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Citations de Stephenie Meyer (1302)


J'étais à peu près certaine de trois choses. Un, Edward était un Vampire ; deux, une part de lui – dont j'ignorais la puissance – désirait s'abreuver de mon sang ; et trois, j'étais follement et irrévocablement amoureuse de lui.
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Pour commencer, je devais décider si ce que Jacob avait dit à propos des Cullen pouvait être vrais.
La réponse fusa, instinctivement – non. Il était bête et morbide d'entretenir des idées aussi ridicules. Mais alors ? Il n'y avait pas d'explication rationnelle au fait que j'étais encore vivante. Une nouvelle fois, je listai mentalement mes observations : la vitesse et la puissance incroyables, les yeux passant du noir à l'or pour revenir au noir, l'inhumaine beauté, la peau pâle et glaciale. Et aussi – détails qui s'étaient lentement inscrits dans ma mémoire – cette façon qu'il avait de parler, parfois, ses phrases et ses cadences qui auraient mieux correspondu à un personnage de roman du début du XIX eme siècle qu'à un lycéen d'aujourd'hui. Il avait séché le cours d'identification sanguins. Il n'avait refusé l'invitation à la mer que lorsqu'il avait appris où nous allions. Il paraissait deviner ce que tout le monde pensait... sauf moi. Il avait confié être méchant, un être dangereux...
Se pouvait-il que les Cullen fussent des vampires ?
En tout cas, ils étaient quelque chose. Quelque chose qui dépassait les justifications rationnelles envisageables était en train de se mettre en place devant mes yeux incrédules. Qu'il entrât dans la catégorie des Sang-froid de Jacob ou dans ma propre théorie du superhéros, Edward Cullen n'était pas... humain.
Il était plus que ça.
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J'avais de sérieux problèmes.
Mon meilleur ami me considérait désormais comme une ennemie. Victoria était toujours en liberté et menaçait tous ceux que j'aimais. Si je ne devenais pas très rapidement un vampire, les Volturi me tueraient.
Et voilà que, à présent, les loups-garous Quileute essaieraient de faire le boulot à leur place, sans oublier de massacrer mon clan par la même occasion.
A mon avis, ils n'avaient guère de chance d'y parvenir, mais Jacob serait-il tué dans l'entreprise ?
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Mais dans quel endroit vivais-je ? Était-il envisageable qu'existât un monde dans lequel des légendes ancestrales rôdaient aux abords des villes minuscules et insignifiantes, mettant en scène des monstres fabuleux ? Cela signifiait-il que les plus absurdes contes de fées reposait sur une vérité absolue ? La normalité et la raison avaient-elles leur place ou tout n'était que magie ou histoires de fantômes ?
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— Tu as été plus franc que je ne le méritais. Merci, Edward.
— De rien. Je te répète que je te suis reconnaissant de ta présence ici cette nuit. Si nous n'étions pas des ennemis naturels, et si tu ne t'efforçais pas de me ravir Bella, je crois que je pourrais t'apprécier.
— Et toi, si tu n'étais pas un vampire répugnant qui s'apprête à boire la vie de la fille que j'aime... Non, même comme ça, je n'y arriverai pas.
Edward s'esclaffa lentement.
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Je songeai que cette journée était décidément celle du bonheur. Bien que le sacrifice d'Irina l'entachât, il était indéniable que nous aurions dû nous réjouir. L'existence pour laquelle je m'étais battu était saine et sauve. Ma famille était réunie. Ma fille avait un avenir radieux devant elle. Demain, j'irai trouver mon père, qui constaterait que la peur dans mes yeux avait cédé la place à la joie, ce qui le réjouirait à son tour? Brusquement, je me dis qu'il ne serait pas seul chez lui. J'avais eu beau me montrer assez peu observatrice ces dernières semaines, ce ne fut pas une surprise – Sue lui tiendrait compagnie. La mère des loups-garous avec le père du vampire. Cela me fit sourire.
Plus que tous ses éléments de bonheur, il y avait désormais la certitude que Edward et moi resterions unis pour l'éternité. Quand bien même je n'aurais pas souhaité revivre les épreuves récentes, je devais admettre qu'elle m'avait permis d'apprécier à sa juste valeur ce que j'avais.
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Son odeur me frappa comme une masse, me déchiqueta comme une grenade à fragmentation. Aucune image ne serait assez évocatrice pour décrire la violence de ma réaction.
Je fus transformé en un clin d'œil. Je cessai de ressembler à l'homme que j'avais été autrefois. Je perdis tous les lambeaux d'humanité dans lesquels j'avais réussi à me draper depuis.
Je devins prédateur, et elle, ma proie. Le monde se réduisit à cette simple vérité.
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— Et toi, me demanda-t-elle avec une moue agacée, tu n'es pas affecté par ma présence ?
Révolutionné, oui. Elle m'avait transformé. Je ne me reconnaissais pas. Pour la première fois en cent ans, j'étais heureux d'être ce que j'étais. Ma nature de vampire, à l'exception du danger que je représentais pour elle, m'était devenue acceptable. C'était elle qui m'avait permis de vivre assez longtemps pour trouver Bella.
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C'est le crépuscule... Encore une fois. Une autre fin. Aussi parfait qu’ait été le jour, il faut qu'il meure.
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Mais ce n’est pas parce que nous avons été... façonnés selon un certain modèle que nous n'avons pas le droit de désirer nous élever, dépasser les frontières d'un destin qu’aucun de nous n'a voulu.
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J'arrangeais quelques-unes de ses mèches pour parfaire son camouflage.

-Ça ne servira à rien, commenta Alice. Je la flairerai à l'autre bout de la prairie.

-Je sais, m'énervais-je.
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Je me plaçai devant Bella et me mis à taper du pied au rythme de son cœur, en espérant leurrer le plus longtemps possible les nouveaux venus sur l'origine de ce son.
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-Alors, je t'ai bien vendu Phoenix? s'enquit-elle après une nouvelle pause.

-Je crois que j'ai encore besoin d'arguments.

-Il pousse là-bas une espèce d'acacia dont j'ignore le nom. Comme tous les arbres, il est épineux et a l'air à moitié mort.

Son visage devint mélancolique.

-Mais au printemps, enchaîna-t-elle, il se couvre de fleurs duveteuses jaunes qui ressemblent à des pompons.

Elle fit mine de tenir un bouton entre son pouce et son index.

-Leur parfum est... incroyable. Unique. Très léger, délicat. Tu le respires soudain dans la brise, puis il s'évapore.
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Puis, Bella hurla :

-Edward!

J'ouvris les yeux, m'attendant à ce qu'elle s'enfuie loin de ce que je venais de lui révéler. Au lieu de quoi, elle fonçait dans ma direction, bouche bée sous l'effet du désarroi. Les bras tendus vers moi, elle titubait et trébuchait. Son expression n'était pas de frayeur, elle était de désespoir. Je ne compris pas ce qui lui arrivait.

Quelles que soient ses intentions, je ne pouvais pas la laisser me rentrer dedans. Il fallait qu'elle garde ses distances.
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En même temps, je savais qu'elle s'efforçait juste de me comprendre, avec toutes mes excentricités de monstre.
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Elle m'aimait, je ne l'ignorais pas.

Qu'elle m'aime et me désire allait nous compliquer les choses.
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-Tout va bien, mon amour, je suis là, me rassura Edward en me berçant un peu trop vite. As-tu fait un autre cauchemar?

-Non, protestais-je. C'était un beau rêve.

-Alors, pourquoi pleures-tu?

-Parce que je me suis réveillée.
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-Laisse-moi expliquer à Gustavo pourquoi la chambre blanche est dans cet état. Ensuite, nous sortirons. Il y a un endroit dans la jungle, au sud de l'île que...

-Je n'ai pas envie de crapahuter, aujourd'hui. Je veux rester ici et regarder un film.

Il serra les lèvres en s'efforçant de retenir le rire que provoquais ma maussaderie.

-D'accord. Va donc en choisir un pendant que je leur ouvre.

-Personne n'a frappé.
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Je savais ce qui allait se produire. La nouvelle devrait s'assoir à mon côté, et je serais obligé de la tuer. Les dix-neuf autres innocents spectateurs, les élèves et le prof, n'auraient pas le droit de survivre après avoir assisté au massacre.

(...)

Si je commençais par la fille, je ne disposerais que de quinze ou vingt secondes avant que ses camarades réagissent. Un peu plus peut-être s'ils ne comprenaient immédiatement ce qui se passait. Elle n'aurait le temps ni de crier, ni de souffrir, j'éviterais d'être cruel. Je devais au moins ça à cette inconnue au sang si abominablement désirable.

Ensuite, il me faudrait empêcher ses pairs de s'échapper. Les fenêtres, trop hautes et trop étroites, ne poseraient pas de problème. Je n'aurais qu'à bloquer la porte pour les emprisonner. Les éliminer un à un, alors que, paniqués, ils s'agiteraient dans tous les sens, ce serait un peu long et compliqué. Pas impossible, mais bruyant. Le tumulte alerterait d'autres innocents que je devrais liquider à leur tour.
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-Comment tu arrives à lire dans les pensées des autres. Ça marche avec tout le monde? N'importe où? Tu t'y prends de quelle façon? Est-ce que tes frères et soeurs...

Elle s'interrompit, rougissante.

-Ça fait beaucoup de questions, tout ça.
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