Yvan Pommaux

J'adore la mythologie grecque, et particulièrement la fascinante histoire du labyrinthe au minotaure... J'en ai des frissons rien que d'y penser !



Ce livre la raconte merveilleusement.

À vrai dire il raconte plutôt la vie de Thésée, de sa conception à son règne en temps que roi.

Mais avoir vaincu le minotaure reste son fait d'armes le plus marquant.

Je suis subjuguée par l'expressivité des dessins d'Yvan Pommaux et par la beauté de sa plume, le tout sans violence, ce qui permet de faire découvrir ce mythe aux enfants relativement tôt. La réflexion sur la naissance des légendes est également très intéressante.

L'objet est de plus vraiment très beau, imprimé sur un papier de qualité avec des grandes planches magnifiques.

Dans cet album, Marion Duval est à la recherche de ses propres origines. Une visite fortuite à la cave lui fait comprendre que des souvenirs secrets y sont entreposés. Elle y retourne avec une copine et découvre des objets ayant appartenu à sa mère, qu’elle ne connait pas du tout. Questionné, son père lui raconte - sans trop se faire prier - pourquoi et comment a eu leur séparation. Les parents de Marion ne se rencontrent pas. Mais le hasard fait bien les choses: une artiste allemande, dont le nom (Lotte Berlhein) est l’anagramme du nom français de la mère, vient exposer dans la ville. Ses sculptures sont faite à partir d’une matière première vraiment surprenante: des patates ! Par hasard, Marion est témoin du vol d’une des œuvres de Lotte: elle poursuit le voleur et, curieusement, tombe sur une bande plutôt sympa. Elle trouve finalement un moyen pour révéler sa présence à sa mère. Cette aventure me semble empreinte d’une émotion et d’une certaine justesse. Je trouve que le graphisme stylisé du dessinateur est plutôt agréable.

Dans ce regroupement de courte bd de Marion Duval, une jeune fille qui est embarquée dans d´etranges aventures mêlant tantôt opéra tantôt bijoux antiques ou bien le tombeau d’Ulysse à Ithaque. À l’origine ces bandes dessinées paraissait de manière bimensuelle dans les numéros du magazine jeuness Astrapi en alternance avec d’autres bd.

Cela fait du bien de l’an voir enfin toute rassemblées en un seul livre à la fois ce qui nous permet d’éviter de chercher les numéros un par un.

Un album à lire ou faire lire aux enfants (de 7 à 12, 13 ans) pour leur faire découvrir la terrible histoire d'Orphée et Eurydice. Yvan Pommaux allie encore une fois ici ses talents de conteur et d'illustrateur pour mettre à la portée des jeunes les riches récits de la mythologie.

Le texte et les illustrations sont extrêmement soignées, poétiques et au service du récit.



Un lexique assez complet termine l'ouvrage, permettant de compléter l'histoire et proposant un bon support pour un travail scolaire par exemple.

Des enfants font remarquer à leur grand-père que toutes les histoires mythologiques qu'il leur a racontées finissent mal. Pour prendre le contre-pied, il leur propose l'histoire de Persée, qui, malmené par son grand-père Acrisios, puis par le roi Polydecte, parvint cependant, aidé par quelques dieux, à survivre et même à devenir un héros remarquable en tuant Méduse, la terrible Gorgone.



Yvan Pommaux propose encore une fois un très beau récit de la mythologie grecque. Le texte est captivant, adapté aux enfants dès 8 ans jusqu'à l'adolescence, les illustrations nous plongent dans l'univers si riche des mythes antiques.

A lire et faire lire !

J'adore quand marion sauve les éléphant avec fil et ester. Et c'est drôle quand ester fait diversion avec un policier.

Les faits de mai 1968 sont racontés par des yeux d'enfants, ici Véro, qui avait 9 ans à cette date. Sa famille est typique de la classe moyenne avec des parents ayant un emploi stable, un maman institutrice et un père météorologue, un grand frère et une petite soeur. Ils vivent dans un appartement joli et moderne, avec tout le confort nécessaire de l'époque. L'album situe le contexte social de l'époque avec brio, avec les événements importants évoqués en illustrations et en mots et expose les événements de mai 1968 de façon un peu éloignée. L'histoire est très intéressante à découvrir et permet d'aborder la vie quotidienne à cette époque-là cependant un jeune lecteur (10 ans) pourra être perdu pour une lecture seul. Les illustrations font aussi référence à cette époque et sont très réussies.

Les héros de cette BD sont… des corbeaux ! Mais, loin de la mauvaise réputation de leurs congénères, ils sont très humains. Cette historiette nous parle de la jalousie. Corbelle et Corbillo s'aiment. Mais, faisant ensemble du théâtre, ils se disputent: Corbillo est en colère parce que, dans la pièce, Corbelle joue l'amoureuse transie de Corbek. Il s'ensuivra un petit mélodrame dans lequel nous, hommes et femmes, pourrons nous reconnaitre… A côté des deux héros, certains personnages, comme le metteur en scène, sont bien vus.

C'est un peu naïf, juste et charmant, d'abord destiné aux enfants… mais peut-être aussi à leurs parents. Quant au graphisme de cette BD, il m'a semblé agréable.

Il est vraiment très beau cet album !

Il permet de faire découvrir l'histoire de l'Illiade aux enfants - pas trop jeunes tout de même, c'est sanglant... J'ai moi-même découvert des tas de choses,

que l'Iliade ne couvre qu'une partie de la guerre de Troie par exemple ; et de nombreux détails sur les belligérants.



J'apprecie beaucoup le style pictural sobre et délicat d'Yvan Pommaux, et la mythologie lui va à la perfection.

Je vais m'empresser de découvrir ses autres livres du même genre.

Admirable petit livre, moins de 200 pages pour être émue aux larmes plusieurs fois, réfléchir, fléchir aussi. Merci infiniment à Gill pour sa critique qui m'a donné envie de le lire (et donc le noter dans un coin pour pouvoir me le procurer). Je ne regrette pas l'achat (pour quelques euros) de ce livre gratuit (cf www.ecoledesloisirs.fr et www.lirelire.org).

Il y a quelques textes plus distants, d'apparence plus sérieuse, avec lesquels je n'ai pas accrochés, mais la plupart m'ont beaucoup émue et m'ont profondément touchée. Je viens d'une famille avec un rapport aux livres très fort et ma propre histoire me fait ressentir un puissant attachement, un processus mouvant dans ma manière de lire, dans mon rapport aux livres. Dans les textes des auteurs et autrices, j'ai plusieurs fois ressenti, ces histoires personnelles, parfois compliquées, douloureuses aussi, en lien avec les livres, qui ne sont pas des objets, pas de simples objets, mais portent en eux tellement plus : l'humain qui les a écrit, celleux qui les lisent, nos affects, nos réflexions, nos brisures parfois aussi nées de la rencontre avec eux...



Plus court et avec plus de variations, puisque plus d'auteur·rices, il m'a un peu fait penser à Bouquiner : Autobiobibliographie



Le livre contient aussi des dessins.

Le sous-titre est "Témoignages et réflexions de cinquante auteur de livre pour l'enfance et la jeunesse."

Hé oui ! les meilleures choses ont une fin, et nos jeunes amis vont devoir recommencer à user leurs fonds de culottes sur les bancs de l’école.



Cet album sort de ma « pal jeunesse » à point nommé : il nous raconte l’histoire de Pablo le rebelle, qui ne veut pas aller à l’école. Il est malade et va se coucher… Maman vient lui proposer des histoires, mais ce jeune homme est bien décidé à bougonner alors maman lui propose l’histoire d’Atalante qui promet d’épouser celui qui le battra à la course… Mais Pablo grommelle de plus belle, "de toute façon, les filles, ça ne gagne jamais à la course…" et Pablo passe sa nuit au pays des rêves, dans la jungle où les animaux lui soufflent qu’il ne sert à rien de résister, avec Atalante qui a ramassé les pommes d’or pendant la course et a perdu…



Le jour de la rentrée arrive, il rencontre une fillette … elle s’appelle Atalante…



Un album sympathique aux illustrations légèrement vieillottes, riches, colorées et pleines de charme pour montrer aux enfants que l’école a aussi de bons côtés !

Quand Marie-Aude Murail s'amuse à faire disparaître une lettre de l'alphabet, cela donne une histoire pleine d'humour !



En l'an de grâce 1720, le grand-duc Nikolaï s'indigne d'une chansonnette se moquant de son fils maigrichon. Il décide alors de bannir une certaine lettre bien présente dans ce poème et de faire payer une amende à tous ceux qui oseront prononcer des mots la contenant.



Tu te doutes bien que la suite est tordante ! Car l'auteure elle-même se prend au jeu et cela donne un texte plein de gaieté !



C'est une façon bien astucieuse pour faire comprendre aux enfants ce que sont un régime totalitaire et la censure.



Un texte drôle, pétillant et invent....euh... ingénieux !!

Sans aucun doute un hommage à Maurice Sendak, d'ailleurs évoqué dans l'album.

Pablo ne veut pas aller à l'école et quand il se retrouve dans son lit ( peut-être sans avoir mangé), sa chambre se transforme en jungle et il rêve. Le lendemain, devant l'école, la réalité va rejoindre son rêve.

Norma joue dans le bac à sable avec Jojo, son singe en peluche, Sa maman l’appelle, il est temps de rentrer… Mais Norma n’entend pas, elle joue ! Mais le téléphone de maman coasse, et maman oublie Norma, Jojo, le sable… Maman est au téléphone... Norma a beau crier, maman n’entend plus…



Alors Norma décide de partir loin et pour toujours ! Elle rencontre son ami Félix, et tous les deux il partent au pays des rêves : dans ce pays, personne n’a de téléphone… Soudain une lionne surgit, elle s’ élance vers les enfants, mais heureusement, un chat vient tracer un trait, la lionne ne peut pas le dépasser, ouf ! Puis en trois coups de pinceau, la lionne devient tigre du Bengale qui les emporte sur son dos, mais ils doivent affronter une attaque de stakateurs teigneux, ils plongent dans l’eau car les stakateurs, c’est bien connu, détestent l’eau. Ils rencontrent le capitaine morse, qui les emmène au bateau qui chavire, et les voilà dans les bras des sirènes…





L’auteur de cet album nous invite à un beau voyage dans un pays que seuls les enfants et les adultes qui ont gardé cette âme d’enfant peuvent visiter. Ce pays est beau, et les illustrations soignées, riches, colorées, montrent une végétation luxuriante rappelant le monde de Lewis Carroll, avec ses animaux fantastiques qui contribuent à la beauté d’un tel pays.





J’ai beaucoup aimé les stakateurs teigneux, sortes de mini robot à dents acérées à l’air très méchant qui surgissent, peut être un clin d’œil à Ponti ?





Cet album invite à une réflexion particulière sur le dialogue parents-enfants, sur la disponibilité des parents dans ce monde où la technologie sensée permettre la communication provoque parfois l’effet inverse.
Lien : https://1001ptitgateau.blogs..

L’auteur de cette petite histoire attendrissante connaît certainement les chats et montre combien ces créatures quasi parfaites aiment la tranquillité et savent être fidèles.



C’est l’histoire d’un chaton, qui, derrière sa vitrine, alors qu’il était à vendre, voit un petit garçon avec lequel il voudrait bien s’en aller, sans doute l’enfant attire-t-il le chaton par sa douceur. Mais Voilà, notre bébé chat arrive dans une famille, pas exactement ce dont il avait rêvé : un papa qui fume des cigares puants, une maman qui passe son temps à récurer, (c’est vrai que les chats font des têtes pas possibles quand on fait le ménage dans LEUR maison), des enfants bruyants et brutaux. Jules se sauve (c’est le nom qu’il s’est donné après avoir rencontré l’enfant qui l’observait, car celui-ci avait un pull sur lequel était écrit ce prénom) , il se retrouve seul dans la grande ville, va rencontrer un vieux chat bienveillant qui va le guider...



Une histoire sans prétention, mais certainement un album à lire avant de se décider à adopter un minet.
Lien : https://1001ptitgateau.blogs..

Dans la ville de Montmartigues, on parle, on rêve rugby et surtout on y joue ! A 14 ans, Martin Bonfils porte le n°13 dans l’équipe des cadets, comme son père et son grand-père avant lui. Et voilà que dans sa classe de troisième, un nouveau arrive, Antonin Beau : parisien, mais surtout qui n’y connaît rien au rugby. Martin va alors initier au petit nouveau, très populaire, les « fondamentaux » du rugby.

Si on ne connaît pas bien le rugby, les règles peuvent nous paraître un peu compliquées à suivre mais l’intérêt de cette histoire repose avant tout sur la qualité n°1 de ce sport : l’entraide, la bienveillance. Et en bonus, des illustrations d’Yvan Pommaux !

A dévorer sur un stade de rugby ou bien au chaud sur son canapé ! A vous de voir !

Quelle belle découverte cet album ! Une plongée dans un univers à l'imaginaire et au graphisme riches et foisonnants.

Tout commence dans ce parc, lorsque Norma, agacée par l'attention que sa mère porte à son téléphone, décide de partir... et va vivre de trépidantes et assez effrayantes aventures avec son ami Félix.

Les illustrations regorgent de détails et références, le texte est drôle et poétique. Mon fils de 7 ans et moi avons beaucoup aimé ce livre qui lui a d'ailleurs fait pensé à Alice au pays des merveilles.

très agréable petit livre avec de belles illustrations je l'ai lu avec mes fils, comme un survol du passé de leur grand-père, ils y ont appris beaucoup de choses

livre qui tourne autour de la suppression d'une lettre "v" par Vladimir suite a une chanson. celui qui prononce un mot avec cette lettre recevra une amende. a la fin de l'histoire son fils qui et dans une petite maison dans les bois découvre une petite fille qui lui apprend des mot avec cette fameuse lettres et Vladimir décide de supprimer sa lois.

Histoire qui ne ma pas plus trouver sa plat pour ma part.

Très bon livre, on y découvre une histoire sur le mois de mai 68 accompagner de vero et toute sa famille. On y découvre les grand événement de la France , on y parle de martin Luther king , Charle de Gaulle , de la crise économique des gréve ....

Ça peut-être très intéressent pour les plus jeunes , sa va leur faire découvrir se que la France a traverser au paravent.



Bon livre.