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Critiques de Éric Liberge (210)
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Camille Claudel

Si l’art, et particulièrement la sculpture, vous intéresse, cet album est pour vous. Un album de caractère, sur une artiste qui n’en avait pas moins.L’atout principal de cet album est de faire connaître cette artiste à l’œuvre singulière et variée, méconnue pour de mauvaises raisons.
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Le Suaire : Corpus Christi, 2019

Après avoir apprécié les précédents tomes même si l'intrigue parfois excessive m'avait fait un peu sursauter, ici rien ne va : confus, parano, mysticisme, personnages incohérents... Je n'ai pas accroché du tout. Seul le graphisme magnifié par le noir et blanc le sauve du désastre total.
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Métal, tome 1 : Le musée d'Airain

Paris, 1910. Plusieurs personnes reçoivent des armes mystérieuses qui provoquent de curieuses hallucinations lorsqu'elles sont touchées. Des êtres étranges se manifestent, parlent de mondes de métal. Bien malgré elle, Ingrid vand der Graaf va se retrouver elle aussi impliquer dans cette histoire...



Côté dessins, cette BD est superbe ! Je ne connaissais pas Eric Liberge avant, mais son style est vraiment très beau, et certaines des images saturées de couleurs trouvent rapidement une explication que je trouve très bien pensées. Les allusions aux œuvres de Escher sont multiples, et celui-ci apparaît carrément dans l'histoire où il sert de guide à Ingrid.



Côté histoire, nous sommes rapidement embarqués dans des mondes parallèles reliés à différents métaux, ce qui est très intéressant. Malheureusement, il semble que le tome 2 ne soit jamais sorti (apparemment refusé par Soleil), et ce tome 1 esseulé ne se suffit pas à lui-même. C'est vraiment dommage parce qu'il promettait un univers intéressant et une très belle patte graphique.
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Notre part des ténèbres

Voici un gros pavé de presque 700 pages jeté par Gérard Mordillat dans la mare océanique de notre système libéro-capitalistique et qui nous entraîne bien vers le fond.

L'auteur est parti d'une idée tout à fait réjouissante (du moins pour un roman) : celle d'un paquebot rempli de nantis plus ou moins responsables de la fermeture dramatique d'une entreprise fleuron de l'industrie française, détourné par ses salariés licenciés laissés sur le carreau. Une galerie de personnages que l'auteur se plaît à développer, tant du côté des riches que de celui des laissés pour compte. Viendront s'y ajouter les acteurs du pouvoir politique confrontés à cet évènement pour le moins insolite et dérangeant.

Jusqu'où iront-ils ? C'est bien la question que tout le monde se pose, protagonistes comme lecteurs.

Une chose est certaine, c'est que Gérard Mordillat, quant à lui, a décidé de pousser loin son bouchon littéraire. Un peu trop loin à mon goût, du moins dans certaines dimensions de son récit, comme ces « télex » recensant tous les heurts et malheurs de notre Pauvre Monde dans le style des brèves de l'AFP, et qui finissent par être lourds à force d'être assénés, voire à contre-emploi de l'effet recherché. Ou encore ce catalogue des pratiques sexuelles saupoudré tout au long des chapitres, sûrement pour épicer un peu la sauce, mais tellement inutile. Et puis trop, c'est trop. À force d'enfoncer les « méchants capitalistes » et de plaindre les « gentils salariés », l'auteur finit par couler aussi son lecteur, et c'est bien dommage, car du talent, il y en a dans ce bouquin.
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Le corps est un vêtement que l'on quitte

Bel ouvrage que « Le corps est un vêtement que l’on quitte ». Un titre qui sonne comme une réflexion philosophique et spirituelle ; domaines que l’on retrouve tout au long de l’intrigue de cette bande dessinée fantastique.





Dans celle-ci, Éric Liberge s’interroge sur l’au-delà, sur les EMI, sur la réincarnation,… à travers une histoire de secret familial qui va ronger notre jeune protagoniste, témoin d’évènements paranormaux.

Scénario intelligent qui réussit à embarquer le lecteur dans tout un tas de réflexions et d’émotions, rehaussé en plus par de beaux dessins.





Éric Liberge nous convie assurément à un beau voyage à la frontière de la vie et de la mort, du matériel et de l’immatériel. Joli.



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La guerre des paysans

Avec Gérard Mordillat, dont on connaît les nombreux engagements pour une société plus juste et délivrée du capitalisme, au scénario, et le talentueux Éric Libergé au dessin, une somptueuse BD en noir et blanc, retraçant les différents épisodes de la Guerre des Paysans au XVIe siècle, jusqu’à la mort de Thomas Münzer en 1525… Sous le regard de Luca Ponti, un jeune peintre envoyé par le Pape en Allemagne pour espionner à son profit, nous voyons Martin Luther se révolter contre la pratique des indulgences et tous les dysfonctionnements de l’Eglise. Pourtant, bien vite, le schisme religieux qu’il inaugure semble bien une réponse insuffisante aux maux de l’époque, une opposition trop respectueuse des privilèges des puissants, aux yeux de ceux qui voient la misère du peuple et voudraient renverser l’ordre des choses. « Il faut surtout que tu comprennes que le monde a faim et ne se soucie pas de théologie. La pierre s’est détachée de la montagne et est devenue grande… Il n’est que temps de se lever contre ceux qui, poussés par la cupidité, affament le peuple et méprisent le salut des mourants », répond Thomas Müntzer, bientôt le chef de la rébellion paysanne, à Luca Ponti lorsqu’ils se rencontrent. Et c’est le début d’une jacquerie tragique, dans laquelle les adversaires du débat religieux se ligueront pour mieux contrer la force des troupes populaires, jusqu’aux terribles massacres… Dans une excellente synthèse, proposée après le récit en BD, Gérard Mordillat analyse le déroulement des événements et montre leurs enjeux, leur puissance symbolique dans le débat des penseurs communistes, de Friedrich Engels aux leaders des manifestations d’aujourd’hui reprenant pour slogan les derniers mots de Thomas Müntzer, « omnia sunt communia », « toutes choses sont communes ». Un livre qui devrait plaire à tous ceux qui s’intéressent aux « choses communes », pour qui le combat pour l’avènement d’une société plus juste continue plus que jamais…
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Monsieur Mardi-Gras Descendres, Tome 0 : Le..

Un ami m'a offert cet ouvrage "Le facteur cratophane" pour me lancer dans cette série qu'il adore. Et bien je dois dire que j'ai été un peu refroidit.



J'ai mis déjà beaucoup de temps à entrer dans l'univers. Je trouve les planches très denses et riches, je n'ai pas l'habitude de cela. Un style très sombre, monochrome et "mono texture".



Malgré tout, le dessinateur parvient à donner de la personnalité à chacun de ces squelettes. Devenir "personne" pour redevenir quelqu'un, un effet assez étonnant.



Je repars avec beaucoup d'interrogations me donnant envie de lire la suite mais découragé par mon faible enthousiasme dans ma lecture.



Bref, ce n'était peut être pas le bon tome pour commencer, tout simplement!
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Le cas Alan Turing

Cette bande dessinée est très bien écrite et passionnante. Si vous connaissez déjà un peu la vie d'Alan Turing (le film "the Imitation Game", une très belle pièce de théâtre "la machine de Turing", ou encore des documentaires), vous n'apprendrez pas grand-chose, comme c'était mon cas, mais l'évocation de Turing est très réussie. Son génie, bien sûr, mais aussi son esprit torturé, ses doutes, ses fantasmes, sont représentés de façon très forte. A découvrir.
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Le cas Alan Turing

Alan Turing, une personne torturée qui traverse l’atmosphère noire de la deuxième guerre mondiale puis le climat puritain de l’Angleterre de l’après-guerre. Les auteurs, par l’utilisation de flash-back, nous offre une biographie complète de son plus jeune âge à sa mort tragique. Le graphisme soigné, la construction d’images par superposition graphique à partir de documents d’époque ou avec des clins d’œil au 7ème art, l’utilisation audacieuse d’ambiances colorées dans la mise en page et un scénario digne d’un grand film ; voilà comment est racontée la vie d’Alan Turing que beaucoup considèrent comme l’un des principaux fondateurs de l’informatique.

S’il faut trouver un défaut à l'ouvrage, ce sera sans doute un excès de théâtralité.



Lire la suite en suivant le lien
Lien : http://www.dev.scienceenlivr..
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Monsieur Mardi-Gras Descendres, Tome 0 : Le..

Loufoque, métaphysique, dantesque.
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Le cas Alan Turing

Il me semble que je n'ai jamais entendu parler d'Alan Turing, alors qu'il est un héros de la Seconde Guerre Mondiale. Ce chercheur en mathématiques avait déchiffré les codes d'Enigma, la machine qui permettait de transmettre les informations entre les nazis. Il aurait pu ensuite connaître un destin exceptionnel mais il a été condamné à la castration chimique en raison de son homosexualité, et s'est donc suicidé en 1954.



Dans cette bande-dessinée, scénarisée par Arnaud Delalande, son histoire, mais surtout ses recherches, nous sont racontées sur un peu plus de quatre-vingt pages. Malheureusement, les calculs mathématiques restent un grand mystère pour moi, si bien que je n'ai pas forcément tout compris...



Malgré ce petit bémol, je suis ravie d'avoir pu découvrir Alan Turing, qui est nommé le "père de l'informatique". C'était intéressant, notamment la partie sur son homosexualité qui lui a valu une horrible condamnation, et ce malgré ce que son travail avait permis de faire.



Ce que j'ai également apprécié, c'est les quelques pages à la fin qui nous expliquent la cryptographie. Pour les novices comme moi, c'était très utile, et nul doute que les passionné·e·s d'informatique aimeront cet ouvrage.



Au niveau des illustrations, Eric Liberge nous offre des planches que j'ai trouvées réalistes, mais qui ne plairont pas à tout le monde, avec des couleurs plutôt sombres, et souvent en arrière-fond des formules mathématiques. J'ai trouvé cet aspect visuel très intéressant, pour rappeler le travail que les chercheur·euse·s faisaient.



En somme, c'est une bonne lecture, que j'ai aimée même si j'ai parfois été perdue. Cela m'a permis d'enrichir ma culture générale, et j'en suis contente.
Lien : http://anais-lemillefeuilles..
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Monsieur Mardi-Gras Descendres, Tome 1 : Bi..

Un peu zarbi cette bd. Des squelettes en veux tu en voilà... À tel point que c'est un peu compliqué de s'y retrouver parmi tous les personnages. Le scénario est assez léger (quel est cet univers où les morts se retrouvent après être passés de vie à trépas ?) par contre ça fourmille de personnages et d'histoire "parallèles". Mais les dessins sont plutôt sympas et on peut prendre plaisir à parcourir les pages de cette bd sans trop s'attarder sur cette histoire.
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Le cas Alan Turing

Je suis tombée sur cette BD juste après avoir regardé le film qui retrace la vie d’Alan Turing « Imitation game » que j’avais beaucoup aimé. Je me suis dit que la BD me fournirait peut-être des informations supplémentaires sur la vie de ce génie longtemps méconnu. Au final, je me suis plutôt ennuyée à la lecture de cette adaptation. Je me demande même si je serais allée jusqu’au bout si je n’avais pas vu le film avant car je trouve le résultat assez confus. En ce qui me concerne, j’ai trouvé qu’il y avait beaucoup de longueurs et que les flashbacks rendaient le fil de l’histoire un peu décousu. En revanche, d’après les photos que l’on voit de Turing, le dessin semble très ressemblant. J’ai donc été dans l’ensemble, assez déçue par cette BD.
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Le Suaire : Lirey, 1357

Les planches de cette bd sont magnifiques, le scénario est bon mais semble-t-il (à mon sens) n'apporte rien de réellement novateur ou original.

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La jeunesse de Staline, tome 1 : Sosso

Les éditions "Les Arènes" ont très dernièrement publié une excellente bande dessinée sur Staline (1878-1953) et, plus spécialement, sur ses années de jeunesse. Le scénario est d'Arnaud Delalande et d'Hubert Prolongeau, tandis que les dessins (vraiment de très haute qualité) sont d'Eric Liberge.



Sur quelques 71 pages, la jeunesse de Staline est présentée par l'ancien chef d'Etat soviétique lui-même (à un collaborateur qui prend en note et dont l'avenir n'est de ce fait pas assuré...), et cela depuis sa naissance en Géorgie jusqu'à sa déportation en Sibérie par la police secrète du tsar. L'album donne à (re)découvrir l'empire des tsars de la fin du XIXe siècle, où le servage n'avait pas encore été aboli (quoique Napoléon l'ait supprimé à son arrivée, comme l'observe Tolstoï dans Guerre et paix). La misère régnait, à telle enseigne que les deux premiers enfants des parents de Staline étaient décédés en bas âge. Son enfance n'a pas été confortable, tant s'en faut, son père (cordonnier) ayant fini par sombrer dans l'ivrognerie. L'enfant subissait régulièrement sa violence et ses maltraitances. Mais, grâce à l'extrême bienveillance de sa mère, il a pu s'extirper de ce monde (délétère) et intégrer un séminaire de la capitale (Tiblissi, anciennement Tiflis). Là-bas, la russification est intense. Celui qui allait devenir "Le père des peuples" s'y instruit, en lisant tout ce qu'il pouvait (y compris les ouvrages -français- interdits). Cependant, il se détourne de la voie religieuse, afin de prendre part à la "lutte"!



Cette bande dessinée est une véritable réussite! L'on en attend la suite avec la plus extrême impatience!
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Le cas Alan Turing

Le titre de cette BD est, il faut bien le dire, fort à propos, car cet Alan Turing est bien un cas pour de multiples raisons…

Mathématicien hors pair des années 40 et cryptographe de génie, il fût réquisitionné par la Couronne britannique pendant la 2nde guerre mondiale pour déjouer la fameuse machine à coder allemande, ENIGMA, servant à la Wehrmacht pour progresser dans son invasion de l’Europe.

Le génie de Turing pour intercepter les communications codées allemandes réputées jusqu’alors impénétrables, fut d’explorer les milliards de combinaisons produites par ENIGMA en inventant lui-même une autre machine complexe, surnommée la « bombe électromécanique ». A force d’acharnement, ce fut un coup d’éclat (excusez du terme). Il permit aux alliés d’anticiper les avancées des allemands et de remporter à terme la victoire. Pas le moindre des exploits…

Cependant, la reconnaissance du travail de Turing et sa contribution dans la victoire de la 2nde guerre mondiale furent très (trop !) tardives. Pas étonnant que cette histoire n’ait finalement pas été très connue du grand public. Je fus, moi-même, et c’est une des forces de cette BD, assez surpris du rôle que ce personnage a joué dans l’histoire.

La Bd explore en effet très bien, par une narration faite de retours en arrière, par un jeu de symboles, les différentes facettes complexes et secrètes d’Alan Turing (on ne peut s’empêcher de mettre en parallèle la complexité de la machine cryptologique de Turing avec sa propre vie). Elle explique pourquoi il est resté longtemps dans l’ombre et a même été mis au ban de la société Britannique qui sans lui n’aurait pas connu la gloire.

Derrière l’image de génie solitaire, taciturne et antisocial un peu caricaturale, se cachait un être d’une très grande sensibilité qui n’a pas été épargné par certains évènements personnels et par le rejet, due à son homosexualité qui, dans une société de l’époque peu tolérante, le toucha profondément et dramatiquement.



Il faut également attribuer au dessinateur le talent d’avoir su rendre, par le jeu de couleurs et par des dessins très travaillés, cette complexité du personnage tout en rendant compte des aspects scientifiques et du rôle joué par Turing. Cette approche stylisée alourdit parfois certains dessins et rompt un peu le fil de la lecture car elle demande de s’appesantir sur les détails, mais le tout reste toutefois très cohérent.

Au final, cette BD est aussi intéressante par cette histoire incroyable de décryptage, certes parfois compliquée, que par ce portrait d’un scientifique illustre et tourmenté. En somme, c’est une forme d’hommage et de réhabilitation d’Alan Turing.



En effet, ce n’est que beaucoup plus tard donc qu’on reconnaissait et à titre posthume, à Turing le fait d’avoir remporté la bataille de l’intelligence et d’être le précurseur de ce qui allait devenir l’intelligence artificielle… l’ordinateur. La dernière page de cette BD, qui joue d’ailleurs sur un effet un peu amusant, montre combien il a été influant.

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Le cas Alan Turing

Un trait réaliste et précis, mais balayé par des éclats graphiques grandiloquents.
Lien : http://www.bodoi.info/le-cas..
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Le cas Alan Turing

Un album puissant et tourmenté à l’image d’un génie trop en avance sur son temps pour être reconnu, mais suffisamment pour inspirer toute une génération.
Lien : http://www.bdencre.com/2015/..
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Le cas Alan Turing

Delalande et Liberge ont réussi leur pari en nous racontant leur vision de l'histoire d'Alan Turing. Un récit historique instructif, qui reste aussi un divertissement de qualité !
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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Musée du Louvre, tome 3 : Aux heures impaires

Dans le cadre du partenariat entre le musée du Louvre et les éditions Futuropolis, Eric Liberge nous propose une visite singulière d’un des plus vastes et prestigieux musées du monde. Bastien, jeune homme sourd, décroche un stage de gardien au Louvre. Il devient vite le protégé d’un étrange confrère. La nuit, alors que Paris sommeille, les œuvres reviennent à la vie au son de cymbales …. La magie s’invite dans les galeries désertées alors que le fantastique prend le pas sur le récit. Au-delà d’une énième visite décalée des classiques du Louvre, Eric Liberge nous entraîne aussi dans l’univers très mal connu des sourds. Il nous amène également à nous questionner sur l’impact et les dangers de l’art dans nos vies. La beauté rend-t-elle fous tous ceux qui s’en approchent de trop près ?

La qualité du dessin, l’invention des formes et les quasis monochromes de couleurs froides contribuent à la construction d’un monde irréel. Fiction, réalité, rêve ou cauchemar, tout s’entremêle et nous emporte dans un ailleurs proche de la folie.

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