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Critiques de Yves Swolfs (377)
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Le Prince de la nuit, tome 6 : Retour à Ruhen..

Dans ce tome six le maitre des ténèbres allié aux nazis, quoi de plus naturel en somme.

Dessins et couleurs toujours superbes. Le scénario mais surtout les dialogues!!! Non.(voir la scène «d'amour» et le duel final). Cela sentait la fin...



Une fin de cycle qui visiblement devait sonner le glas de la série, mais la fin laisse entrevoir une suite (tant que je gagne, je joue pourrait dire Swolfs!!)



Un tome moyen, dans cette série il y a du très bon et du moyen. Heureusement qu'il y a la qualité des dessins dans tous les albums

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Le Prince de la nuit, tome 7 : La première mort

Et voici l'origine du mal, la génèse, ou comment Kergan est devenue ce qu'il est.



Cela remonte au temps où le peuple darce était sous le joug des Romains, bref un prequel intéressant, en effet on comprend comment et pourquoi Kergan est devenue un vampire suite à une trahison.



Sans atteindre les sommets, ce tome 7 est toujours aussi bien dessiné et mis en couleurs.
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Le Prince de la nuit, tome 8 : Anna

Il faut s'y faire Montaigne n'est pas Swolfs, mais la surprise passée je m'en suis accommodé et Montaigne à aussi du talent, bref un opus qui se lit en espérant une suite avant 10 ans!!!
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Le prince de la nuit, tome 4 : Le journal d..

Un début de second cycle magnifique, Swolf joue sur le récit historique et contemporain. Superbes dessins (le cimetière de nuit, le château de Kergan...), la mise en couleur est d'une grande beauté.

Un scénario bien tourné le résultat est bluffant, c'est du grand art.

Alors bien sûr cela manque d'originalité le scénario est convenu mais j'ai aimé. Swolf à l'art et la manière c'est du bel ouvrage.

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Lonesome, tome 2 : Les Ruffians

Ce second tome n'est pas sans rappeler Durango sauf que le récit est basé sur le conflit opposant les esclavagistes et les abolitionnistes, les enjeux politiques et économiques qui mèneront les Etats-Unis à la catastrophe que fut la guerre civile.



On touche aussi au fantastique lorsque le héros en touchant la main d'une autre personne lit dans ses pensées.



Formidable western avec un auteur au top, et bonne nouvelle il y aura au moins un autre tome.
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Le prince de la nuit, tome 5 : Elise

Un album de transition qui ne sert qu'à annoncer le grand retour de Kergan, un tome cinq, axé uniquement sur l'année 1933, Un commissaire Durieux (excellente référence à Maigret) plus Simenonien que jamais, les dessins restent superbes.
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Durango, tome 1 : Les Chiens meurent en hiver

Classique et efficace !



Prenez un héros rappelant furieusement Clint Eastwood , période western spaghetti al dente .

Mutique et mystérieux à souhait , ce loup solitaire qu'est Durango privilégie systématiquement le flot impétueux et précis de son colt au sien . Blam ! Blam ! Le Pacificateur , Meurtres sur commande...autant de surnoms qu'il assume pleinement , ne vivant que pour et par les armes !



Mais un héros sans véritable antithèse perdrait alors tout crédit . C'est pourquoi , dans sa très grande bonté , Swolfs décida de lui opposer le Sénateur véreux Howlett spécialisé dans l'élevage intensif et bien décidé à faire main basse sur toute la contrée , dût-il employer les moyens les plus retors , voire définitifs afin d'asseoir sa suprématie...

Son bras armé , un gars à la gueule de Klaus Kinski que l'on pressent déjà peu enclin à composer d'admirables bouquets champêtres en fredonnant l'hymne à la joie , Reno , grand amateur de tir sur cible vivante , humaine de préférence ! Le climat est plus qu'hostile et rares sont ceux à oser s'élever contre cette main mise au risque d'aller brouter les pissenlits par la racine , et sans vinaigrette encore...



Le décor est planté . Le scénario basique datant de 1981 et légitimement perçu comme véritable ode au western spaghetti fait dans l'évidence même mais le fait parfaitement . La tension monte crescendo , l'issue ne fait aucun doute , le moment de lecture est plaisant .

Si l'encrage et les traits sont agréables et consistants , il est à noter , parfois , un léger manque de profondeur dans les dialogues . Mention spéciale aux décors hivernaux du Wyoming qui accroissent , si besoin était , une sourde et sanglante dramaturgie , la partition du six-coup étant déclinée à l'envi .

Un premier opus intéressant et prometteur qui ne vient pourtant pas supplanter dans mon petit cœur de midinette les Comanche , Blueberry et autre Bouncer de renom...



Durango , Les Chiens Meurent en Hiver : et la caravane passe...

http://www.youtube.com/watch?v=1-rHdSWZLpQ
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Lonesome, tome 1 : La piste du prêcheur

Yves SWOLFS comme à son habitude il s'est surpassé dans une belle aventure de western comme il s'est si bien le faire. Des dessins merveilleux une narration d’actualité et ressemblance avec un de ses héros du nom de DURANGO mais bon on l’aspecte car sur cette nouvelle histoire il à tout fait. Scénario dessins et ce n'es que le tome 1. A lire et pour les collectionneurs de BD ce procurer l'édition de luxe en noir et blanc.
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Lonesome, tome 1 : La piste du prêcheur

Dès la toute première planche affichant ce poor lonesome cow-boy, pas vraiment Lucky, traçant péniblement son sillon sous la neige, l'on sent l'énorme potentiel du projet.



Un taiseux sans nom pourchassant inlassablement un méchant qui fait rien que des vilenies, mazette, le vieux pitch moisi vu et revu à l'envi.

Oui mais non.

Ce serait faire offense au coup de crayon hypnotique du sieur Swolfs et à sa capacité à surprendre.

Le western, on connait, on en mange depuis tout petit.

Mais le western fantastique, alors là, on se dit que le mec est follement audacieux ou complétement inconscient.

Constat final, le gros coup de massue derrière la caboche.

Tout se tient parfaitement. Prend corps sous nos yeux ébaubis, à la limite de la larmichette traîtresse à la découverte terriblement frustrante de l'encart final "fin de l'épisode".



Excellentissime, ni pluss, ni moinss.
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Le Prince de la nuit, tome 1 : Le Chasseur

Je connaissais Swolfs pour sa sympathique série western, « Durango », ce 1er tome du « prince de la nuit » me permet de le découvrir dans un autre registre, celui de l'épouvante. Cette lecture m'a beaucoup plu et j'en ressors avec l'envie de lire la suite.



Le thème du vampirisme n'est pas un sujet si facile que ça et beaucoup s'y sont cassés les dents. le risque est grand de sombrer dans le ridicule. Et je ne parle même pas de toute cette vague de vampires dépressifs, sentimentaux et pudibonds… Dans « le prince de la nuit » on retrouve la figure classique du vampire gothique à la Stoker. Il est une créature démoniaque, vouée au mal. Et s'il a un côté séducteur, il ne s'agit en aucun cas d'une séduction romantique teintée de sentimentalisme. L'attraction est ici plus sensuelle, plus vénéneuse et le but ultime reste de boire du sang.

Au départ, je n'ai pas été convaincue par l'apparence physique de Kergan. Les cheveux longs, élégamment vêtu, le regard pénétrant… tout ça faisait un peu trop dandy romantique à mon goût, ce qui va justement à l'encontre de la caractérisation du personnage. Mais j'ai été agréablement surprise par la fin du tome où Kergan montre son vrai visage, nettement plus monstrueux.



L'histoire est très classique, Swolfs revisite l'opposition Dracula / van Helsing. Comme souvent dans ce genre de récit, le chasseur s'avère tout aussi redoutable et inquiétant que sa proie démoniaque. En effet, le personnage de Jehan est loin d'être un saint et s'il brûle de venger sa femme, les rapports que le couple entretenait étaient plutôt mortifères.

Swolfs se révèle très à l'aise dans le registre de l'épouvante. Pour moi qui le connaissait pour ses westerns, c'est une bonne surprise. En fait, il y a d'ailleurs même un petit côté western dans certaines cases, Jehan prenant l'allure d'un lonesome cowboy dans un paysage de nature sauvage….

A cette histoire classique de traque du vampire l'auteur ajoute un élément, peu présent dans ce tome, quelques pages seulement, mais qui va sans doute prendre plus de place dans la suite. En effet, Swolfs introduit le concept de la lignée de chasseurs en la personne de Vincent, descendant de Jehan, vivant dans les années 30. Idée très prometteuse qui pourrait permettre de suivre les différents chasseurs de la lignée à des époques différentes (je verrai ce qu'il en est en lisant la suite).



Comme je connaissais Swolfs, je savais que le dessin serait à la hauteur. Je n'ai pas été déçue. J'ai retrouvé le talent de l'auteur pour les paysages, et tout particulièrement les décors enneigés (qui m'avaient déjà régalée sur Durango). La colorisation est très réussie. L'utilisation des couleurs feu est pertinente et transcrit bien la violence qui règne dans le récit.



J'ai passé un très bon moment avec ce premier tome, c'est bien agréable de retrouver un vampire à l'ancienne, sans mièvrerie ni problèmes de conscience. C'est avec plaisir que je vais poursuivre cette série.



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Le Prince de la nuit, tome 1 : Le Chasseur

Un excellent premier tome d’une série que je vais sucer jusqu’à la moelle Ha, Ha, Ha, Ha !



Nous découvrons un suceur de sang d’apparence bien classique, Kergan le trouvère, impénétrable, intelligent, charismatique, effroyable. Brrr ! Nous découvrons aussi la saga d’une famille dont chaque premier né sera destiné à chasser ce monstre jusqu’à sa destruction. Premier de la longue suite, Jehan de Rougemont est un petit seigneur médiéval plutôt désabusé. Ce n’est pas un tendre mais, lorsque Kergan s’empare de sa femme, il comprend le vrai sens du mot « mal ». Dévoré par la culpabilité, persuadé qu’aucune rédemption n’est possible, il s’engage dans sa mission suicide.



L’impénétrabilité de Kergan a quelque chose d’attirant c’est sûr, mais du coup il n’y a pas grand-chose à découvrir de sa psychologie (hormis qu’il est trop bavard dans la victoire). Au contraire, les personnages humains sont détaillés à l’envie. A l’opposé de l’humanisme, ce sont des hommes et des femmes soumis aux aléas du climat, de la guerre et des démons diaboliques, qui n’imaginent aucun bonheur en ce monde et ne peuvent qu’espérer dans la promesse du Royaume des Cieux. J’y ai retrouvé toute la difficulté de vivre que Jacques le Goff décrivait dans sa « Civilisation de l’Occident Médiéval ».



Le dessin de Swolfs m’a profondément rappelé le Thorgal de Rosinski ; ambiances monochromes, traits de visage d’une grande expressivité. Excellent !



Je me suis régalé. Je crois même que la lecture en soirée a influencé mes rêves (gulp !). Je remercie vivement tchouk-tchouk-nougat dont la série de critiques m’a donné envie d’aller côtoyer ce fils de Belzébuth.

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Le Prince de la nuit, tome 3 : Pleine lune

Dessins sublimes, en particulier ceux de nuit..., un formidable scénario qui clôt ce cycle là où tout a commencé, au château des Rougemonts.

A dévorer sans modération.

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Le Prince de la nuit, tome 3 : Pleine lune

Ce 3ème tome conclut un premier cycle de la série. Le 2ème volet était vraiment très bon, celui-ci est un peu en dessous mais c'est tout de même de la bonne B.D.



Si j'ai été un peu déçue par la confrontation Vincent / Kergan qui est un peu bavarde et manque d'intensité, l'intrigue est tout de même très solide et très bien menée.

Le dessin est toujours aussi réussi, tout particulièrement les ambiances nocturnes gothiques à souhait.



Bref, j'ai passé un très bon moment avec ce 1er cycle. Et c'est bien volontiers que je vais m'attaquer au 2ème cycle de cette série classique et efficace.

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Le Prince de la nuit, tome 2 : La lettre de..

1933. Revoilà Vincent Rougemont qui rêve la vie de ses ancêtres qui ont combattus le sinistre Kergan le trouvère. A présent il s’agit du moine inquisiteur Aymar qui vécut au temps des guerres de religion.

Mais si dans le premier tome la partie moderne ne prenait que peu de place, les choses sont inversées ici. Vincent finit par accepter le destin de chasseur de vampire qui lui échoit, et devinez quoi ? On a repéré le fameux Kergan. Et il ne se cache pas l’infâme ; il voyage au grand jour. S’il vit encore à notre époque je suis sûr qu’il a des millions de followers sur Twitter. Et par le plus grand des hasards décidé par l’auteur, il se trouve qu’il est en contact avec une personne très proche de notre jeune futur héros.



L’histoire de l’inquisiteur Aymar m’est, au départ, apparue trop simpliste. En dehors de l’erreur historique – il n’y a plus d’Inquisition en France à l’époque d’Henri III – les premières cases décrivent le bonhomme de façon très cliché ; faussement halluciné par la foi, satisfaisant son goût pour la cruauté derrière les devoirs de son job. Je vous jure, j’ai cru revoir Bernardo Gui dans « le Nom de la Rose » (l’original n’était pas ainsi d’ailleurs d’après les sources).

Mais l’impression se révèle vite fausse. On découvre un homme qui a du mal à assumer son fardeau imposé par sa mère, celui de chaque fils ainé la famille Rougemont. Il a été préparé, sevré d’affection, poussé à se forger une carapace anti-empathie pour, un jour, pouvoir affronter sans faillir l’ennemi ultime.

J’ai apprécié le fait que, lorsque cet affrontement survient, c’est le vampire qui juge l’inquisiteur et le place devant ses propres crimes.



Car Kergan n’est pas qu’un banal prédateur prélevant un tribut raisonnable sur l’espèce humaine. Il est intégré à la civilisation. Il participe à la culture. Il offre en échange de ses repas une musique d’un niveau inégalé, développée par des siècles d’application. En quelque sorte, il gagne sa pitance.

Vous me trouvez cynique ? Mais si l’on réfléchit, les dégâts que va causer notre vampire dans les années 1930 ne sont rien en comparaison de ce qu’un certain Hitler s’apprête à faire.



Comme souvent avec les vampires charismatiques ; on hésite à accorder notre sympathie au courageux héros qui va l’affronter ou au monstre lui-même. Une sorte de syndrome de Stockholm peut-être…

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Le Prince de la nuit, tome 6 : Retour à Ruhen..

Ce 6ème volet conclut de belle façon le second cycle de la série vampirique. J'ai trouvé que l'intrusion des nazis dans le récit est une très bonne idée. Même si c'est déjà vu, c'est toujours efficace. La confrontation Vincent/Kergan ne m'a pas déçue, je trouve qu'elle a tenu ses promesses. Quant à la fin ouverte, je m'y attendais un peu et, ma foi, c'est de bonne guerre.



C'est le dernier tome de cette série que ma bibliothèque possède. Je n'aurai donc malheureusement pas le plaisir de lire le cycle suivant.



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Le Prince de la nuit, tome 2 : La lettre de..

Je crois que j'ai encore plus aimé ce 2ème tome que le 1er.



Maintenant qu'on connait les personnages et le concept de la lignée de chasseurs, la mise en place se fait rapidement et on est vite plongé au cœur de l'intrigue. L'histoire est prenante et bien menée. Les allers et retours entre moyen-âge et années 30 sont bien gérés et rythment le récit.



J'ai aimé découvrir un autre Rougemont en la personne d'Aymar l'inquisiteur. On pouvait craindre que ce personnage soit le décalque de Jehan, le chasseur du 1er tome, mais l'auteur parvient à proposer un chasseur qui se démarque du précédent. Avec Aymar Swolfs propose encore une fois un personnage plutôt complexe et évite de tomber dans le simplisme.

J'ai beaucoup aimé la partie située dans les années 30 qui est très cinématographique.



Le dessin est encore une fois solide et très agréable. On se promène avec plaisir dans un Paris nocturne et pluvieux à la fois beau et inquiétant. Swolfs excelle dans la représentation des visages, tout particulièrement les gueules ou les visages portant les marques du temps.



Ce 2ème volet palpitant se dévore très vite et j'ai hâte de m'attaquer au 3ème tome qui, apparemment, clôt un cycle.

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Durango, tome 2 : Les forces de la colère

Dur, dur d'être Durango.



Résumé du dernier épisode :

Aïïeeeeeuuuh, ça pique !

Pas faux, une bastos dans la main, une autre dans la jambe, notre pistolero se requinque chez un autochtone du coin. le gauche, pour être précis.



Alors que notre grosse feignasse de cow-boy se refait la cerise devant les feux de l'amour, d'autres, bien moins portés sur les feuilletons à suspense visiblement, ont décidé, d'autorité, que c'était jour de paye.

Une banque braquée et moult pétarades sanguinolentes plus tard, c'est dare-dare qu'ils filent vers Peacefull Church. Petite bourgade paumée du Wyoming qui ne devrait pas le rester bien longtemps, paisible .



C'est tout bon.

Ambiance western maximale.

Ce tome n'est pas sans rappeler Les Sept Mercenaires qui, lui-même, ramenait immanquablement au fantastique Sept Samouraïs. Ces derniers apparaissant comme de bien pâles copies des inégalables Sept Nains, mais je ne vous apprend rien. Sinon y a Pale Rider dans le genre, pour les amoureux de personnage mutique préférant faire cracher leurs flingues que de bons gros mollards bien moins dommageables, faut être honnête.



Bref, Durango 2, auréolé d'un titre prêtant bien plus à la marrade qu'autre chose, se révèle finalement comme un fidèle représentant du genre.

De bons gros vilains qui font rien qu'embêter une bande de gentils un brin amorphe.

Un grain de sable, même diminué, qui tapera sévère du groin sur la table histoire de prouver, en faisant cracher son p'tit calibre, que c'est pas celui armé de la plus grosse...pétoire qui s'en sort forcément.

Paysages au cordeau, dialogues d'époque, de la racaille de compet' qui ferait flipper notre Sarkonator et son légendaire karcher, le tout tient parfaitement la route, fut-elle poussiéreuse, et se dévore à la vitesse d'un cheval aux pruneaux.



Bon appétit!
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Le Prince de la nuit, tome 3 : Pleine lune

Toujours une histoire en deux temps : Vincent et son ancêtre Armand de Rougemont vivant juste après la révolution.

Un petit clin d'oeil à la bête du Gévaudan qui m'a bien plu.



Ce troisième tome met vraiment en conflit Vincent et Kergan : leur ultime rencontre mettra en avant beaucoup de choses : le poids de la religion, les différents aspects de la nature humaine,...



Bref tout dans cette BD est là pour me plaire ; l'historique, la psychologie, le fantastique, sans oublier le graphisme.

Au risque de me répéter, les graphismes sont d'une très grande qualité : précision, minutie et petit rappel au cinéma.



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Lonesome, tome 1 : La piste du prêcheur

Swolfs revient avec bonheur au western, avec LONESOME une histoire ben ficelée. Ce premier tome se passe quelques années avant la guerre civile américaine pour nous décrire l'une des causes du déclenchement de la guerre de sécession. C'est très bien mené avec quelques trouvailles scénaristiques : référence au célèbre « Kung fu » série américaine jouée par David Carradine.

Swolfs excelle dans les dessins toujours superbes. Ce n'était pas facile de sortir de Durango, alors même s'il y a des ressemblances LONESOME est bien une oeuvre originale qui m'a séduit. J'ai hâte de lire la suite.
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Le Prince de la nuit, tome 7 : La première mort

Alors franchement je ne m'attendais pas du tout à ça avec ce dernier tome... je voyais une renaissance et non pas l'histoire de Kergan avant sa transformation en vampire. j'ai franchement adoré, j'ai dévoré ce tome... a tel point qu'a la première lecture je n'ai pas eu le temps d'apprécier les graphismes... ce qui est maintenant chose faite puisque je l'ai relu plus calmement.



Les graphismes ont évolué depuis le premiers tomes mais restent toujours d'une quallité impressionnante et ils fourmillet de petits détails comme j'aime. J'ajouterais quand même un mention spéciale pour la couverture qui est tout simplement une tuerie



Bref une très belle découverte que yves Swolfs... et je vais m'eempressé de lire d'autres de ses BD (même si il n'en est que le scénariste)
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