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Critiques de Susan Hill (257)
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La main de la nuit

Le roman est court, il ressemble plutôt à une nouvelle. Sur la quatrième de couverture, il est indiqué qu'il s'agit d'un « conte fantastique à faire frémir ». Je cherche encore où je devais frémir... L'intrigue est classique : une histoire d'enfant fantôme qui interfère dans la vie d'Adam Snow.

[...]

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Ce sera ton dernier instant

Rien avant la page 300! Nul
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La dame en noir

Arthurs Kipps vit heureux dans sa maison de campagne en compagnie de sa femme et des enfants de celle-ci, devenus déjà grands. Se retrouvant tous ensemble autour du sapin de Noël, les plus jeunes décident de raconter des histoires effrayantes pour occuper la nuit. Mais pour Arthur, cela fait remonter des souvenirs enfouis depuis longtemps, du temps où il était un jeune notaire, envoyé dans le nord de l'Angleterre pour régler la succession d'Alice Drablow. Arrivé dans la maison de Mrs Drablow où Arthur doit trier des papiers, des phénomènes étranges et effrayants ont lieu et une dame en noir, déjà aperçue lors de l'enterrement, réapparait aux environs de la maison pourtant isolée par la marée montante …

J'avais lu une autre histoire fantastique de cette auteure et j'avais bien aimé l'ambiance qui s'en dégageait. Du coup, ce titre-là avait rejoint ma PAL peu de temps après mais il a un peu attendu avant d'être lu ! Encore une fois, le narrateur est un homme et l'époque n'est pas précisée mais il semblerait que ce soit au début du 20ème siècle, probablement avant la première guerre mondiale. D'ailleurs, l'auteure a utilisé un style d'écriture un peu suranné, pour que celui-ci colle bien à l'époque décrite et de ce côté-là, c'est bien réussi, même si j'avoue avoir eu parfois un peu de mal avec certaines phrases ! L'histoire en elle-même se base sur l'ambiance dans la maison isolée, sur la météo changeante et oppressante, sur des bruits inattendus et soit disant inquiétants mais de mon côté, je n'ai pas eu peur une seconde, je n'ai pas frissonné une seule fois et alors que le pauvre Arthur se demande quels sont ces bruits, j'avais déjà deviné d'où ils provenaient ! Au début, on ne sait pas vraiment où l'histoire va aller mais l'auteure nous donne une information importante pour la compréhension et à partir de là, il m'a été très facile d'imaginer et de prévoir ce qui aller se passer. Du coup, n'ayant aucune surprise, il m'était difficile d'avoir peur ! J'ai donc trouvé que l'ensemble restait assez traditionnel mais il faut rappeler que l'auteure a écrit cette histoire en 1983 et je suppose que j'aurais sûrement été plus « réceptive » à cette époque-là … maintenant, elle m'a paru bien banale et peu efficace côté frayeur !
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Meurtres à Lafferton

Psychose à l'américaine
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La dame en noir

Arthur Kipps, jeune notaire londonien doit se rendre dans un petit village du nord de l'Angleterre, afin de trier les papiers d'Alice Drablow récemment décédée.

A plusieurs reprises, Arthur remarquera la présence d'une curieuse et inquiétante dame en noir.

A chacune de ses apparitions, se produisent des phénomènes paranormaux, qui ébranleront Arthur, jusqu'à faire vaciller sa raison ...



Ce roman est sorti au ciné l'an dernier, avec Daniel Radcliff (Harry Potter) dans le rôle principal.

J'avais été déçue, malgré un visuel parfait, du coup, j'ai trainé avant de lire le livre !!

De fait l'adaptation ciné a été trèèèèès libre, c'est dommage car le livre est vraiment très bon, même si on ne sursaute pas à chaque page, il est très bien écrit et on se met aisément à la place d'Arthur !!

Un bon moment de lecture, histoire se faire un petit frisson dans la nuque

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La dame en noir

Si tout comme moi, lecteurs blogueurs, vous vous calfeutriez adolescents sous la couette un soir d’orage, une lampe torche à la main et un tome de Chair de poule ou de Fais-moi peur dans l’autre, alors ce petit classique moderne du thriller fantastique est pour vous. The woman in black (La dame en noire pour la traduction française) est mon tout dernier coup de cœur littéraire, un roman admirablement bien écrit (en particulier en anglais) que je vous invite à découvrir dès maintenant, et ce avant de visionner l’adaptation cinématographique qui est bien décevante en comparaison de l’œuvre si originale de Susan Hill.



Cette romancière britannique, auteur de nombreux romans policiers et livres pour enfants, a reçu de nombreuses distinctions littéraires dont celle du Somerset Maugham Award. Dans The woman in black, Susan Hill nous livre un conte fantastique à la structure classique et au thème très victorien, dont l’intrigue principale se déploie sur quelques jours seulement. Le récit est « encadré », une histoire débutant à l’intérieur d’une autre.



Par un matin glacial et pluvieux de novembre, Arthur, jeune notaire londonien, raisonnable et tranquille, est envoyé en mission à Crythin Gifford, une petite bourgade isolée d’Angleterre, afin de régler la succession d’Alice Drablow. Cette veuve octogénaire récemment décédée était connue pour ses multiples excentricités. La dame aurait vécu solitaire et recluse durant de nombreuses années dans une bâtisse à la façade splendide mais plantée dans un décor sinistre. La demeure est en effet nimbée d’une brume persistante et est à marée haute encerclée par les marais, ce qui la coupe pour plusieurs heures du reste du monde, d’où son appellation sinistre de Manoir du Marais (The Marsh House).



A peine est-il arrivé dans la petite ville à l’atmosphère bien lugubre que d’étranges apparitions surviennent. A l’occasion des funérailles de Mrs Drablow, Arthur aperçoit pour la première fois une jeune femme mystérieuse à l’aspect décharné, postée au fond de l’église, le visage livide et les os tellement saillants que les ombres se reflétant sur sa peau luisante prennent une teinte bleutée. Son accoutrement d’un noir corbeau, démodé et même presque poussiéreux, intrigue le jeune homme qui tente de voir de plus près le visage de cette mystérieuse dame. Mais une coiffe également noire dissimule ses traits. Cette apparition aussi sinistre qu’énigmatique semble étrangement irradier de sa malveillance les malheureux venus se recueillir sur les tombes de leurs défunts. Dès lors, cette ombre maléfique ne cessera de poursuivre Arthur Kips qui la verra à nouveau dans le jardin de la vielle demeure du Marais, l’ancienne propriété désormais abandonnée de Mrs Drablow. La présence de cette dame en noir semble jeter un voile funèbre sur cette demeure. Notre héros d’abord confus, s’interroge. Est-ce un canular ? Lui jouerait-on des tours à ses dépends ? Et si tel est le cas, qui peut bien se cacher derrière la dame en noir ? Une curiosité morbide tout comme sa fierté juvénile le poussent à rester pour tenter de saisir l’inexplicable. Mais lorsque le notaire s’installe une nuit au manoir du Marais afin de trier les derniers effets de Mrs Drablow, le jeune homme se retrouve malgré lui confronté à une puissance invisible effroyable, mettant à rude épreuve son courage qu’il pensait inébranlable…Quel mystère plane sur cette demeure maudite ? Après quelques coups de théâtres, les langues des villageois restées jusqu’à présent muettes vont se délier peu à peu, accentuant l’horreur pour le plus grand plaisir du lecteur.



La difficulté d’écrire une roman d’angoisse est de ne pas s’essouffler et de procurer une impression de malaise constante, voire même croissante, afin que le doute persiste jusqu’à la dernière page avalée, et que l’histoire ou ses protagonistes nous hantent bien après avoir refermé le livre. Lorsque Sheridan Le Fanu clôturait Carmilla sur une note rassurante, je trouvais ce dénouement un peu trop expéditif… La dame en noir en revanche m’a glacé le sang jusqu’au bout. L’auteur tord le cou aux clichés de l'image moderne du fantôme pour revenir au mythe traditionnel du revenant de l’époque victorienne.



Susan Hill s’intéresse aux puissances obscures enveloppées de mystère, écho de nos propres angoisses tapies au plus profond de nous. L’écrivaine joue ainsi avec nos terreurs enfantines : la peur du noir, la vue d’une demeure austère et abandonnée, les ruines désolées d’un monastère ou d’un cimetière négligé, des sépultures aux inscriptions effacées et des grincements de bâtisses vétustes. Aussi me suis-je plongée avec délectation dans The woman in black, incontestablement mon roman d’angoisse préféré !


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La dame en noir

Le meilleur livre et film d'horreur au monde!!!!
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Des ombres dans la rue

Des ombres dans la rue n'est pas un mauvais polar, ce n'est pas pour autant un grand moment de littérature policière. Il y a dans ce roman beaucoup de clichés, à commencer par le fil rouge de l'histoire (le meurtre de prostituées) et quelques platitudes. Bref, une sensation de "déjà lu".
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Des ombres dans la rue

J'étais curieuse de découvrir ce roman policier donc la 4ème de couverture était plus que prometteuse : « Nouvelle enquête haletante du séduisant Simon Serrailler, retrouvailles attendues avec tous les personnages de Lafferton chers au lecteur »

Malheureusement, les promesses étaient trop belles et cette lecture m'a déçue...

Dans une première partie, l'auteur plante le décor de Lafferton et ses habitants et décrit un à un les (trop ?) nombreux personnages de l'histoire. Le lecteur découvre une atmosphère à la Ken Loach (en moins bien), il lui faut attendre au moins 90 pages avant que le roman policier commence vraiment avec la disparition de la première fille. L'inspecteur Simon Serrailler est assez peu présent, l'intrigue est assez classique, pas vraiment originale.

Encore un reproche, cette fois-ci pour l'éditeur avec une quatrième de couverture trop bavarde et dévoilant trop d'éléments de l'intrigue...

La lecture de ce livre n'est pas déplaisante en particulier grâce aux différents personnages, des gens ordinaires qui se débattent avec le quotidien et leurs soucis et que l'auteur a su rendre attachants et sympathiques.
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La dame en noir

Le style est fluide, l'atmosphère rendue oppressante au fur et à mesure avec des ressorts classiques certes (manoir isolé, brouillard, pluie, vent, bruits suspects, apparitions soudaines...) mais efficaces. J'ai dévoré ce livre, trop court dommage, en deux jours. J'adore ce genre d'histoires. Susan Hill aborde le thème du fantastique avec succès de mon point de vue. Je le recommande aux amateurs d'histoires de phénomènes de hantise et de malédiction...
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Des ombres dans la rue

C'est comme mettre ses pieds dans ses vieilles pantoufles ! On retrouve le roman d'atmosphère anglo saxon. Moins brillant que d'autres P.D.James ou Elizabeth George. Un peu déçue par mon premier contact avec Simon Serailler.
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Au risque des ténèbres

Ce livre est le troisième opus des aventures de Simon Serrailler, policier de son état, et même si je n'ai pas lu les deux précédents, j'ai plongé avec délice dans la vie de Lafferton, petite bourgade d'Angleterre (totalement imaginée par Susan Hill), et je ne suis pas déçue, loin s'en faut !



Simon Serrailler, chef de la Police, est à l'opposé de tous les clichés des supers héros que l'on peut rencontrer dans les polars. Il est extrêmement attachant, avec ses doutes, ses erreurs, profondément humain. S'il donne tout son relief à l'histoire, les personnages "périphériques" s'étoffent au fil des pages, ils influencent d'une façon ou d'une autre l'existence de Simon, et par là même, l'intrigue principale. Et si l'on découvre assez rapidement qui est le serial killer, les éléments s'assemblent telles les pièces d’un puzzle et des drames se nouent et se dénouent peu à peu autour de l'enquête principale. Toutes les certitudes des personnages s'étiolent au fil des pages, le tout dans une atmosphère "so british", où les tempêtes effacent les preuves mais apportent aussi leur lot de drames. Au gré des chapitres, Susan Hill nous plonge dans une chronique qui n'a rien d'ordinaire, décrivant les situations et les personnages par petites touches, mais avec une telle intensité que l'on ne s'ennuie pas un instant. Le mal est là, insidieux, prêt à faire surface.



"La mort a ses habitudes", le quatrième roman mettant à nouveau en scène Simon Serrailler est en librairie, mais avant de le lire, je vais me ruer sur les deux premiers "Meurtres à Lafferton" et "Où rôdent les hommes" dont toutes les critiques que j'ai pu consulter sont enthousiastes.
Lien : http://leschroniquesdu911.bl..
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Meurtres à Lafferton

Pas assez de suspense et d'action pour que j'accroche J'ai trouvé le rythme du livre assez mou et sans surprise . Dommage que la quasi fin du livre soit révélée sur le 4ème de couverture.
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La dame en noir

une histoire de fantôme toute simple et assez courte je regrette qu'il n'y ai pas eu plus de manifestations de l'esprit ni de confrontations avec le héros
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La dame en noir

Quelle déception à la fin de ce roman qui augurait quelque chose de mieux. D'entrée de jeu, atmosphère lourde et inquiétante, visite de manoir et autres manifestations paranormales, pour une fin plus précipitée, et des dernières lignes pressées d'en finir.

J'aimerais quand même pouvoir visiter la maison d'Alice, qui me semble tout à fait adaptée à mon esprit solitaire de bibliothécaire mordue de lecture. Je me vois déjà savourer littératures de toutes sortes au coin du feu avec vue sur le marais.

A part pour l'architecture et l’emplacement de la demeure, j'ai trouvé que le récit n'en valait pas la peine, pas assez étoffé à mon goût...

Je me réjouis néanmoins de voir si le film sera mieux!
Lien : http://lovelybook9.blogspot...
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La dame en noir

Donc je viens de le terminer, et je dois dire que je suis perplexe.

Tout d'abord la couverture, j'ai adoré elle intrigue, fait froid dans le dos, et en la découvrant je n'avais qu'une envie me plonger dans ma lecture pour résoudre ce mystère.

Susan Hill écrit merveilleusement bien, elle nous décrit si bien les lieux, l'atmosphère que l'on se surprend en relevant le bout du nez à se demander ou on est.

C'est simple, léger, ca se lit merveilleusement bien.

La première partir fût pour moi très longue, trop même, je me demandais si je ne devais pas sauter des pages pour aller au coeur du mystère.

La seconde partie au Manoir, était bien certe mais sans plus.

Effectivement nous sommes plongée dans une ambiance particulière, dans une sorte de huit clos angoissant, ou le lecteur peut etre amené a avoir pur, à se poser certaines questions, et surtout rester sur ces gardes, mais malgré tout cela j'ai été déçue, je m'attendais à plus. Les chapitres sont longs, trop décrits, trop de tissages autour d'un phénomène, on le conte sous tous les angles durant des pages et je suis restée sur ma faim.

Pourtant l'histoire en elle même était vraiment bonne, et je m'attendais vraiment une grande rencontre aimant ce genre de lecture.

Et pour clore assez perplexe sur la fin de ce livre, cette dernière phrase ce n'est pas trop mon genre, j'aime que ce soit claire, nette et précis et là je sais pas ca m'a dérouté.



Bref une bonne rencontre, un bon moment, mais pour moi une lecture passable

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La dame en noir

Arthur Kipps, jeune homme plein d'avenir, est envoyé loin de Londres par son employeur pour gérer les affaires de feu Mme Alice Drablow. Mais dès son arrivée à Crything Gifford, est froidement accueilli par les habitants, qui dès qu'ils entendent parler d'Alice Drablow et de sa demeure dans les marais, Eel Marsh House, se referment. Mais Arthur Kipps, en jeune avocat sûr de lui et ayant les pieds sur terre n'entend pas se laisser détourner de sa tâche.



Cependant, l'apparition d'une femme toute de noir vêtue au cimetierre commence à troubler Arthur. La réaction du notaire local, Mr Jérôme étant pure panique. Les évènements étranges se succèdent dès qu'Arthur arrive à la Eel Marsh, malgré cela, il persiste et passe même deux nuits sur place, avant d'être ramené sur la terre ferme. Le surnaturel aura eu raison de son courage.



Le lecteur comprend très vite que la Dame en noir est une sorte de fantôme, qu'il y a un lourd secret concernant un enfant mort dans les marais. Susan Hill propose un ouvrage qui suit les codes du roman gothique: un jeune homme à l'avenir sans nuages envoyé dans un lieu inconnu de lui et loin de tout, une maison encore plus isolée accessible uniquement à marée basse, un lourd secret, des villageois qui ne disent rien mais sont terrifiés par la Dame en noir. Phénomènes climatiques et auditifs étranges. Tout y est pour faire frissonner le lecteur.



Je ne peux pas dire que j'ai vraiment frissonné, mais le plaisir de lecture était là, et je tournais les pages pour savoir comment notre jeune avocat allait finir: vivant? Mort? Fou? Le dénouement final, même si on l'attend un peu est bien amené et j'ai souffert avec Arthur.



Si le style de l'auteur n'a rien d'exceptionnel, j'ai cependant apprécié ses descriptions de lieux, très graphiques.
Lien : http://ya-dla-joie.over-blog..
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