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Un livre retrouvé parmi d'anciens livres oubliés.
Lecture qui se veut lente afin de goûter les réflexions écrites par Camille Belguise aux alentours de 1948.
Des moments, une solitude souvent revendiquée et goûtée, des états, des sensations, des observations, la nature, un parfum parfois désuet, des ressentis qui demeurent pareils à ceux qui nous parcourent, une réflexion et un enseignement.
Voilà ce que je retiendrai de ce livre où le temps paraît s'écouler lentement avec ses bons sentiments et sa lucidité qui le maintient malgré les années.
Lecture qui se veut lente afin de goûter les réflexions écrites par Camille Belguise aux alentours de 1948.
Des moments, une solitude souvent revendiquée et goûtée, des états, des sensations, des observations, la nature, un parfum parfois désuet, des ressentis qui demeurent pareils à ceux qui nous parcourent, une réflexion et un enseignement.
Voilà ce que je retiendrai de ce livre où le temps paraît s'écouler lentement avec ses bons sentiments et sa lucidité qui le maintient malgré les années.
De longs extraits traduits, il y a longtemps pendant les cours d'espagnol, (un long chemin comme un jour sans pain... ) puis une lecture récente en espagnol puis en français.
Un roman âpre, violent, vénéneux, lecture intégrale douloureuse où le"tremendismo" prend tout son sens.
Un roman âpre, violent, vénéneux, lecture intégrale douloureuse où le"tremendismo" prend tout son sens.
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