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Critiques de Torey Hayden (210)
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Kevin le révolté

De ceux que j'ai lu, c'est celui qui m'a le plus touché. Ce récit est sobre, respectueux, et bien écrit. Chaque émotion transparait merveilleusement bien. On se croit presque à la place de l'auteur lorsqu'elle travaille avec Kevin...

Un livre profondément humain, qui montre que, tel un phœnix, on peut renaitre de ses cendres.

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Les Enfants des autres

Torey, psychologue, a la responsabilité d'une classe d'apprentissage, elle prend en charge des enfants ayant des difficultés scolaires. Elle doit s'occuper de Boo, enfant autistique qui ne parle pas ou très peu, de Lori, qui a eu le crâne fracassé par son père violent et qui a des difficultés pour la lecture, de Tomaso enfant colérique qui a vu sa belle-mère tuer son père et son frère et enfin Claudia, 12 ans, jeune fille timide et discrète qui est enceinte.

A travers la vie de tout les jours en classe, on voit comment Torey s'en sort avec ces enfants si particulier, on voit aussi ses difficultés à résoudre certaines situations critiques.

On y trouve des récits très poignants surtout le passage où Boo se retrouve à l'hopitâl pour recoudre sa langue et où le médecin ne veut pas lui donner d'anti-douleur parce qu'il estime que comme il est autiste il ne ressent pas la douleur comme nous, on ne peut que s'indigner.

J'ai eu de la peine a lâché ce livre tellement j'aviaus envie de connaître la suite, et de savoir si ces 4 enfants s'en sortent.
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L'enfant qui ne parlait pas

Lu quand j'étais ado (quelques années déjà...) et j'en garde un souvenir mémorable.



Torey Hayden arrive toujours à nous faire vivre avec elle ces journées dans cette classe spécialisée.



On découvre les ravages d'adultes et surtout les conséquences que cela peut avoir sur nos enfants.



Ici, c'est la parole, la parole perdue, cette petite fille se mue dans son silence mais cela cache bien des choses affreuses...
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Les Enfants des autres

J'aime toujours autant les livres de cet auteur qui témoigne de ses expériences en tant que psychopédagogue auprès d'enfants perturbés pour des raisons très diverses.

Ici j'ai eu un énorme coup de coeur pour Lori, fillette qui, suite à un accident et un traumatisme crânien qui a laissé des lésions dans son cerveau, n'arrive pas à apprendre à lire. Mais elle a une telle personnalité et un coeur si gros qu'on ne peut pas ne pas souffrir en découvrant les épreuves qu'elle traverse et le poids qu'elle porte sur ses épaules. J'ai aussi adoré les interactions entre les différents enfants : Boo, Lori, Tomaso et Claudia et les liens qui se forment alors qu'ils s'entraident et s'apportent les uns les autres l'attention dont ils ont souvent manqué.
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L'enfant qui ne parlait pas





La narratrice Torey Hayden raconte son histoire (vraie) avec la petite Jade au comportement bien étrange. Un comportement physique mais aussi un comportement oral... à en faire froid dans le dos. Heureusement, Torey est spécialiste dans ce genre de cas et elle a sa tête bien ancrée sur ses épaules. C'est qu'il va falloir démêler le vrai du faux, le vécu des fabulations, décrypter les mots, les agissements...



Ce qui a été le plus impressionnant pour moi est qu'il s'agisse d'une histoire vraie. Je me suis demandée comment un psychologue ou bien un instituteur (qui n'a pas eu de formation sur l'étude du comportement) arrive à démêler le vrai du faux. Savoir faire la différence entre l'invention pour se rendre intéressant, et la détresse réelle. Sonner l'alerte au risque d'accuser à tort et briser une famille ? Ne rien dire "en attendant" au risque que des sévices persistent ? C'est vraiment délicat comme sujet et comme décision à prendre.



J'ai été agréablement surprise par le style d'écriture. Pas de mélo, pas de lourdeurs. Le ton est juste, et l'on suit le déroulement de la pensée de Torey au fur et à mesure de ses questionnements et de ses prises de décision.
Lien : http://lacavernedankya.canal..
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L'enfant qui ne pleurait pas

Je l'ai lu il y a bien longtemps déjà

Sans doute 30 ans

Moi qui mélange souvent titres/auteurs /contenu, j'ai gardé un souvenir précis, ému,

touchée par cette petite fille, cette institutrice hors du commun, et leur rencontre



L'enfant qui ne pleurait pas, le titre résonne à mes oreilles comme si j'avais fermé le livre hier



Je n'ai jamais oublié Sheila ni Torey



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Kevin le révolté

Un livre que j'ai lu il y a une trentaine d'années, prêté par ma tante qui l'avait acheté à sa première sortie. Il m'a laissé un souvenir gravé dans le marbre (un peu comme "l'enfant", de J. Vallès, lu au collège), alors même que je n'avais pas du tout conscience de mes propres souffrances d'enfance, d'adolescence...

Les émotions qu'il m'avait fait vivre sont encore vivaces en moi. Aujourd'hui bien sûr je sais pourquoi.

Ma fille, s'orientant maintenant en psychologie, m'a demandé de lui acheter ce livre, ainsi que la plupart des autres livres de Torey Hayden. Hasard ? Je ne crois pas. :)
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L'enfant qui ne parlait pas

Que puis-je dire face à ça ? Un livre atroce de par les détails sordides donnés au lecteur mais également une histoire fascinante liant Torey et Jade. C'est une histoire dont il faut lire avec beaucoup de recul car elle peut choquer, et pas qu'un peu mais aussi la lire avec un examen neutre de la situation. On peut se mettre à la place d'aucune des deux mais on lit, on est là et on les soutient mentalement. Une histoire touchante, une histoire affreuse, une histoire qui fait réfléchir. On n'y en sors pas sans en avoir rien ressenti...
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Les Enfants des autres

Une très belle lecture. Avec ses 370 pages, c'est un livre qui se croque très rapidement!

L'auteure est une psychologue américaine spécialiste des problèmes de l'enfance inadaptée. Dans cet ouvrage, apparemment elle nous raconte une de ses histoires, puisque le narrateur s'appelle Torey.



On se prend d'affection pour ces petits êtres que la vie n'a pas épargné, et qui pourtant déborde d'une envie de s'en sortir sans faille.

Le roman soulève le problème de l'acceptation des problèmes psychologiques de ces enfants: à cette époque (le livre est écrit en 1980) il est difficile de les placer dans des structures adaptées. On ne sait pas trop quoi en faire.



La Torey de l'histoire est très attachante. Elle nous montre une institutrice aimant passionnément son travail mais qui doute souvent, qui tremble face à un élève violent, qui ne sait pas toujours s'y prendre. Elle nous révèle ses faiblesse avec une grande humilité qui nous ému quand on referme ce livre.
Lien : http://lecturefeetish.canalb..
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L'enfant qui ne pleurait pas

On ne peut décemment pas juger de cette œuvre comme on jugerait une œuvre de fiction littéraire. Ici, il s’agit d’un vécu qui se doit d’être entièrement respecté. Il s’agit d’une vocation, qui se doit d’être admirée. Je vais donc choisir, dans ce cas, de donner mes impressions et mon ressenti sur ce bouleversant témoignage.

Dès le début du livre, j’ai perçu Torey comme une personne dotée d’une grande patience et très généreuse. Elle donne beaucoup de son temps et de ses pensées à ces enfants rejetés, oubliant parfois qu’elle-même a sa propre vie. Son métier oscille entre de très bons moments et de très grandes difficultés. Car avec ces enfants, le plus petit des tracas peut faire basculer leurs repères. Mais Torey reste forte et droite. Elle cache habilement ses émotions pour ne pas les troubler. Pour les faire avancer. Mais éduquer, pour Torey, ce n’est pas que leur apprendre de nouvelles choses. Éduquer, ça passe aussi par l’amour. Et de l’amour, elle leur en donne. Comme s’ils étaient ses propres enfants. Comme une mère, elle leur parle, les câline, les rassure, mais aussi, les dispute lorsque c’est nécessaire. Torey utilise un mot très choquant pour désigner sa classe : la classe-poubelle. Poubelle, car c’est là où atterrissent les enfants dont personne ne veut s’occuper. Comme s’ils n’étaient qu’un déchet de la société, on vient les jeter ici. C’est absolument atroce comme expression.

La petite Sheila, au départ, semble être une enfant très perturbée. Très dangereuse même. Ce sont ces caractéristiques qui font que personne, avant Torey, ne s’est attardé sur elle. On ne peut pas dire que son arrivée ne cause pas de problèmes aux autres enfants. Tous avaient trouvé leur équilibre. Et puis, tout a basculé. À ce moment, on se dit c’est injuste pour les autres. Ils n’ont pas à subir ça. Et puis, on comprend que ce n’est qu’une épreuve de plus afin qu’ils arrivent un jour à s’adapter à des situations inattendues dans leurs propres vies. C’est ce qu’on peut appeler, un mal pour un bien. À force de patience, Torey apprivoisera l’enfant et apprendra qu’elle est surdouée. Un Q.I. qui dépasse l’entendement. À six ans, elle sait lire, écrire et compter sans aucune difficultés. Son vocabulaire est même très développé, si bien qu’elle connaît le terme « biens mobiliers ». C’est en réalité, un petit génie. Mais ce petit génie s’avère être plein de troubles. Des troubles dûs à son enfance malheureuse. Comment une mère peut-elle abandonner son enfant ? Comment un père peut-il le battre ? Autant de questions qui resteront toujours incomprises, car il n’y aura jamais d’explications satisfaisantes à nos yeux. 
Au bout de la lecture, on se rend compte qu’on a oublié que Sheila a kidnappé un enfant. On a oublié ses troubles. On a oublié ses petites sautes d’humeur. On ne voit plus qu’une petite fille qui demande de l’attention, qui a peur de l’abandon et qui, au fond, ne souhaite qu’une chose : être aimée. Elle est devenue, à nos yeux, une petite fille normale.

L’histoire de Sheila est un véritable crève-cœur. Comment ne pas s’émouvoir face à une petite fille, innocente, victime des erreurs de ses parents ? Comment ne pas en vouloir à ces parents ? 
J’ai lu ce livre en une journée tant il était passionnant. Pas passionnant dans le sens où l’histoire était magnifique, poétique. Non, passionnant de voir le courage que cette petite fille déployait à être encore debout après toutes les atrocités qu’elle a subit. Un exemple de courage pour nous adulte, qui parfois nous plaignons de choses absolument futiles. Elle ne se plaint pas et ne pleure pas. Elle a vite compris que les choses ne sont pas toujours comme on souhaiterait qu’elles soient. Et, elle vit avec. Elle s’adapte ! Malgré les difficultés.
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Kevin le révolté

J'avais très hâte de lire ce livre. Il s'agit d'un adolescent troublé qui s'est enfermé dans le mutisme volontaire. Torey Hayden, spécialiste de la psychopathologie enfantine, travaille avec celui-ci pour le faire parler, mais aussi pour découvrir ce qui se cache derrière ce mutisme et toutes ces phobies.

Un excellent livre, qui est fascinant pour tout passionné de psychopathologie. C'était mon premier Torey Hayden, et ce ne sera certainement pas mon dernier !


Lien : http://lecturesdisabelle.blo..
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L'enfant qui ne pleurait pas

Les livres de T. Hayden parlent tous de la même chose, et pourtant ils ne se ressemblent pas car chaque enfant dont elle parle est différent, et demeurent émouvants et prenants au delà des mots qui les composent. Celui-ci je l'ai également lu il y a longtemps. Aujourd'hui, j'ai plus de mal à lire ce genre de témoignages, cette réalité horrible de l'humain me pèse, j'avoue préférer ne plus trop m'y plonger.

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L'enfant qui ne parlait pas

C'est un livre très bien écrit. On se laisse facilement porter par la lecture.



Un sentiment de protection s'intensifie au cours de la lecture pour cette petite fille de huit ans. Plus elle parle de ces secrets, plus un dégout s'installe : " Comment peut-on faire subir à ces petites filles de telles atrocités ? "

Est-ce une fille manipulatrice, ou est-ce que ça cache une vérité insoutenable ?



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L'enfant qui ne pleurait pas

C’est un récit inimaginable que nous livre ici Torey Hayden, institutrice spécialisée, responsable d’une classe de 8 enfants malades psychiatriques. Elle raconte comment elle a été forcée d’accueillir dans sa classe une neuvième enfant, une fillette, ou plutôt une petite sauvageonne de 6 ans qui ne s’exprime que par des cris, et qui a commis un acte si grave qu’elle doit être mise à l’écart de la société, placée en asile psychiatrique dès qu’une place s’ouvrira. Torey va réussir à apprivoiser cette enfant et découvrira que loin d’être folle, cette fillette a un QI largement au-dessus de la moyenne et a été littéralement brisée par la vie, par le départ de sa mère, par la misère de ses conditions de vie et par les sévices subis. Le livre est bien écrit, de façon sobre et directe, beaucoup de dialogues entre Torey et les enfants. Il y a beaucoup d’amour dans ce livre et même de l’humour ! (La préparation du spectacle Le Magicien d’Oz avec les enfants de sa classe pour la fête de fin d’année vaut la lecture :). Finalement ce que je retire de ce livre, ce n’est pas tant l’horreur de la vie de Sheila, la petite fille qui ne pleure pas, mais l’émerveillement devant les capacités de ces enfants, soi-disant « fous », mais qui se révèlent d’une grande profondeur dans leurs échanges avec l’institutrice. Torey en effet encourage les enfants à s’exprimer sur tous les sujets qui les concerne. Elle a aussi mis au point une « boîte » à messages où les enfants laissent en fin de journée un petit compliment pour un de leur camarade, encourageant ainsi les enfants à s’améliorer. Ce livre m’a donné envie de lire d’autres livres de cette auteur.
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L'enfant qui ne parlait pas

Une première pour moi. Belle auteure, l'histoire est très touchante, pleins de secrets, pleins de rebondissement. Comment un enfant de 8ans peut garder un aussi lourd secret? Jusqu'au jour où elle parle. Mensonges? Imagination? Religion? Réalité? Vérité?
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L'enfant qui ne pleurait pas

C’est le récit d’une institutrice spécialisé qui prend en charge une gamine, Sheila, de six ans, condamnée à rejoindre la psychiatrie après avoir maltraité un enfant de trois ans. Cette enfant est difficile, très difficile, mais elle est de surcroît très intelligent. Mais au fil du temps, et du travail, si nous pouvons appeler cela un travail, Torey arrive à dompter cet enfant. Il se créé des liens entre cet enfant et cet adulte, des liens de tendresse.

C’est l’histoire d’un sauvetage, mais la vie n’est pas juste !!



On aime ou on n'aime pas ce type de romans, mais cela nous aide à comprendre que certaines personnes se dévouent corps et âme pour sauver des vies de de la folie et de l’enfermement.



Bonne lecture à vous.

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La fille du tigre

Cela a vraiment été la croix et la bannière pour trouver ce livre et pour cause, il n'est plus édité. Certains particuliers ou professionnels vendent leur exemplaire à un prix juste honteux, mais bon j'ai réussi à trouver un exemplaire à un prix correct, j'en suis ravie !







Torey Hayden est pédopsychologue et écrivaine. Tour à tour enseignante spécialisée auprès d'enfants en grande difficulté psychologique, assistante à l'université, coordinatrice de recherche et consultante pour le traitement des enfants victimes de sévices, elle s'est spécialisée dans le domaine du mutisme sélectif. Elle a été, dans les années soixante-dix, une pionnière dans l'étude de ce phénomène psychiatrique peu étudié à l'époque. Elle a réalisé ce travail de recherche principalement à l'université du Minnesota à Minneapolis, pour en présenter les conclusions lors de la conférence nationale de l'American Academy of Child and Adolescent Psychiatry en 1978.



Elle s'est rendue célèbre par le récit autobiographique One child (L'enfant qui ne pleurait pas), paru en 1982, dans lequel elle raconte le sauvetage de Sheila, une enfant "sauvage", murée dans le silence. Abandonnée par sa mère, élevée par un père alcoolique, victime de violences et d'abus sexuels, Sheila se révèle une enfant surdouée, d'une grande intelligence et d'une sensibilité à fleur de peau. Cet ouvrage a été traduit en 28 langues et sera suivi de The Tiger's child (La fille du tigre), paru en 1995, qui relate les retrouvailles mouvementées de Torey Hayden et Sheila, 7 ans plus tard, lorsque l'auteure souhaite obtenir l'autorisation de son ancienne élève pour la publication de One Child.



J'ai découvert cette auteure il y'a plusieurs année, tout à fait par hasard avec l'un de ses témoignages et dès les premières pages j'ai su qu'elle ferait partie de mes auteur(e)s favoris. Ayant lu, l'enfant qui ne pleurait pas, c'est tout naturellement que j'ai souhaité connaitre la suite et encore une fois je ne suis pas déçue par cette belle découverte.

Sheila est devenu une adolescente lorsque nous la quittons dans le premier récit elle n'a que 6 ans, lorsque Torey Hayden la retrouve elle en a 14 et elle est devenue une jeune fille révoltée et perturbée par tout ce qu'elle a subit au cours de jeune existence.

Torey Hayden va alors tout mettre en oeuvre pour maintenir Sheila hors de l'eau et la faire aller de l'avant, malgré les difficultés, les maux et grâce à sa ténacité nous assistons à une très évolution.



Si vous êtes amateur de témoignages sur l'enfance/la psychologie/ l'éducation alors Torey Hayden est une valeur sûre pour vous! Un énorme coup de coeur pour ce récit plein d'humanité et de dévouement. Bravo à Torey Hayden pour son professionnalisme, sa patience et son amour pour sa profession, chaque récit, nous apporte une très belle leçon de vie et pour tout cela je suis totalement admirative !


Lien : http://promenonsnousdanslesl..
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L'Enfant au chat

Passionnant, les personnages sont très touchants. Peu à peu, on découvre avec le héros ce qui se cache derrière deux personnes qui souffrent. L'auteur, psychologue, signe son premier roman.
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L'enfant qui ne parlait pas

Livre très émouvant qui fait réfléchir !!!

Je renouvellerai sans hésitation l'expérience Hayden !!!

Plus plus d'infos aller sur mon blog.
Lien : http://leslecturesdemademois..
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L'enfant qui ne pleurait pas

Je ne sais pas si avec ce sujet tellement grave et délicat, je peux me permettre de dire ça : j’ai beaucoup aimé ma lecture ! Ce n’est pas le premier livre de témoignage d’enfant maltraité que je lis mais ici, il y a une grosse différence. L’auteur ne se contente pas de nous relater les maltraitances de Sheila et des autres élèves de sa classe, mais elle nous relate surtout l’évolution très positive de ces enfants. On suit principalement Sheila mais aussi les autres car ils s’acceptent entre eux et s’entraident. Ils forment un groupe compact et solidaire.

C’est une sacrée leçon que l’auteur nous offre. Elle nous ouvre les yeux sur ces enfants malades et/ou maltraités. Ils sont extrêmement courageux mais aussi très persévérant. Et avec de l’amour, les bons gestes et bonnes paroles ainsi que de beaucoup de patience, les professionnels de santé (psychologues, psychiatres, psychopédagogues, etc...) peuvent réussir à les faire évoluer. A leur rythme bien entendu. Mais ils peuvent retrouver leurs rêves et leurs espoirs. C’est un très beau message que nous offre ce témoignage. Il est positif ce livre, malgré l’horreur de la situation et c’est cela qui est agréable. Cela change des autres livres de témoignage.

C’est très bien écrit, il se lit en une journée car il est tellement captivant.
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