du monde. Déjà pour parler de féminisme je trouve que c'est là un point de départ un peu facile et franchement inutile. Et puis il n'y a pas de fond, c'est d'ailleurs ce que je pourrais reprocher globalement à ce livre.

L'histoire se lit, elle est un peu lente au début selon moi mais elle réveille parfois des frémissements de lecture et ça c'est plutôt chouette. Malheureusement, j'ai été globalement déçue par le traitement scolaire qui est fait du rejet de ces jeunes filles par la société. On semble dans un cours d'histoire sur la répression des juifs au temps de la Shoah. On tire des ficelles grossières et on ne prend pas cela pour ce que cela fut. C'est bien d'amener les jeunes lecteurs vers cette histoire et de leur faire comprendre ce que ce peuple a vécu, mais on reste en surface. Aucune profondeur, rien qui vient éclairer cette histoire d'un peu d'humanité. C'est un peu mécanique.

Donc pas ravie ravie mais je vais le proposer à mes élèves, cela plaira certainement à bon nombre d'être eux grâce à cette narration simple et entraînante si on laisse de côté la caricature scolaire que je viens de signaler.

Miettes(humour décalé) est une œuvre littéraire débordante d'humour, écrite par Stéphane Servant. Publié par l'éditeur Nathan, le livre a vu le jour en 2021. L'auteur y joue sur les cordes du rire et de l'absurde. Depuis sa publication Miettes a été bien réceptionné par le public, charmé par l'originalité et l'humour qui s'en dégage à chaque page. L'auteur a su charmer ses lecteurs avec son écriture et son humour.



Dans Miettes on suit les péripéties d'un garçon. Ce personnage se retrouve plongé dans de nombreuses situations absurdes, provoquées par ses maladresses. L'humour est présent à chaque page, notamment avec des dialogues drôles et farfelus. L'auteur joue avec les mots et les situations pour créer un univers hilarant et déjanté. On ne s'ennuie pas en lisant Miettes car chaque chapitre est drôle.

Personnellement, je trouve que ce livre est une incroyable découverte, tant sur le fond que sur la forme.

Commençons par la forme du livre, écrit d'une manière très fluide et agréable à lire. Le livre est court, ce qui rend la lecture facile et addictive. L'auteur utilise également un style très visuel, ce qui nous permet de bien visualiser les scènes et les personnages. De plus, j'ai trouvé que l'histoire était vivante.

Passons maintenant au fond. Miettes est une histoire captivante. On y trouve beaucoup d'humour à travers le personnage principal qui veut aborder une fille. L'histoire est bien construite, l'auteur nous donne envie de lire son livre, que j'ai trouvé très intéressant.

En résumé, la forme de Miettes est fluide et visuelle tandis que le fond est captivant. Ce livre m'a beaucoup diverti, je le recommande énormément !

HS

Otto est très timide est se fait taquiner part Max; mais Otto est très gentille. Ce qui le rend intéressant c'est sa gentillesse .La question que je me pose est pourquoi Max est méchant avec Otto. Pourquoi l'auteur a écrit ce livre sur quelle base ,sur quel rapport . Les images sont réussies.