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Critiques de William Rejault (38)
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La chambre d'Albert Camus et autres nouvelles

Présentation de l'éditeur

Vous êtes en train de lire une quatrième de couverture. Ça s'appelle comme ça. Mes éditeurs, qui s'y connaissent un peu en marketing du livre m'ont dit que, dans l'idéal, ça devait être un texte accrocheur un peu putassier, genre aguicheur mais pas vulgaire, un texte qui vous donne envie de lire le livre. Alors je m'y suis collé. Zéro idée. Je pourrais vous dire : " Salut, je suis Ron, je suis infirmier, je parle de mes patients, voilà. Oh, le truc qui s'annonce soporifique ! " Jamais vous n'achèteriez ça, non ? Je pourrais vous dire : " Bonjour, je suis Ron, je suis infirmier et j'écris pour survivre car, mon métier, c'est la souffrance et la plume de mon angoisse, elle frémit sur la page de mon livre cathartique. " Quelle rigolade ! Jamais vous ne liriez ça, non ? Remarque, le mec qui se la joue " auteur maudit "... Il a toujours un public pour ça. C'est un créneau. A creuser. J'aurais aussi pu vous dire : " Bonjour, je suis Ron, j'ai des histoires incroyables à vous raconter. Du sexe, du vrai sexe, avec des vrais gens. Des morts, de l'adrénaline, des rapports humains, une incroyable aventure. " Oui, je pourrais dire ça. Mais bon, ça a déjà été fait mille fois, non ? Et puis, là, vous voulez un bon livre, pas un roman de gare... Vous allez voir, on a plein de choses à se dire, vous et moi. Plein.



Effectivement, l'éditeur (j'allais ajouter "pour une fois", mais c'est faire montre de mauvais esprit...) ne nous raconte pas de carabistouilles, et j'ai pris un plaisir immense à lire ces fameuses nouvelles ... suite sur Les lectures de Lili


Lien : http://liliba.canalblog.com
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Le chemin qui menait vers nous

L'action se situe juste avant l'élection présidentielle de 2017 et, à la suite du dernier choc pétrolier, la France est plongée dans le chaos. La nourriture se raréfie, il n'y a plus d'électricité, plus de téléphone. Guillaume conçoit avec sa compagne Laure le projet de rejoindre à pied le Pays basque où vivent ses parents. Mais ils ignorent les obstacles qu'ils devront bientôt affronter.







Le premier livre français interactif et participatif disponible sur Iphone a été lancé en France ! Il s'agit d'un ebook, dont l'écriture reprend l'expérience du roman feuilleton avec une parution périodique. La réelle innovation qui réside essentiellement dans l'interaction proposée avec les lecteurs puisque ceux-ci auront le pouvoir d'influer sur le déroulé de l'histoire par le biais de leur téléphone



Après un début prometteur et une intrigue qui tient ses promesses, la fin bâclée nous a quelque peu déçue. Mais ça reste une belle expérience et un très bon polar
Lien : https://collectifpolar.com/
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C'est l'histoire d'un zèbre

Très bon témoignage qui met en perspective les difficultés des "zèbres" à savoir les personnes à haut potentiel.

A travers le parcours de William Réjault, on découvre presque en même temps que lui le potentiel du haut potentiel et ses déboires. On bénéficie aussi de sa prise de recul et de ses conseils.

J'ai beaucoup aimé la façon dont est traité le sujet mais aussi l'humour (usage formidable des notes de bas de pages!) et la construction très méthodique des différents chapitres ce qui rend l'ouvrage très accessible et très efficace quand on veut se pencher sur le sujet.

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C'est l'histoire d'un zèbre

C'EST L'HISTOIRE D'UN ZEBRE, écrit par William Réjault, m'a été gentiment envoyé par l'éditeur @editionsleduc . ce livre à été une révélation. 🦓🦓🦓

Un témoignage que nous livre @williamrejault sur son parcours, sans concessions, en dépeignant et acceptant ses freins et ses leviers, ses compétences et ses manques.

Un parcours qui nous fait comprendre à quel point les codes de la société ont besoin d'être expliqués car ils ne sont pas inés pour tous. Qui nous fait comprendre qu'il est essentiel de développer nos talents et notre créativité.

J'y ai compris comme les choses qui nous paraissent simples peuvent ne pas l'être; et qu'il faut donc accepter d'avoir des compétences qui nous paraissent être basiques et donc nous faire nous sentir "inutiles ". J'y ai compris beaucoup, beaucoup d'autres choses.

J'y ai découvert ce qu'était la synesthésie numérique, et j'y ai rencontré un profil qui me parle.

J'ai lu la partie sur l'hypersensibilité avec beaucoup d'émotions.



Merci william pour grand ouf et cet essentiel.

Un livre néanmoins qui s'adresse à mon sens plutôt aux adultes, à ceux qui se cherchent, qui veulent comprendre. Il me reste néanmoins toujours la question de comment aider les enfants zèbres en souffrance.
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Il en faut peu

C'est dans le cadre de la masse critique que j'ai découvert cet auteur et ce livre. Je remercie donc Babelio et l'édition Pygmalion !



Dans ce livre, l'auteur nous fait découvrir ses aventures quotidiennes. On découvre un personnage plutôt sensible et aimant. Parfois, déçu par la vie. Au fil des pages, on peut s'imaginer de mieux en mieux l'homme qui se cache derrière les mots. Une petite leçon de vie, la sienne. En apprenant de ses erreurs, l'auteur avance et nous fait partager toutes ses conclusions sur la vie. J'aime beaucoup toutes ses citations en gras, des petites réalités de la vie qui font réfléchir. Certaines histoires sont comme des sortes de confessions. Pour d'autres, c'est un partage.

L'auteur nous partage quelques leçons qu'il a pu apprendre, et qu'on devrait tous prendre en note.



C'est donc un joli petit livre que j'ai découvert encore une fois. Cependant ce n'est pas du tout le genre de lecture que j'aime lire. Je le recommande à tous les petits curieux, qui ont envie d'une lecture qui change de d'habitude.
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Quel beau métier vous faites !

Pour l'instant, je n'accroche pas, il semble dénigrer la profession, on se demande s'il aime son métier, on ne voit que le côté sombre. Or, même s'il représente une grande part de notre quotidien, il n'est pas représentatif de notre profession. Quel bonheur quand on arrive à faire plier les patients les plus récalcitrants, quand ils nous remercie, quand ils deviennent "dociles" car on a trouvé le petit mot qu'il faut.... Je lis la suite avant de me faire une opinion définitive car, comme le dit le proverbe, "il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis"
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Tous ces jours sans toi

Le prologue met en scène un éditeur qui découvre le livre que l’on va lire, écrit par Marion. Celle-ci, héroïne du roman, narre par le menu détail son enfance provinciale à Pau ainsi que ses péripéties amoureuses avec un jeune homme qui deviendra un homme politique connu, un certain Laurent Wanquiez, (à une lettre près, on pense forcément à Laurent Wauquiez, plus sexy qu’ Hortefeux ou Devedjian il faut bien le reconnaitre.)
Lien : http://chocoladdict.fr
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Tous ces jours sans toi

Pendant un moment j'ai cru que ça allait le faire.

Ce qu'il faut savoir avant tout, c'est que je n'ai pas l'habitude des romans français contemporains. Généralement, j'aime que la lecture me fasse sortir de mon univers, m'évader dans une histoire fantastique, de science-fiction, ou pourquoi pas dans le monde réel si elle me fait réfléchir, si elle exacerbe les sentiments, si elle me fait rire.

Avec le ton mordant et caustique du début, on était bien parti. J'ai tout de suite accroché au récit de Marion, avec sa description acide mais lucide de la vie dans les campagnes françaises. Les premiers paragraphes sont assez savoureux. La partie narrée par Pierre m'a bien plu aussi, il gravite au milieu de personnages hauts en couleurs. C'est avec le récit de Victoire que j'ai décroché. Déjà, ce qu'elle vit ne m'a pas franchement
Lien : http://chezradicale.canalblo..
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La chambre d'Albert Camus et autres nouvelles

[...] Ce livre est né d'un blog, celui de Ron l'infirmier, un trentenaire qui a eu envie un jour de raconter son quotidien, son boulot. Et ce livre est un condensé d'émotions, de joies, de peines, d'injustice. On rit, on pleure, on frissonne, on détourne les yeux devant certains passages, crus, vrais, on s'insurge devant le traitement infligé à certains patients, face à l'incompétence de certains médecins.



[...] Tout y est pour que ce livre soit le plus vrai possible. Il n'y a pas de sentimentalisme ou de volonté de faire pleurer dans les chaumières. Non. Tout ce que Ron y écrit est vrai, cette impuissance face à une gamine condamnée, la difficulté d'annoncer un décès à un proche, l'odeur du clochard admis aux urgences, le silence sur les maltraitances dans les institutions, la lassitude de certains professionnels, le bonheur d'un moment partagé avec un malade... C'est la vie, c'est cru, c'est vrai... [...]
Lien : http://croqlivres.canalblog...
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La chambre d'Albert Camus et autres nouvelles

Critique publiée initialement sur le site Critiques Libres (2007)



Long time ago, quand j’étais étudiant infirmier, je cherchais des bouquins d’infirmier qui n’étaient pas des bouquins de cours. Il n’y en avait pas tant que ça, au final, et je tombais principalement sur les mémoires et entretiens avec de vieilles cadres supérieures ayant commencé à pratiquer sous la houlette des bonnes sœurs. Je ne trouvais rien qui me préparait vraiment à la réalité du terrain, et ce n’était pas faute de chercher.



Aujourd’hui, si des étudiants infirmiers débutant me demandaient quel livre serrait le plus parlant pour eux sur la réalité de leur profession, au delà du cliché de la gentille infirmière soumise qui tient la main d’un mourant durant des mois, je saurais vers quel ouvrage me tourner. Évidemment, ce serait celui de Ron. Pas parce que j’aime bien Ron, ni parce qu’il écrit bien. C’est un plus, c’est sur, mais ce n’est pas la vrai raison.



Je comprends qu’on puisse douter de la véracité de ses écrits, et comme Ron le dit si bien, c’est normal de vouloir se rassurer, de s’imaginer que tout cela n’est que fiction, et que oui, Bambi existe et que non, personne ne frappe les personnes âgées. C’est bien, ça protège la société. Mais ce que Ron écrit, ce n’est ni plus ni moins que la réalité de la profession. Évidemment, tout le monde ne vit pas ce que vit un infirmier qui a occupé des postes aussi variés. Je n’ai rien vécu, ou presque, de ce qu’a traversé Ron. Et tant mieux.



Alors je vous conseille fortement de lire Ron, que je vous le recommande chaudement. Pour voir les choses en face, pour savoir, vivre et partager un peu de son quotidien, de ses expériences. Pour avoir les larmes aux yeux dans le métro à la fin d’une nouvelle qui vous aura touchée plus que les autres. Haïr le monde à la fin d’une autre. Etre fier de votre métier, si vous êtes infirmier. Parce que c’est un excellent recueil, et que ça devrait vous suffire.
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Trouver sa raison d'être quand on n'entre pas..

Écrit par un zèbre pour les zèbres (personnes multipotentielles), William Réjault nous emmène dans un voyage de développement personnel qu'est la raison d'être. L'essence profonde qui nous constitue, nous anime et nous fait réaliser des choses en accord avec soi. Mais pour la trouver, il faut plonger en son fort intérieur, au coeur du coeur de notre moi profond. Entre schéma de l'Ikigaï que l'on découvre et complète à la fin du livre, entre témoignage et le dévoilement du vécu de l'auteur, on s'explore finalement avec des questionnements pertinents. Une pépite qui permet d'en savoir plus sur soi et de savoir ce qui résonne puis vibre en nous et avec nous !
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C'est l'histoire d'un zèbre

Lisant de plus en plus d’ouvrages concernant le développement personnel, la psychologie etc… le livre de William Réjault m’a intrigué et m’a donné envie d’en savoir plus sur ce qu’est « être un zèbre ». L’auteur en est d’ailleurs un, diagnostiqué comme tel à l’âge de 42 ans, il a écrit ce livre afin d’aider les personnes qui comme lui sont dans ce cas de figure et parce que plus jeune, il aurait aimé lire un tel livre pour mieux se comprendre et s’accepter. Qu’est ce qu’un zèbre ? Pour reprendre les mots de l’auteur : « C’est une personne à haut potentiel intellectuel. Un surdoué. Un précoce non détecté. Un hypersensible ou un ultra sensible. » Ce livre m’a particulièrement intéressé car je me suis reconnu dans certains passages qu’évoquent William Réjault et j’ai été surprise en lisant certaines pages de mettre enfin des mots sur des choses que je peux ressentir parfois. Cet ouvrage interroge et rassure, et permet aux personnes zèbre eux-mêmes où en ayant dans leur entourage ou simplement qui souhaitent en savoir plus, d’être éclairé grâce au témoignage de William Réjault. Un livre que je recommande donc vivement pour toutes les personnes intriguées ou concernés par le sujet.
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C'est l'histoire d'un zèbre

Lu trop vite pour m’en faire un avis objectif.
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C'est l'histoire d'un zèbre

Nécessaire, facile à lire. Un gros coup de coeur !
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Le chemin qui menait vers nous

très bon livres
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Il en faut peu

Cher lecteur,



J’ai eu l’occasion de lire ce roman grâce à la masse critique Babelio et aux Editions Pygmalion que je remercie.

Tu dois sans doute être curieux de savoir ce qui m’a attiré vers ce livre. C’est bien simple, il m’a suffi de voir le titre pour avoir la chanson en tête « Il en faut peu pour être heureux, vraiment très peu pour être heureux, il faut se satisfaire du nécessaire…»

Oups, désolée je m’emballe, revenons-en au roman.

Je ne connaissais pas du tout l’auteur avant de commencer cet ouvrage, mais j’ai découvert sa plume avec beaucoup de plaisir. Je me suis laissé entraîner par les mots et tout l’espoir que le roman nous apporte.

C’est vrai que tout n’est pas rose, mais l’auteur nous montre qu’il y a toujours moyen de s’en sortir et que c’est super important de rester positif.

J’ai aimé me retrouver plongée au cœur de la vie de l’auteur à travers des anecdotes très agréables et je me suis pas mal retrouvée dans son caractère et dans sa façon de voir les choses, car je suis comme lui toujours à essayer de tirer le positif d’une situation même s’il y a beaucoup de négatif derrière.

Les petits passages « Ce que j’ai appris de la vie » sont très agréables, car à travers ces chapitres, l’auteur nous montre que les expériences qu’il a vécues l’ont aidé à avancer.

Si toi aussi, cher lecteur, tu aimes rester positif dans la vie ou si tu as un coup de blues, n’hésite pas à te laisser tenter par ce roman qui, à coup sûr, pourra te remonter le moral ou te permettre de t’identifier.
Lien : https://lantredubonheur.word..
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La chambre d'Albert Camus et autres nouvelles

William Réjault, infirmier, nous raconte ses débuts comme infirmier. De quoi pleurer de rire, de quoi être en colère, de quoi désespérer. Humanité, humour, ces tranches de vie, de souffrance, de peur parlent de la mort, du corps qui n'a rien de glorieux, de solitude.

On fait la connaissance d'un auteur, d'un homme dont on voudrait devenir l'ami. On espère rencontrer un infirmier comme lui si un jour....

Une écriture très agréable à lire, fluide, pleine de pudeur et de délicatesse.
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La chambre d'Albert Camus et autres nouvelles

Ce livre est un recueil de nouvelles axé sur le quotidien d'un infirmier. L'auteur, étant lui même infirmier, s'est inspiré de son expérience et des histoires qui lui sont arrivées pour nous raconter ses rencontres avec les patients et les autres acteurs du monde hospitalier. Plusieurs nouvelles sont très belles et très émouvantes sans sombrer dans le pathos. Malheureusement toutes les nouvelles ne sont pas du même niveau, certaines sont inintéressante comme celle où il nous raconte son quotidien d'infirmier des stars (c'est lui qui l'écrit) car leur intérêt (pour moi) est extrêmement limité. Ce qui est aussi énervant c'est que l'auteur a tendance a tirer la couverture a lui et qu'il enfonce gaiement les autres acteurs du monde hospitalier (médecins, infirmiers et aussi les patients) sous le prétexte de dénoncer certains agissements qu'il estime scandaleux.



Ma note est de 6.5/10.
Lien : http://desgoutsetdeslivres.o..
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