Yves Swolfs

Un deuxième tome de Légende bien moins relevé. On y voit trainer des souvenirs, des marâtres àlaBlancheneige, un ChristopherWalken en guise de méchant de couverture. Je vous ai déjà dit que ça me sortait de l’histoire des personnages calqués de vrais ?

Un bien bon récit qui ouvre de nouvelles pages à l'univers du Prince de la Nuit !

Et ce n'est pas fini !
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A la mort de sa mère, Vlad apprend qu'il va recevoir un héritage très important; à partager avec son frère. Problème : il est en froid avec son frère, et personne ne sait où vit le frère en question. Il va donc partir à la recherche de son frère, et va mettre au jour un complot d'une envergure inattendue, dans un monde de science fiction. Une BD entre espionnage et aventures, au graphisme agréable, avec beaucoup d'action. Divertissante.

Très bonne BD dessins très beaux et histoire prenante.

Voir ma critique de la série sur le tome 1

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on ne s"en lasse pas…Voir ma critique de la série sur le tome 1.

Toujours plus mystérieux, le récit prend une dimension plus fantastique.

Voir ma critique de la série sur le tome 1.

Toujours autant de talent chez Swolfs qui nous entraîne encore plus loin dans la “légende”.

Voir ma critique de la série sur le tome 1.

La suite des aventures de Tristan qui grandit au milieu de la forêt…

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Une fin en apothéose, merci à Jean Gabin pour son apparition… On sent que l'auteur se laisse une porte entrouverte pour revenir.

Quel plaisir de frissonner devant un scénario habilement monté, et surtout passer des heures devant un dessin parfait à la plume rehaussé de couleurs, des bleus le plus froids au rouges les plus torrides.

Complète sans conteste la série Le Prince de la Nuit du même auteur.

Cette critique vaut pour toute la série qui ne baisse ni en régime ni en qualité tant pour le scénario que pour le dessin. Swolfs est arrivé au sommet de son art !

EXTRAIT "Deuxième incursion d'Yves Swolfs dans le western, cette fois-ci uniquement en tant que scénariste. La fine gâchette bourrée de remords parce qu'il a vu sa famille mourir n'est pas un thème très original dans le genre, mais il faut reconnaître que le scénariste sait se montrer plein de surprises. Par l'entremise de son "frenchie", je pressens une histoire nettement plus tournée vers le camp des indiens, et cette idée me plaît beaucoup."
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Bien au-delà de ces histoires d'identité ethnique, James Healer est une série vraiment très agréable à lire, bien emmenée et passionnante de la première à la dernière page !
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Une jeune amérindienne est en fugue avec un adolescent pas très recommandable. C'est une nouvelle mission pour James Healer, le détective extra lucide. Rien de tel en effet qu'une course poursuite pour élaborer une "lecture captivante". Et rien de tel que les grands espaces américains pour mettre en valeur le crayon virtuose du dessinateur De Vita.

Cependant, certains clichés ont la vie dure : la jeune indienne est une pauvre innocente deculturée. Son petit copain est le dernier des salauds, qui ne méritera aucune clémence, qu'elle soit divine ou humaine. Gardons donc le rythme de l'aventure et ne nous arrêtons pas trop en route pour réfléchir.

Une série sans originalité aucune campée dans un décor médiéval des plus classiques. On est loin de certaines oeuvres de fantasy, pleines d'imagination et le dessin soigné n'apporte rien de plus à l'intrigue. Il me semble être ici au plus proche de ce que Jean-Christophe Menu nomme dans "Plates-Bandes" un "48CC", c'est-à-dire un album standard sans imagination.

Une série sans originalité aucune campée dans un décor médiéval des plus classiques. On est loin de certaines oeuvres de fantasy, pleines d'imagination et le dessin soigné n'apporte rien de plus à l'intrigue. Il me semble être ici au plus proche de ce que Jean-Christophe Menu nomme dans "Plates-Bandes" un "48CC", c'est-à-dire un album standard sans imagination.