Citations de Tara Sue Me (82)
La tempête de sensations exquises qu’il éveillait en moi créait une mystérieuse
alchimie dans la pénombre. En fermant les yeux, j’aurais pu imaginer que n’importe qui était en train de me caresser.
Les choses que nous apprécions le plus sont celles qui demandent beaucoup
d’efforts. Les choses que nous devons attendre. On n’y attache pas autant de valeur quand elles arrivent sur un plateau d’argent.
Les actes valent plus que les mots…
C’était très dur parfois de garder le silence. Cela exigeait une grande maîtrise de soi.
Le monde ne s’arrêterait pas de tourner sans moi.
— J’ai du mal à m’aventurer sans savoir où je mets les pieds.
— C’est précisément ce qu’il y a de beau dans la soumission.Se libérer du besoin de tout savoir, tout planifier, trop réfléchir. Une fois que tu l’auras compris, et si tu as confiance en ton dominant, c’est vraiment jouissif de lui laisser le contrôle,parce que tu sais qu’il te connaît,qu’il t’aime et te fait entièrement confiance lui aussi.
L’attente exacerbait le désir.
Une soumise doit toujours être franche avec son dominant, c’est une des règles de base.
Vous ne pouvez pas savoir la force que l’on peut tirer de la soumission. Un dominant exercé le comprend, il la préserve et la cultive.
Il fallait juste qu’elle rencontre l’homme capable de révéler la femme qui sommeillait en elle.
On ne commence pas quelque chose si on ne peut pas le terminer.
Il faut parfois être capable de sacrifices.
Ah, les hommes ! Il vous suffit d’un smoking pour être classe, alors que nous, les femmes, nous devons nous occuper de nos cheveux, nous maquiller, enfiler des collants sans abîmer notre manucure, et j’en passe…
Dans l’incertitude, mieux valait supposer qu’une femme avait une sexualité vanille jusqu’à preuve du contraire.
Les gens que nous aimerions fuir comme la peste semblent s’accrocher comme des sangsues.
Il était une dame douce et aimable
Qui ravit mon cœur comme aucune autre
Je ne fis que l’entrevoir
Et pourtant, je l’aimerai jusqu’à ma mort
Ses gestes, sa démarche, ses sourires,
Son esprit, sa voix ont séduit mon cœur,
Je ne sais pourquoi,
Et pourtant, je l’aimerai jusqu’à ma mort
Cupidon s’envole à tire d’ailes
Le pays de mon aimée et mon amour changent
Mais dût-elle changer la terre ou le ciel
Je l’aimerai jusqu’à ma mort
Un murmure, un baiser papillon, mais je sentis comme une décharge électrique me traverser le corps. Puis ses lèvres douces et tendres reprirent possession des miennes
Je m’endors avec vous, me réveille avec vous,
Et pourtant, vous n’êtes pas là ;
J’emplis mes bras de pensées de vous,
et ne brasse que de l’air.
Une rose était posée sur les ouvrages sur lesquels je travaillais quand je revins à mon poste. Couleur crème, avec un soupçon de rose vers la pointe des pétales. Je m’en emparai et m’enivrai de son parfum. Plus que cinquante-deux heures…
Page cinq. Disons seulement que la cinquième page me laissa tout excitée et impatiente d’être déjà à vendredi.