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Citations de Tara Sue Me (82)


Une esclave doit faire passer les désirs et les besoins de son dominant avant les siens.
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— On peut toujours négocier. Je refuse d’entamer une relation sans code. C’est une limite à ne pas franchir.
— Et je vous approuve sans réserve. Quoi qu’il en soit, je ne vous formerai pas afin de devenir mon esclave. Ne le prenez pas mal, mais vous n’êtes psychologiquement pas prête.
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Il y a des jours où vous aurez l’impression que vous ne m’intéressez que pour votre cul, votre bouche, votre chatte et le nombre de fois qu’il me plaira d’en profiter. Je pourrai exiger, que vous vous promeniez nue à la maison, ou que vous soyez toujours prête à me satisfaire à genoux chaque fois que nous nous trouverons dans la même pièce.
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Qu’elle l’avait servi vingt-quatre heures sur vingt-quatre, sept jours sur sept ? C’était une relation de dominant à esclave et non de dominant à soumise. S’il le lui apprenait, il courrait le risque de la déstabiliser et de provoquer une nouvelle crise de panique.
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Ce n’est pas un crime de vouloir être désirée. Celui à qui vous aviez accordé votre confiance n’en était pas digne. C’est une dure leçon que vous avez apprise à vos dépens.
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— « C’est » ou « s’est », commença-t-il. Le c et le s font toute la différence.
— Disons que c’était une faute d’inattention.
— Rémunération ou rénumération. C’est une erreur courante. Ça s’appelle un barbarisme. Enfoncez-vous ça dans le crâne. « Un espèce », poursuivit-il. Encore un barbarisme. Espèce est féminin quel que soit le substantif qui suit. Une espèce de courage, par exemple. Ne tombez plus dans le piège.
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Rien ne remplace l’expérience personnelle.
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Elle se sentait toute molle. Sa voix était d’une incroyable douceur. Dire qu’elle le considérait comme un fauve, un prédateur capable de dévorer ses proies. Il était le contraire de ce qu’elle imaginait. En plus, il admirait son courage. Elle en fut toute retournée. Après une longue traversée du désert, tenaillée par l’angoisse, le doute, le désespoir, allait-elle enfin pouvoir se réconcilier avec elle-même grâce à lui ?
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N’oubliez pas que je suis journaliste. J’accorde beaucoup d’importance à l’écrit. J’aimerais que vous preniez le temps de consigner vos idées sur le papier. Chaque jour. Je les lirai au fur et à mesure. Vous aurez carte blanche même si je vous imposerai parfois un sujet.
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Il y a une règle d’or qui n’est pas négociable. Sinon, mieux vaut arrêter tout de suite. J’exige une scrupuleuse honnêteté dans les deux sens. Je donne trop de ma personne pour qu’il en soit autrement.
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Lorsque je travaille avec une nouvelle soumise, reprit-il, je cherche à accaparer son esprit et régenter son existence dans les moindres détails. Je veux être omniprésent dans sa vie, même quand je ne suis pas là. N’ayez pas peur, Sasha, je vais procéder en douceur. Et je suis certain que vous trouverez nos jeux mentaux aussi torrides sinon plus que les ébats les plus raffinés.
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Le sexe, ça commence dans la tête. La soumission aussi. En tant que dominant, je dois conquérir une place dans votre esprit avant de pouvoir vous posséder sexuellement
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— Quel est l’organe sexuel le plus important ?
— Le cerveau.
— Exact. Mais c’est un cliché, une formule vide de sens.
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Pourquoi les hommes offrent-ils des fleurs à une femme ? Selon Sasha, la meilleure amie et associée de Julie, il n’y avait pas trente-six raisons : pour la mettre dans leur lit ou pour l’y remettre. Julie n’était pas tout à fait d’accord, mais une fois que Sasha avait une idée en tête, elle n’en démordait pas.

Le carillon de Petal Pushers, la boutique de fleurs dont elles étaient propriétaires, égrena quelques notes. Julie loucha vers les deux clients qui venaient d’entrer avant de reprendre la discussion interrompue.

— Tu as vu ? souffla-t-elle à son amie. Ça m’étonnerait qu’il essaie de la mettre dans son lit, celle-là.

Sasha, qui passait commande dans l’arrière-boutique pour renouveler le stock de la semaine suivante, leva le nez de l’écran de son ordinateur. Le « il » en question était un homme de haute taille, les traits virils, comme sculptés au burin, les cheveux châtain clair. Vêtue d’une pelisse blanche adaptée à l’hiver rigoureux de Wilmington, dans le Delaware – elle devait probablement valoir plus cher que le salaire annuel de Julie – la femme âgée qui l’accompagnait, ne ressemblait pas à la bombe qu’on exhibe fièrement à son bras.
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- Donc tu savais pour les appels ?
- Oui. Elle m'avait fait promettre de tenir ma langue. Elle ne voulait pas que Jeff l'apprenne. Je regrette de ne pas te l'avoir dit.
- Et moi donc. Mais bon, tu croyais bien faire, concéda-t-il. Jeff ne part plus, tu sais ? Il l'emmène chez lui.
Elle médita un moment.
- J'aurais pu faire la démo finalement.
- Ne te fais pas de soucis, les occasions ne manqueront pas. Même si les fesses de Dena s'en serait mieux portées.
- Pourquoi ?
- Elle est arrivée en retard à cause d'un de ces coups de fil anonymes. Seulement, elle ne nous a pas avertis. Et elle a dit à Jeff d'aller se faire foutre.
- Non !
- Si.
- Incroyable !
- Autant te dire que l'a senti passer.
- Aïe !
- Le problème est réglé. Quand je les ai laissés, ils étaient sur le point de se sauter dessus.
- Espérons qu'on ne le regrettera pas.
Il s'allongea sur le dos.
- L'avenir nous le dira.
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- Votre histoire ressemble un peu à la mienne, dis-je. sauf sur un point.
- Lequel ?
- C'est moi qui ai fait le premier pas vers mon Maître.
Elle ne s'y attendait pas, et sa surprise me fit rire. Mais elle reprit ses esprits :
- Vous devriez en parler sur le blog, et inviter vos lecteurs à partager leur histoire.
- C'est une excellente idée.
Et ça l'était vraiment, non seulement pour le blog, mais également pour le programme que National News Network voulait produire. Il faudrait que je le propose à Meagan.
- Merci, dit Julie. Une petite question : est-ce qu'il y a une raison pour laquelle vous n'appelez jamais Nathaniel par son prénom ?
- Je ne prononce jamais son prénom quand je porte son collier, expliquais-je. C'est juste une façon de m'aider à rester dans le bon état d'esprit.
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Ayant forcé Dena à se plier à sa volonté dans le passé, Jeff Parks se doutait du mal qu’elle se donnait pour éviter de regarder dans sa direction. En d’autres circonstances, il aurait détourné la tête, mais après la décision qu’il venait de prendre…

— Tu n’as pas écouté un traître mot, hein ? lança Daniel.

Jeff reporta son attention sur son ami, un dominant comme lui. Il était tard, ce jeudi-là, et la réunion de leur groupe venait de s’achever. Personne n’était pressé de partir, chacun souhaitant s’attarder pour bavarder quelques minutes avec Nathaniel et Abby, les hôtes de la soirée. Nathaniel avait donné une conférence sur les moyens d’éviter que la relation dominant/soumise s’émousse avec le temps. Jeff se rappelait les scènes auxquelles il avait participé avec le couple, quelques mois plus tôt – apparemment, ces deux-là n’avaient aucun problème de ce côté.

Il se tourna vers Daniel.

— Pardon, tu disais ?

— Rien de spécial. Je voulais juste peaufiner un ou deux détails en prévision de la soirée de demain.

— À vingt-deux heures chez toi, c’est ça ?

— Tiens, tu as entendu finalement ? ironisa Daniel.

Et s’il se confiait à son ami ? songea Jeff. De toute façon, il finirait par le savoir et mieux valait qu’il l’apprenne de sa bouche.

— Excuse-moi, j’avais la tête ailleurs. Alors voilà, je déménage.

— Tu quoi ? s’écria Daniel.

— Pourquoi ? questionna Nathaniel en même temps.

Jeff chercha machinalement Dena des yeux. Elle était en grande conversation avec Abby et Julie. La soumise de Daniel avait dû faire une plaisanterie, car Dena secoua la tête et partit d’un grand éclat de rire, ses longs cheveux blonds balayant son joli minois.

— Je vois, fit Daniel.

— Ce n’est pas ce que tu crois.

Daniel haussa les sourcils, les bras croisés sur sa poitrine.

— Julie m’a raconté la scène avec Dena.

Jeff l’aurait parié. Il aurait même été surpris du contraire. Cette fameuse nuit, plusieurs mois auparavant, Dena et lui avaient joué devant Julie, à l’époque où celle-ci hésitait encore à accepter sa nature de soumise. L’épisode avait aidé Daniel et Julie à approfondir leur relation. En même temps, cela avait été un facteur déterminant quant à la décision de Jeff de prendre le large. Il se borna à hocher la tête en guise de réponse.
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À trop jouer avec le feu, on finit par se brûler, c’est connu.
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Chacun a un passé, et, la plupart du temps, on ne laisse à voir que ce qu’on veut bien montrer.
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L’espoir fait vivre.
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