Un cinquième tome lu durant le voyage direction les vacances. Ce fut une lecture fort agréable une fois encore et qui a eu l'avantage de m'occuper le temps du voyage.
C'est donc encore une fois avec plaisir que j'ai retrouvé Amos et toute sa petite troupe pour une nouvelle aventure. Là encore plusieurs références à la mythologie et en particulier pour ce tome aux dieux Enki aussi appelé Abzu qui provient de la mythologie sumérienne. Pour les créatures nos amis rencontres ici des meuves, un alrune et des élémentaux. Les personnages évoluent peu à peu et commencent enfin à prendre un peu plus de consistance. Au niveau de l'histoire, celle-ci est prenante et ne nous laisse guère le temps de nous ennuyer. Pour la première fois de la saga cependant le but fixé par Amos au début du roman ne se réalise pas à la fin de ce tome et me laisse donc plutôt une impression de début de quête, la nouvelle intrigue introduite au cours de ce roman pourrait donc se poursuivre encore sur plusieurs tomes et cela est une grande nouveauté augmentant ainsi le suspense et donnant très envie de vite lire la suite.
Enfin vous l'aurez donc compris j'ai bien apprécié ce cinquième tome et suis maintenant très curieux de savoir si Amos et sa chouette bande d'amis vont parvenir à réaliser les objectifs de leurs dangereux voyages et vais donc de ce pas très prochainement aller lire la suite.
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Tome qui m'a bien moins plu.
Tout d'abord on y trouve beaucoup de remarques de sexisme et racisme ordinaire, qu'on pourrait tenter de justifier par l'époque du livre et le generation de l'auteur, mais il me semble tout de même important de noter ces éléments.
De plus, je trouve que l'histoire avance super lentement, alors oui on découvre de nouveaux personnages, de nouveaux peuples et nos héros se font plein de nouveaux amis ou alliances qui leurs seront probablement utile un jour mais ça n'a pas suffit à me satisfaire.
Le tome suivant annonce de l'action et potentiellement des retrouvailles, je suis pressé de voir ce qu'il a à offrir.
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Amos Daragon : La tour d'El Bab, est un très bon livre. Il est la continuité de : Amos Daragon, La malédiction de Freyja. Il est un maillon de la chaine de douze bouquin Amos Daragon. Ce livre raconte l'épopée d'Amos et ses amis ( Béorf, Lolya et Médousa ) qui font un long voyage pour retrouver la mère d'Amos qui a été enlevé par des goblins. Je vous le conseille autant que les autres!
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Ce tome diffère des précédents dans le fait que la quête d'Amos ne se conclue pas en un volume. le périple se poursuivra donc dans le livre suivant... Cela donne un autre rythme à la saga. J'ai bien aimé la ruse du héros pour trouver une somme considérable d'argent et le caractère bon vivant du roi qu'Amos a sollicité pour financer son expédition.
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Je trouve ce livre très interessant et imaginatif. Amos est vraiment rusé!
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— Amos Daragon, je crois bien que j’ai gagné mon pari !
Le roi se retourna et baissa son pantalon. Les fesses à l’air, il s’écria :
— Pas de marque rouge sur la fesse droite et encore moins sur la gauche ! Allez, tu me dois dix pièces d’or, Amos ! Ta fameuse ruse ne t’a pas servi cette fois-ci et c’est moi qui empoche !
Amos fit alors face aux marchands et leur tendit la main. Estomaqués par le spectacle que venait de leur offrir le chef suprême, les commerçants remirent au jeune garçon chacun un sac contenant cent pièces d’or puis quittèrent un à un la salle d’audience. Béorf, hilare devant la scène, salua chacun des bourgeois d’une amicale claque dans le dos.
La culture est un ensemble de structures sociales, de comportements appris et de façons d’interagir avec les autres dont il est impossible d’expliquer toutes les nuances. Les habitudes de vie des peuples changent selon la région où ils vivent, leur histoire et même leur langue.
— Exécution, Grumson ! Le vieil homme en furie serra les dents et se métamorphosa en bête puante. Lolya se pencha et lui passa autour du cou un collier avec une laisse.
— Je me doutais bien, fit-elle, que vous seriez bien plus mignon en animal ! Au pied maintenant et interdiction de lever la queue !
Grumson était vraiment tombé très bas !
Dix hommes, enchaînés les uns aux autres, furent poussés sur l’estrade. Leur corps était recouvert de marques de fouet et de blessures encore sanglantes. Sur leur visage se lisaient distinctement la souffrance et le désespoir. Un seul de ces esclaves se tenait encore droit, la tête haute et les jambes solides. Amos, submergé par l’émotion, le reconnut tout de suite. C’était Barthélémy, le seigneur de Bratel-la-Grande, son ami
Bryan Perro lit un extrait d'Amos Daragon dans le cadre du Salon International du Livre de Québec, avril 2015