J'aime le nom du lurican (Flag Martan Mag Hecklagoen). Il est très drôle, lui et sa Flagolfière.
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Le livre est vraiment bon parce qu'il est émouvent à cause des retrouivailles et d'un tout nouveau personnage dans le livre qui vient de leur ennemi,qu'ils ont éliminé il n'y a pas très longtemps et il se demande ce qu'ils doivent faire avec le nouveau venu qui crache du feux,seul Amos Daragon va l'adopter sans la permission de son maître.
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J'ai un peu moins aimé ce tome qui me semble être une préparation à la suite.
Les alliances se créés, les héros affirment leurs valeurs et grandissent petit à petit.
On a maintenant une joyeux troupe de quatre amis prêts à en découdre pour équilibrer le mal et le bien.
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Un voyage remplit d'action en route pour l'ile de Freyja. le but de ce voyage n'est pas directement lié à la quête d'Amos mais apporte une nouvelle dimension à l'histoire puisque les héros veulent tenter de raisonner une déesse qui a jeté une malédiction sur le peuple de Béorf. L'amitié est une belle valeur mise en avant plan!
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Puis l’heure de la vengeance sonna ! Baya Gaya enleva les enfants de son ancien mari et les assassina dans la forêt à grands coups de couteau. Ensuite, elle mit un champignon venimeux dans les réserves d’eau potable du village et regarda, de loin, mourir près de la moitié de ses anciens amis. Elle envoya ensuite la peste pour éliminer les survivants.
— En plus d’être un bon magicien, lança Béorf pour taquiner son ami, tu es un fameux menteur !
— Il faut dire « comédien », Béorf, précisa Amos. En fait, je n’ai pas vraiment menti, j’ai seulement amélioré la vérité.
Tout près d’eux, les béorites s’esclaffèrent.
— Améliorer la vérité ! lança Helmic. Elle est encore meilleure, celle-là
Ce poison est très fort et il n’y a pas d’antidote. C’est déjà trop tard pour lui ! Il ne sait pas que, lentement, son sang deviendra noir et que des centaines de pustules virulentes apparaîtront partout sur son corps. Il souffrira comme jamais il n’a souffert ! Sa peau s’asséchera et tombera en lambeaux, ses os se briseront lentement, un à un, mais son cœur, ses poumons et son cerveau demeureront en excellent état.
— Ce n’est pas tout le monde qui a la chance d’être un aussi « joli garçon » que toi ! lança Béorf pour le taquiner. Tu es victime de ton succès avec les filles ! Même les sorcières te choisissent pour devenir leur amoureux !
— Ah, s’il te plaît, ne recommence pas !
— Très boien, je me tais… Mais quand même, cela doit être difficile pour toi d’être aussi beau ! — Tu n’arrêteras pas, hein ? Je vais subir tes sarcasmes pendant les semaines à venir, je le sens…
Je suppose que tous les êtres ont en eux un petit quelque chose de spécial qui les distingue des autres…
Bryan Perro lit un extrait d'Amos Daragon dans le cadre du Salon International du Livre de Québec, avril 2015