AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Victor Hugo (2705)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


1, 2, 3... bonheur ! Le bonheur en littérature

Petit ouvrage trouvé durant les vacances de l'été dernier et que je n'ouvre qu'aujourd'hui !!!

C'est le genre de petit livre toujours utile et agréable...

Chacun y prendra la mesure de ce dont il a besoin, de ce qui lui fait écho dans sa propre vie.

Une kyrielle de ''perles'' égrenées tout au long de ces pages par des auteurs cités tels : Andersen, Giono, Hugo, Voltaire, Gide, Alain, Saint Matthieu, Le Clézio, Tolstoï, Pirandello...

Alors : à vos marques, prêts, partez... pour le bonheur !!!
Commenter  J’apprécie          60
1, 2, 3... bonheur ! Le bonheur en littérature

Ce petit livre est un recueil de nouvelle autour de la quête du bonheur. C'est un plaisir à lire. Il se mange en une bouchée. Il nourrit une réflexion sur un sujet qui fait rêver, réfléchir... ça inspire et c'est une lecture qui fait du bien.

En bref, je vous le conseille vivement.
Commenter  J’apprécie          10
1, 2, 3... bonheur ! Le bonheur en littérature



Tous les textes ne m’ont pas plu.

Si j’ai apprécié Alain, certains textes plus que d’autres, St Matthieu, beaucoup Tolstoï, Oscar Wilde, Maupassant et Pirandello. Voltaire et Anderson assez, peu Hugo, Gide et Le Clézio que d’habitude j’apprécie, Madame du Châtelet m’a ennuyée et je n’ai pas du tout aimé Giono.

Vu le titre je suis un peu déçue mais moins de 120 pages, ça passe.

Commenter  J’apprécie          70
1, 2, 3... bonheur ! Le bonheur en littérature

Un petit (c'est presque un regret...) recueil de textes sur le bonheur ou plutôt illustrant le bonheur.

Certains textes, m'on peu enthousiasmé, mais finalement j'en retiens surtout quelques "perles", qui, en fermant le livre, laissent un sentiment diffus de plaisir: peut être un début de bonheur?



Parmi celles ci je ne peux que partager avec vous, lecteurs babéliens" celle trouvée dans Tolstoï:

" les livres qu'autrefois je lisais uniquement pour tuer mon ennui devinrent soudain pour moi un des plus grands plaisirs de la vie, et cela uniquement parce que j'avais parlé de livres avec lui, parce que nous avions lu ensemble."



Je vous en propose une seconde, signée Giono cette fois: " le sage cultive ses sentiments et ses sensations, connait sur le bout du doigt le catalogue exact de leurs possibilités, et s'applique avec elles à utiliser les ressources du monde sensible".



Commenter  J’apprécie          80
1, 2, 3... bonheur ! Le bonheur en littérature

Voilà un petit recueil de nouvelle que j'ai trouvé lumineux, exception faite de la nouvelle de Tolstoï que je n'ai pas accrochée, De "La pomme tomba et il trouva son bonheur" à "Nous avons rêvé des jours de bonheur" en passant par "j'ai besoin du bonheur de tous pour être heureux" c'est une recueil de nouvelles touchantes et de petites réflexions philosophiques aussi sur cette notion après laquelle chacun de nous court mais qui a trop tendance à nous échapper... Andersen, Voltaire, André Gide, Maupassant, Mme du Châtelet, Alain... ils sont tous réunis ici pour nous, dans des genres très différents pour nous faire réfléchir, chacun à leur manière et nous inviter à une réflexion sur l'art de trouver le bonheur et sur ce qu'il représente ; sur l'effort aussi que tout un chacun se doit de faire pour le trouver, car au fond qu'est-ce que la vie sinon vouloir être heureux ? Un petit livre à mettre entre toutes les mains.
Commenter  J’apprécie          30
Amy Robsart

Une oeuvre de jeunesse de Victor Hugo, avant Hernani même, qui s'inspire de Walter Scott - et cela se voit, dès la première didascalie qui nous annonce une chambre gothique, au personnage de l'alchimiste-astrologue qui cherche la pierre philosophale, aux oubliettes du château.

Mais l'intrigue se déroule à l'époque élisabéthaine, donc à côté des ruines du vieux donjon se trouve le chateau renaissance, lieu des fêtes de la cour et de la réception de la reine. Le personnage d'Elisabeth peut annoncer d'autres femmes puissantes, à la fois reines et amantes, du théâtre de Victor Hugo, Lucrèce Borgia, Marie Tudor. Au contraire, Amy est bien effacée.

Sur le plan de l'intrigue, les rebondissements sont prévisibles, même sans connaître les personnages historiques réels. En revanche, la trouvaille est le personnage de Flibbertigibbet, un peu lutin, un peu sorcier, un peu railleur, un personnage de bouffon tragique comme Victor Hugo développera dans son oeuvre, à la fois grotesque et tragique.

Pas la meilleure oeuvre de Victor Hugo donc, sans les alexandrins, son écriture théâtrale perd en grandeur et en beauté, mais quelques idées qui annoncent certains de ses goûts et ses futurs personnages.
Commenter  J’apprécie          40
Amy Robsart - Les Jumeaux

Confrontation du classicisme et du modernisme de ce siècle en mouvement.

De la belle Emilia, Amy Robsart apparaît.

Fraîche et mystérieuse comme l'écriture de ce jeune auteur, âgé alors de 19 ans, Victor Hugo.

La"petite bâtarde" de Victor Hugo séduira le théâtre de l'Odéon.

Elle s'habillera des talents d'un certains Delacroix, sans jamais élucider le mystère de sa disparition.
Commenter  J’apprécie          10
Amy Robsart - Marion de Lorme - Hernani - L..

Cour d'Angleterre, règne et régence, luttes de pouvoir et de territoires.



Passion et désespoir se sont ils fait suicide ou assassinat d'une âme vaincue par un mal sans lendemain ?



Autant de questions cherchant réponse auprès de cette jeunesse trop vite enfuie.
Commenter  J’apprécie          20
Angelo : Tyran de Padoue



Drame de l'amour, de la jalousie, du sacrifice, dans cette pièce de Victor Hugo que je ne connaissais pas.



Le fil conducteur de l'intrigue, du dénouement - somme toute banal - sont tous deux prévisibles puisque les "bons" sont les grands gagnants (si l'on peut parler / écrire ainsi) par rapport aux personnages que l'on peut qualifier de méchants, d'infectes, n'agissant que par et pour l'argent, mettant ainsi tout en œuvre pour rester au firmament du pouvoir coûte que coûte.



Une pièce de théâtre qui semble "convenu" par moment, mais, que l'on lit, découvrir avec plaisir, ne serait ce pour l'éloquence et la verve de Victor Hugo.

Commenter  J’apprécie          60
Angelo : Tyran de Padoue

Il y a l'influence de Shakespeare dans ce drame romantique, de façon évidente, du choix de Venise et de l'Italie, au dénouement à base de poison et de philtre soporifique, ainsi que de coup de poignard. C'est aussi un drame de la jalousie, trois hommes et deux femmes, un couple légitime, deux couples adultères, et un espion aux pouvoirs terribles. Car Hugo rajoute la dénonciation politique de la tyrannie et de l'abus de pouvoir.

Mais sur cette pièce qui n'est pas sa plus réussie, à cause de l'écriture en prose en partie qui n'a pas la flamboyance ni l'audace de ses vers romantiques, à cause des rebondissements très prévisibles aussi, a une originalité, le discours de Catarina. Certes, elle apparaît comme un personnage féminin uniquement dédié à son amant, dans des paroles qui peuvent sembler trop sentimentalistes aujourd'hui. Mais elle comprend qu'elle souffre parce qu'elle est femme, alors que "tout est permis aux hommes" (acte III, scène 8). Son mari, qui s'affiche publiquement avec sa maîtresse, est prêt à la tuer car il la soupçonne d'adultère, lui qui l'a épousée pour son argent. Un discours moderne, presque féministe.
Commenter  J’apprécie          20
Angelo : Tyran de Padoue

Angelo, le tyran de Padoue est une pièce rarement mise en scène.

C'est un texte dont la clarté cache évidemment des portes secrètes et des souterrains obscurs et ambigus. Deux rôles féminins Tisbe et Catarina. La première est la maîtresse d'Angelo, la seconde sa femme, mais toutes deux aiment secrètement le même homme, Rodolfo.

Incapable de se faire aimer, jaloux, méfiant, autoritaire et violent, le tyran ne parvient pas à changer le cours de ses penchants. Hugo a ainsi écrit un drame des coeurs où la puissance la plus dure joue avec les sentiments les plus purs.

Cette tyrannie domestique, qui vire au mélodrame romanesque explore le territoire de l'intime. Car l'enjeu de la tyrannie n'est pas tant le pouvoir que le désir. Ce sont ses formes, telles qu'elles se manifestent et éclatent, que la pièce réussit à saisir. Voici donc le langage amoureux, les corps de désirs, les voeux éternels, une ou deux preuves d'amour, mais surtout les stratégies, les espoirs et les cauchemars qu'ils engendrent. Pourquoi, dans cet univers froid, le désir doit-il s'infiltrer malgré tout et chambouler, tout jeter par terre, se révolter ?

Drame romantique en prose, Angelo, le tyran de Padoue est une pièce méconnue du répertoire de Victor Hugo. Il avait 30 ans mais avait déjà acquis de la maturité lorsqu'il écrivait cette histoire de tyrannie et de sentiments pour la scène du Théâtre-Français. Une tragédie empreinte de puissance et de fragilité où le destin de quatre êtres passionnés se joue en l'espace de trois jours.

À (re)découvrir.

Même les 'petites' pièces de Victor Hugo nous offrent des beautés tellement rares:

c'est Catarina qui parle: 'Ensemble nous ferions envie aux anges. Oh ! Non, ils ne sont pas autant au ciel que nous.'
Commenter  J’apprécie          80
Aphorismes

C'est avec beaucoup de plaisir que je me suis replongée dans l'univers Hugolien. Ce petit recueil réunit des citations classées par thème, tirées de ses nombreuses oeuvres. Le plus de cette toute jeune édition est qu'elle nous fait (re)découvrir des morceaux choisis rares ou inconnus du grand Victor que j'apprécie tant! Merci à Babelio et aux éditions Ivres de livres pour ce petit moment de bonheur.
Lien : http://lectrissima.blogspot...
Commenter  J’apprécie          40
Aphorismes

J'ai toujours aimé Victor Hugo, peut-être davantage ses poèmes et ses pièces que ses romans, et aussi bien l'homme que l'écrivain. Les aphorismes sont des maximes, de petites phrases sur lequelles on peut méditer à loisir. Le recueil de Victor Hugo se déguste donc au gré des envies du lecteur, au hasard des pages.



Avant toute chose, je dois dire que l'ouvrage est joliment présenté : j'en ai aimé le format et la belle couleur verte. Il est imprimé de manière écologique, par le réseau Imprimvert, un détail qui a son importance pour moi, et enfin, il était accompagné d'un petit mot fort courtois. De quoi me mettre dans de bonnes dispositions !



Mais revenons à ce cher Victor. Les Aphorismes étant classés par thème, je suis allée d'abord vers ceux qui m'intéressaient le plus.

Tous les aphorismes sont tirés de divers recueuils qui sont mentionnés. Le fait qu'ils soient classés par ordre alphabétique est bien pratique, cela permet d'aller directement chercher un thème. Et puis, en plus de méditer sur certaines phrases, on peut toujours trouver à les replacer, au détour d'un billet ou d'une conversation, non ? Blague à patr, c'est aussi une bonne façon de (re)découvrir les pensées et opinions de ce grand écrivain et de donner envie de lire le reste de son oeuvre.


Lien : http://lectures-au-coin-du-f..
Commenter  J’apprécie          30
Aphorismes

Pour avoir appris ses poèmes par cœur ou pour avoir lu Notre-Dame de Paris, on croit tout connaitre de Victor Hugo. Pourtant ce n'est souvent pas le cas comme nous le prouve très bien ce recueil joliment et justement nommé Aphorismes.

En effet, la plupart des phrases, sentences et opinions de ce livre sont tirés d'œuvres moins renommées que les Feuilles d'Automne ou l'Art d'être grand-père. Point donc ici de "Ce siècle avait deux ans" ou " Elle avait pris ce pli dans son âge enfantin" mais plutôt des idées, des pensées et des réflexions à tendance philosophique ou mystique.

On (re)découvre Victor Hugo, homme politique, social, engagé et ancré dans son époque. Chaque phrase pourra être lue, méditée et certaines mériteraient de devenir des philosophies de vie.
Lien : http://www.quartier-livre.fr..
Commenter  J’apprécie          20
Aphorismes

C'est avec grand plaisir que j'ai lu cet ouvrage dans le cadre d'une opération "masse critique" lancée par Babelio. Tout d'abord pour découvrir ce nouvel éditeur, également libraire, et ensuite pour le plaisir de lire du Victor Hugo… Les aphorismes ont été choisis par Jean-Benoît Guinot et regroupés par thèmes. Le livre se présente donc comme un dictionnaire où l'on peut piocher à sa guise. Il s'ouvre par l”'Abîme”… qui nous renvoie bien sûr à la bouche d'ombre des Contemplations, et se clôt par la “Vrille”, sans que je sache bien pourquoi…

Un livre où picorer, un livre à pensée, un livre pour rêver... que j'ai aimé !

J'ajoute que la présentation du livre ainsi que son format sont agréables, ce qui ne gâte rien...
Commenter  J’apprécie          30
Aphorismes

[...]

Je ne sais au juste à quoi je m’attendais lorsque je me suis inscrit à Masse critique, mais ce in-12 de 110 pages, à l’agréable couverture souple verte (labellisée IMPRIM’ VERT) a su toucher ma curiosité et s’est révélé, au final, très agréable à lire. Rangés par ordre alphabétique des notions abordées (de « Abîme » à « Vrille »), ces aphorismes permettent de brosser un portrait de ce grand homme par petites touches impressionnistes.

Adorateur des lettres, il place la littérature au sommet des arts, tout en conservant de l’estime pour la poésie. Curieusement, il dédaigne (relativement) la musique. On le sent profondément humaniste, en droite ligne des héritiers des universitaires du Moyen-Age, plaçant l’Homme entre le Siècle et le Divin.

Bien entendu, il se refuse à l’agnosticisme même s’il est extrêment critique avec les prêtres de tout bord.

De même, on voit facilement dans ses quelques réflexions politiques son amour des idéaux révolutionnaires, et le rejet de leur manipulation à des fins « politiciennes ».

On connaît bien entendu son rejet du Second Empire qu’il semble prendre comme une perversion du bonapartisme et une violation des valeurs républicaines. Mais c’est surtout dans la quête d’absolu et de la Vérité (la plus grande des Vertus) qu’on trouve ses plus belles phrases, dans des essais philosophiques redoutables, parfois glaçants d’à-propos, où son art de la Langue fait merveille dans les analogies.



Loin d’être une somme, c’est un bref aperçu de la grandeur d’un homme libre.




Lien : http://journal-de-vance.over..
Commenter  J’apprécie          10
Au Jardin des plantes

Tout petit livre dont les illustrations seront appréciées par les petits. Quant aux textes, je suis plus perplexe, car les petits ne peuvent pas en percevoir la poésie ou le second degré. Et parfois ... moi non plus. Je suis donc assez sceptique sur l'intérêt de certaines planches de ce livre (pourtant très joliment illustré).

Visuellement très joli, d'où la seconde étoile.
Commenter  J’apprécie          60
Au Jardin des plantes

Cette collection propose aux plus jeunes une approche des grands auteurs.

C'est une excellente idée et le choix de ce poème de Victor Hugo peut être pertinent pour faire découvrir jeux de mots et textes fantaisistes.

Je ne suis pas sûre que tous les enfants (et parents - le texte n'étant vraiment pas évident à lire et expliquer) adhèrent, mais on peut tenter l'expérience... D'autant que les illustrations d'Eric Battut sont belles et poétiques.
Commenter  J’apprécie          10
Au Jardin des plantes

Poème de Victor Hugo à destination des petits-petits, pas certain que la cible soit atteinte.

C'est la 3ème partie du poème du Jardin des Plantes dans L'art d'être grand-père, partie intitulée "ce que dit le public" et c'est une merveille que de lire ces bouts de phrases d'un passé-présent d'enfant. Mais c'est une merveille pour un adulte, un petit enfant passe à côté assurément sauf s'il entame une réflexion sur l'art et là c'est un autre zoo.

L'illustration bien que poétique me semble en dessous du texte.
Commenter  J’apprécie          10
Bligger, le fléau - Légendes du Rhin

Ce petit livre est composé d'extraits de "Le Rhin, lettres à un ami" de Victor Hugo, choisis pour représenter les contes et légendes que l'auteur a entendus lors de son voyage sur le Rhin, sans s'attarder sur le voyage en lui-même.



Après une introduction courte et illustrée sur ce que représentait ce fleuve pour les romantiques, on peut distinguer deux parties : un recueil de courtes légendes locales, de trois à cinq pages, racontées dans le style habituel de Victor Hugo, c'est-à-dire grandiose, avec un certain nombre de considérations et remarques annexes, souvent intéressantes et rejoignant ses thèmes de prédilection.



Et un conte écrit entièrement par Hugo, ou du moins si adapté qu'il n'en est plus reconnaissable, "Le beau Pécopin et la belle Bauldour", qui prend les quatre-vingts dernières pages du recueil. C'est un conte qui peut sembler romantique au premier abord, mais qui est en fait entièrement satirique, avec des rebondissements alambiqués, souvent très drôle, parfois cruel.



Personnellement, j'ai beaucoup aimé. J'adore les contes et j'adore le style de Victor Hugo, à tel point que j'ai tellement oublié mon a priori négatif contre le principe d'éditer un livre constitué exclusivement de morceaux choisis d'un livre plus long.

Commenter  J’apprécie          10




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten


Lecteurs de Victor Hugo Voir plus

Quiz Voir plus

Victor Hugo (niveau facile)

Lequel de ces livres n'est pas de Victor Hugo ?

Les Misérables
Notre-Dame de Paris
Germinal
Les Contemplations

10 questions
1239 lecteurs ont répondu
Thème : Victor HugoCréer un quiz sur cet auteur

{* *}